Maîtresse Akina

Mardi 14 avril 2015 2 14 /04 /Avr /2015 04:09

Une journée avec ma maîtresse

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C’était mon 34 ème jour de chasteté, pas un record, mais une période de plus d’un mois pas facile à gérer. Tant de choses imprévues se sont déroulées compromettant mes visites prévues chez ma maîtresse.

Imprévus provisoirement réglés, je pouvais me rendre aux pieds de maîtresse comme elle m’avait ordonné de le faire ce jour là.

Je me sentais extrêmement bien, calme, détendue et reposée... Trop contente de voir ma maîtresse, je lui baisais les pieds. Après toutes ces galères, je commençais à douter de me retrouver à ses pieds. Ouf, j'appréciais cet instant.

J’appartiens à ma maîtresse, c’est un vrai bonheur de lui avoir confié mon corps mais aussi mon âme. Je ne la remercierais jamais assez pour tous cette vie rêvée.

Je commence à déballer mes affaires et maîtresse me choisit une nuisette grise et des sous vêtements noirs. Je mets mes sandales mauves avec, je me sens un peu toute nue comme ça mais très sexy !

Elle me pare d’un boa rouge et nous faisons quelques photos !

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Géniales et super belles photos avec ma maîtresse.

Elle m’a tellement ben maquillé avec un maquillage très “gothic” que j’apprécie particulièrement.

Quelques photos aussi quelque peu coquines sur la table de gynéco...

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Pas facile de s’approprier un objet de sa maîtresse. J’avais déjà constaté cela la dernière fois. Ces objets BDSM sont à ma maîtresse, les avoir dans les mains ça fait drôle ! Donc vous pensez bien, avoir la table de gynéco ! Et poser pour des photos n’est pas très naturel pour moi.

Maîtresse sort ensuite ses cordes, je m’étire quelque peu avant de commencer la séance...

Elle a une nouvelle idée de position, les mains en position de prière, cool ! Ah... mais dans le dos ! Ah bon c’est possible ? Pas facile mais oui et en plus c’est très esthétique, j’adore !!!

Je prends vraiment l’habitude de ne pas me crisper lors des premiers tours de cordes afin de ne pas me sentir trop comprimée. C’est parfait !

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Maîtresse me fait aussi un joli corset en corde. Tout cela se marie très bien avec la nuisette grise que l’on voit bientôt plus !

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J’ai vraiment le torse et les bras immobilisés dans le dos, lorsque maîtresse m’attache aussi les chevilles à un bambou en position semi écartée.

Positionnée ainsi, je ne bougerais pour ainsi dire pas pendant un temps assez long, je dirais environ une heure... Immobilisée au sol attachée au plafond, pas d’autres choix que de rester là pour les plaisirs à venir de ma maîtresse..

Maîtresse sort deux de ses fouets à franges pour me réchauffer un peu !

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Petit à petit, le cuir des franges viennent tout d’abord caresser mes fesses offertes à maîtresse. Cela faisait un petit bout de temps que je n’avais pas eu quelques coups de fouet sur mes fesses !
D’ailleurs, c’est le baptême du “feu” pour mon tatouage !

C’est le cas de le dire, car mes fesses deviennent petit à petit “rosé” par les coups de fouet. Ils ne sont pas cinglants, la douleur bien que minime est assez aléatoire.

Quelques franges venant quelques fois me piquer les fesses mais c’est plutôt la masse réunis des franges venant s’abattre sur mes fesses qui me font un peu mal.

Maîtresse s’applique vraiment. Je constate que le tatouage a tendance à l'attirer quelque peu même si c’est sa “mauvaise main”. Je trouve les coups sur la fesse gauche plus précis et plus appuyés que sur la droite... A moins que ce ne soit un réflexe de sa part de ne pas abîmer le marquage de sa soumise.

Quelques photos, pendant que je savoure les quelques derniers coups que maîtresse me donnent. Très nombreux et concentrés, je dois me motiver pour les encaisser. Je ferme les yeux...

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Je respire profondément, je savoure également ces instants, j’aime cela je l’avoue !

Il est aussi normal d’accepter ce que la maîtresse a la bonté de m’offrir, même si au cours de la séance, il est difficile de tout accepter et de tout supporter...

Mais j’aime m’offrir à ma maîtresse, lui donner mon corps afin que nous partagions ensemble un plaisir commun. De bons moments, que certains et certaines qualifieront de “maso” pour la soumise que je suis.

Ce dont je réfuterais car ce ne sont pas tant les coups aussi douloureux soient ils qui produisent du plaisir mais plutôt la complicité de deux êtres. Les gestes, les bruits du fouet, la respiration, les gémissements, le toucher, les mots etc., c’est cet ensemble de choses qui fait la magie du BDSM...

Je sais alors que ce n’est que le début de la séance, et que maîtresse va sortir son fouet fétish prénommé Karess. Je connais les douleurs que produit son fouet mais je suis prête.

Maîtresse m’offre le manche de son fouet à franges dans la bouche pour une photo. En travers, il pivote rapidement pour se retrouver dans un sens sans équivoque.

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Je me bats alors pour ne pas le faire tomber, il ne tient que par quelques centimètres.
Maîtresse m’ordonne de le garder en bouche, sinon c’est 100 coups de fouets qui tomberont sur mes fesses.
Je me concentre, je reste immobile, au moindre mouvement, je ne pourrai le rattraper et ce sera la punition.
Quelques séries pleuvent sur mes fesses, la douleur est importante mais je me concentre...
Je me bats, je serre les dents, pour réussir ce challenge, mais je ne sais combien de temps je vais devoir tenir.

Finalement, le fouet tomba de ma bouche et la sentence avec.

Je pensais que maîtresse aurait la délicatesse de réduire ma peine car j’avais bien tenu. Rien n’y fit, je devais commencer à compter ma punition.
Le premier coup était horrible, entre les cuisses,maîtresse vint m’aider à l’encaisser, elle me caressa la zone entre les cuisses; j’appréciais son geste.

Par petites séries, je comptais les coups un par un, en me concentrant sur chacun. Certains plus appuyés que d’autres, je savais que ça n’allait pas être facile de compter jusqu’à 100.
Je cible chaque dizaine en me disant que c’est plus facile de compter ainsi !

