Sissy Danyela
J’attendais impatiemment ma commande de fringues…. J’avais pris un plaisir fou à la passer sur un site de mode assez généraliste. Pour plus de discrétion, je m’étais fais livrer au boulot. C’était un mardi, la secrétaire vint me chercher discrètement à mon poste. C’était aussi l’épouse du patron, une belle femme blonde, la cinquantaine, toujours très soignée avec de belles tenues, quelques fois assez sexy, en tout cas toujours à la mode. Elle portait aujourd’hui une jupe grise avec quelques motifs, serrée avec de beaux bas noirs et de petites bottines. Tout en marchant jusqu’à son bureau, elle m’informa que j’avais un colis qui était arrivé, mais qu’il y avait un petit problème…
Elle avait malencontreusement ouvert le colis par mégarde, pensant que c’était une commande passée par elle-même quelques jours plus tôt au même vendeur ! Je lui dis que ce n’était pas grave, pensant récupérer mon colis vite fait bien fait, mais sur son bureau, je reconnaissais tous les articles que j’avais commandé, il y en avait partout, elle avait tout déballé… Je préférai me dépêcher de rassembler les articles, elle voulu m’aider, tout en rangeant les articles dans leur emballage, la voilà parti dans des commentaires de nanas « Elle est très jolie cette robe ! » ou aussi « Quelles belles bottes, je suis fan de bottes, vous savez Daniel, et celles-ci me plaisent beaucoup, je les essaierai bien ?» je fis un signe affirmatif du visage, ne sachant pas trop quoi dire à ce moment là.
Je pris peur que quelqu’un de l’entreprise entre dans le bureau de la femme du patron, et que l’on nous voit en train de faire des essayages d’habits ! Elle s’assit, elle enleva sa botte, et essaya la bottine que j’avais commandé pour moi. Cela m’excita un peu de voir ma patronne enlever ses chaussures devant moi sans aucune gêne, je ne la connaissais pas comme ça. Au moment de l’enfiler arriva ce que je craignais un peu, « Oulla !, c’est une grande taille, elles me vont beaucoup trop grand » Effectivement c’était du 43… « Mais dites-moi Daniel, sans indiscrétion, je peux vous demander pour qui sont ses belles bottes ? » J’étais gêné et je cherchai une sortie honorable afin de justifier ce qui se passa devant moi, mais avant que je puisse répondre quelque chose, « Ne me dites pas que c’est pour vous Daniel ?, si ? Et bien, j’aimerai bien voir ça ! » En l’espace de quelques secondes, elle avait réussi à me mettre très mal à l’aise, poser les questions et trouver les réponses, les bonnes réponses… J’eu juste le temps de faire quelques pas sur place et de faire quelques signes de la tête en essayant de trouver des mots, de faire une phrase, d’expliquer quelque chose, qu’elle enchaina « Je comprends Daniel, vous ne pouvez essayer ces bottines ici, mais j’aimerai tellement vous voir avec », c'est-à-dire que… « Voilà, et si vous veniez à la maison essayer tout ça, hein ? » J’avais l’air malin ! J’étais au travail, ma patronne me faisait une proposition d’aller chez elle faire des essayages de fringues ! Euh, c'est-à-dire que… « Allez Daniel rangez-moi tout ça et vous passez dans l’après-midi chez moi, d’accord ? » Ben, c'est-à-dire que… « Vous trouverez bien une idée pour vous échapper du travail ». Mais… Laurence, euh, je ne sais pas, euh… « Daniel, vous ne voulez pas que j’appelle quelques uns de vos collègues de travail pour leur montrer votre commande, non ? » « Non Laurence, quand même ! » « Alors chez moi, à 14 heures, vous viendrez chercher votre colis, d’accord Daniel ? » J’acquiesça, super gêné, en train de rassembler les affaires éparpillées sur le bureau, il y avait vraiment de tout, deux robes, une jupe, des escarpins, des collants, un leggings et les bottines.
