Sissy Danyela
Ce jeudi, mon Maître me laisse un texto : « tel moi ». Lorsque je vois l’expéditeur de ce message, je m’empresse de l’appeler. Cela faisait longtemps que Maître A. me laissait
miroiter un plan, j’attendais impatiemment ce jour.
Je l’appelle, il me demande quelles étaient mes disponibilités, jours et horaires… il a un plan pour moi.
Maître A. a décidé de me prêté à un dominateur, je serai à sa disposition comme il lui plaira et selon les directives de mon Maître. Je raccroche et réfléchi à ma meilleure disponibilité pour être à disposition de ce dominateur.
J’ai l’appréhension de savoir à quel genre de dominant va-t-il me prêter, que va-t-il me faire subir, je sais que mon Maître l’aura choisi en fonction de mon profil et de ce que j’aime faire
pour lui. Maître A. me réserve toujours des surprises, des bonnes surprises...
Dès le lendemain, je le rappelle pour lui dire que mon meilleur jour serai le mercredi. Je lui demande des détails sur ce dominateur.
Plutôt cérébral, il veut me voir dans une tenue de pute, m’exhiber dans des lieux publics et fréquentés, voir ce que je vaut en tant que soumise et je devrai sucer des bites. Voilà le petit
résumé que Maître A. a bien voulu me dire sur ce que j’allais subir. Le reste sera de l’improvisation selon mes dispositions et selon les envies de mon Maître et du dominateur sachant que je
devrai obéir, point.
Les jours suivants, mon Maître me donna plus de détails sur ce rendez-vous, important pour mon Maître, pour ce qu’il a envie de me faire subir et pour moi aussi, me faire prêter à un homme… Je
rêvais de cela depuis un petit bout de temps déjà. Envie d’être à disposition d’hommes pour les sucer sous le contrôle de mon Maître. Etre obligé de faire ce qu’il me dit…
« Tu devras être apprêtée sur le parking de la sortie Annecy- Sud à 22 heures » « Tu obéiras, tu le conduiras au bord su lac, à la visitation… ».
Le mercredi arriva, je me présenta au parking de l’autoroute comme prévu. J’étais apprêtée, en tenue et maquillée. Je sortis de l’auto à 22 heures pour me faire remarquer par l’homme qui allait s’occuper de moi toute cette soirée. Le parking était petit, éclairé et je ne savais pas ou me placer pour éviter d’être trop à la vue de tout le monde. Quelques voitures ralentirent à ma vue, je ne bronchais pas et attendait patiemment. Je n’eus pas à attendre trop longtemps. Une voiture rentra dans le parking, se dirigea directement vers moi et stoppa à ma hauteur. La vitre passager se baissa « Montes Daniela ! ». Non sans inquiétude et avec un peu d’appréhension, j’ouvris la portière et monta à bord de l’auto.
Après avoir fait les présentations, le dominateur me posa des questions sur mes pratiques et sur ce qu’il attendait de moi. Et que je devais obéir sinon ça allait barder… je lui remis ma laisse. Il l’accrocha à mon collier. « Tu es ma chienne, maintenant ! ». Il sortit de l’auto et me fit sortir, il me promena sur le parking afin de voir ma manière de marcher et de me conduire. Nous traversâmes le parking deux fois, aucune voiture ne vinrent à proximité, j’étais soulagée. Il détacha ma laisse « marches seule maintenant, que je t’observe ». Je m’exécuta. « Vas plus loin, allez marches ! Montres moi comment tu tapines ! ». Je marchais de la plus naturelle des manières, mais en talons et en tenue de pute, je marcha lentement en faisant bien taper mes talons au sol. Je n’avais jamais fait ça, je ne savais pas ce qu’il attendait vraiment de moi. Je continuais de marcher de long en large autour des autos du parking, sous les yeux de mon dominant. Je revins vers lui l’air aguicheuse. Je me stoppa devant lui en baissant les yeux. Il me remis la laisse « Voilà ! C’est bien Daniela ! C’est pas encore tout à fait ça, mais je vais te dresser, je sens que tu vas y arriver, tu m’as l’air d’être une bonne salope, toi ! A genoux maintenant ! » Pendant que je me mis à genoux, il dégrafa son pantalon, « Montres-moi comment tu t’occupes d’une bite maintenant ».Je lui attrapa son sexe et la sortit de son caleçon et me mis à la branler. Elle était déjà bien dure, excitée par mon comportement de pute que je venais de lui montrer. Je la mis rapidement dans ma bouche et m’appliqua à sucer mon dominant. Il était endurant et n’était pas prêt de jouir. J’étais de plus excité et j’avais vraiment envie de le satisfaire et de le faire jouir, il m’arrêta. « Relèves-toi, tu vas m’emmener ou il y a un peu plus de monde ». Il se rhabilla, je me relevais et nous montèrent dans l’auto. « Pareil pour les pipes ma pute ! Tu devras t’appliquer mieux que ça, il faut que les hommes sentent de suite que t’es une bonne salope, tu as l’air d’aimer ça, c’est déjà ça ! » « Et puis, je te préviens, je te veux endurante ! Alors il va falloir t’entrainer, tu devras en sucer des bites » « Ou je veux t’emmener, il y aura un paquet de mecs … ». Cela avait le mérite d’être clair, je savais ce que mon dominant attendait de moi, ce n’était pas pour me déplaire, mais allais-je assurer…
« Emmènes-moi vers le lac, je vais te t’exhiber un peu ! ». Je choisi de l’emmener vers les Marquisats.
