Sissy Danyela
Nous avions rendez-vous chez vous, je devais me garer dans la cour, attendre les instructions.
J'attendais angoissée, ne sachant qui j'allais rencontré et qu'allais-je subir...
Une chose était sure, je suivais à la lettre les consignes de mon Maître, j'avais une totale confiance en lui, je ferai ce qu'il me demandera, je lui appartiens, je suis sa pute.
Je le vis sortir de la maison, il rentre dans la voiture, côté passager, me salue, regarde ma tenue, vérifie si elle correspond à ce qu'il m'a demandé. Il plonge la main le long de mes jambes
vêtues de bas, jusqu'à mes chaussures, vérifie la hauteur des talons, ils devaient faire 12 cm minimum et remonte le long de mes bas jusqu'à mon sexe. Il me tâte un peu, je bande déjà, puis il
vérifie que je n'ai pas de culotte et que je suis bien épilée de près, il semble ravi. Il repasse sa main par dessus ma jupe en cuir, la redescend quelque peu, ne laissant apparaître que le bord
de mes bas pour ensuite ouvrir légèrement ma petite veste en cuir pour apercevoir le corset vinyle qu'il m'avait imposé, cela me donnait une belle taille cambré, mettant bien en valeur mes
fesses.
Il me regarda dans les yeux, je sentis son regard satisfait de ma tenue, coiffée de ma perruque brune et maquillée au look pute, je lui plaisais. Il sortit de sa poche une laisse en maillon de
chaine métalique qu'il m'accrocha à l'anneau du collier de cuir que je portais pour lui.
Il me dit « très bien, maintenant, je vais te bander les yeux, tu vas sortir de la voiture et je vais te guider voir nos invités ». Il sortit de sa poche un foulard noir et me le posa
sur les yeux. Il séra très fort, vérifia que je ne voyais rien, j'attendis, il me demanda d'ouvrir la bouche, et m'engouffra une boule qu'il attacha derrière ma tête. Il sortit de l'auto, je le
suivais quand il m'ouvrit la porte. Il prit mes poignets pour les mettre dans mon dos et me posa une paire de menottes.
Je me retrouvais dans la cour, les yeux bandés, baillonée, attachée et tenue en laisse par mon Maître, j'étais sa chienne, toute excitée que j'étais en tenue de salope !
J'entrais dans la maison, aucun bruit hormis le claquement de mes talons sur le parquet, mon Maître me demanda de stopper au milieu de la pièce principale. Avec sa laisse il me fit tourner sur moi-même, je compris qu'il m'exposait à ses convives assis sur le canapé en train de boire l'apéritif.
Je ne voyais toujours rien, j'entendis uniquement des bruits de verre et des murmures de personnes jugeant surement de ma tenue et réfléchissant ce qu'il allait bien pouvoir me demander de faire.
Après de longues minutes debout, tenant une posture bien droite et féminine, très fière devant les invités de mon Maître, il m'ordonna de me mettre à genoux au sol, le buste bien droit et la tête
relevée, je m'exécuta rapidement. Mon maître m'enleva le bâillon boule et j'entendis des autres pas se diriger vers moi, des pas d'hommes, d'un air décidé, je sentis qu'il se posta devant moi,
j'entendis son ceinturon qu'il était surement en train de décrocher et je sentis que c'était avec on sexe qu'il était en train de me caresser les lèvres. Je ne broncha point, l'excitation
grimpait en moi et attendit l'ordre de mon Maître pour enfin ouvrir la bouche et engouffrer son sexe qui commençait à bien durcir.
J'étais aux anges, je le suçais lentement, avec délicatesse dans l'esprit de cette journée tant attendue qui commençait à merveille. Ce n'était pas le sexe mon Maître que je suçais mais celui
d'un autre homme, mais je sentais sa présence non loin de moi, me dirigeant me dictant mes faits et gestes que je devais réaliser pour lui.
Après de longues aller et venue au fond de ma bouche, le rythme s'accéléra, l'homme me pris ma tête à deux mains et donna des coups en saccades d'avant en arrière. Je entis sa bite buter au fond
de ma gorge et sentis qu'il allait bientôt jouir. Au moment de sa jouissance, il garda ma tête plaqué contre son corps et gicla dans ma bouche.
