Sissy Danyela
Je tenais à oublier le week-end que je venais de passer. A psychoter sur mon état de forme physique à quelques semaines d'une belle échéance sportive, mais aussi par une violente déprime de ma soumission. Il n'est pas toujours évident d'être une bonne soumise, nos montées d'hormones nous font vivre de drôles de choses. Ma Reine me manquait terriblement et je ressentais un moment de solitude rarement atteint alors. La semaine de travail écoulée m'avait permis de penser à autre chose et ainsi de me sentir mieux dans mon corps de Daniela.
Ma reine très à mon écoute me convoqua ce samedi matin.
Je me sens revivre et surtout apaisée. J'enfile une tenue somme toute classique, certains diront élégante et sexy ! Je me rends chez ma reine, comme j'étais heureuse de me sentir à ses côtés, à ses pieds je devrais dire ! Je m'attaque de suite à quelques tâches ménagères. L'ambiance est étonnamment calme, ma reine installe la scène. La cage au milieu de la pièce, je ne me doute de rien pour la suite des événements. Allait-elle m'enfermer, j'étais étonnée. Le doute ne dura pas longtemps, elle prend un matelas de plage qu'elle installe dessus avec une serviette par dessus. Je dois me mettre rapidement à genoux sur cette cage transformée en table. Ma reine sait ce qu'elle fait, je baisse la tête, ma reine se saisit d'une première corde, avec laquelle elle m'attache les chevilles à la table. Juste assez écartées, les chevilles ne pouvaient plus bouger. Elle m'attache ensuite les poignets ensemble devant moi juste au dessus de ma tête en prenant bien soin d'attacher le tout autour de la cage. Je suis bien harnachée sur cette table. J'adore cette position et j'avoue que ma reine m'avait bien immobilisée. Elle me met un bâillon, comme par soucis de silence... Puis elle se saisit d'un accessoire, impossible de le voir, mais je le sens rapidement. Elle vient de me poser une pince sur les couilles puis une seconde. La douleur fut vive et intense et je me débats rapidement dans mes liens. Ma reine me reprend, et elle me rajoute une corde ou deux afin que je puisses vraiment plus bouger. Ma reine assure comme il le faut. Mais la douleur est extrêmement intense. Elle retire une première fois les pinces, la douleur est encore plus forte, elle les installe juste à côté.
De nouveau je hurle dans mon bâillon.
Ma reine me reprend avec sa cravache et me fouette les fesses sèchement. Elle est déterminée dans son jeu, elle ne veut pas m'entendre et surtout elle se fiche de mes plaintes. La douleur de la cravache fait diversion mais celle des pinces reviennent au galop. Je vus entre mes jambes de quelles pinces il s'agissait. C'était les pinces à griffes et je comprenais alors ma douleur. Cela ne pinçait pas uniquement la peau, mais les pointes des pinces rentraient dans la peau. Ma reine riait car cela me faisait saigner. Je m'en doutais quelque peu vu la douleur. Elle jouait à tirer sur la petite chaîne qui reliait les deux pinces, la douleur était insupportable. Ma reine s'amuse alors de longs instants à déplacer les pinces entrecoupés d'instants de coups de fouets mémorables d'intensité. Quelques coups bien placés cinglent sur mes fesses. Je me cambre dans mes liens. Je souffre et gémis dans mon bâillon.
J'eus envie de demander 1000 fois à ma reine d'arrêter,
il n'en était pas question elle prenait trop de plaisir à me voir souffrir ainsi. Elle ajoute ensuite une autre douleur en accrochant quelques poids à mes anneaux de tétons. L'étirement est tout aussi insupportable que les pinces sur les fesses, mais je tiens bon. C'est tout de même très difficile, je respire lentement et souffle quand je le peux. Je me concentre sur ces instants de bonheur d'être entre les mains de ma maîtresse. Elle prend un sacré plaisir à me dominer et à m'infliger des douleurs. Je suis également bien dans son trip, indescriptibles sensations de bonheur, de lâcher prise, d'offrir son corps à sa maîtresse. Mais je craque complètement lorsque ma reine me pose une pince vers mon trou. La peau est si sensible dans ce soin reculé de mon corps. Je crie d'un "Non" revendicateur. Mais ma reine est déterminée à ne pas m'écouter. Je crie de plus belle dans mon bâillon et les larmes me coulent. Je pleure ensuite le temps que la pince est en place. Je me cambre dans la limite mes liens, je serre les poings, c'est horrible. Je ne sais pas comment je pouvais supporter une telle douleur, j'étais en apnée complète, je dépassais alors mes limites. La douleur devenait encore plus intense lorsque ma reine enlève la pince, je hurle de nouveau. Ouf la pince enlevée, je m'écroule de tout mon corps. Comme après avoir finie un marathon ! Quels moments intenses, juste incroyable... Ne sachant ou ma reine voulait m’emmener, je l'avais suivi avec concentration. Je ne voulais pas la décevoir, mais ce fut difficile. Elle n'en avait pas fini avec moi. Elle m'installe un gode vibrant et gonflable qui ouvrait largement ma chatte. Ce doux plaisir fut vite interrompue par une sensation de chaleur sur ma fesse puis d'une piqûre sèche.