Arrivé sur place, il sorti de l’auto et me fit sortir, il devint plus directif et autoritaire, « Là, tu vas être une bonne soumise, je vais t’apprendre à me suivre comme une bonne chienne
à son Maître ! » De son sac il sorti un bâillon boule qu’il me posa, bien serré « Déjà ça t’éviteras de parler, tu n’es plus maitre de tes actes, tu vas faire ce que je te
demande ! » Ensuite il sorti une paire de menottes métal et m’attacha les poignets dans mon dos. « Et pour que tu te tiennes bien droite je vais t’attacher les avant-bras avec
une corde ». Effectivement cela m’obligea à me redresser. Il prit son sac et nous partîmes nous promener. Je n’étais pas très fier, de me faire remarquer par le peu de passants de cette
heure là mais tout de même impressionnée. J’étais heureux de ma position et me sentais en sécurité avec mon dominateur. Certes je ne faisais pas la fière, mais j’avais envie de lui obéir. Cela
me rendait forte et capable de faire plein de choses…
Nous traversâmes la route nationale pour aller du côté du lac, une auto nous laissa passer, nous observa une ou deux minutes et repartit. A cette heure tardive quelques passants encore se
baladaient ou rentraient chez eux. Le bord du lac était un peu éclairé et on me voyait bien, promenée en laisse par mon Maître. Il avait sorti sa cravache et de temps à autre il me tapait les
fesses. Il s’arrêta à un lampadaire me détacha et m’attacha face au lampadaire. Il me plota sans retenue, il m’excitai… Il souleva ma robe sur mes hanches, sortit un fouet de son sac et me
donna des coups sur les fesses. Je me cambrai droite sur mes talons, je me cramponnai au lampadaire. Je ne pu sortir aucun son de ma bouche entravée qu’elle était du bâillon. Cette petite
séance dura un bon quart d’heure. Mon dominant me massa les fesses rougies et rebaissa ma robe. Il me détacha du lampadaire et nous repartîmes.
Nous marchons bien une demi-heure, nous allons jusqu’aux jardins de l’Europe, très peu éclairé, quelques personnes marchent. Mon dominateur accoste un homme, et lui demande « Elle vous
plait ma salope, vous voulez quelle vous suce ? » Après deux refus, un troisième homme s’arrêta puis s’approcha de mon Maître « Elle est belle ma pute, non ? Qu’en
pensez-vous ? ». L’homme répondit « Oui ! Elle a l’air bonne ! ». « Daniela mets-toi à genoux ! » m’ordonna mon Maître, je m’exécuta, il m’enleva
mon bâillon et me détacha de mes liens.
