Soirée BDSM du 16 novembre 2012
Cav'O - Lausanne (Suisse) - site
web
Suite à ma première soirée au donjon de Bessan, je devais organiser pour ma maîtresse et moi une soirée dans un lieu sm.
En cherchant un peu, je trouvais une soirée au Cav’O club privé non loin de chez moi.
Après confirmation de la date auprès de l’organisateur et de ma Maîtresse, je m’empressais d’organiser ce week-end. Cette soirée se déroulera le 16 novembre 2012.
Maîtresse Akina arrivait par le train à Genève le jour même, je la récupérais pour nous rendre en voiture à Lausanne environ 1 heure de route ou j’avais réservé une chambre pour la nuit.
Il était la fin de l’après-midi quand nous arrivions à l'hôtel, une fois installés, je montrais à Maîtresse mes derniers achats.
Quelques essayages plus tard, il était temps de se faire belle ! ce fut une formalité pour Maîtresse, belle naturellement, qui après me conseilla et m’aida encore pour mon maquillage. Elle me
choisit également ma tenue et décida de me retirer ma cage de chasteté en place depuis 19 jours.
Maîtresse décidait alors que je me rendrai en belle femme sexy et attirante au donjon du Cav’o.
Je partirais de l'hôtel ainsi vêtue, une magnifique robe rouge moulante, avec un petit boléro noir en dentelle offert par ma Maîtresse et mon corset-serre taille sous la robe. La lingerie
assortie avec des sandales à brides d‘une toute beauté, achetées récemment et désirées par maîtresse.
Une autre tenue dans la valise, pour le milieu de la soirée, pour Maîtresse et moi.
il est 20h00 quand nous quittons l’hôtel pour le Cav’o situé à une vingtaine de kms avec deux valises pleines de matériels et d’affaires.
Nous arrivons les premiers avec un petit peu d’avance.
Accueillies par le maître des lieux, Jeff, qui nous fit entrer dans son antre...
Deux marches plus bas, nous y étions. Le donjon était à l’identique des photos montrées sur le site. Une magnifique pièce voûtée en pierres et garnie de tout le mobilier plus que nécessaires. Des
meubles classiques, des cages, un sling, mais aussi d’autres plus originaux tel que la chaise à pointes, la grande roue toute en cuir. Belle décoration également avec beaucoup d’objets décrivant
notre univers de la soirée.
L’éclairage était doux, discret et mettait bien en valeur chaque atelier.
Jack qui s’occupera du service du bar pour la soirée nous offre un verre et nous discutions afin de faire connaissance et en attendant les invités suivants.
Coïncidence incroyable, Jeff est aussi un des propriétaire d’un site de vente en ligne de cage de chasteté et d’autres articles de pratiques sm ou je venais de faire un achat...
Très rapidement, Maîtresse pris possession des lieux. A peine les premiers invités arrivés, elle me positionnais en vue d’une suspension.
Maîtresse commença à me faire un superbe haut en corde, s'apercevant qu’il ne serai pas pratique de faire le bondage avec cette robe, elle me la quitta et j’étais donc en lingerie avec mon
corset.
Au bout de quelques minutes je me retrouvais suspendu dans les airs dans une position très confortable que je tenais pendant de longues minutes.
A plat ventre, les mains dans le dos et les pieds relevés, harnaché du tout dernier baillon de maîtresse Akina d’une extrême contrainte, je ne sentais aucune gène, je me sentais suspendue comme
posée sur une table. La suspension était équilibrée et aucune douleur ne se faisait sentir. J’étais aux anges.
Maîtresse avait mis en valeur mes formes, le sexe en extension, j'étais à portée de Maîtresse comme mes fesses du reste qui reçues une partie de mes punitions acquises lors de ces quatre
dernières semaines ou j’avais été particulièrement désobligeante avec ma Maîtresse.
Quelques sauts d'humeurs et quelques désobéissances m’avaient allongé ma liste de punitions. Ces punitions montraient que soumise en apprentissage que j’étais, je n’en étais pas au bout de mes
peines pour devenir la soumise qu’espérait ma maîtresse.
Il est vrai que j’avais passé de mauvais moments éloignés de ma Maîtresse, et Maîtresse avait bien réagi en étant ferme avec moi mais à mon écoute.
C’est avec le paddle que Maîtresse me corrigea comme je le méritais. Je ne sais plus combien de coups je reçu à ce moment là et dans cette position, mais je pû vous dire que je souffrais le
martyre. Cette punition étant juste et méritée, je ne bronchais pas et j’acceptais chaque coup que ma Maîtresse m’infligea.
La soif se faisait sentir, j’en parlais à Maîtresse, qui décidais au même moment de me défaire de cette position. Hormis cette soif et quelques petits fourmillements dans les mains, à aucun
moment je n’avais envie de quitter cette position. Plusieurs fois Maîtresse était à mon écoute et flairait un comportement défaillant de ma part, il n’en était rien, j’étais bien. J’étais sa
chose, elle me dominait comme elle l’avait décidé et je subissais ce que Maîtresse avait envie de me faire subir, j’acceptais avec plaisir et honneur d’être à sa disposition.
Elle me libéra de ma position et je pu boire un peu de Coka, très rafraîchissant. La pause ne dura que quelques minutes avant que je me retrouve de nouveau suspendu, je me tatais un peu les
fesses en constatant, leurs chaleurs mais également les hématomes...
