Sissy Danyela
Un an et 19 jours après notre séparation, me voilà de nouveau aux pieds de maîtresse, Maîtresse Akina.
J’étais toute excitée à l’idée de la retrouver. Plus d’un an après notre rupture, je revenais à genoux à ses pieds.
Ce n’était pas sans appréhension que j’abordais notre rencontre. Nos différents messages qui la précédaient avaient été courtois mais sans fioritures. Mais mon désir de me faire pardonner à ses pieds était plus fort que tout. J’appréciais le moment ou j’arrivais dans la propriété privée de Maîtresse Akina, qui me fit resurgir tous ces de souvenirs.
Je retenais mon souffle.
Maîtresse vint m’ouvrir, je me mis à genoux pour lui baiser les pieds. Comme j’étais heureuse...
Passage à la salle de bains, une douche et j’enfilais ma plus belle tenue pour retrouver ma maîtresse. Bottes, bas noir et porte-jarretelles, jupe en cuir, haut résilles, corset, ma perruque blonde.
Je frappe avant de rentrer dans son antre, avec les fleurs, un bouquet de sept roses à la main.
C’est à genoux que je m’approche à ses pieds. Je lui offre tout d’abord le bouquet, puis mon collier de soumise qu’elle accroche à mon cou. Je lui remets également les clés de ma cage, dont elle m’avait ordonné d’avoir sur moi tout comme mon harnais et mon plug.
Je lui baise les pieds en lui demandant pardon pour le mal que je lui ai fait.
Maîtresse me maquille avec le plus grand soin, je ne reconnais pas Daniela, cela fait tellement longtemps...
Elle remarque que je ne suis pas rasée de près, effectivement, m’étant rasée la veille, ce n’était pas suffisant. Ce n’est pas une excuse, je m’en veux, j’ai honte de me présenter dans cet état-là devant ma maîtresse.
Cela se passe bien, maîtresse semble contente de me voir.
Quelques photos pour le souvenir, maîtresse me demande ensuite de me mettre debout. Face au grand miroir, pas de cordes pour l’instant, je vais être ornée de cuir !
Elle me met tout d’abord le collier de soumission très haut m’obligeant à garder la tête bien droite, elle m’enfile les manchons bouchés en cuir, un à chaque bras et me les lie dans le dos, et enfin un bâillon boule que je garderais le temps de la séance.
Elle m’attache les pieds avec une barre d’écartement avec des sangles de cuir.
Commence alors une petite séance de dressage avec de petits exercices pas faciles à réaliser les bras et les pieds attachés, je fais de mon mieux.
Je me retrouve très rapidement le corps plié en deux afin que mes fesses soient à disposition de Maîtresse.
Je connais son amour pour mes fesses, je lui offre avec plaisir, elle les découvre avec délicatesse en ouvrant la fermeture éclair de ma jupe.
Je frisonne de plaisir...
Pendant quelques minutes, maîtresse me “chauffe” un peu les fesses, à mains nues, puis avec un grand fouet à larges lanières, histoire également de les “rosir” un peu.
Durant les différentes séances que j’ai pu avoir avec maîtresse, elle ne se servait que de la cravache, le paddle ou le martinet. Cette fois-ci, c’est la badine que j’aperçois dans ses mains. Je sais à quel point les coups de badine peuvent faire mal et surtout les belles marques qu’elles peuvent laisser..
Elle m’en donna quelques coups sur le côté des fesses. Les coups sont appuyés et j’en ressens rapidement la douleur.
La badine est l’instrument sm que je craignais le plus jusqu’à ce moment précis de la séance, mais je n’étais pas au bout de mes surprises...
Débute enfin la punition, je dis enfin, car je savais que j’allais payer l’affront d’avoir quitté ma maîtresse de la plus vilaine des manières et qu’il y aurait alors une punition à la clé.
Je dois me mettre à genoux sur une chaise et maîtresse m’attache afin que je ne bouge pas.
Elle me dégage bien le sexe d’entre mes jambes, m’enlève la cage et m’attache le sexe avec une corde aux chevilles afin que chaque mouvement de ma part soit un étirement douloureux de mes couilles.
Maîtresse m’annonce que je vais avoir dans un premier temps ma punition correspondant à un coup par jour depuis notre séparation, un an et vingt jours soit 385 coups. Histoire que je me souvienne bien de chaque jour éloigné d’elle. C’était beaucoup, c’était tout le temps que j’ai mis pour faire mes excuses.
C’est donc par une série de vingt coups de badine que débuta cette séance, maîtresse manie avec dextérité cet instrument. Je me demandais bien comment j’allais supporter chaque série à venir, cela me faisait peur d’avance.
Maîtresse sortit ensuite un fouet, instrument que je ne connaissais pas dans ses mains.
Pour avoir déjà assisté à des séances de fouet, je sais comment il est difficile de manier un tel instrument, mais j’ai surtout vu les traces que peuvent laisser sur un corps.
Le souffle de la longue lanière dans l’air et le claquement de l’extrémité sont assez impressionnants.
La douleur immédiate qui suit est tout aussi impressionnante, sans commune mesure à tout autre instrument de “torture” que l’on peut trouver dans un donjon.