Maîtresse m’ordonne au bout de quelques coups de compter sans émotion particulière dans ma voix. Je dois alors faire abstraction de la douleur pour compter chaque coup. Certains me donnent envie de pleurer, maîtresse me reprend, elle ne veut pas m’entendre.

Cinquante, puis soixante, enfin soixante dix, plus que trente, ça va passer vite. Mais c’est le moment que maîtresse choisit de faire une pause.
Cela fait du bien car j’étais à un moment ou la cocotte minute allait exploser...,
Je transpirais, j’avais chaud mais tel le marathonien, je m’arrachais pour finir.
Un peu de coka et un petit gâteau offert des mains de ma reine, cela fait du bien de recharger les batteries, mais je sais qu’il reste encore trente coups.

J’étais si prête du but et si bien concentrée, allez, on va devoir s’y remettre !
C’est reparti, les coups sont dans le même esprit, bien placés, cinglants et brûlants.
Il y a pas à dire, maîtresse manie bien le fouet alors attention les bêtises !

Les cent approchent, plus que deux mais de nouveau maîtresse fait une petite pause, je dois me re concentrer de plus belle pour les deux coups qui restent. A peine le dernier coup compté, mais même pas encaissé, je m’empresse de remercier maîtresse.

Cette punition terminée, je dis aussitôt à maîtresse comment j’ai mal aux bras. La position a été longue, les fourmis arrivent.
Maîtresse me détache les bras, je peux alors me détendre les bras quelques minutes, sur un tapis au sol, je peux aussi m'asseoir pour reposer mes pieds restés immobiles pendant plus d’une heure sur des talons.

Maîtresse m’annonce la nouvelle position, sans commentaires voici la photo...

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Il faut être assez souple et j’étais à mon maximum ce jour là !

Au cours d’une prise de vue alors que ma position est assez improbable que inconfortable, maîtresse m’offre le talon de son escarpin... Voir dans le miroir... Délicieux...

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maîtresse me détache et me laisse uniquement les cordes de mon bustier. Et ce pour aller sur la table de gynéco.

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Cela m’excite beaucoup car maîtresse m’annonce la position que je devrais adopter.

Elle prépare également certains accessoires. Notamment le gros collier qui sert aussi de minerve. C’est un vrai objet de soumission,avec l’impossibilité de bouger la tête...

Les bras en cuir mais elle m’’ordonne tout d’abord de mettre des boules Kies. Un peu angoissant pour moi mais terriblement excitant !

Me voici sur la table, sur le dos, la minerve m'empêchant de bouger la tête, les bras entre les jambes enchaînes ensemble. les pieds joints attachés au plafond, et les fesses offertes aux supplices pervers de maîtresse.

Je suis totalement immobilisée, les jambes écartées avec des cordes. Je n”ose pas penser à ce que maîtresse peut alors me faire dans cette position.

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Maîtresse me met un bâillon écarteur en métal, je ne peux alors que marmonner, puis un bandeau assez serré sur les yeux associé d’un foulard.

Me voilà totalement isolée... C’est le noir complet.., la pression du foulard me pèse, les sons sont sourds, sensation extrême, souvent rêvée jamais exécutée jusqu”au bout; ça va, je me concentre.
Il ne faut pas se focaliser sur la claustrophobie, je tiendrais, oui, pour ma maîtresse.

Super challenge pour moi qui me permet de dépasser des frontières jamais atteintes, un vrai bonheur ! Merci maîtresse !
Cet isolement me plaît, attachée, immobilisée, les sens de l'ouïe et de la vue masqués, je suis à la merci de ma maîtresse.
Elle me parle, je l’entend vaguement, elle bouge, elle prépare des choses, c’est bon, les minutes s”écoulent, j’apprécie ce mode d’isolement. J’ai envie encore d’aller plus loin. C’est ce que semble dire ma maîtresse qui semble dire que ce n’est qu’un début...

Effectivement, elle m’attache les couilles ensembles et les tend vers le plafond. Quelques tapes sur les fesses, je me crispe dans mes liens mais sans moyen de bouger.

Maîtresse m’enlève alors ma cage, le bonheur de retrouver la liberté décidée par ma maîtresse. Merci maîtresse.
Je l’entend me parler d’Alphonse, dans cette position, je devrais bien l’apprécier !

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Maîtresse m’enlève alors mon plug, qui se trouve assez loin, la chaîne bien tendu confirme son utilité !

Voir un article du blog à ce sujet dont quelques détails concernant ce plug à chaîne. Malheureusement je ne suis pas propre.

Flûte alors, je le pensais sans en être sur, depuis le matin je sens que je suis en digestion, et une fois en route il y en a pour quelques heures.
Même plusieurs lavements faits auparavant ne permettent pas forcement d’être assurément propre à une heure donnée...
La digestion décide de faire son travail un peu comme elle a envie, selon des cycles j’imagine...
Maîtresse continue dans son élan, et me prépare pour me faire un lavement.
Elle me laisse les deux cokrings.

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Le lavement en place, maîtresse s’occupe alors de mon sexe. Je ne sais pas ce qu’elle fabrique, au bout ‘un moment, je sens alors un vibro se mettre en marche contre mon clito. Aussitôt il me fait de l’effet. Je crie dans mon bâillon, j’ai peur de jouir très vite...

Maîtresse m’enlève l’écarteur pour comprendre ce que je dis, je lui confie alors ma peur de jouir, elle ralentit le vibro.
Je ne voudrais pas jouir sans l’autorisation de ma maîtresse, je sais qu’elle n’aime pas ça, mais une fois “lancé”, difficile de s’arrêter !

Maîtresse m’enlève le bandeau, j’ai bien tenu, et maîtresse pense que pour une première cela suffit. Vivement la prochaine fois, pour rester encore plus longtemps ainsi.
Merci maîtresse pour cette fabuleuse expérience.
Je m’imagine mieux déjà le fait d’être totalement isolée sans pouvoir faire quoi que se soit, et surtout d’appeler au secours. Ainsi parée, seule maîtresse décide de me laisser le temps qu’elle veut, impossible de lui dire quoi que ce soit, mal ici, je vais jouir etc.
Pour cela, un bâillon boule bien serré, un bandeau et une cagoule harnais sanglée autour de la tête, je m’imagine déjà, Maîtresse saura le moment opportun de m’emmener à cette étape du sm hard.