Ma reine me brule avec sa cigarette.
Cette douleur vive et soudaine me fit sursauter dans mes liens. Elle réitère cette action plusieurs fois, j'étais exténuée. Ma reine me détache, et me laisse récupérer quelques instants. Je reste immobile à reprendre mes esprits. Je descend comme je peux de la table, toute courbaturée par cette position, je me redresse. La position de contrainte était certes inconfortable mais idéale pour être offerte à ma reine. Je me regardais un peu les fesses dans le miroir, elles étaient à l'image de ma serviette, rouge sang. Je me cambrais sur la table afin de souffler et de récupérer de cette intense séance. J'étais épuisée. Quelques minutes plus tard, je m'installe à ses pieds et pendant qu'elle se repose un peu, je lui masse les pieds et la remercie pour cette partie. Je suis calme et récupère. J'appréciais alors ce que je venais de vivre. Ma reine veut alors que lui lèche les pieds. Quel plaisir ! Ma reine m'avait fait découvrir il y a quelques temps déjà le plaisir des pieds féminins. J'avoue et je comprends tout à fait les fétichistes des pieds. Lécher ceux de ma reine était un sacré privilège, car ils sont vraiment magnifiques. Pour les décrire, ils sont fins, très longs, et c'est un réel plaisir de les avoir au bout de ma langue du talon jusqu'à la pointe des orteils. Et que dire du plaisir de lécher ses petits orteils et les mettre un à un dans la bouche. Les lécher avec délectation, plaisir de les sucer même, hummm, un à un, du plus petit au plus gros, sentir le vernis sur sa langue ou sous son palet. Merci ma reine pour ce doux plaisir. Bien reposée, il était temps de reprendre les choses sérieuses ! Quels merveilleux instants lorsque l'on se retrouve en position d'attente, à s'imaginer ce que sa maîtresse a derrière la tête et vers quel jeu va t-elle s'orienter. De belles secondes que j'apprécie. Ma reine replace comme il faut le matelas situé sur la cage et m'ordonne de me cambrer la poitrine dessus. Les jambes légèrement écartées au bord de la cage, je suis dans une belle position. Ma reine se saisit d'une corde et m'attache fortement les chevilles de chaque côté de la cage. Je ne peux assurément pas bouger ainsi. Les bras dans le dos, elle m'attache fortement les poignets puis une partie de mon torse à la table. Je me doute de l'utilité de la position. Ma reine s'équipe de son gode ceinture favori du moment, un beau gode moyen mais bien raide comme je les aime ! Je passe alors un de mes meilleurs moments de baise jamais vécue. La cage bien calée contre le mur, moi bien calée contre la cage, ma reine me baise alors pendant de longues et intenses minutes. Je suis littéralement violée.
Ma reine enfile son gode au plus profond de mon trou.
Je ne peux plus avancer, mon clito est calé contre la cage, je le sens bien tout dur et tout humide. Ma reine est à fond, ans faire de pause, et de toute sa détermination. "Amazing" !!! Je n'ai aucun moment de répit pour reprendre mon souffle. Je subis ses assauts répétés. Je n'ai jamais vécu une si grande domination de mon cul. Impossible de bouger d'un millimètre, c'est très très bon, mais, je me demande quand va t-elle s'arrêter. Je suis submergée par les émotions, quelle intensité. Quelle situation humiliante je vis alors, mais qu'est-ce que j'aime ça ! Baisée par ma Reine Julie, de cette manière, je me suis imaginé plein de choses. Elle me conduit vers des plaisirs vers lesquelles je suis toute ouverte. Ma reine, se retire, puis me défonce d'un coup, plusieurs fois de suite. Je redoute chaque coup de ses reins, je suis véritablement épuisée mais qu'à cela ne tienne, je ne suis pas là pour que l'on tienne compte de mes plaintes, je suis là pour subir. Plus elle va loin au fond de moi, et plus je sens le plaisir m'envahir. Au fond de mon trou, une véritable sensation de jouissance profonde me submerge, je me sens si femelle ainsi. Indescriptible sensation de plaisir. Après avoir couinée de longues minutes, ma reine se calme enfin, je suis épuisée... Elle me laisse quelques minutes récupérer, suis immobile, je me sens si souillée, mais si heureuse. Ma reine me détache, mon clito est trempé et moi aux anges. La matinée se termine comme elle avait commencée, dans une ambiance très calme, nous rangeons et nettoyons la "scène de crime". Je remercie à genoux ma Reine en lui baisant les pieds. Quel réel plaisir de cette matinée avec ma reine. Quelle complicité nous avons toutes les deux. Quelques heures plus tard, elle m'avoua aussi le plaisir qu'elle avait pris à me dominer ainsi, mais que ce n'était qu'un début...