Sissy Danyela
Suite de mes histoires vécues… « Promise à un couple 1&2 » et « Devoirs pour ma maitresse ».
Maîtresse C. est très exigeante avec moi, un plan cul la semaine dernière avec un mec, cette fois-ci c’est avec deux hommes qu’elle veut que je me fasse prendre, et surtout une main dans le cul
et attachée…
Je n’avais jamais fait de plan avec deux mecs, cela me faisait peur, mais en tant que bonne soumise, je devais réaliser ce plan, satisfaire ma maîtresse. Je m’imaginais déjà, me voyant sucer une
belle bite et sentir une deuxième s’enfiler entre mes fesses… tout un programme !
J’avais aussi un peu peur de me faire attacher par deux inconnus mais j’en rêvais depuis longtemps alors ce n’était pas le moment de me plaindre. Surtout que derrière tout cela je pouvais
seulement remercier Maître A. qui mettait tout en œuvre pour la réalisation de plans pour moi. Je veux être fière de lui appartenir, et j’ai envie d’aller loin à ses côtés.
Je devais passer donc par cette étape, me taper deux mecs aujourd’hui, la prochaine fois ce sera trois et plus encore, très excitant tout ça…
Je mettais tout en œuvre pour me trouver deux mecs, pas évident du tout, l’homme préférant souvent être seul pour se taper une pute de mon genre.
Comme la semaine précédente, j’avais trois quatre personnes susceptibles d’être intéressé par un plan avec moi, il suffisait de les convaincre de faire cela à trois. Je devais les exciter pour
leur montrer que j’étais une bonne salope et que je serai très coopératrice à leurs ordres. Les mecs devaient aussi être dominants, pour qu’ils aient envie de m’attacher et me dominer. Je devais
prendre en compte également le lieu, ce n’était pas un vulgaire plan, un homme était prêt à faire ça chez lui, je devais lui faire accepter un autre homme d’être à ses côtés…
L’homme rencontré la semaine dernière se proposa d’emblée pour me recevoir et me dominer, je lui avais plu et il voulait aller plus loin avec moi. Il accepta de nous recevoir avec un autre homme.
Plus classique, le deuxième, se disait endurant et désirai de se finir au fond de ma gorge. J’étais l’intermédiaire de ces personnes, échanges de photos, chacun avait envie de savoir à qui il
avait à faire.
Tout était réuni et prêt pour que cela se passe bien, à moi maintenant d’assurer mon statut, ne pas décevoir les hommes et que mes maitres soient satisfaits. J’étais quelque peu angoissé à l’idée
de me proposer à plusieurs personnes dans un lieu inconnu à mes yeux, mais tout de même très excitée à ce premier plan hard pour moi.
Ce vendredi soir, je me préparai avec les mêmes soins habituels pour une rencontre. Tenue de pute exigée, je devais être en forme.
J’étais habituée à faire des plans nature, donc très discret, ce soir, je devais me rendre chez un homme, en ville, sonner à son appartement, être sur que ce soit bien chez lui… plein de
paramètres nouveaux pour moi.
J’étais super angoissée à ce début de plan, me faire prendre par deux mecs me semblait plus facile !
Ma motivation à satisfaire les personnes pour qui je faisais cela me donnèrent du baume au cœur et c’est sans sourcilleux que je me dirigeai chez mon hôte. Il habita dans un quartier d’immeubles, j’avais pris soin de repérer sur le net comment y aller et ou me garer, je n’avais pas envie de trop me montrer.
J’arrivai dans la rue Il était 21 heures, il faisait nuit déjà mais la ville était bien éclairée par les lampadaires, pas de place en face de la montée…, je me gara une dizaines de mètres plus
loin, je laissais un passant s’éloigner pour sortir de l’auto et me diriger vers la montée. J’essayai de garder une allure normale, la montée était allumée, pendant deux secondes je crus entendre
des pas, je montai un peu plus rapidement jusqu’à l’étage.
Il est très excitant de rencontrer quelqu’un dans les escaliers mais pas ce soir, préférant vite me retrouver à l’abri des regards. Je sonnai, j’entendis des pas, serait-ce l’homme qui
m’attendait, la porte s’entrouvrit.
« Rentres ! » fit une voix. Je ne vis personne mais je compris que ces paroles m’était adressé, je rentrais, fermais la porte derrière
moi et me retrouvais face à mon dominant. C’était bien le même, il me salua, me dévisageait de la tête au pied, content de me voir, il me fit entrer dans le salon. Il m’offrit un verre, s’assit
en face de moi, j’étais le premier arrivé, nous discutons de choses et d’autres en attendant le troisième convive. J’étais impressionné non par l’homme que je connaissais déjà un peu, mais plus
par le fait d’être chez lui, d’être dans un endroit inconnu, avec l’impression de ne pas maitriser les choses. Il habitait apparemment seul dans cet appartement, depuis quelques temps déjà, car
bien aménagé. J’étais là, seule avec lui, je devais gérer et assurer.
