Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Voilà le jour tant attendu arrive enfin, 45ème jour de chasteté. Je tiens le coup, la relation avec maîtresse a vraiment évolué, et a grandi.
J’arrive juste à l’heure, la route s’est bien passée, malgré la pluie qui ne faiblit pas dans le midi...
Maîtresse vient m’ouvrir la porte extérieure, elle est splendide avec sa tenue toute légère sous son parapluie !
Nous rentrons au donjon, je m’agenouille pour lui baiser les pieds, quel bonheur d’être de nouveau face à ma maîtresse.
Je découvre le donjon terminé de maîtresse. Il est maintenant opérationnel même si tout n’est pas encore fini.
La première impression qui me vient, c’est l’espace ! C’est très grand... habituée à un espace un peu plus confiné, cela fait drôle.
La blancheur actuelle des murs renforce cette idée d’espace. Il manque la séparation des lieux par de petits mobiliers, et la décoration apportera une ambiance un peu plus intime et feutrée.
Une fois que maîtresse se sera approprié les lieux à son image ce sera vraiment splendide. De belles choses se passeront ici c’est sur !
Cela promet d’être un magnifique lieu pour toutes les activités... perverses de maîtresse.
La première chose que je vois est le nouveau partenaire de maîtresse, Alphonse ! Il est caché sous un drap mais je le devine...
Je déballe mes sacs afin de proposer quelques tenues que maîtresse choisira.
Nous arrivons à mettre de côté quelques affaires que je sépare du reste.
J’enfile des sous-vêtements, une culotte, un porte-jarretelles, des bas et ma nouvelle robe à grosses mailles. Il s’agit plus d’un déshabillé, voir d’une nuisette qu’une robe... Maîtresse me
serre mon corset et direction la salle de bains pour le maquillage.
Maîtresse me maquille différemment cette fois-ci, avec des niveaux de gris. Cela me change, et j’aime beaucoup. C’est vrai que je ne prends pas assez de temps pour faire des essais de couleurs, avec ma coiffure ou des habits différents, des couleurs différentes. Je suis souvent en noir avec de petites touches de rouge ou de violet, et c’est vrai que ce serait cool de changer un peu...
J'enfile mes bottines latex noires, nous sommes prêtes !
Un peu de musique, un peu de chauffage, de l’éclairage tamisé avec un assortiment de couleur de leds, l’ambiance est posée !
Maîtresse règle son appareil photo, je pose pour quelques photos avec un objet de mon choix, humm humm... voyons, voyons, son gode ceinture ! Pur hasard je vous promets !
Pas le temps de donner un cadeau à ma maîtresse... elle a déjà une corde dans les mains, je le pose sur une table.
Maîtresse me pose rapidement sa corde sur mon buste, avec me dit elle, l'essai d'un nouveau bondage. Les bras ligotés derrière mon dos, je me retrouve rapidement à genoux sur le prie-dieu. Je
commence à le connaître quelque peu...
Je ne sais pas sur quel chemin maîtresse a envie de m’emmener ce jour. Je me pose des questions, j’observe, j’apprécie aussi.
Je suis rapidement et complètement immobilisée, chaque doigt est attaché.. Je commence à avoir très chaud, je commence à transpirer et c’est vrai que les cordes commencent aussi à me serrer les
membres et le torse. Maîtresse s’en rend compte rapidement, un peu de coka à la paille, maîtresse baisse un peu la température de la clim, et me détache. Pas complètement tout de même, elle me
rattache différemment mais toujours autant immobilisée sur le prie-dieu. Je ne peux vraiment pas bouger et ce n’est pas pour me déplaire !
Maîtresse découvre alors le cadeau que je lui ai ramené ! C’était une surprise ! Et je ne pensais pas qu’elle avait deviné ce que c’était ! Nous avions joué à un petit jeu de devinette par sms...
Un collier et deux bracelets tout métal, soudé et avec des trous pour y passer des vis ou des cadenas. C’était un prototype, j’avais demandé à un collègue serrurier de me fabriquer ces beaux
objets pensés par maîtresse.
Des modifications peuvent être apportées afin de sécuriser la fermeture avec une charnière et de pouvoir les adapter sur des barres d'écartements, et même sur sur un mobilier tout métal, projet à
étudier...
