Sissy Danyela
Comme vous avez pu vous en apercevoir, pendant quelques semaines j’étais complètement absente de mon blog.
Pour des raisons personnelles, j’ai dû arrêter soudainement, à mon grand regret, toutes mes activités liées à ma vie parallèle et à ma soumission à ma Maîtresse.
Je n’avais pas la tête à vivre ma seconde vie. Mon contact permanent avec ma maîtresse, nos rencontres, nos sorties, ma cage de chasteté, bref tout s’arrêtait là d’un seul coup, comme un mur au milieu de la route. J’étais plantée là, abattue, devoir l’annoncer à maîtresse, et me retrouver toute nue devant mes problèmes personnels.
Je remercie Maîtresse Akina, pour la compréhension de cet évènement qui chamboula ma vie.
Près de quatre semaines à broyer du noir, mais Maîtresse régulièrement gardait tout de même le contact avec moi, me demandant des nouvelles et m’encourageait dans mon épreuve.
Les semaines passèrent, je me relevais petit à petit, quelques nouvelles à ma maîtresse.
Et un jour le petit déclic dans ma tête...
Maîtresse toujours omniprésente dans mes pensées, me donna je pense ce petit déclic qui me réveilla soudainement de ma dépression passagère et me sortit un peu de terre.
Des mots importants aux bons moments, Maîtresse Akina en toute amitié me redonna vie, me redonna le goût de tout. Du quotidien, des choses simples de la vie, elle me remonta mètre par mètre à la surface.
Et c’est en écrivant à maîtresse que mes souvenirs remontèrent à la surface, des pensées coquines traversèrent alors mon esprit. J’allais mieux...
Nous reprenions nos échanges d’écritures, maîtresse me racontait ses activités qu’elle était obligée de faire pendant mon absence. Elle était en train de monter une vidéo d’une séance.
En visionnant son travail, je vis défiler devant moi tous les bons moments passés avec ma Maîtresse.
Nous en avions passé de bons délires, de belles soirées, de belles séances toutes les deux. Tout cela me remonta le moral et me donna ces forces qui me manquaient jusqu’alors pour assurer mon quotidien.
Je décidais aussi de reprendre le sport, et je m’évadais le temps de quelques heures dans ma montagne préférée pour faire une belle randonnée de méditation dans la neige fraîchement tombée.
J’allais beaucoup mieux, c’était évident..., je ne remercierai jamais assez maîtresse pour m’avoir aidé à remonter la pente.
J’étais de nouveau très excitée, et mon désir était de reprendre quelques activités avec maîtresse.
Excitée comme j’étais il était préférable que maîtresse me suive de nouveau de près. Depuis ma soumission à ses pieds il y a quelques mois, je ne vivais que pour elle. Je lui avais confié ma sexualité et je devais de nouveau lui remettre le contrôle de mon corps entre ses mains afin de résister à la tentation.
Elle accepta, à condition que je prenne mon temps et que je reprenne à mon rythme.
Maîtresse désirait que je me montre en webcam avec mes jouets. J’étais excitée par son attention mais quelques semaines de laisser aller, je devais alors m’épiler un peu.
Après un rendez-vous manqué sur Skype, je devais annoncer mon retour sur mon blog. que je retrouvais comme je l’avais laissé il y a quelques semaines. De nouveaux souvenirs réapparurent et m’excitèrent d’avantage.
Je devais arrêter de penser au passé et vivre le présent et de nouveau voir tout ce qui nous attendait maîtresse et moi pour le futur.
Devant ce rendez-vous manqué, maîtresse reprit les choses en main et m’ordonna de faire un lavement.
Je ne m’attendais vraiment pas à ce que maîtresse s’occupe de moi de cette manière ainsi que de me faire reprendre aussi activement.
Je devais ensuite enfiler mon harnais que maîtresse m’avait fait acheter quelques mois auparavant. Un superbe objet de contrainte de grande qualité. Le cuir que confectionnait cet objet était souple, suffisamment fin pour se cacher sous des vêtements et assez moulant.
Maîtresse m’avait fait acheter également deux plugs qui s’installaient sur ce harnais.
Pas n’importe quels plugs, des plugs en métaux inoxydables très denses. Un petit, déjà bien gros tout de même de 140 millimètres de long, 42 millimètres de diamètre pour un poids de 660 grammes. Oui 660 grammes le plug ! Lors de l’achat cela m’avait terriblement excité de devoir porter une telle contrainte.
Moi qui avais l’habitude d’enfiler des plugs en silicones de quelques grammes !
Mais le plus gros était encore plus imposant ! 150 millimètres de long, un diamètre de 50 mm et surtout un poids dépassant le kilo, exactement 1050 grammes !
J’avais pris ce second plug sans réelle conviction pensant que je n’arriverais jamais à l’enfiler.
Lors de la préparation de l’anniversaire de maîtresse en décembre dernier, j’avais déjà testé ce harnais. Maîtresse m’avait ordonné de l’enfiler pour faire des courses avec elle.
J’avais des habits amples et il m’avait été facile de le porter discrètement le temps de quelques heures de marche. Cela avait déjà été un vrai bonheur de le porter montrant ainsi ma soumission à ma maîtresse, mais de plus en sa compagnie et en public. Elle me rappelait de temps en temps, par quelques mots coquins la présence de mon harnais mais surtout de ce plug bien ancré.
Cela avait été une bonne expérience, malgré le mauvais réglage du harnais. Le plug avait tendance à descendre quelque peu. Le plug tout de même imposant, pouvait à tout moment s’échapper à cause de son poids.
Impossible de régler le harnais lors des courses, maîtresse ayant laissé les clés à la maison !
