Sissy Danyela

Voilà une journée que je porte cette cage, je ne la garderai pas pour dormir...

Le lendemain matin, avant de remettre ma cage, je m’épile le sexe proprement. Je change également d’anneau, celui d’hier est beaucoup trop large. Je réussis à enfiler le plus petit des quatre ! Avec de l'entraînement c’est plus facile et plus rapide.

 

Dorénavant, je décide que je ne devrai plus quitter ma cage de chasteté.

 

Ce matin également, je teste les effets en phase d’excitation de mon sexe encagé en matant une vidéo comme je les aime...

Le plaisir m’envahie rapidement, je commence à bander et j’ai envie de me toucher. je n’y arrive pas mais j’aimerai jouir....

C’est assez frustrant... je préfère arrêter la provocation et je calme mes ardeurs.

Durant cette seconde journée, j’arrive facilement à oublier le port de la cage.

 

Le stade de la curiosité ayant disparu, un nouveau sentiment apparaît.

La frustration de ne pas pouvoir toucher mon sexe. Cet attribut que l’on touche, que l’on caresse, n’apparait plus de la même manière face à mes yeux et à ma pensée.

On l’étire, on le caresse, on le branle, plus possible maintenant. Il n’est plus accessible, hormis mes deux testicules compressées qui elles seules sortent de la cage. Je presse ma cage, ça fait gonflé le sexe immédiatement. J’arrête rapidement de peur d’avoir mal s’il gonfle trop.

C’est très excitant de se sentir encagé, même si je ne peux pas bander au maximum, le plaisir est bien présent.

La présence omniprésente de cette cage me rappelle ma condition de soumise.

Le port de la cage de chasteté reste donc un plaisir. Ce qui m’importe pour l’instant, c’est de contrôler mon sexe, m’empêcher de le caresser et de jouir trop facilement.

A suivre...

Sam 3 mar 2012 Aucun commentaire