En tailleur cette fois-ci, avec toujours mes fesses en position idéale pour la seconde partie de ma punition. Maîtresse s’amusait bien, à coups de paddle et de cravache, mes fesses me brûlaient.
Je devais alors compter les coups que Maîtresse m’infligeait. Chaque coup énuméré était suivi de “... maitresse”, je gémissais à chaque coup, plus prononcé qu’ils étaient les uns que les autres.
Très vite je me retrouvais avec un bâillon pour assourdir mes gémissements. Maîtresse se fit également assister de deux ou trois autres maîtresses présentes pour m’affliger chacune une belle
série de coup. C’était horrible de recevoir à une cadence infernale des coups sur chacune de mes fesses et des coups largement appuyés par des maîtresses très complices.
J’étais dans mon monde n’entendant que très peu les autres participants à leurs ateliers. Quelques violents gémissements de ma part donnèrent un silence impressionnant dans cette salle.
Maîtresse me libéra enfin de mes liens. J’étais exténuée par cette punition, toute essoufflée, je l’accompagnais au bar afin de me désaltérer. J’avais toujours mon bustier fait de cordes, comme
une seconde peau pour moi. Que c’était bon de sentir ces cordes entrelacées autour de mon corps et entre mes membres !
Un verre très rapidement englouti, je me retrouvais à quatre pattes en direction de la chaise à supplices. Les fesses durcies mais extrêmement sensibles par ma punition je dû m’asseoir sur cette
chaise à l’assise faite de vis pointes en l’air. Je devais m’asseoir dessus.
Aux yeux des personnes présentes autour de nous, je sentais qu’il me serai difficile de m’asseoir sur cette chaise, et c’est avec difficulté que je m’assis sans me laisser aller. Je sentais les
vis sur toutes parties de mes fesses, c’est juste très très dur à supporter...
Bonne soumise que j’étais, je m’assis convenablement. Maîtresse me sangla les poignets et chevilles à cette chaise ainsi qu’à la taille. J’étais obligé de me laisser aller et supporter ces pics
qui me rentraient petit à petit dans la peau. J’essayais de me débattre le moins possible, et le plus dur finalement n’était pas de rester mais plutôt de me lever quelques minutes plus tard.
Lorsque je m’étais habitué à la douleur. le fait de se lever accentuait largement la douleur, et je sentais chaque pic sur mes fesses. C’est exactement la même sensation lorsque l’on vous mets
des pinces sur les tétons, cela fait mal au moment ou l’on pose les pinces, puis la douleur s’estompe, mais le pire est au moment de les enlever, la douleur s’est accumulée pour se libérer à ce
moment précis, c’est juste horrible...
Il était l’heure de passer à d’autres ateliers et c’est sur la table que maîtresse m’installa. Les sangles de cuir idéalement placées m'empêchèrent de bouger la tête, le buste et les membres.
j’étais vraiment à disposition de ma maîtresse qui en profita pour s’occuper de mon sexe et enfourcha également son gode ceinture. J’étais particulièrement excitée et maîtresse me donna à sucer
son gode que j'appréciais naturellement avec honneur.
Maîtresse me disposa ensuite sur un mobilier que je ne connaissais point, le sling. Position très confortable s’il en ai, je me voyais dans le miroir situé au plafond. J’appréciais de me voir
harnaché, certes, quelque peu décoiffée par les divers bondages et par une certaine fatigue accumulée... Ma tête me faisait peur, mais j’assumais, je ne devais pas défaillir devant ma Maîtresse,
et je lui faisais honneur qui s’occupait royalement de moi.
J’avais énormément progressé dans mes capacités à supporter les douleurs que m’infligeait Maîtresse Akina.
Mais ce qui m’aidais le plus à supporter chaque coup de paddle, de cravache ou de martinet, mais aussi à accepter chaque membre serrés dans les cordes de maîtresse, à accepter chaque position pas
toutes confortables, à accepter les baillons de contraintes, à accepter les testicules harnachées et étirées, c’était la confiance que j’avais en ma maîtresse. Les yeux fermés, je me laissais
aller dans son monde qu’elle maîtrisait à merveille, et même si je souffrais, je savais qu’elle était là, à mon écoute, j’étais en osmose avec elle.
Jamais je n’aurai pensé supporter la rudesse d’une telle main de fer, mais venant de Maîtresse, je le supportait difficilement certes, avec souvent les larmes aux yeux, mais quelle fierté d’être
dans le prolongement de sa main. Merci Maîtresse pour ces moments de bonheur inoubliable que vous me faites vivre.
Maîtresse attendit quelques minutes pour me faire profiter de la magnifique roue à sa disposition. C’était vraiment un bel engin, la grosseur des sangles rendaient à cette roue un confort non
négligeable, laissant la place à la créativité de ma Maîtresse afin de me faire subir les supllices quelle avait envie et dans la position quelle avait choisit. Elle ne voulu pas me mettre a tête
en bas, fatiguée que j’étais par ces longues heures de suspension et de punition. Mais elle en profita suffisamment pour que je passe vraiment de merveilleux instants, quelques photos en
témoignent.
Il était temps de me défaire de mes liens, il se faisait tard, le temps de ranger les affaires, un moment au bar avec le maître des lieux et l’heure de nous quitter arriva.
Nous avons vraiment passé une excellente soirée....