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Une journée avec ma maîtresse
C’était mon 34 ème jour de chasteté, pas un record, mais une période de plus d’un mois pas facile à gérer. Tant de choses imprévues se sont déroulées compromettant mes visites prévues chez ma maîtresse.
Imprévus provisoirement réglés, je pouvais me rendre aux pieds de maîtresse comme elle m’avait ordonné de le faire ce jour là.
Je me sentais extrêmement bien, calme, détendue et reposée... Trop contente de voir ma maîtresse, je lui baisais les pieds. Après toutes ces galères, je commençais à douter de me retrouver à ses pieds. Ouf, j'appréciais cet instant.
J’appartiens à ma maîtresse, c’est un vrai bonheur de lui avoir confié mon corps mais aussi mon âme. Je ne la remercierais jamais assez pour tous cette vie rêvée.
Je commence à déballer mes affaires et maîtresse me choisit une nuisette grise et des sous vêtements noirs. Je mets mes sandales mauves avec, je me sens un peu toute nue comme ça mais très sexy !
Elle me pare d’un boa rouge et nous faisons quelques photos !
Géniales et super belles photos avec ma maîtresse.
Elle m’a tellement ben maquillé avec un maquillage très “gothic” que j’apprécie particulièrement.
Quelques photos aussi quelque peu coquines sur la table de gynéco...
Pas facile de s’approprier un objet de sa maîtresse. J’avais déjà constaté cela la dernière fois. Ces objets BDSM sont à ma maîtresse, les avoir dans les mains ça fait drôle ! Donc vous pensez bien, avoir la table de gynéco ! Et poser pour des photos n’est pas très naturel pour moi.
Maîtresse sort ensuite ses cordes, je m’étire quelque peu avant de commencer la séance...
Elle a une nouvelle idée de position, les mains en position de prière, cool ! Ah... mais dans le dos ! Ah bon c’est possible ? Pas facile mais oui et en plus c’est très esthétique, j’adore !!!
Je prends vraiment l’habitude de ne pas me crisper lors des premiers tours de cordes afin de ne pas me sentir trop comprimée. C’est parfait !
Maîtresse me fait aussi un joli corset en corde. Tout cela se marie très bien avec la nuisette grise que l’on voit bientôt plus !
J’ai vraiment le torse et les bras immobilisés dans le dos, lorsque maîtresse m’attache aussi les chevilles à un bambou en position semi écartée.
Positionnée ainsi, je ne bougerais pour ainsi dire pas pendant un temps assez long, je dirais environ une heure... Immobilisée au sol attachée au plafond, pas d’autres choix que de rester là pour les plaisirs à venir de ma maîtresse..
Maîtresse sort deux de ses fouets à franges pour me réchauffer un peu !
Petit à petit, le cuir des franges viennent tout d’abord caresser mes fesses offertes à maîtresse. Cela faisait un petit bout de temps que je n’avais pas eu quelques coups de fouet sur mes fesses
!
D’ailleurs, c’est le baptême du “feu” pour mon tatouage !
C’est le cas de le dire, car mes fesses deviennent petit à petit “rosé” par les coups de fouet. Ils ne sont pas cinglants, la douleur bien que minime est assez aléatoire.
Quelques franges venant quelques fois me piquer les fesses mais c’est plutôt la masse réunis des franges venant s’abattre sur mes fesses qui me font un peu mal.
Maîtresse s’applique vraiment. Je constate que le tatouage a tendance à l'attirer quelque peu même si c’est sa “mauvaise main”. Je trouve les coups sur la fesse gauche plus précis et plus appuyés que sur la droite... A moins que ce ne soit un réflexe de sa part de ne pas abîmer le marquage de sa soumise.
Quelques photos, pendant que je savoure les quelques derniers coups que maîtresse me donnent. Très nombreux et concentrés, je dois me motiver pour les encaisser. Je ferme les yeux...
Je respire profondément, je savoure également ces instants, j’aime cela je l’avoue !
Il est aussi normal d’accepter ce que la maîtresse a la bonté de m’offrir, même si au cours de la séance, il est difficile de tout accepter et de tout supporter...
Mais j’aime m’offrir à ma maîtresse, lui donner mon corps afin que nous partagions ensemble un plaisir commun. De bons moments, que certains et certaines qualifieront de “maso” pour la soumise que je suis.