Une demi-heure passa, assez rapidement, bien mis à l’aise par mon hôte, musique et biscuits apéro, mais toujours pas de second homme, mon dominant n’en pouvait plus, il était excité et chaud… Il
vint s’asseoir à mes côtés, et commença à me caresser les cuisses. Je compris qu’il voulait que je décroise mes jambes, je le fis avec plaisir, et le laissais entreprenant. C’est comme cela que
j’aimais les hommes, quand ’ils savent ce qu’ils veulent… Sa main se baladait sur mes bas, il me caressait mes bottes, il glissa sa main sous ma jupe serrée. J’écartai légèrement les jambes,
montrant mon envie qu’il continue. Il s’arrêta, appuya son dos sur le canapé les bras le long du corps, il attendait. Je posa mon verre, et fis ce qu’il attendait de moi, lui défaire son
pantalon. Son ceinturon d’abord, ensuite bouton par bouton je défis son pantalon. Il m’aida à le faire glissé un peu. Je lui caressai son caleçon, devinant son sexe déjà bien consistant, qu’il
sortit avec empressement. « Suces-le ma belle ! » me fit-il directif. J’étais excitée et je ne me fus pas prier deux fois pour le sortir et le mettre en bouche rapidement. Je le
malaxai à sa base en l’étirant afin qu’il s’allonge encore.
Je le suçais langoureusement, il appréciait, il s’alluma une cigarette, « Continues, t’arrêtes pas ! ». Tout en tirant sur sa clope, il me parla, je l’écoutai tout en me
concentrant sur sa bite. « Il n’est toujours pas là ton autre homme ! ». « Je crois bien qu’il nous a posé un lapin ! ». Effectivement cela devait faire bientôt
quarante cinq minutes qu’il aurai du être là, mon dominant avait raison, cela ressemblait à un lapin. « T’inquiètes pas tu auras sa part, je m’en charge ! » Je m’étais mis à
l’aise, à genoux devant lui, je pouvais le sucer comme il le fallait et pensais déjà à la suite des événements. Pas longtemps, il me pria de m’arrêter, il se rhabilla avant de se lever, « Tu
ne devais pas avoir ta laisse ma chienne ? » Je pris mon sac à main, l’ouvrit et en sortit ma laisse et lui tendit dans sa main. Il attacha le mousqueton à mon collier, il en profita
également pour sortir de derrière un coussin une paire de menottes qu’il me mit aux chevilles et une aux poignets.
« Allez, viens ma salope » Je le suivis, à quatre pattes dans une des chambres de son appartement, pendant qu’il me laissa filer devant, il me souleva ma jupe et me tâtait les fesses
« humm, quel beau cul, à quatre pattes comme il rend bien ! ».
Le plan se fera apparemment sans le second mec, pas grave, celui-ci devrai assurer les directives, me dominer, m’attacher et me faire mettre.
Je rentrais dans la pièce, visiblement pas sa chambre à coucher. Un éclairage tamisé, un petit matelas par terre, une croix de Saint-André au mur, une table au centre de la pièce et une console
contre le mur avec de multitudes d’accessoires de sexe. Je devinais des godes, plein de godes, e différentes grosseurs, de différentes longueurs, je sentais de suite la personne expérimentée.
Cela me fit un peu peur, mais il etait trop tard maintenant pour se poser des questions, il fallait obéir ma belle !
Il ferma la porte derrière lui et m’ordonna de me lever. Je me leva difficilement attachée que j’étais, il m’aida à m’approcher face à la table et me pencha en avant. Poitrine sur la table il me
détacha les poignets pour me les rattacher dans le dos, idem pour les chevilles pour les attacher aux pieds de la table.
J’étais à sa disposition, impossible de bouger, il releva ma jupe et me caressa les fesses. Il me les frappa l’une après l’autre avec la paume de la main, cela eu l’effet de me chauffer la peau.
Il savait ce qu’il faisait, il n’en était pas à son coup d’essai… Il prit ensuite un fouet assez court à lanières et me fouettait les fesses déjà
échaudées par les claques. Il m’enleva mon plug soigneusement graissé par mes soins. Il n’eut pas de mal à l’enlever, il choisi un gode sur son étagère, plus gros et me l’enfila. Je le senti
passer, il fit des allers et retours bien au fond de ma chatte, je gémissais de plaisir et pensais à ma maitresse qui aimerai me voir dans cette position. Il me laissa le gode bien au fond, et
vint vers mon visage et sorti sa bite pour que je le suce.
Ce n’était pas très confortable mais je pu le sucer comme il fallait d’autant plus qu’il bandait bien dure. Il m’engouffra son engin bien au fond de ma gorge, je cru vomir… Tout en restant bien
au fond, il me trifouilla le gode dans ma chatte. Hum, ça m’excitait grave, il avait trouvé le point sensible, je gémissais de plaisir…
Il était super excité et avait envie de me prendre, il vint derrière moi et s’enfila un préservatif pour me prendre violemment. J’adorai sentir son
corps venir buter contre mes fesses, je criais à chaque coup de buttoir, il allait bientôt jouir. Je lui demandais de se retirer, il vint vers mon visage et se fini à la main. Quand il s’est
senti venir j’ai ouvert la bouche et il est venu s’y engouffrer son sexe qui a giclé au fond de ma gorge. J’ai avalé son foutre, je lui pompais le reste et il se retira.
Il était comblé, moi aussi du reste, dans ma position inconfortable j’avais envie de bouger un peu. Ce ne fut pas bien long mais très intense. Il a respecté ce dont on avait parlé avant, il ne
m’a pas enfilé sa main dans mon cul mais le gode qu’il m’engouffra était déjà bien gros.
J’espère que Maîtresse C. Sera satisfaite de moi, ainsi que Maître A.
Il me détacha, « On va y aller doucement, et petit à petit ! » « La prochaine fois, on essaiera la main, et te ferai crier de plaisir ! ». J’étais d’accord avec lui, fit un signe affirmatif de la tête, espérant aussi que cela dure un peu plus longtemps. J’aime les séances ou je sens le plaisir
monter en moi.
Nous nous séparâmes en nous disant à bientôt.
Je rentrais, fier d’avoir réalisé ce plan, et déjà prête à faire autre chose pour mes Maîtres…
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