Cette fois-ci, je pris toute mon attention pour l’installer convenablement.
Sauf petit détail qui a son importance, ce petit détail était que je devais enfiler le plus gros plug. Petit détail qui devenait un gros détail tant il m’impressionnait de l’enfiler.
J’ai été très surprise de voir que je réussissais à l’enfiler. C'était difficile mais j'ai été très fière d'avoir pu l'absorber sans réels problèmes. Petit à petit en pensant très fort à ma maîtresse, je voulais qu’elle soit fière de mon retour auprès d’elle.
Une fois en place et bien positionné, je le supportais très bien, je pourrais même dire qu'il était très confortable !
Tous ces entraînements avec ma Maîtresse ont porté leurs fruits même avec quelques semaines d’inactivité. Il est vrai que cette longue absence m’a rendu extrêmement chaude et excitée pour avoir envie de l'avoir en moi.
J’ajustais donc les sangles convenablement afin que ce plug énorme pour moi reste bien calé et qu’il n’ai pas tendance à sortir. La première expérience m’avait servi de leçon.
Je passais ensuite entièrement mon sexe dans l'anneau et je serrais au maximum les sangles entre les jambes, devant et derrière. Je remontais ensuite la ceinture à ma taille pour la serrer au maximum.
C’était vraiment serré à “bloc”, je sentais les sangles entre mes jambes et autour de ma taille et cette contrainte bien enfouie mais je fus agréablement surprise de voir comment ce harnais devenait confortable, j’arrivais largement à l’oublier. Heureusement d’ailleurs car je devais le garder jusqu’à ce que Maîtresse me dise de l’enlever...
Je le gardais dans la maison, sous mon peignoir, juste les cadenas faisaient un bruit de métal, me rappelant ce que je portais. Je fis rapidement quelques photos avec mon téléphone que j’envoyais à ma maîtresse. Ces photos de piètre qualité eurent du mal d’ailleurs à passer par MMS...
Le soir était là, la préparation du repas se déroulait normalement, habillée d’un survêtement le harnais se comportait à merveille. C’est seulement lors de petites pauses à m’asseoir sur une chaise, que je prenais conscience de cette contrainte. Le plug remontait alors bien plus loin dans mon corps. Je le sentais bien, c’était même agréable de sentir le talon du plug venir buter entre mes fesses. La sangle entre les jambes était un peu inconfortable dans ma position de buste plié.
Je passais la soirée en famille, et vers 22h j’envoyais une autre photo à ma maîtresse. Fatiguée j'allais dormir avec le harnais.
La nuit se passait super bien également, je sentais uniquement les sangles quand je dormais sur le côté, ma position habituelle pour dormir.
Maîtresse le sait bien, chaque nuit passée près d’elle attachée en position sur le dos m’était inconfortable car je ronfle sans arrêt et cela me réveille constamment.
Sauf deux nuits agitées passées en compagnie de ma maîtresse ou il n’était pas question que je dorme ! La première lors d’une séance électrique ou des secousses régulières sur mon sexe vinrent me rappeler ma condition de soumise à ma maîtresse. Et la seconde ou j’étais littéralement emballée dans un film plastique avec l’impossibilité de bouger. Que de bons souvenirs... C’était très excitant de se faire réveiller par cette contrainte imposée par ma Maîtresse. Un vrai bonheur de penser à elle constamment et de la voir veiller sur moi à chaque gémissement de ma part. Cela me manquait vraiment de vivre cela...
Comme elle le dit si bien, j’ai ma maîtresse dans la peau, elle fait partie de moi, elle est dans mon corps, elle est présente dans mon esprit mais aussi physiquement à travers ces contraintes.
Quelques érections vinrent aussi me réveiller, pas de cage, très tentant de se toucher le sexe !
Pas question de cela, je suis chaste par la force des choses depuis plus de trois semaines, et je tiens bien le rester jusqu’aux retrouvailles avec maîtresse. Il me faudra beaucoup d’attention pour résister, car avec de telles missions aussi excitantes, ce n’est pas évident à gérer.
Je suis fidèle à ma maîtresse et cage ou pas cage je résisterai. Et si d’ici nos retrouvailles l’envie devient vraiment trop pressante, j’en parlerai immédiatement à maîtresse.
Je me réveillais le lendemain et passais quelques heures sur l’ordinateur à écrire à ma maîtresse. Je sentais alors largement le harnais, ses sangles et surtout le plug allant largement au fond de moi. Je fis aussi quelques photos de meilleure qualité avec mon appareil que j'envoyais à maîtresse.
La matinée avançait, l’envie d’aller aux toilettes se faisait sentir, j’envoyais un SMS à maîtresse pour lui signaler.
Je gardais le harnais et attendais patiemment son accord pour l’enlever.
Toujours pas de réponses, je devais sortir manger à l’extérieur. Je pris les clés avec moi, et je sortis comme cela. Le harnais ne se voyait pas, mais je le sentais bien, pour conduire déjà et ensuite à table. Je fis mine de ne pas avoir trop d’appétit afin de ne pas accroître mon envie d’aller aux toilettes.
Maîtresse me répondit enfin, mais je dus le garder jusqu'à mon retour chez moi.
Il était 17h, je n’en pouvais plus. Je me libérais enfin.
Quelle magnifique expérience de porter un harnais de contrainte avec un tel plug. Certes, j’avais les clés avec moi, donc moins de pression, mais tout de même, le porter pendant près de 24 heures, de nuit comme de jour, sortir avec, bref une aventure terriblement excitante.
Et encore, cela aurait pu l’être encore plus si j’’avais installé ma cage de chasteté par dessus l’anneau, mais ça, se sera pour une nouvelle aventure avec ma Maîtresse !