Pour l’instant, je suis attachée ainsi depuis un peu de temps, je sens venir non pas des crampes comme décrites à maîtresse mais plutôt des étirements de mes entre-cuisses. Maîtresse me détache les bras pour les attacher de nouveau à l'intérieur des cuisses.
Pas très évident de changer de position, maîtresse se donne du mal, je veux l’aider un peu mais je commis une maladresse remarquée par maîtresse.
En voulant l’aider à passer mon bras, je lui dis “Il faut passer mes bras par ici...”

Quelle erreur de ma part, ordonner à maîtresse de faire quelque chose, j’avoue, je n’avais pas à le faire. Dans l’action je me suis laissée embarquée sans réfléchir et mes paroles ont dépassées ma volonté de bien faire.
Maîtresse me fait confirmer que je lui ai bien dit “Il faut...” Je réponds par l”affirmative...
Maîtresse ne perd pas de temps pour faire le tour de la table tout en me répétant l’erreur que je venais de faire, et qu’elle ne pouvait pas laisser passer cela.
J’étais d”accord avec elle, sauf quand elle se saisit d’un accessoire pendu au mur.
Sans savoir, ce que c’était, elle me dit “Tu vas regretter de me parler comme ça !”
L’action ne dura pas une éternité,

“Quelques coups de badine vont te faire réfléchir pour ne plus recommencer !”

Maîtresse vint poser sa badine en bois sur ma fesse droite. Dans la position que j’étais, cela correspondait plus au dessous de ma fesse, endroit encore plus sensible.

“Tu vas compter 20 coups !”

Le premier coup de badine tomba, bien appuyé, me fit hurler de douleur.
Je sais à quel point cet outil de punition peut être douloureux. Maîtresse me reprend pour me dire de compter sans émotions. J’encaisse alors dix coups bien fort sur ma fesse droite, j’en aurai pleurer, mais je dois accepter cette punition. Maîtresse fit le tour et m'affligea la seconde série de dix autres coups promis.

Je remerciais ensuite maîtresse.

Ce fut plus dure de recevoir vingt coups de badine que les cent coups de fouet précédemment reçus juste avant.
Maîtresse n’aimait pas ce genre de comportement et me le fit bien comprendre.
Bon... en écrivant ces lignes, je trouve que cela est très excitant mais sur le “coup” c’est pas la même !
Une fois la punition affligée, maîtresse continua sa perversité sur moi, plus calme, elle me caressa le sexe, c’était du pur bonheur, de se laisser “chouchouter” par sa maîtresse.

Séance difficile s’il en est, et ô combien perverse, par une maîtresse au mieux de sa forme, j’étais aux anges !
Maîtresse passa sa main sous ma nuisette et me tortura les tétons. Cela me fit le plein de sensations, je pensais jouir.

“Maîtresse ! je vais jouir”” “Faites doucement !”

Aille... prise dans dans envie de jouir, je parlais de nouveau mal à maîtresse pour la seconde fois en cinq minutes...
De nouveau, maîtresse me fit remarquer mes paroles, j’essayais en vain de m’excuser, de dire aussi que je n’avais pas fais exprès...
Elle n’en doutait pas sauf que je devais arriver à contenir mes paroles vis à vis d’elle. Elle reprit donc sa badine pour m’affliger une nouvelle série de vingt coups au même endroit...

Je comptais, les dix premiers coups sur ma fesse. Très difficile, j’en avais les larmes qui coulais et je devais compter sans émotions encore.
Afin de me concentrer, je laissais un silence avant de compter mais maîtresse enchaînais les coups, je devais alors compter plus vite mais la douleur était très intense. Horrible punition de la part de ma maîtresse. Je ne m’attendais pas à cela...

Maîtresse repris alors le cours de sa séance en s’occupant de moi avec douceur. Bien installée contre moi, je voyais dans un coin du miroir mon clito dans la main de maîtresse.

Je passais du miroir au visage de maîtresse rapidement sans cesse. Elle était radieuse et contente de me faire maintenant jouir.
Je me débattais comme je pouvais dans mes liens, prise avec cette envie de jouir qui montait en moi. Maîtresse me fit couler de sa salive dans ma bouche ouverte par le bâillon écarteur. J’étais bien...

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Maîtresse me tortura de nouveaux mes tétons.
Elle me parla d’un ton très excitant et très complice. Je la sentais très désireuse de tenir les promesses qu’elle allait me confier.

“Je vais te faire percer ma coquine !” “La totale !” Je lui répondais “Oui maîtresse ! J’en ai envie !”

Mon envie d’être marquée par des piercings pour ma maîtresse me semblait être une nouvelle étape de mon appartenance totale après le tatouage.
Rapidement je jouis alors tout en gémissant et en la regardant... Comme c'était bon,..

Merci maîtresse, c’était extraordinaire.

Encore une superbe séance entre les mains de ma maîtresse qui restera à jamais gravée dans ma mémoire.

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Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 28 mars 2015 6 28 /03 /Mars /2015 22:05

Pendant ma durée de chasteté de 34 jours, dernière idée de ma maîtresse, me faire porter cet objet !

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Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : cage de chasteté
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Mardi 24 février 2015 2 24 /02 /Fév /2015 05:18

41 jours que j’étais enfermée dans ma cage, je me rendais aux pieds de ma maîtresse pour cette première rencontre de l'année.

Je gère bien maintenant mais de temps en temps, l'excitation est bien là, montrant toujours mes envies de faire des choses plus ou moins hard avec ma maîtresse... 

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Je me présentais aux pieds de ma maîtresse en pleine forme !
Toujours aussi belle ma maîtresse, vêtue d’une robe en cuir fuschia.

Nous discutons longuement... tant de choses à nous dire...

Je déballe quelques affaires... Notamment ma nuisette grise que maîtresse voudrait me voir avec, des bas noirs et des sandales. Mais pour l’instant, après ma douche, j’enfile ma combinaison stretch laquée brillante et mes bottines latex.

Séance de maquillage, toujours un bon moment de complicité avec maîtresse, j’adore !

Nous voici au donjon, nous pouvons commencer à jouer !

Je ne sais jamais à l'avance quelle direction maîtresse va prendre... elle attrape une corde et m’attache le torse et les bras. je reste détendue afin que les liens se serrent pas trop. Parfait !
La preuve, je resterai les bras dans le dos jusqu’à la fin de la séance, quelques heures durant !