Ce dont je réfuterais car ce ne sont pas tant les coups aussi douloureux soient ils qui produisent du plaisir mais plutôt la complicité de deux êtres. Les gestes, les bruits du fouet, la respiration, les gémissements, le toucher, les mots etc., c’est cet ensemble de choses qui fait la magie du BDSM...
Je sais alors que ce n’est que le début de la séance, et que maîtresse va sortir son fouet fétish prénommé Karess. Je connais les douleurs que produit son fouet mais je suis prête.
Maîtresse m’offre le manche de son fouet à franges dans la bouche pour une photo. En travers, il pivote rapidement pour se retrouver dans un sens sans équivoque.
Je me bats alors pour ne pas le faire tomber, il ne tient que par quelques centimètres.
Maîtresse m’ordonne de le garder en bouche, sinon c’est 100 coups de fouets qui tomberont sur mes fesses.
Je me concentre, je reste immobile, au moindre mouvement, je ne pourrai le rattraper et ce sera la punition.
Quelques séries pleuvent sur mes fesses, la douleur est importante mais je me concentre...
Je me bats, je serre les dents, pour réussir ce challenge, mais je ne sais combien de temps je vais devoir tenir.
Finalement, le fouet tomba de ma bouche et la sentence avec.
Je pensais que maîtresse aurait la délicatesse de réduire ma peine car j’avais bien tenu. Rien n’y fit, je devais commencer à compter ma punition.
Le premier coup était horrible, entre les cuisses,maîtresse vint m’aider à l’encaisser, elle me caressa la zone entre les cuisses; j’appréciais son geste.
Par petites séries, je comptais les coups un par un, en me concentrant sur chacun. Certains plus appuyés que d’autres, je savais que ça n’allait pas être facile de compter jusqu’à 100.
Je cible chaque dizaine en me disant que c’est plus facile de compter ainsi !
Maîtresse m’ordonne au bout de quelques coups de compter sans émotion particulière dans ma voix. Je dois alors faire abstraction de la douleur pour compter chaque coup. Certains me donnent envie de pleurer, maîtresse me reprend, elle ne veut pas m’entendre.
Cinquante, puis soixante, enfin soixante dix, plus que trente, ça va passer vite. Mais c’est le moment que maîtresse choisit de faire une pause.
Cela fait du bien car j’étais à un moment ou la cocotte minute allait exploser...,
Je transpirais, j’avais chaud mais tel le marathonien, je m’arrachais pour finir.
Un peu de coka et un petit gâteau offert des mains de ma reine, cela fait du bien de recharger les batteries, mais je sais qu’il reste encore trente coups.
J’étais si prête du but et si bien concentrée, allez, on va devoir s’y remettre !
C’est reparti, les coups sont dans le même esprit, bien placés, cinglants et brûlants.
Il y a pas à dire, maîtresse manie bien le fouet alors attention les bêtises !
Les cent approchent, plus que deux mais de nouveau maîtresse fait une petite pause, je dois me re concentrer de plus belle pour les deux coups qui restent. A peine le dernier coup compté, mais même pas encaissé, je m’empresse de remercier maîtresse.
Cette punition terminée, je dis aussitôt à maîtresse comment j’ai mal aux bras. La position a été longue, les fourmis arrivent.
Maîtresse me détache les bras, je peux alors me détendre les bras quelques minutes, sur un tapis au sol, je peux aussi m'asseoir pour reposer mes pieds restés immobiles pendant plus d’une heure
sur des talons.
Maîtresse m’annonce la nouvelle position, sans commentaires voici la photo...
Il faut être assez souple et j’étais à mon maximum ce jour là !
Au cours d’une prise de vue alors que ma position est assez improbable que inconfortable, maîtresse m’offre le talon de son escarpin... Voir dans le miroir... Délicieux...
maîtresse me détache et me laisse uniquement les cordes de mon bustier. Et ce pour aller sur la table de gynéco.
Cela m’excite beaucoup car maîtresse m’annonce la position que je devrais adopter.
Elle prépare également certains accessoires. Notamment le gros collier qui sert aussi de minerve. C’est un vrai objet de soumission,avec l’impossibilité de bouger la tête...
Les bras en cuir mais elle m’’ordonne tout d’abord de mettre des boules Kies. Un peu angoissant pour moi mais terriblement excitant !
Me voici sur la table, sur le dos, la minerve m'empêchant de bouger la tête, les bras entre les jambes enchaînes ensemble. les pieds joints attachés au plafond, et les fesses offertes aux supplices pervers de maîtresse.
