Histoire vécue Juin 2012.
Arrivée quelques heures en avance,
j’avais repéré le numéro de la rue de Maîtresse Akina.
Je sonnais cinq minutes avant l’heure prévue. Elle m’indiqua le bâtiment de la résidence ainsi que le numéro de l’appartement. Pour tous les rendez-vous que j’ai déjà eus, jamais je n’eus autant
envie de m’y rendre aussi rapidement.
Je frappais, j’entendis le bruit de talons très fin taper le sol en s’approchant de la porte. Elle m’ouvrit, je m’enfilais dans le couloir éclairé de l’appartement. Je rentre et je me retrouve en
face d’elle. D’une grande beauté, je remarquais surtout sa taille, il est vrai qu’elle avait des talons mais tout de même, j’étais impressionné, pardon impressionnée. Je parle désormais au
féminin grâce à maîtresse Akina, reprise un certain nombre de fois, je le retiens désormais. Si je je me conduis maintenant au féminin, c’est grâce à son comportement envers moi et aux quelques
réprimandes dont j’ai fait l’objet qu’elle me flanquait les fois ou je m’exprimais mal.
Pendant toute la durée de mon séjour, maîtresse Akina a eu des égards envers ma personne de Sissy.
Voilà, j’y étais donc... nous discutions cinq minutes à peine, après le briefing et une douche, les choses sérieuses pouvaient débuter.
A genoux à ses pieds, je saluai ma maîtresse en lui baisant ses deux pieds.
Je sortis mon petit cadeau, “Belle d’Opium” son parfum préféré et mon offrande que je déposais à ses pieds divins.
Quelque peu maladroite par mon comportement, maîtresse sût me mettre à l’aise.
Ensuite elle voulait voir mes tenues. Je vidais mes sacs devant elle avec beaucoup de nervosité, toujours aussi impressionnée que j’étais.
Je classais ensuite suivant ses ordres mes tenues que j’enfilerais lors de mon séjour. Elles étaient toutes plus excitantes les unes que les autres.
A noter, qu’il me manquait des tenues assorties, des hauts de couleurs ainsi que des sous-vêtements blancs.
Je rangeais ensuite le surplus. et je m’habillais. Quelque peu gênée d’être nue devant elle à m’habiller, encore une fois maîtresse Akina eut beaucoup d’égards envers mon attitude, elle voulait
tellement que je sois belle !
Ma première tenue enfilée, elle me maquillait en parfaite coquine, me mis mon collier de chienne ainsi que la laisse.
Pendant près d’une heure nous fîmes des photos. Je lui confiais mon adoration de m’habiller en femme et d’en faire des photos. Elle me faisait prendre des poses avec divers accessoires.
Petit à petit, je me lâchais un peu afin de prendre des attitudes de coquine.
Je me sentais alors à l’aise à ses côtés, comment ne pas l’être. Maîtresse est une personne très exigeante qui ne badine pas avec les règles de comportement mais elle a plein d’attention envers
ses hôtes.
Pendant le shooting, on sonna à l’entrée. C’était Lili, la soumise attitrée de maîtresse Akina.
Lili salua sa maitresse comme il se doit en lui baisant longuement ses divins pieds.
Ma séance photos continua alors avec Lili qui avait aussi son appareil.
Je passais ensuite à une séance d’esthéticienne, maîtresse me posa des faux ongles qu’elle prit soin ensuite de vernir. J’étais à ses pieds, je vivais un vrai bonheur, elle était aux petits soins
pour me faire une beauté.
J’ai beaucoup apprécié ces instants de se sentir femme et que l’on m’aide à me le devenir.
Toutes ces attentions à mon égard me confortent à l’idée que je suis sur une bonne voie, et que mon destin est là corrigeant quelque peu de ne pas être née en femme.
Maîtresse commença alors à sortir ses cordes de chanvre. Elle m’attacha méticuleusement les mains puis le torse et tout le tronc.
Malheureusement, trop crispée pendant ce début de séance, je gardais trop mon souffle et j’avais quelque peu du mal à respirer, maîtresse très à mon écoute me défit ce bondage.