Les séries de vingt coups de fouet qui suivirent furent terribles. Chaque coup porté sur mes fesses me torturait peu à peu les fesses, la douleur était longue à partir.
Mon envie de crier à chaque coup était vite réprimandée par maîtresse qui m’ordonnait de me taire et que je devais souffrir en silence.
Il n’était pas facile de se concentrer sur chacun des coups portés par maîtresse, mais fidèle à son habitude, elle m’a aidé à surmonter cette punition, entre chaque série, elle me caressa le sexe, me faisant oublier quelques instants mes fesses brûlantes.
Je n’en étais pas au bout de ma souffrance. Maîtresse m’avait gardé au frais, des orties fraîchement ramassées. Elle en prit un gros bouquet et me caressa les fesses avec.
Je me demandais bien comment on pouvait supporter de tels châtiments. J’ai toujours craint les piqûres d’orties, mais en plus sur une peau sensible comme les fesses et le sexe... c’était assez horrible..., pour décrire les sensations, c’est comme un appareil électrique branché en permanence à l’endroit des piqûres. Ajouté à cela la peau brûlée par les coups de badine et de fouet, le corps meurtri par les coups, je souffrais le martyre comme jamais...
La moitié de la punition arrivait, je pouvais souffler un peu, je savais qu’il me restait encore la moitié à endurer, mais chaque pause était bonne à prendre.
Maîtresse me détacha de ma chaise, je pouvais me remettre debout.
Maîtresse m'aida à supporter cette séance, elle me cajolait et me parlait pour que cela plus facile à supporter. Nous étions ailleurs, dans notre monde que seule l’histoire avait décidé de nous faire vivre. Sacrée histoire, magnifique histoire...
Il fallait passer par cette punition afin, de laver mes égarements, maîtresse tout comme moi le savait très bien.
Je n’en étais pas là, je me concentrais sur chaque coup de fouet ou de badine, afin que la douleur soit le mieux absorbé possible.
Quelques secondes debout afin de souffler un peu, toujours contrainte, maîtresse m’installe sur sa table “à fesser”. Elle me change de bâillon boule afin de me contraindre également les mouvements de la tête.
Couchée sur la poitrine, je dois me mettre à genoux, les jambes écartées et les fesses quelque peu cambrées. Je ne peux pas dire que j’étais mal installée au contraire ! J’étais sanglée de partout, cette position était vraiment faite pour recevoir une punition.
Dès le premier coup de badine, je m'aperçus que je ne pouvais pas bouger d’un poil, impossible de me redresser ou de rentrer mes fesses, je serrais les dents.
De plus, mes fesses autrement bien mieux exposées pour maîtresse, elle pouvait à loisir me flanquer les coups qu’elle voulait.
De nouveau, chaque série de vingt était un calvaire, je hurlais tant bien que mal avec mon bâillon, maîtresse me reprenait aussitôt afin que j’accepte chaque coup en silence et avec dignité. Je l’écoutais alors, cela m’aida à me concentrer pour accepter chaque coup.
La seconde partie de la punition pouvait commencer.
Elle fut tout aussi difficile à supporter, mais je devais aller jusqu’au bout. Je retenais mon souffle, me crispais et je comptais chaque coup de fouet bien porté sur mon postérieur.
Entre deux séries de fouets et de badine, maîtresse préparait déjà la suite de ma punition, elle m’enleva mon gros plug métallique, s’aperçut alors que je n’étais pas très propre et me fit alors un lavement.
En larmes, je comptais tant bien que mal, les derniers coups de la dernière série. Au dernier coup, je relâchais complètement les membres et mon corps en entier, je découvrais alors, que je ne me sentais pas très bien, comprimée dans mes liens, j’avais mal partout et j’avais un peu de mal à respirer, maîtresse me détacha alors.
Je m’étais tellement concentrée sur chacun des coups, que j’en avais oublié le reste de mon corps. La séance s’arrêtait là sur un sentiment d’inachevé... Je me douchais.
Nous nous séparons rapidement, maîtresse, tout comme moi, était frustrée de ne pas être allée au bout de cette séance.
J’étais frustrée, mais pas déçue, par ces moments certes difficiles, mais indescriptible quant aux émotions vécues au cours de cette après-midi.
Les heures et les jours suivant la séance furent assez difficiles à vivre, les douleurs ont été largement présentes, les marques aussi, mais largement compensées par ma joie d’être retournée aux pieds de Maîtresse Akina.
J’ai bien peur d’être retombée sous l’emprise de Maîtresse Akina, mais l’ai-je vraiment quittée une seule seconde...
Merci Maîtresse de m’avoir permis de revenir à vos pieds.
Aille pour mes fautes... Merci maîtresse !
Abstraction des photos , il suffit de te lire pour y ètre..
Je suis heureux de ces retrouvailles, quelque part , je le pressentais..
Effectivement Eric, déjà avec la photo de la semaine dernière, tu avais deviné.
Oui j'avais ordre d'en porter un depuis la veille. ..
Très beau récit, malgré de petites fautes (elles seront récompensées) qui y ont pris place.