Je retournai travailler en pensant à ce qui venait de se passer. Je n’y croyais pas, oui c’était bien ma patronne qui avait découvert mon plaisir caché, je ne l’aurai jamais cru capable d’aborder les choses comme elle venait de le faire. Plusieurs fois, j’avais fantasmé sur elle, avec ses petites tenues très sexy, sa belle allure ses différentes poses, assise sur le bureau face à moi, ou bien en train de se caresser les fesses tout en me parlant… Je la croyais un peu salope mais quelque peu coincé quand même. C’était peut-être son mari qui la freinait, elle lui était peut-être soumise…
Bref, en tout cas, je devais me rendre à son domicile, récupérer mon colis et lui faire oublier rapidement ce qui s’était passé, il n’était pas question que j’essaie mes habits avec elle, certes cela m’excitai beaucoup, son mari était en déplacement mais de là, à m’habiller en femme devant elle, il y avait un pas que je n’osais franchir.
14 heures, je frappai discrètement à sa porte, espérant même qu’elle ne m’entende pas, elle vint ouvrir, en peignoir, « Entrez Daniel, asseyez-vous j’arrive ! » Je pris place dans le canapé et j’attendais patiemment son retour, il y avait là mon carton avec les affaires dedans, je n’avais qu’une envie, le prendre et me sauver. Quelques minutes plus tard elle revint, belle, très belle, sexy, elle avait une robe noire assez courte et très moulante, des bas et des escarpins. « Alors Daniel comme ça, vous vous travestissez ? », Elle allait droit au but !, j’étais tout de même moins gêné que le matin, étant face à face, seule avec elle. « Je fis un oui franc de la tête, tout en commençant mon explication. Que depuis tout petit, j’aimais m’habiller en femme, etc. « Ah oui ! J’adore cela, les travestis… vous allez me montrer Daniel ? D ‘accord ?» je me levai du canapé, pour me diriger vers la table ou le carton était posé, je commençai à le prendre, je resta bloquer quelque secondes « Ecoutez Laurence, je vais y aller !» « Non ». Je la regardai dans les yeux, et compris ce que ce « Non » qu’elle venait de prononcer voulait dire… Elle s’approcha de moi, ses talons frappaient le sol d’un pas franc et décidé « Tu vas te déshabiller et essayer tes nouveaux habits. Ils sont très bien, tu vas être superbe dedans » je m’exécutai, elle s’assit dans le fauteuil devant moi à me regarder avec son beau sourire qui me mit à l’aise, elle enchaina « Tu sais Daniel, je connais des travestis, ils ont beaucoup de gout, et surtout ils aiment le sexe » Elle dit cela sur un ton calme presque en chuchotant, j’en eu les frissons… « Tu es quelqu’un de gentil, n’est-ce pas Daniel ? Tu vas m’obéir, hein ? Euh… oui, c’est vrai que j’aime bien m’habiller en femme, Laurence, mais… « Pas de mais avec moi, tu vas faire ce que je te dis, d’accord ? » Oui « Oui qui ? » Euh, oui Laurence. « Oui Maîtresse Laurence, c’est compris ? » Je me repris « Oui Maîtresse Laurence » Aussitôt dit, je bandais fortement. Je me déshabillai rapidement « Le slip aussi, Daniel ». Au vu de ma nudité, elle apprécia que j’étais épilé « Bien Daniel, mais tu bandes ! Elle me saisi le sexe avec sa main et le branla une fois ou deux « Tu aimes ça toi, tu mouilles, hein, t’es une bonne salope toi on dirait, je sens que l’on va bien s’amuser ! » Et elle sourit…
« Enfiles-moi cette robe que tu viens d’acheter, elle est bien moulante, elle va t’aller à merveille, je pense » C’est vrai que c’était une belle robe assez courte, légère, en polyester légèrement transparente « Ensuite, enfiles-moi tes bottines ». Cela faisait longtemps que je les attendais, je rêvais trop d’en mettre une paire. « Ah oui, tu es magnifique comme ça, attend, je vais te chercher quelque chose. Elle revint avec un carton et tout un attirail dedans. « Ah voilà ! Enfile-moi ces bas et ce porte-jarretelles » je remis mes bottes par-dessus, c’est vrai que ça le faisait, j’étais belle et sexy… Elle sortit aussi une perruque blonde coiffé au carré, elle me l’ajusta. Elle me demanda de tourner sur moi-même, elle me regardait de haut en bas, elle cherchait les détails à améliorer « Vas-y marche pour voir » « Bien, tu as belle allure, tu as l’habitude de marcher avec des talons, non ? » « De temps en temps oui » Elle me prit par le bras et m’assis devant sa coiffeuse « Je vais te maquiller, tu vas être belle comme tout ! ». Quelques minutes plus tard, j’étais superbement maquillée, un peu chargée peut-être « Voilà, les hommes aiment ça, que