Après ce petit coup de chaud, ce n’était que partie remise, maintenant en sous-vêtement elle me refit une tenue en cordes avec un bondage moins serré mais pas moins contraignant.
Cela mit bien en valeur les formes de mon corps, ce dont j’appréciais tout particulièrement. Cela aussi plût à Maîtresse Akina qui en profita pour me rougir les fesses avec ses mains douces mais
fermes.
Les bras tendus vers le plafond, bâillonnée, j’étais de plus en plus excitée à me débattre dans la toile tissée par ma maîtresse. elle se frottait contre mes fesses, me les caressait, bref
j’étais bien et cela se voyait !
J’étais maintenant à quatre pattes, la poitrine sur son
banc, barre d’écartement aux chevilles, bras tendus, je pouvais encore moins bouger. Mes testicules bien enveloppés dans de la corde étaient tirées en arrière entre mes fesses et également
accrochées au plafond. Mon clito était alors bien tiré vers le bas à disposition de maîtresse qui me traillias alors le temps que je me débâtais.
Je devinais alors un peu la suite des évènements.
Toujours sous l’oeil de Lili, toujours aux aguets pour faire de belles photos, maîtresse Akina prépara mon lavement.
Cette pratique que j'appréciais tout particulièrement en me le faisant seule devenait d’un coup un supplice exécuté par Maîtresse Akina maîtrisant de mains de maitre cette technique en allant
vraiment jusqu’au bout de ma souffrance. Je n’avais pas le choix de supporter cette douleur qui m’envahissait le ventre. Le liquide tiède venait petit à petit le remplir sans qu’une goutte ne
puisse s’échapper.
Au bout de quelques minutes, hormis la quantité du liquide injecté qui me serrait de plus en plus mon bondage, c’est le contenu de ce lavement qui me faisait hurler de douleur. En effet, quelques
épices choisies par maîtresse Akina, composaient ce lavement.
Maîtresse était satisfaite du résultat, je la suppliais d’arrêter. Rien ni fît, le supplice continua encore de longues minutes ou elle m’observa et me branlait le clito paradoxalement bien dur.
Avec le recul, je reconnais que ce moment fut très, même très dur, mais terriblement jouissif. Je sentais vraiment l’emprise de mon corps par ma maîtresse, jusqu’au plus profond de moi.
Le temps de me défaire de mes liens, vint ensuite la délivrance, ce long moment infini ou mon ventre se vide.
Je revins propre toujours aussi excitée d’être cette soumise dévouée aux caprices de ma maîtresse, elle m’avait ordonné de m’enfiler un petit Rosebud.
Pendant ce temps, maîtresse s’occupait de sa soumise, elle l’avait attaché debout complètement immobiliser. Elle lui baissa sa culotte et me fit signe de m'occuper de son sexe.
Je ne me fis pas prier, Lili avait un beau clito bien gros, humm.
Je le pris en main, pour le palper, le décalotter et le mettre en bouche. Il devint rapidement bien dur, Lili semblait aiméz que je la suce avec délectation.
Je la suçai de longues minutes avec beaucoup de plaisir, Maîtresse Akina s’occupait aussi de Lili en la caressant, elle se débattait sans pouvoir aller nulle part si ce n’est sur la route du
plaisir ultime quand Maîtresse Akina lui ordonna de jouir pour elle. Je récoltais sa semence sans en perdre une goutte.
Satisfaite d’avoir honoré Lili et obéis à maîtresse, j’étais encore plus excitée, couchée sur le dos, elle m'attacha alors les poignets aux chevilles, elle s’occupa de mon sexe tout en me
trifouillant la prostate.
J’avais tellement envie de jouir pour ma maîtresse.
Maîtresse me fit approcher plus d’une fois la ligne de jouissance, mais elle savait s'arrêter à temps.
Elle me fit l’honneur de m’offrir sa culotte dans ma bouche et sur mon visage. Elle était encore touche chaude et tout humide, quel délice de sentir son odeur et de pouvoir goûter à son jus.
Un bon souvenir également de ce séjour, je vous remercie bien maîtresse de ce plaisir que vous m’avez fait.