Bravo Daniela, je me félicite car ça m’énerve tellement quand maîtresse, en pleine séance, lui dire que j’ai mal...
Elle doit alors me détacher...

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Une fois le torse attaché, elle me sécurise en m’attachant au plafond.
Elle m’attache ensuite une jambe qu’elle me tend à l’horizontale. Je tiens alors sur une jambe et mon autre jambe et à 90°. Quelle belle position !

Une petite photo, maîtresse appuyée sur ma jambe me regardant avec le sourire, Photo géniale !

Ensuite elle me fait plier la jambe en deux mais toujours en l’air, je dois alors me pencher en avant, elle me place Alphonse en position derrière moi. Très belle position, que j’apprécie par l’originalité et l’angle d’attaque d’Alphonse, le coquin qui déf...!!!

Il va s’amuser ainsi pendant quelques minutes. La position est difficile, la jambe pliée à son maximum, j’ai beaucoup apprécié le gode dans cette posture, devant maîtriser mon équilibre et sentir ce gode en moi...

Maîtresse me libère un peu de mes liens aux jambes, je reste debout un petit moment afin de récupérer des quelques fourmis. Je reste les bras bondagés dans le dos, maîtresse m’ordonne alors de venir sur la table, ou je me couche sur le dos.

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Pas évident de se coucher sur le dos avec les bras dans le dos également. ça va c’est très confortable ! Maîtresse m’attache alors à la table avec des cordes. Les jambes serrées, écartées à leur maximum, je ne peux alors plus bouger. Je suis très très bien calée pour recevoir Alphonse, et oui encore lui, qui se prépare à m’enfiler.

Bien positionnée, maîtresse me fait prendre par Alphonse ainsi pendant quelques minutes. Très agréables sensations, car très bien immobilisée. Alphonse peut aller au bout de lui-même sans queue je puisse reculer ! Mon sexe encore encagé gonfle et j’ai très envie de jouir.

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MERCI Maîtresse de m’enlever ma cage, que c’est bon de sentir ainsi libérée.
Mon sexe s’allonge alors naturellement.
Maîtresse me pose les électrodes que je lui ai offerttes quelques mois auparavant. Elle les ajuste sur le sexe. Le courant a un peu de mal à passer mais finalement petit à petit je sens la tension arriver par vagues aléatoires.

Solidement attachée, prise par Alphonse et de l’électricité sur les parties, c’était vraiment excellent. Jaurais aimé avoir la bouche prise, par un beau bâillon, mais maîtresse aimait m’entendre gémir des coups de gode de son assistant.

Maîtresse me laisse quelques minutes seule avec mes jouets. Sensations intéressantes de se sentir prisonnière ainsi et torturée. Attendant le retour de ma belle geôlière.

J'ai tant confiance en ma maîtresse, c'est quelque chose que je réussirais à faire un jour, me sentir comme une vraie prisonnière, attachée, enfermée, attendant sans savoir quand ma maitresse viendra s'occuper de moi, me punir, ou me libérer...

Je ne me connaissais pas aussi apte à gérer un tel moment ! Il faut dire que la position est vraiment bien, c’est un peu hard et ça me plaît !

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Maîtresse revint alors, elle m’enlève les électrodes et s'occupe alors de mon clito.

Je me sens tellement bien entre ses mains, j’ai envie que ces instants durent indéfiniment, maîtresse !
Je me débats comme je peux, mais impossible, je suis tellement bien, je parle à maîtresse...
J’apprécie ces instants importants de ma vie de soumise.
Je bouge ma tête un peu dans tous les sens pendant que maîtresse me caresse lentement le sexe. J’ai la bouche sèche, pas de soucis la salive de maîtresse vient me combler. Merci maîtresse, j’adore cela !

J’ai très envie de jouir mais aussi de sentir quelque chose dans ma bouche, maîtresse m’offre ses doigts, et je jouis pendant qu’elle me caresse et que je suce ses doigts. Ce fut encore de beaux instants, si magiques...

Merci maîtresse pour ces heures passées entre vos mains. Cette séance restera à jamais gravée dans ma mémoire, tant d’émotions se sont échappées de nous deux...
Nous seules connaissons ces instants et ils resteront notre secret.

Merci maîtresse !

Chers lecteurs, pardon pour la ou les coquilles qui se sont glissées dans ce texte, c'est involontaire... ou pas...

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Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Lundi 22 décembre 2014 1 22 /12 /Déc /2014 08:20

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Voilà le jour tant attendu arrive enfin, 45ème jour de chasteté. Je tiens le coup, la relation avec maîtresse a vraiment évolué, et a grandi.
J’arrive juste à l’heure, la route s’est bien passée, malgré la pluie qui ne faiblit pas dans le midi...
Maîtresse vient m’ouvrir la porte extérieure, elle est splendide avec sa tenue toute légère sous son parapluie !

Nous rentrons au donjon, je m’agenouille pour lui baiser les pieds, quel bonheur d’être de nouveau face à ma maîtresse.
Je découvre le donjon terminé de maîtresse. Il est maintenant opérationnel même si tout n’est pas encore fini.
La première impression qui me vient, c’est l’espace ! C’est très grand... habituée à un espace un peu plus confiné, cela fait drôle.
La blancheur actuelle des murs renforce cette idée d’espace. Il manque la séparation des lieux par de petits mobiliers, et la décoration apportera une ambiance un peu plus intime et feutrée.
Une fois que maîtresse se sera approprié les lieux à son image ce sera vraiment splendide. De belles choses se passeront ici c’est sur !
Cela promet d’être un magnifique lieu pour toutes les activités... perverses de maîtresse.
La première chose que je vois est le nouveau partenaire de maîtresse, Alphonse ! Il est caché sous un drap mais je le devine...

Je déballe mes sacs afin de proposer quelques tenues que maîtresse choisira.
Nous arrivons à mettre de côté quelques affaires que je sépare du reste.
J’enfile des sous-vêtements, une culotte, un porte-jarretelles, des bas et ma nouvelle robe à grosses mailles. Il s’agit plus d’un déshabillé, voir d’une nuisette qu’une robe... Maîtresse me serre mon corset et direction la salle de bains pour le maquillage.