Maîtresse semblait satisfaite de ces objets et les essaya sur moi avec ses chaînes et ses cadenas. Les bracelets dans le dos, et le collier au cou, elle le fixa à la traverse du prie-dieu, j’étais ainsi immobilisée à souhait. Impossible de faire le moindre mouvement, au contraire chaque tentative me renfonçait de plus en plus au fond du prie-dieu. Les liens se resserraient et mes fesses de plus en plus à la portée de maîtresse.
Ce n’était pas pour lui déplaire ! Moi non plus je dirais, toujours assoiffée du prolongement de la main de ma maîtresse sur mon corps, je me sentais bien.
J’allais souffrir, certes, maso je ne sais pas, maso de ma maîtresse ouiiiiii certainement !
Maîtresse constatait que j’avais quelques fuites sous forme de vents, je lui racontais mon angoisse de n’être sûrement pas complètement propre...
Maîtresse me titillait un peu les fesses, je sentais que j’allais avoir mal, pourquoi je ne sais pas...
Afin de me faire oublier les douleurs, maîtresse me présenta Alphonse que je dûs sucer avec délectation.
Bien positionnée et complètement immobilisée, je ne pouvais que le prendre et le sucer bien profondément. Bien réglé par maîtresse, il faisait des allers et retours au fond de ma gorge. Ce
n'était pas sans nous déplaire maîtresse et moi. J’adorais avoir un sexe en bouche et maîtresse semblait prendre beaucoup de plaisir à me voir sucer un sexe bien dur...
Le faire par plaisir était une chose mais le faire en plus pour ma maîtresse était la cerise sur le gâteau, la bite au fond de ma bouche ! Daniela tu es vulgaire !
Cela m’excite terriblement de faire ce genre de pratique et j’ai vraiment envie de progresser à avoir un sexe en bouche, qui plus est, bien gros..., afin de le prendre bien profond. Une vraie
salope ! Oui mais la salope de maîtresse, et ça c’est quelque chose !!!
Pourquoi pas un jour qu’elle me présentera un homme avec un sexe bien dur, plusieurs peut-être...
Revenons à nos moutons, maîtresse m’encourage tout en me titillant les seins et le sexe. Ce qui m’excite le plus c’est de le faire sous le contrôle de ma maîtresse... encore un fantasme...
Daniela on se concentre bon sang !!!
Ah oui..., maîtresse me fouettait pendant que je suçais de longues minutes Alphonse, c’était vraiment délicieux et un bel entraînement pour moi !
Après quelques coups un peu plus appuyés sur mes fesses, maîtresse me bâillonna.
Hummm, j'avais tellement envie d’être bâillonnée...
Maîtresse me passe par deux fois une corde dans la bouche, le tout bien serré autour de ma tête je ne peux alors que gémir...
Cela fait quelques mois que je fantasme sur des bâillonnements....
Peut-être la frustration de ne pas arriver à supporter une cagoule sur la tête alors que j’en ai fortement envie. Je me retourne alors sur cette sensation d’avoir la bouche prise, entièrement
pleine et sans pouvoir l’ouvrir.
Très excitée par les baillons boules et métal de par leur matière, mais il y en a un que j'aimerais par dessus tout...
J’aimerais subir le fait d’être bâillonnée avec du sctoch ou du sparadrap super large... et avoir un foulard conséquent dans la bouche ou plaisir extrême, la culotte de ma maîtresse...
Stop Daniela, on arrête de fantasmer et on se concentre sur le bâillon de corde de maîtresse qui m'empêche littéralement de dire quelque chose...
Et surtout de compter les vingt coups que maîtresse me demande de prendre.
Elle débuta calmement, bâillonnée, je ne pouvais compter les coups, elle me réprima alors et je comptais avec mes doigts, seule partie de mon corps encore un peu en mouvement !
Je düs reprendre depuis le début... J’avais raté au moins cinq coups assez forts, quand Maîtresse me fouettait les fesses et particulièrement la gauche... Maîtresse préserva la fesse droite pour
la surprise à venir...
Je supportais tant bien que mal en gémissant, maîtresse ne voulait pas m’entendre, je souffrais alors en silence, lui obéissant comme j’aime le faire.