Pendant ce temps là l’inconnu me plota largement les fesses et les jambes. « Tu vas me sucer cet homme et comme il faut, tu entend sale pute ? » Mon Maître avait changé de ton,
il montra à l’homme qui j’étais réellement et ce qu’il attendait de moi. Je fis un signe de la tête, acquiesçant ses paroles et j’aida l’homme à sortir sa bite pour m’en occuper. L’inconnu,
très excité à l’idée de se faire sucer, ne me ménageait pas, il me prit la tête pour la tirer à lui pour que sa bite aille de suite au fond de ma gorge. Il y resta quelques secondes, sa bite
gonfla encore, il se retira et je commençai des allers et venues. Je m’appliqua à le sucer avec mes lèvres, je le pompai, il s’excitait, il n’allait pas tarder à jouir. Je lui suça juste le
bout du gland, il vint rapidement, je serra les lèvres et lui aspira son jus qui venait par saccades. Il m’inonda la bouche en quantité de son foutre, j’avala le tout directement et lui nettoya
comme il faut son gland. Il était satisfait, il se rhabilla rapidement. Mon maître me félicita « Bien ma chienne, tu as bien sucé monsieur » Et il me remit mon bâillon boule, je n’eus
pas le temps de déglutir complètement, j’avais encore plein de jute dans ma bouche, ce n’était pas anodin de sa part. J’eu l’autorisation de me relever, il me remit les menottes à mes poignets
attachées devant.
« Bon il n’y a pas trop de monde ici, tu vas m’emmener à la visitation. Ton Maitre a donnez rendez-vous à quelques hommes. Tu vas devoir en sucer quelques uns et t’aura intérêt de le faire
bien ! ».
il me traina par la laisse à la voiture. Je l’emmenai à la Visitation, haut lieu des rencontres
libertines… Mon maître me parlai, je répondais par des signes de la tête, il me redisait ce qu’il attendait de moi, une totale obéissance pour
faire de moi sa pute.
L’idée me plaisait, mais jusqu’ou je serai capable d’aller…
Effectivement, à la visitation il y avait toujours quelques voitures garées le long de la route. Des hommes viennent ici pour des rendez-vous ou à
l’improviste, Ils sont tous là pour se soulager ! Nous montons en auto jusqu’en haut puis redescendons en bas de la côte et mon Maître se gara. Il sorti de l’auto. Il vient m’ouvrir la
porte et je sorti également.
Il faisait nuit noire, je le suivi, il monta le long de la route en me tirant quelque peu. Il regarda dans les voitures s’il y avait quelqu’un,
personne pour l’instant, nous continuons sans un mot à monter.
Ne voyant personne aux alentours, il decida de me détacher et de m’enlever le baiilon.
« Tu vas aller sous le lampadaire et tu vas attendre que quelqu’un vienne te draguer ok ! » « Oui Maître ».
Je marcha pour rejoindre le lampadaire éclairé, bien en vue, les hommes me verront mieux. Je me mis le dos contre, une jambe pliée talon contre le lampadaire, ma cuisse totalement découverte
laissant apparaitre mes bas. J’étais parfaite, la pute attendant son client, j’attendais patiemment. Je n’eus pas à attendre longtemps, un homme s’approcha d’un pas décidé. Il me tourna autour,
je ne bronchais pas, il se mit derrière moi, je sentis les frissons en moi, il s’approcha et commença à me toucher la taille et me caressait de haut en bas.il alla jusqu’à mes bas, il me
caressa avec attention, il remonta petit à petit sa main pour atteindre mon sexe. Je bandais déjà… il me branla encore, excité de me voir chaude, il m’embrassait, je me détournais quelque peu,
il me retourna et me plaqua dos contre le lampadaire. L’homme face à moi, sa tête dans ma poitrine me plotait les fesses avec fermeté. Il déboutonna son Jean, j’engouffrai ma main dans son pantalon et dans son caleçon pour lui attraper sa bite. Je n’eus pas de mal, elle était déjà bien tendue, je la massa
un peu et m’agenouilla. Je mis son sexe dans ma bouche, il était gros et je prenais trop de plaisir à le sucer. J’en avais oublié mon Maître, qui ne tardait pas accompagné de deux hommes.
Je continuai de le sucer pendant que les deux autres sous les yeux de mon dominant sortirent leur sexe de leur pantalon et s’approchèrent de moi.
Je laissa tomber le sexe pour attraper un sexe dans chaque main pour les branler en même temps, sans lâcher la bite que j’avais en bouche.
L’homme que je suça, me prit la tête à deux mains pour augmenter la cadence, sa bite allait bien au fond de ma gorge, c’était trop bon, j’avais peur de vomir, je me concentrais sur mes
mains en train de branler deux belles bites dont une assez énorme !