tu es un look provoc, tu aimes ça Daniel ? ». Je fis un signe affirmatif de la tête, je me laissais guider par ses décisions qu’elle prit les unes après les autres sans que je puisse me défiler, je n’osais pas mais cela me plaisait de faire ce qu’elle me disait… Elle me rajouta quelques bijoux aux doigts et au bras. « A présent que tu es une belle femme Daniela, j’aimerai voir ce que tu vaux en femme, crois-tu que tu peux me montrer ça ? » « Je ne sais pas Laurence…, de quoi voulez-vous parler ? » « Tu vas m’obéir, tu verras bien, après tout ! ». Je lui souris timidement, lui approuvant ce quelle venait de dire, elle semblait contente de mon comportement. Elle fouilla dans son carton, et y prit un collier de cuir noir avec une boucle et une chaine au bout, qu’elle m’attacha à mon cou « Lèves-toi, penches-toi sur la table du salon ». Je m’approchai contre la table et me pencha à plat ventre. Entre temps, elle avait saisi, une cravache et un fouet et elle remonta le bas de ma robe pour laisser mes fesses bien apparentes et à sa disposition. « Belles fesses Daniel !, hum, bien ferme ! Je vais te les chauffer un peu ! ». Elle m’écarta les jambes pour m’attacher les pieds avec une corde à ceux de la table. Elle me prit mes mains pour me les attacher ensemble en les étirant au dessus de ma tête. J’étais immobilisé, confortablement, elle avait pris soin de ma position, heureusement car le supplice allait durer de longues minutes. Elle alternait coups de cravaches, coups de fouets et caresses. Je senti mes fesses rougir, j’avais chaud, devant mes cris de douleur, elle me mit un bâillon, toujours sorti du carton, et de temps à autre, elle me branlait le sexe, afin de vérifier le plaisir que je prenais. Elle était contente d’elle, plus je mouillais, plus elle me frappait les fesses « C’est très bien Daniela, continues comme ça ! ». Une fois le cul bien chaud, elle me travaillait ma chatte. Elle mit des gants en latex, prit du lubrifiant et un gode, et tout en délicatesse, elle me travailla le cul « tu es bien dilatée Daniela, on va pouvoir y mettre de belles bites dedans ! ». Elle saisi un plug de plus gros diamètre et me l’enfila en douceur, il était énorme, je gémissais mais c’était bon. Elle me laissa pantois, alla se saisir du téléphone et composa un numéro. En attendant que quelqu’un réponde, elle me fit « Je vais te montrer à un ami, tu devrais lui plaire ! ». Je commençai à être inquiet de la tournure des évènements, elle profitait de mon corps, j’étais aux anges, mais de là qu’une tierce personne vienne participer, cela me faisait un peu peur. « Oui c’est Laurence, tu peux venir elle est prête, elle est super bonne tu verras, je t’attends ! ». Elle raccrocha « Ne t’inquiètes pas Daniela, c’est un ami, tu vas surement aimer car tu m’as l’air d’une belle salope toi ? ». Elle me détacha, et m’ordonna de me planter là au milieu de la pièce, elle me regarda assise dans le canapé en attendant son ami « Si tu es sage, Daniel, j’ai plein d’idées pour toi, mais il faut que tu m’obéisses… ». On frappa à la porte, Laurence alla ouvrir, c’était la personne qu’elle attendait accompagné d’une femme, « Ah ! Nathalie ! Tu voulais voir aussi ma nouvelle recrue ? Rentrez, vous n’allez pas être déçue » Laurence ne fut pas perturbée plus que ça de la personne supplémentaire qui s’invita, tous semblaient être habitué à ce genre de plans. « La voici, regardez comme elle est belle ! ». Nathalie et Edouard vinrent à mon encontre, me saluèrent brièvement, et ils me scrutèrent de part en part, des yeux et des mains « Bravo Laurence, belle trouvaille ! » fit Nathalie, Edouard, ne perdit pas de temps pour baisser son pantalon, « A genoux Daniela ! » me fit Laurence d’un ton sec « Suces-le comme il faut ». Edouard me fourra sa belle bite dans ma bouche et je le suça. Je m’aidai de mes mains pour lui caresser les bourses et pour le faire bander bien dur. Je dois reconnaitre, que j’étais bien chaude, Laurence m’avait bien préparé et j’avais trop envie de continuer dans ce trip. Heureusement d’ailleurs, car j’en avais pas encore fini… Je le suçai de longues minutes dans différentes positions que tous trois me firent prendre, afin d’exposer mon corps à leurs caresses et coups de cravaches. Laurence me posa des pinces sur mes tétons et sur mon sexe qu’elle branlait de temps à autre, Nathalie, s’assit dans un fauteuil et releva sa jupe et se caressa la chatte. C’était excellent !