Maîtresse me maquille différemment cette fois-ci, avec des niveaux de gris. Cela me change, et j’aime beaucoup. C’est vrai que je ne prends pas assez de temps pour faire des essais de couleurs, avec ma coiffure ou des habits différents, des couleurs différentes. Je suis souvent en noir avec de petites touches de rouge ou de violet, et c’est vrai que ce serait cool de changer un peu...

J'enfile mes bottines latex noires, nous sommes prêtes !

Un peu de musique, un peu de chauffage, de l’éclairage tamisé avec un assortiment de couleur de leds, l’ambiance est posée !
Maîtresse règle son appareil photo, je pose pour quelques photos avec un objet de mon choix, humm humm... voyons, voyons, son gode ceinture ! Pur hasard je vous promets !

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Pas le temps de donner un cadeau à ma maîtresse... elle a déjà une corde dans les mains, je le pose sur une table.

Maîtresse me pose rapidement sa corde sur mon buste, avec me dit elle, l'essai d'un nouveau bondage. Les bras ligotés derrière mon dos, je me retrouve rapidement à genoux sur le prie-dieu. Je commence à le connaître quelque peu...
Je ne sais pas sur quel chemin maîtresse a envie de m’emmener ce jour. Je me pose des questions, j’observe, j’apprécie aussi.
Je suis rapidement et complètement immobilisée, chaque doigt est attaché.. Je commence à avoir très chaud, je commence à transpirer et c’est vrai que les cordes commencent aussi à me serrer les membres et le torse. Maîtresse s’en rend compte rapidement, un peu de coka à la paille, maîtresse baisse un peu la température de la clim, et me détache. Pas complètement tout de même, elle me rattache différemment mais toujours autant immobilisée sur le prie-dieu. Je ne peux vraiment pas bouger et ce n’est pas pour me déplaire !

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Maîtresse découvre alors le cadeau que je lui ai ramené ! C’était une surprise ! Et je ne pensais pas qu’elle avait deviné ce que c’était ! Nous avions joué à un petit jeu de devinette par sms...

Un collier et deux bracelets tout métal, soudé et avec des trous pour y passer des vis ou des cadenas. C’était un prototype, j’avais demandé à un collègue serrurier de me fabriquer ces beaux objets pensés par maîtresse.
Des modifications peuvent être apportées afin de sécuriser la fermeture avec une charnière et de pouvoir les adapter sur des barres d'écartements, et même sur sur un mobilier tout métal, projet à étudier...

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Maîtresse semblait satisfaite de ces objets et les essaya sur moi avec ses chaînes et ses cadenas. Les bracelets dans le dos, et le collier au cou, elle le fixa à la traverse du prie-dieu, j’étais ainsi immobilisée à souhait. Impossible de faire le moindre mouvement, au contraire chaque tentative me renfonçait de plus en plus au fond du prie-dieu. Les liens se resserraient et mes fesses de plus en plus à la portée de maîtresse.

Ce n’était pas pour lui déplaire ! Moi non plus je dirais, toujours assoiffée du prolongement de la main de ma maîtresse sur mon corps, je me sentais bien.
J’allais souffrir, certes, maso je ne sais pas, maso de ma maîtresse ouiiiiii certainement ! 

Maîtresse constatait que j’avais quelques fuites sous forme de vents, je lui racontais mon angoisse de n’être sûrement pas complètement propre...

Maîtresse me titillait un peu les fesses, je sentais que j’allais avoir mal, pourquoi je ne sais pas...
Afin de me faire oublier les douleurs, maîtresse me présenta Alphonse que je dûs sucer avec délectation.

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Bien positionnée et complètement immobilisée, je ne pouvais que le prendre et le sucer bien profondément. Bien réglé par maîtresse, il faisait des allers et retours au fond de ma gorge. Ce n'était pas sans nous déplaire maîtresse et moi. J’adorais avoir un sexe en bouche et maîtresse semblait prendre beaucoup de plaisir à me voir sucer un sexe bien dur...
Le faire par plaisir était une chose mais le faire en plus pour ma maîtresse était la cerise sur le gâteau, la bite au fond de ma bouche ! Daniela tu es vulgaire !

Cela m’excite terriblement de faire ce genre de pratique et j’ai vraiment envie de progresser à avoir un sexe en bouche, qui plus est, bien gros..., afin de le prendre bien profond. Une vraie salope ! Oui mais la salope de maîtresse, et ça c’est quelque chose !!!
Pourquoi pas un jour qu’elle me présentera un homme avec un sexe bien dur, plusieurs peut-être...

Revenons à nos moutons, maîtresse m’encourage tout en me titillant les seins et le sexe. Ce qui m’excite le plus c’est de le faire sous le contrôle de ma maîtresse... encore un fantasme... Daniela on se concentre bon sang !!!
Ah oui..., maîtresse me fouettait pendant que je suçais de longues minutes Alphonse, c’était vraiment délicieux et un bel entraînement pour moi !

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Après quelques coups un peu plus appuyés sur mes fesses, maîtresse me bâillonna.
Hummm, j'avais tellement envie d’être bâillonnée...
Maîtresse me passe par deux fois une corde dans la bouche, le tout bien serré autour de ma tête je ne peux alors que gémir...

Cela fait quelques mois que je fantasme sur des bâillonnements....
Peut-être la frustration de ne pas arriver à supporter une cagoule sur la tête alors que j’en ai fortement envie. Je me retourne alors sur cette sensation d’avoir la bouche prise, entièrement pleine et sans pouvoir l’ouvrir.
Très excitée par les baillons boules et métal de par leur matière, mais il y en a un que j'aimerais par dessus tout...
J’aimerais subir le fait d’être bâillonnée avec du sctoch ou du sparadrap super large... et avoir un foulard conséquent dans la bouche ou plaisir extrême, la culotte de ma maîtresse...
Stop Daniela, on arrête de fantasmer et on se concentre sur le bâillon de corde de maîtresse qui m'empêche littéralement de dire quelque chose...
Et surtout de compter les vingt coups que maîtresse me demande de prendre.