Les deux autres hommes semblaient impatients que je les suce, j’essayais de me retirer un peu mais l’homme que je suçai insista de plus en plus et
ma tête faisait de violents allers et retours d’avant en arrière, je m’appliquais à serrer sa bite entre mes lèvres, je n’en pouvais plus,
j’essayais de m’attarder sur le bout de son gland et de le masser avec mes lèvres pour le faire venir. Il se lâcha enfin, je le laissai aller au fond de ma gorge, il y resta le temps de cracher
son jus que je n’avais pas le choix d’avaler. Il se retira violemment, je repris ma respiration, l’homme à ma droite me tourna la tête face à lui et je dû mettre de suite sa bite dans ma
bouche. Pour l’avoir branlé pendant que je suçais l’autre, je m’étais aperçu qu’elle était différente, j’avais pu mettre la précédente entière dans ma bouche, celle-ci, j’aurai plus de mal… son diamètre légèrement plus gros, c’était la longueur surtout qui était
plus importante. Les premiers allers et venues se firent plus lentement, j’avais vraiment du mal, elle prenait ma bouche entière, l’homme alla également doucement.
Mon Maître me surveillait de près, « Allez salle pute prend cette bite, jusqu’au bout ! » Cela m’encouragea, je m’appliquai et accéléra les mouvements. Quel bonheur de sentir cette grosse bite envahir ma bouche, j’avais envie qu’il me la mette ailleurs. Je provoquais cet homme en arrêtant de le sucer, je me
tournais vers le troisième tout en relevant ma jupe et en relevant mes fesses, il comprit rapidement, en se mettant derrière moi. Je suçai ce troisième homme avec une bite plus
raisonnable ! Pendant que le deuxième me prenait par la taille et commençait à se branler dans ma raie. Il m’écarta la ficelle de mon string et força sa bite vers mon trou. Mon Maître lui sorti une capote qu’il enfila rapidement, pour essayer de rentrer son énorme sexe.
Je me concentrais sur la bite que je suçais, histoire de détendre mon orifice, j’en aurai besoin pour faire rentrer l’engin ! Avant cette séance, j’avais pris soin de bien me lubrifier, et
j’avais fais de bonnes séances avec mon plug, ça m’aida.
Petit à petit il forçait le passage, il mit quelques minutes à arriver jusqu’au bout, je gémissais de douleur, mais quel plaisir. Il pouvait maintenant faire des vas et viens, très courts mais
il venait buter contre mes fesses, c’était l’extase. Une fois qu’il était bien en rythme, je pouvais me re-concentrer sur la bite que j’avais toujours en bouche. Excitée comme j’étais, le
plaisir que je prenais, je suçais avec acharnement et avec conviction, je m’aidai d’une main pour lui malaxer ses boules et le branler activement dans ma bouche. Il finit par gicler dans ma
bouche, cela excita l’homme qui me prenait qui joui aussi très vite. J’avais trop envie de jouir aussi, mais les hommes se retirèrent de leur trou respectif et la pression retomba.
Ils se rhabillèrent, échangèrent quelques mots avec mon Maître, je restai à quatre pattes pour souffler un peu, exténué que j’étais. Mon Maître me prit par le bras pour me remettre debout, je
me relevai. Tout en marchant en direction de l’auto, il me complimentait sur ma prestation, pensant déjà à la prochaine.
« Je téléphonerai à Maître A. pour lui raconter, tu as bien assuré pour les trois hommes à la suite ! » « En même temps, c’est que l’on attend de toi ma pute !
»
« C’est un bon test, je pense qu’il va pouvoir « taper plus haut » maintenant »
« On va y aller progressivement mais à chaque nouveau plan, il y aura de plus en plus d’hommes à satisfaire, il faudra que tu assures, de gré ou de force ! »
« Je sais que Maître A. travaille sur d’autres plans pour toi, il a tout un groupe d’hommes à te soumettre».
« Tu aimes la bite, ça se voit, on va t’en donner ok, mais notre but à Maître A. et moi serai de repousser tes limites, tu
sais ? »
« Peut-être que tu n’aimeras pas faire telle ou telle chose, que tu en auras marre de sucer des bites, marre que tes trous soient remplis »
« Et bien c’est pas toi qui décidera ! On aimerai te voir enduré, donc s’il le faut on te contraindra ! »
« Nous connaissons des Maîtres spécialisés SM qui s’occuperont de toi, ils te dresseront s’il le faut !
Mon Maître me raccompagna à mon auto et me laissa.
J’eus un peu peur de cette conversation, peur de ne pas réussir mais au fond de moi, je sais que j’aime cela…
Maître Philippe
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Merci Carla ! Bises