Je suça Edouard de longues minutes, lui affalé sur le canapé, Laurence et Nathalie de chaque côté en train de le caresser et de l’embrasser. Laurence et Nathalie avait enlevé leur robe, les
seins et la chatte à l’air, elles étaient belles, elles s’embrassaient également. Laurence se leva et alla prendre un gode ceinture toujours dans le carton, se l’installa. Pendant ce temps,
Edouard me fit mettre en position pour me prendre par derrière. Il se mit un préservatif, enleva le gros plug de mon cul, difficilement, car énorme, et aussitôt il m’enfila son sexe bien dur
dans ma chatte. Il n’eut aucun mal à me pénétrer, sans prendre de précaution, il me buta le cul avec force, sa queue bien longue alla me titiller le fond de ma chatte, c’était trop bon… Il fit
des allers et retours qui n’en finissaient pas, c’était de plus en plus délicieux, et j’avais envie de jouir. Laurence fit sucer son gode à Nathalie et lui engouffra dans sa chatte. Chacun de
notre côté nous prenions plaisir, Laurence en belle femme dominatrice avait pris possession de Nathalie qui était aux anges…
Au bout de quelques minutes on échangeait les partenaires, Edouard prit en levrette Nathalie, et Laurence vint me faire sucer son gode-ceinture tout trempé du liquide bien chaud de Nathalie et
me pénétra. Laurence me prit dans différentes positions, elle le faisait bien, c’était excellent…
J’étais exténué, Laurence et Edouard m’avais usé, j’avais la chatte en feu, envie de jouir, mais je devais attendre, ce n’est pas moi qui décidait... Les deux femmes avachies sur le canapé fatigué également regardaient Edouard toujours affairé sur mon cul « Allez Daniela fais moi jouir Edouard, attention, fais ça bien ! ». Edouard, s’arrêta, enleva son préservatif et m’engouffra sa bonne grosse bite bien, bien chaude. Je n’eus pas à faire beaucoup d’efforts pour le faire jouir, mais je m’appliquais, je faisais de longs allers et retours assez lents jusqu’à qu’il finisse par jouir, il me plaqua ma tête contre lui et il jouit au fond de ma gorge, je du avaler directement, je le pompais enfin jusqu’à la dernière goutte. Je m’écroulai sur le sol, vanné des efforts fournis.
Sans un mot les invités de Laurence se rhabillèrent et se dirigèrent vers la porte d’entrée « On se revoit samedi ? » fit Laurence en se rhabillant également à Nathalie « Oui, tout à fait, j’espère que ce sera aussi bien que cet après-midi ! Merci encore » Edouard ajouta « En tout cas, Daniela est bien bonne, tu pourras l’inviter de nouveau ! » « Oui c’est vrai, elle me plait bien celle-là, endurante en plus, on va pouvoir faire des trucs sympas je pense ! » Ils se saluèrent et sortirent de la maison.
Je me retrouvais de nouveau seul avec Laurence, en train de me dévêtir, et de me remettre de mes émotions « Viens Daniel, je vais te démaquiller ». Je lui raconta mes diverses expériences avec des dominatrices et dominateurs, elle m’écoutait avec attention, et avait envie de me connaître un peu plus « Daniel, tu m’as bien obéis, tu as été parfait, j’ai vu que cela t’a plut aussi ! Je te rappellerai surement une prochaine fois, il faudra que tu m’obéisses comme tu l’as fais ici, mais ce sera peut-être plus dure, hein, mais je pense que tu y arriveras ». J’étais en phase avec elle, je ne la contredisais pas, « Prends tes affaires et files ! ».