Elle débuta calmement, bâillonnée, je ne pouvais compter les coups, elle me réprima alors et je comptais avec mes doigts, seule partie de mon corps encore un peu en mouvement !
Je düs reprendre depuis le début... J’avais raté au moins cinq coups assez forts, quand Maîtresse me fouettait les fesses et particulièrement la gauche... Maîtresse préserva la fesse droite pour la surprise à venir...
Je supportais tant bien que mal en gémissant, maîtresse ne voulait pas m’entendre, je souffrais alors en silence, lui obéissant comme j’aime le faire.
Les cinq derniers coups furent extrêmement violents, je sentais maîtresse se lâcher sur le mouvement de son bras et de son fouet. Les coups tous bien placés furent très douloureux mais si vite enchaînés les uns des autres qu’il m’était plus facile de contrôler cette souffrance l'espace d’un instant.

Maîtresse me confiait qu’elle sentait qu’avec moi, elle pouvait se lâcher un peu. J’étais assez fière de moi que maîtresse puisse aller elle aussi, plus loin dans son plaisir.
Je me retenais tellement que dès le dernier des vingt coups porté je fondais en larmes tellement la douleur était vivace. Maîtresse me reprenait encore. Je me tus aussitôt.

Maîtresse me détacha assez rapidement de mes liens car ces derniers s’étaient très resserrés... le bâillon de cordes retiré, je remerciais maîtresse, et elle me détacha du reste. Voyant comme je souffrais, elle voulut couper les cordes mais j’étais prête à souffrir encore quelques minutes supplémentaires. Pour ma maîtresse oui !

Une fois libérée, je reprenais mes esprits debout à faire quelques mouvements, pendant que maîtresse préparait la suite des réjouissances. J’allais aussi aux toilettes afin de me laver un peu. Je revenais quelques minutes plus tard. Mes angoisses s’étaient évaporées et j’étais propre depuis le matin lorsque je me suis lavée avant de descendre au donjon !

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Maîtresse m’ordonna de me me mettre sur le sling, pour me faire prendre par Alphonse !
Initialement prévu qu’il me prenne sur le prie-dieu, c’est assurément propre qu’il me prendra sur le sling.
Maîtresse ajuste son matériel, baîllonée, les bras attachés, les jambes écartées, Alphonse me prend alors sans ménagement. Maîtresse met en place également cette S. de Pénélope. J’espère qu’elle ne me fera pas jouir trop vite cette coquine...
Les allers et venues d’Alphonse au fond de ma chatte, furent irréguliers. J’aime quand il me prend plusieurs fois de suite profondément, c’est très jouissif.
Cependant, le sling étant plutôt mobile, les à-coups d’Alphonse sont atténués, presque inexistants car les mouvements du sling accompagnent ceux d’Alphonse...

Ce fut une belle expérience, et je m’imagine déjà dans des positions plus extravagantes encore, complètement immobilisée, être prise par Alphonse pendant de longues minutes devant ma maîtresse.

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Maîtresse m’enlève ma cage, toujours un moment important cette libération, j’apprécie ce moment décidé par maîtresse. Merci maîtresse.

Très rapidement Pénélope m’attrape et ses va et vient me font rapidement monter l’excitation. J’appréciais pendant un petit laps de temps la connivence d’Alphonse et de Pénélope pour me faire plaisir, mais je jouis tout de même rapidement, trop rapidement...
Il m’était arrivé pareille mésaventure et je ne peux pas dire que j’en garde un bon souvenir.

Heureusement, maîtresse m’accompagne dans ces instants de jouissance importants pour ma vie de soumise.
J’aimerais tant être endurante à ce niveau-là, aidée par maîtresse j’y arriverais un jour, c’est sûr !
Me faire jouir à intervalles réguliers, être forcée de jouir, être vidée... Terriblement envie de séance intense à ce niveau là... Il faut pas mal de temps devant soi j’imagine, et tenir le rythme que maîtresse impose.

Maîtresse me détache, petit à petit, je me redresse, je la remercie à genoux, nous regardons l’heure, et oui déjà !
Toujours la même chose... le temps passe vraiment trop vite entre les mains de maîtresse.
Je me sentais bien, en forme..., maîtresse remarqua une petite fatigue, moins tonique aussi, un peu relâchée musculairement, ça ne pardonne pas dans les mains de maîtresse ! Je vais me reprendre !

Une douche dans le nouveau donjon, maîtresse m’annonce que je resterais libre sans cage, pendant quelques jours. Cinq jours, histoire de reposer ma prostate et profiter peut-être de plaisirs supplémentaires.

Je me rhabille, il est malheureusement l’heure de se séparer, je lui baise les pieds.
Encore une belle séance avec ma maîtresse ! Merci infiniment.

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Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Mardi 7 octobre 2014 2 07 /10 /Oct /2014 04:44

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Depuis le début de l’été, il était prévu une sortie en club maîtresse et moi. Repoussée deux fois, la fin de l’été approchait, la date arrivait enfin !

Excitée par plus de deux mois de chasteté d’une part et par un suivi de près de ma maîtresse, notre rencontre promettait d’être chaude !

Enfin nos retrouvailles, le bonheur d’être à ses pieds, profiter pleinement de ma maîtresse...

Échanger, lui sourire, la satisfaire, le bonheur du réel !

Nous nous préparons au donjon assez rapidement, plus facile quand on a déjà la tenue en main ! Maîtresse me l’avais déjà choisi auparavant. Tout se passe bien, déjà en sous-vêtements, j’enfile ma robe à paillettes transparente, mon corset, mes bottes, je me prépare pour le maquillage, de la crème hydratante.

Maîtresse se prépare aussi et termine par mon maquillage, encore une petite merveille !
Elle me pose aussi mes faux cils, que je ne prendrai même pas le temps d‘admirer sur moi...

Maîtresse sublime, leggins noir, sandales et corset noir...

Nous partons il est tard déjà, en retard sur l’heure prévue... Un peu plus d’une heure pour arrivée au club. Je suis de près maîtresse dans ce magnifique lieu du bdsm de la côte. Je laisse le gros sac à l’entrée et maîtresse me fait visiter ce lieu tout à fait magique !

Beaucoup de monde ! beaucoup de couples en train de jouer, quelques hommes seuls, pas d’autres sissy à l’horizon.

Beaucoup de petites cabines ouvertes toutes décorées de bois épais, et beaucoup d’ateliers faits de mobiliers et d’accessoires. Plein d’endroits ou s’accrocher, mais aussi quelques cages. Très beau décor, assez lumineux, avec une belle musique, et à première vue, une bonne ambiance, chacun est occupé à jouer, nous rentrons avec discrétion.