J'étais contrainte d'avaler son sperme, il me relâchait lentement, j'aspirais le reste de sperme qu'il pouvait rester dans sa belle queue, j'avalais et déglutit, il se retira et restais là planté
au milieu de la pièce.
Je sentis que la vie normale reprenait son cours, l'homme retourna s'assoir aux côtés des autres convives, les commentaires allaient bon train, je distinguais les voix de 3 ou 4 personnes dont
une ou deux femmes. Ils semblaient être excités...
J'étais toujours à genoux, les mains liées, les yeux bandés, je me calmais un peu, l'excitation baissait d'un ton, et je savourais ces moments de plaisir que me faisait vivre mon Maître. Les talons d'une femme se firent entendre sur le sol, s'approcher de moi, je sentis sur mes lèvres d'autres lèvres, la femme de l'homme venait me féliciter pour avoir formidablement sucer son mari, elle me fourra sa langue dans ma bouche et me roula une superbe pelle. Elle se releva, fit le tour, saisit ma laisse et m'aida à me mettre debout, j'avais les jambes engourdies. Elle m'emmena dans une autre pièce de la maison, plus petite. Je sentis la pression baisser encore d'un ton, moins de regards sur moi, seule avec cette femme. Elle m'ordonna de stopper, me remis mon bâillon boule et enleva mon bandeau. Elle était la devant moi, à me fixer dans les yeux, prête à me manger toute crue. Très excitée dans sa tenue de cuir noir, je sentis une attitude de Maîtresse dans ses faits et gestes.
Elle me plaqua face contre le mur de la croix de Saint-André, m'écarta les jambes et m'attacha les chevilles avec des lanières de cuir contre la croix. Elle m'ôta les menottes pour de suite
m'attacher les mains au sommet de cette croix. Cette femme avait la main ferme, comme je les aime, elle savait ce qu'elle faisait...
Elle me félicita pour mon beau cul, releva ma jupe pour tenter un toucher rectal, constatant mon niveau de dilatation, elle choisit un gode qu'elle m'enfila avec délicatesse. Elle prit un fouet
accroché au mur et me fouetta quelque peu le dos et les fesses. Je murmura des mots de douleurs tant les coups étaient forts, elles m'en donna deux ou trois séries, elle semblait ravie, moi aussi
et me laissa attachée là en me donnant rendez-vous plus tard...
Je resta dans cette position bien une demi-heure, laissant le soin à mon Maître et ses invités de passer à table. Au cours du repas pendant quelques heures durant chaque invité passa me voir, me caressa les fesses, me donner quelques coups de fouets, je les excitais, cela me plaisait et sembla ravir mon Maître de m'avoir offert à ses invités. J'eus droit à toutes sortes de traitements, plus ou moins durs les uns que les autres. Détachée de ma croix, jamais libre de mes mouvements, pinces sur les seins, cire sur le sexe etc... Toujours dans des positions humiliantes, dégradantes, toujours contrainte, je subissais les assauts des personnes présentes, j'étais leur pute et salope à leur disposition.
Emmenée au toilettes j'ai du lécher chaque sexe après qu'il se soit soulagé, ramasser proprement chaque goutte d'urine.
J'eus droit à une inspection en règle des invités de mon Maître avec attouchement et pelotage de toutes les parties de mon corps, afin de me préparer à la suite des réjouissances.
La suite de l'après-midi se tenait dans le salon tout dàbord, sur la table, couchée sur le dos, les jambes écartées et les bras attachés j'eus droit à être baisée par tous les trous, j'ai sucé
toutes les bites présentes goulument, celle de mon Maître bien entendu. J'ai été littéralement défoncé par leurs bites bien dures, les femmes arnachées qu'elles étaient de leur gode ceinture ont
eu raison de ma personne, à quatre pattes prise en levrette, j'ai du subir les assauts de mes dominantes, j'étais vidée, essoufflée, ivre de sperme avalé mais heureuse des instants que je
vivais.
Être à disposition de diverses personnes, les satisfaire sous l'œil de mon Maître.