Je suis totalement immobilisée, les jambes écartées avec des cordes. Je n”ose pas penser à ce que maîtresse peut alors me faire dans cette position.
Maîtresse me met un bâillon écarteur en métal, je ne peux alors que marmonner, puis un bandeau assez serré sur les yeux associé d’un foulard.
Me voilà totalement isolée... C’est le noir complet.., la pression du foulard me pèse, les sons sont sourds, sensation extrême, souvent rêvée jamais exécutée jusqu”au bout; ça va, je me
concentre.
Il ne faut pas se focaliser sur la claustrophobie, je tiendrais, oui, pour ma maîtresse.
Super challenge pour moi qui me permet de dépasser des frontières jamais atteintes, un vrai bonheur ! Merci maîtresse !
Cet isolement me plaît, attachée, immobilisée, les sens de l'ouïe et de la vue masqués, je suis à la merci de ma maîtresse.
Elle me parle, je l’entend vaguement, elle bouge, elle prépare des choses, c’est bon, les minutes s”écoulent, j’apprécie ce mode d’isolement. J’ai envie encore d’aller plus loin. C’est ce que
semble dire ma maîtresse qui semble dire que ce n’est qu’un début...
Effectivement, elle m’attache les couilles ensembles et les tend vers le plafond. Quelques tapes sur les fesses, je me crispe dans mes liens mais sans moyen de bouger.
Maîtresse m’enlève alors ma cage, le bonheur de retrouver la liberté décidée par ma maîtresse. Merci maîtresse.
Je l’entend me parler d’Alphonse, dans cette position, je devrais bien l’apprécier !
Maîtresse m’enlève alors mon plug, qui se trouve assez loin, la chaîne bien tendu confirme son utilité !
Voir un article du blog à ce sujet dont quelques détails concernant ce plug à chaîne. Malheureusement je ne suis pas propre.
Flûte alors, je le pensais sans en être sur, depuis le matin je sens que je suis en digestion, et une fois en route il y en a pour quelques heures.
Même plusieurs lavements faits auparavant ne permettent pas forcement d’être assurément propre à une heure donnée...
La digestion décide de faire son travail un peu comme elle a envie, selon des cycles j’imagine...
Maîtresse continue dans son élan, et me prépare pour me faire un lavement.
Elle me laisse les deux cokrings.
Le lavement en place, maîtresse s’occupe alors de mon sexe. Je ne sais pas ce qu’elle fabrique, au bout ‘un moment, je sens alors un vibro se mettre en marche contre mon clito. Aussitôt il me fait de l’effet. Je crie dans mon bâillon, j’ai peur de jouir très vite...
Maîtresse m’enlève l’écarteur pour comprendre ce que je dis, je lui confie alors ma peur de jouir, elle ralentit le vibro.
Je ne voudrais pas jouir sans l’autorisation de ma maîtresse, je sais qu’elle n’aime pas ça, mais une fois “lancé”, difficile de s’arrêter !
Maîtresse m’enlève le bandeau, j’ai bien tenu, et maîtresse pense que pour une première cela suffit. Vivement la prochaine fois, pour rester encore plus longtemps ainsi.
Merci maîtresse pour cette fabuleuse expérience.
Je m’imagine mieux déjà le fait d’être totalement isolée sans pouvoir faire quoi que se soit, et surtout d’appeler au secours. Ainsi parée, seule maîtresse décide de me laisser le temps qu’elle
veut, impossible de lui dire quoi que ce soit, mal ici, je vais jouir etc.
Pour cela, un bâillon boule bien serré, un bandeau et une cagoule harnais sanglée autour de la tête, je m’imagine déjà, Maîtresse saura le moment opportun de m’emmener à cette étape du sm hard.
Pour l’instant, je suis attachée ainsi depuis un peu de temps, je sens venir non pas des crampes comme décrites à maîtresse mais plutôt des étirements de mes entre-cuisses. Maîtresse me détache
les bras pour les attacher de nouveau à l'intérieur des cuisses.
Pas très évident de changer de position, maîtresse se donne du mal, je veux l’aider un peu mais je commis une maladresse remarquée par maîtresse.
En voulant l’aider à passer mon bras, je lui dis “Il faut passer mes bras par ici...”
Quelle erreur de ma part, ordonner à maîtresse de faire quelque chose, j’avoue, je n’avais pas à le faire. Dans l’action je me suis laissée embarquée sans réfléchir et mes paroles ont dépassées
ma volonté de bien faire.