Maîtresse profite de la visite pour repérer l’endroit ou nous pourrons commencer à jouer !
Ce sera une petite cabine, avec un cheval d’arçon non commun car avec un trou pour y passer le sexe, des chaînes pendent du plafond pour y accrocher les poignets.

Maîtresse s'intéresse de suite aux accessoires accrochés en batterie au mur comme des instruments de cuisine !
Je mets un peu de temps à réaliser que c’était en fait des plugs en bois de différentes formes avec des grosseurs plus ou moins imposantes. Quand maîtresse pris le premier plug dans sa main je réalisais quelle était la relation entre le cheval d’arçon et les godes et autres plugs de bois. Chaque accessoire avait une poignée qui servait à se positionner et à s’encastrer sur le cheval ! Je vous laisse deviner comment utiliser alors ce cheval d’arçon...

Un frisson me parcourrais tout le corps, je respirais lentement et je me préparais.
Maîtresse hésitait entre plusieurs, en choisit un, puis se ravisait, elle prit finalement un gode lisse mais de bon diamètre et de bonne longueur.
J’aime quand maîtresse prépare le début de sa séance, les instants qui précèdent, je dévore alors chacun de ses gestes et j'analyse chaque détail rapidement afin d’imaginer le pourquoi du comment de tel geste de maîtresse.

Maîtresse s’affaire dans son sac, et sort des choses, en cherchent d’autres... toujours un peu de suspense ! Le gode est prêt, les mains posées sur le cheval, face à elle je me prépare psychologiquement, je suis excitée à l’idée, je me tortille du popotin devant quelques personnes. Elle enfile un préservatif sur le gode et m’ordonne de monter sur le cheval et de m’empaler sur le gode.
De suite je sens quelques spectateurs derrière et à côté de moi voulant me voir en train de me faire dominer par une belle maîtresse.
Je me sens bien, très à l’aise dans mon rôle de soumise. Je me sens belle, aux côtés de ma non moins belle maîtresse, superbe maîtresse !

Je grimpe sur les repose-pieds du cheval d’arçon, et je respire profondément au moment de sentir le gode s’approcher de mon trou. Maîtresse me tient, elle est vraiment proche de moi, me chuchote des choses, coquines..., qui resteront notre secret !
Et oui, fidèles lecteurs, je ne vais pas tout vous dire concernant notre complicité, vous seriez jaloux et jalouses... !!!

J’arrive enfin à m’enfiler ce gode qui me faisait tout de même un peu peur... bien ancrée dessus, je ne risquais pas de tomber ! Maîtresse me calais bien au fond et m’aidais à lever mes fesses et à redescendre afin que je sente bien ce beau gode.
J’écoute les commentaires assez envieux de spectateurs ou d’autres qui croient que je suis simplement assise sur ce cheval d’arçon, les naïfs je vous jure ! Réfléchissez, ce ne serai pas drôle, non !
Maîtresse m’attache les poignets devant moi et me suspend les bras à la magnifique structure d’acier au dessus de nos têtes. Maîtresse joue alors avec moi et m’aide à me faire plaisir sur ce gode. Très belle position et superbes sensations, cela commençait fort !

Maîtresse s'équipa de son gode ceinture, pas juste comme décoration sur son superbe corps qui n’en a pas besoin, mais ce n’est pas pour tout de suite...
Je la sentais impatiente de me prendre...
Maîtresse mit un gode ventouse sur le devant du cheval, et j’avoue être tentée de le prendre à pleine bouche mais impossible de me plier pour y accéder...

Maîtresse joue avec moi, elle m’aide à me décoller les fesses du cheval et à faire des entrées et sorties sur ce gode, c’est vraiment très bon...
Elle me détache et m’ordonne de me lever. Les spectateurs sont alors surpris de voir ce gode planté au milieu de ce cheval, je suis la première surprise de voir ce que que je venais de me prendre, mais quel immense plaisir, merci maîtresse ! 

Maîtresse enlève ma cage de chasteté et me libère de près de deux mois d'enfermement, je respire profondément en appréciant ce geste de ma maîtresse. Deux mois à penser à cet instant de libération, moment fort de ma condition de soumise, merci maîtresse.

Debout au sol, en bout de cheval, bien calée, je peux alors m’incliner et prendre ce gode ventouse en bouche et le sucer.
Pendant que je m’amuse, maîtresse me prépare alors pour me prendre avec son gode.

Depuis nos retrouvailles, nous n’avions pu éprouver le plaisir que maîtresse me prenne avec son gode ceinture. J’en avais alors qu’un souvenir lointain, j’attendais alors cela avec impatience.
Maîtresse était aussi très excitée de me prendre, il est vrai que pendant pratiquement deux mois, d'abstinence, nous avions correspondu à distance et je lui envoyais régulièrement des photos de moi en petite tenue dont vous avez pu voir sur un autre article du blog. Et bien entendu, j’aimais montrer la plus belle partie de mon corps, selon moi, mes fesses.
Les fesses de ma maîtresse, elles lui appartiennent.
J’attendais ce moment avec tellement d’impatience... Excitée l’une comme l‘autre... Bien calée contre le cheval d’arçon, j’inaugurais son nouveau gode !

Elle commença en douceur, puis par série, je la sentais me pénétrer, le bassin de maîtresse venant buter autour de mes fesses, un vrai bonheur. Les assauts répétés de maîtresse pour me prendre de plus en plus fort puis de toutes ses forces me firent passer un moment merveilleux. Le cheval d’arçon se déplaçait, devant des spectateurs attentionnés, envieux peut-être...
Ce nouveau gode inauguré par maîtresse est vraiment fantastique...
Maîtresse ne me ménageait pas, mais elle m’avait prévenu, elle serait en forme !
Je croulais sous les assauts, courts et intenses. Pour faire un peu de sport, cela s’apparentait vraiment à une séance de fractionné, une vraie séance éprouvante physiquement mais tellement plaisante ! Mais je m’étais préparé à cela, et j’avais promis à maîtresse que je serai en forme également !

Cela durait un bon bout de temps, maîtresse m’épuisa littéralement..., la pression retomba quelque peu, un petit tour aux toilettes, j’aide alors maîtresse à remballer et à laisser propre notre terrain de jeu. Maîtresse accroche une laisse à mon collier de soumise et je la suis sur SON terrain de jeu !