Les cinq derniers coups furent extrêmement violents, je sentais maîtresse se lâcher sur le mouvement de son bras et de son fouet. Les coups tous bien placés furent très douloureux mais si vite
enchaînés les uns des autres qu’il m’était plus facile de contrôler cette souffrance l'espace d’un instant.
Maîtresse me confiait qu’elle sentait qu’avec moi, elle pouvait se lâcher un peu. J’étais assez fière de moi que maîtresse puisse aller elle aussi, plus loin dans son plaisir.
Je me retenais tellement que dès le dernier des vingt coups porté je fondais en larmes tellement la douleur était vivace. Maîtresse me reprenait encore. Je me tus aussitôt.
Maîtresse me détacha assez rapidement de mes liens car ces derniers s’étaient très resserrés... le bâillon de cordes retiré, je remerciais maîtresse, et elle me détacha du reste. Voyant comme je souffrais, elle voulut couper les cordes mais j’étais prête à souffrir encore quelques minutes supplémentaires. Pour ma maîtresse oui !
Une fois libérée, je reprenais mes esprits debout à faire quelques mouvements, pendant que maîtresse préparait la suite des réjouissances. J’allais aussi aux toilettes afin de me laver un peu. Je revenais quelques minutes plus tard. Mes angoisses s’étaient évaporées et j’étais propre depuis le matin lorsque je me suis lavée avant de descendre au donjon !
Maîtresse m’ordonna de me me mettre sur le sling, pour me faire prendre par Alphonse !
Initialement prévu qu’il me prenne sur le prie-dieu, c’est assurément propre qu’il me prendra sur le sling.
Maîtresse ajuste son matériel, baîllonée, les bras attachés, les jambes écartées, Alphonse me prend alors sans ménagement. Maîtresse met en place également cette S. de Pénélope. J’espère qu’elle
ne me fera pas jouir trop vite cette coquine...
Les allers et venues d’Alphonse au fond de ma chatte, furent irréguliers. J’aime quand il me prend plusieurs fois de suite profondément, c’est très jouissif.
Cependant, le sling étant plutôt mobile, les à-coups d’Alphonse sont atténués, presque inexistants car les mouvements du sling accompagnent ceux d’Alphonse...
Ce fut une belle expérience, et je m’imagine déjà dans des positions plus extravagantes encore, complètement immobilisée, être prise par Alphonse pendant de longues minutes devant ma maîtresse.
Maîtresse m’enlève ma cage, toujours un moment important cette libération, j’apprécie ce moment décidé par maîtresse. Merci maîtresse.
Très rapidement Pénélope m’attrape et ses va et vient me font rapidement monter l’excitation. J’appréciais pendant un petit laps de temps la connivence d’Alphonse et de Pénélope pour me faire
plaisir, mais je jouis tout de même rapidement, trop rapidement...
Il m’était arrivé pareille mésaventure et je ne peux pas dire que j’en garde un bon souvenir.
Heureusement, maîtresse m’accompagne dans ces instants de jouissance importants pour ma vie de soumise.
J’aimerais tant être endurante à ce niveau-là, aidée par maîtresse j’y arriverais un jour, c’est sûr !
Me faire jouir à intervalles réguliers, être forcée de jouir, être vidée... Terriblement envie de séance intense à ce niveau là... Il faut pas mal de temps devant soi j’imagine, et tenir le
rythme que maîtresse impose.
Maîtresse me détache, petit à petit, je me redresse, je la remercie à genoux, nous regardons l’heure, et oui déjà !
Toujours la même chose... le temps passe vraiment trop vite entre les mains de maîtresse.
Je me sentais bien, en forme..., maîtresse remarqua une petite fatigue, moins tonique aussi, un peu relâchée musculairement, ça ne pardonne pas dans les mains de maîtresse ! Je vais me reprendre
!
Une douche dans le nouveau donjon, maîtresse m’annonce que je resterais libre sans cage, pendant quelques jours. Cinq jours, histoire de reposer ma prostate et profiter peut-être de plaisirs supplémentaires.
Je me rhabille, il est malheureusement l’heure de se séparer, je lui baise les pieds.
Encore une belle séance avec ma maîtresse ! Merci infiniment.