Maîtresse me fait confirmer que je lui ai bien dit “Il faut...” Je réponds par l”affirmative...
Maîtresse ne perd pas de temps pour faire le tour de la table tout en me répétant l’erreur que je venais de faire, et qu’elle ne pouvait pas laisser passer cela.
J’étais d”accord avec elle, sauf quand elle se saisit d’un accessoire pendu au mur.
Sans savoir, ce que c’était, elle me dit “Tu vas regretter de me parler comme ça !”
L’action ne dura pas une éternité,
“Quelques coups de badine vont te faire réfléchir pour ne plus recommencer !”
Maîtresse vint poser sa badine en bois sur ma fesse droite. Dans la position que j’étais, cela correspondait plus au dessous de ma fesse, endroit encore plus sensible.
“Tu vas compter 20 coups !”
Le premier coup de badine tomba, bien appuyé, me fit hurler de douleur.
Je sais à quel point cet outil de punition peut être douloureux. Maîtresse me reprend pour me dire de compter sans émotions. J’encaisse alors dix coups bien fort sur ma fesse droite, j’en aurai
pleurer, mais je dois accepter cette punition. Maîtresse fit le tour et m'affligea la seconde série de dix autres coups promis.
Je remerciais ensuite maîtresse.
Ce fut plus dure de recevoir vingt coups de badine que les cent coups de fouet précédemment reçus juste avant.
Maîtresse n’aimait pas ce genre de comportement et me le fit bien comprendre.
Bon... en écrivant ces lignes, je trouve que cela est très excitant mais sur le “coup” c’est pas la même !
Une fois la punition affligée, maîtresse continua sa perversité sur moi, plus calme, elle me caressa le sexe, c’était du pur bonheur, de se laisser “chouchouter” par sa maîtresse.
Séance difficile s’il en est, et ô combien perverse, par une maîtresse au mieux de sa forme, j’étais aux anges !
Maîtresse passa sa main sous ma nuisette et me tortura les tétons. Cela me fit le plein de sensations, je pensais jouir.
“Maîtresse ! je vais jouir”” “Faites doucement !”
Aille... prise dans dans envie de jouir, je parlais de nouveau mal à maîtresse pour la seconde fois en cinq minutes...
De nouveau, maîtresse me fit remarquer mes paroles, j’essayais en vain de m’excuser, de dire aussi que je n’avais pas fais exprès...
Elle n’en doutait pas sauf que je devais arriver à contenir mes paroles vis à vis d’elle. Elle reprit donc sa badine pour m’affliger une nouvelle série de vingt coups au même endroit...
Je comptais, les dix premiers coups sur ma fesse. Très difficile, j’en avais les larmes qui coulais et je devais compter sans émotions encore.
Afin de me concentrer, je laissais un silence avant de compter mais maîtresse enchaînais les coups, je devais alors compter plus vite mais la douleur était très intense. Horrible punition de la
part de ma maîtresse. Je ne m’attendais pas à cela...
Maîtresse repris alors le cours de sa séance en s’occupant de moi avec douceur. Bien installée contre moi, je voyais dans un coin du miroir mon clito dans la main de maîtresse.
Je passais du miroir au visage de maîtresse rapidement sans cesse. Elle était radieuse et contente de me faire maintenant jouir.
Je me débattais comme je pouvais dans mes liens, prise avec cette envie de jouir qui montait en moi. Maîtresse me fit couler de sa salive dans ma bouche ouverte par le bâillon écarteur. J’étais
bien...
Maîtresse me tortura de nouveaux mes tétons.
Elle me parla d’un ton très excitant et très complice. Je la sentais très désireuse de tenir les promesses qu’elle allait me confier.
“Je vais te faire percer ma coquine !” “La totale !” Je lui répondais “Oui maîtresse ! J’en ai envie !”
Mon envie d’être marquée par des piercings pour ma maîtresse me semblait être une nouvelle étape de mon appartenance totale après le tatouage.
Rapidement je jouis alors tout en gémissant et en la regardant... Comme c'était bon,..
Merci maîtresse, c’était extraordinaire.
Encore une superbe séance entre les mains de ma maîtresse qui restera à jamais gravée dans ma mémoire.
Pendant ma durée de chasteté de 34 jours, dernière idée de ma maîtresse, me faire porter cet objet !