Elle m'emmène, au fond d’une cabine de taille moyenne avec d’autres ateliers à côté. Il y a notamment un banc à fesser avec une belle soumise habillée d’un magnifique corset en train de se faire fouetter son splendide fessier.
Maîtresse teste la structure acier du plafond, elle est solide, elle s’en servira pour exécuter une de ses pratique préférée, la suspension.
Petit à petit, elle sort ses cordes, et commençe à m’attacher. Je plaisantes un peu avant que maîtresse se concentre sur son sujet.
J’aime la laisser dans son trip, je me concentre également, ne pas se crisper, rester détendue, pas évident pour moi, n’est ce pas maîtresse ?

Mon éducation par maîtresse porte ses fruits, je suis complètement à l’écoute de ses ordres, je bois chacune de ses paroles. Je me sens bien à ses pieds, et j’aime la manière qu’elle me fait progresser dans ma vie de soumise. Curieuse de mon avenir, elle a plein de projets pour moi, pour nous. Elle m’en cache certains, m’en dit d’autres, véritable complicité entre une maîtresse et sa soumise.
Avant de commencer, maîtresse me demande si je veux enlever mes bottes, je les supportent encore bien, et c’est tout de même plus sexy avec !
Les bras dans le dos, maîtresse me passe les cordes autour de mon corps, je savoure chacune d’elles venant m’habiller.
A chacune d’entre elle, quelques frissons, j’imagine une position, quelle idée va avoir maîtresse, quelle position imagine t elle dans sa tête....
Telle l’artiste créant son oeuvre, elle se sert de ses cordes et de mon corps pour créer...

Petit à petit sous les yeux de soumis, soumises, maîtres et maîtresses, ma maîtresse crée son oeuvre, chacun est impatient de découvrir l’évolution de ce bondage, voir le but et le résultat final.

Comment ma maîtresse va m’utiliser dans cette position...

Le bondage prend du temps, les gens viennent et repartent, finalement reviennent découvrir petit à petit l’avancement de l’oeuvre de maîtresse.
Après m’avoir bien attaché le buste, maîtresse m’attache aussi la taille, elle s’en sert pour commencer sa suspension, que je sois maintenue.
Puis vint le tour des jambes, ma jambe gauche est pliée en arrière et bondagée, cela commence a être très excitant de se sentir immobilisée... je ne tiens que sur une jambe mais suspendue au plafond je ne risque rien, maîtresse m’ordonne de me laisser aller sur le coté, effectivement je me sens porter par ses cordes.
Elle m’attache la seconde jambe, repliée sur elle même également, un peu écartée, afin de laisser toute la place à maîtresse pour accéder à mon entrejambe.

Me voilà suspendue en l’air, les personnes présentes admirent le beau travail de maîtresse.
Et moi tellement fière d’être au centre de cette oeuvre, je me sens tellement mise en valeur, merci maîtresse !
Mais la performance de maîtresse ne s'arrête pas là !
Bien suspendue, maîtresse me laisse seule deux minutes, le temps de me concentrer su ma position, je suis vraiment bien, un vrai bonheur de voler, surtout sans aucune douleur !

Maîtresse revint avec du coka ! elle me le fait boire avec sa paille... Vraiment délicieux le coka venant de la bouche de ma reine.
Je me sens bien, ligotée dans les liens de ma maîtresse, bien calée, aucune douleur, mon poids bien équilibré sur chaque point d’ancrage.
Elle sort de son sac quelques accessoires, je devine petit à petit à quoi va jouer ma maîtresse. Elle me fait virevolter un peu dans les airs, je peux alors montrer aux spectateurs chacune de mes faces mises en valeur assurément par ce magnifique bondage.
Elle commence à jouer un peu avec mon sexe, enfiles un gant et elle se faufile entre mes fesses afin d’introduire un de ses doigts dans ma chatte toute échaudée par le gode de ma maîtresse.
Cette partie du jeu dura alors une éternité, j’étais suspendue à la volonté de maîtresse de me faire monter et baisser l’excitation.
Pendant sûrement une heure, elle joua ainsi, devant des spectateurs médusés et attentifs à chacun des gestes de ma maîtresse, et écoutant mes gémissements.
Quel moment magique, j’étais aux anges ! Maîtresse m’observait, m’écoutait, c’est vraiment lors de tels instants que je comprends toute la finalité de ma soumission à ses pieds. Ne désirant que ma maîtresse, elle seule s’occupant de moi, de ma sexualité, étant à ses ordres pour me libérer.

Chaque moment était très intense jusqu’au final ou maîtresse décidait de me libérer, je regardais maîtresse dans les yeux et appréciais ce moment, je la remerciais. Les commentaires allaient bon train, les spectateurs eux aussi pouvaient alors se détendre et parler entre eux...

Pendant quelques secondes, j’étais ailleurs, je savourais ces instants.
Je soufflais un tout petit peu, pendant que maîtresse me détachait petit à petit, j’étais tellement bien... La pression retombait, un peu trop brusquement d’ailleurs, lorsque je posais mes deux pieds au sol, je me sentais alors partir, emportée...
Maîtresse me regardais dans les yeux et réussit à me tenir éveillée, le temps de me tendre le verre de coka. Mais j’avais tellement envie de partir dans un sommeil, je partais sans résistance, je voulais rester sur ce plaisir offert par maîtresse, j’étais bien !
Maîtresse réussissais à me tenir tout de même réveillée, je bus la fin du verre de coka, ça allait mieux, un homme vint me soutenir pendant que maîtresse finissait de me détacher afin de me poser au sol.
Je ne sais pas ou je partais mais je le faisais en toute conscience et par pur plaisir... Couchée quelques minutes par terre, maîtresse m’enlevait mes bottes et je me reposais quelques minutes. Je repris mes esprits, quelques personnes étaient encore là à discuter.
Je m’assois, je reprends mes esprits.
Je crois que je me souviendrais longtemps de ces merveilleux instants et de cette belle performance de maîtresse Akina.

Je me rafraîchissais le visage aux toilettes pendant que maîtresse rangea les cordes. Nous nous déplaçons de lieu, et elle montra son talent de bondage sur un soumis.

La soirée se terminait autour d’un verre de champagne avec les personnes restantes et les patrons du club.

Excellente soirée ! Merci beaucoup maîtresse !

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Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume

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