Exténuée par ces montées de jouissance, elle stoppa ses attouchements, préférant garder le plaisir ultime pour le lendemain. Lili m’enferma alors le sexe dans ma cage de chasteté, non sans mal !,
excitée comme j’étais...
Il était temps de revenir au calme et de se reposer un peu. Lili commença à préparer le dîner pour Maîtresse Akina tout d’abord et ensuite pour nous. Maîtresse avait préparé un bon petit plat
vraiment délicieux.
Réservée comme à mon habitude, je vexais maîtresse en ne me servant qu’une petite assiette, je me rattrapais ensuite en me servant une deuxième faisant honneur à ma maîtresse et à son accueil
dans son antre.
Comment ne pas se sentir bien auprès de cette maîtresse, chaque instant est un pur moment de bonheur, pleine d’attention envers ses hôtes, elle a su me mettre à l’aise pour apprécier pleinement
mon séjour à ses pieds divins.
Ses divins pieds que nous nous occupons d’ailleurs Lili et moi dès le repas terminé.
Adoration, lavage et massage, chacune un pied, Lili plus experte que moi dans cette tache, je regardais et j'apprenais pour le plaisir de notre maîtresse.
Durant ce séjour, quelque peu nerveuse par mon comportement, j’appris beaucoup à être aux pieds de ma maîtresse, à être à ses petits soins et à s’occuper d’elle. Je la remercie d’avoir supporté
mes écarts de conduite indigne d’une bonne soumise. Je ne demande qu’à apprendre et je sais désormais les attentions à donner la prochaine fois, car j’espère qu’il y aura une suite à cette
aventure...
Il était plus de quatre heures du matin, plus de neuf heures à vivre auprès de Maîtresse Akina, rendez-vous compte ! il était temps de se reposer un peu.
Je dû m’habiller en petite tenue et c’est pluguée, encagée et les membres enchaînés que maîtresse me conduit à ma couche, elle m’attacha aux barreaux de la cage et m’enferma.
Lili était aussi immobilisée, nue sur le haut de la cage, je tombai rapidement dans les bras de Morphée.
Je me réveillais plusieurs fois dans la nuit, encombrée de mes chaînes, il faisait chaud, le bruit du ventilateur berçait ma nuit.
Maîtresse était couchée non loin de nous, vigilante à chacun de nos mouvements.
J’eus un petit coup de stress, réveillée subitement, me voyant trop prisonnière, j’avais envie de me libérer. Je me calmais, seule, en pensant à ma maîtresse et à ce séjour auprès d’elle, je
devais profiter de ce temps, je me rendormais alors, apaisée...
Sur le matin, j’eus droit à une pause pipi et de me reposer encore un peu afin d’être en forme pour cette nouvelle journée pleine de surprises et de plaisirs que nous réservait maîtresse Akina.
Je retombais dans un tel sommeil que je ne l’entendis même pas se lever pour se préparer.
Elle vint nous réveiller dans une nouvelle tenue, un beau corsage rouge vif et une belle jupe en cuir noire.
Salutations du matin, préparation du café par Lili, je cours chercher les croissants et nous prenons le petit déjeuner toutes les trois. Beaux instants à partager nos envies et plaisirs de bon
matin devant un bon café.
La matinée était déjà bien entamée quand maîtresse commença par me faire une séance d’esthéticienne.
Pendant près d’une heure, elle prit soin de mes ongles en appliquant un beau rouge, et me maquillait.
J’ai toujours eu du mal à me maquiller seule, l’exercice est périlleux. Sans aller au bout de ma démarche, j’ai pensé à plusieurs reprises m’offrir une séance de maquillage à l’occasion d’une
sortie ou d’une soirée.
Maîtresse Akina m’offrait ce plaisir, et j’avoue que le résultat était à la hauteur. Les yeux et la bouche bien mis en valeur, certes accentué, ce maquillage masquait quelque peu mon visage
difficile à accepter à mes yeux.
Elle m’ordonna ensuite de m’habiller. Pluguée un peu plus gros, j’enfilais mes sous-vêtements et ma belle robe fushia.
J’aime particulièrement cette robe et suis contente
que maîtresse me l’ait choisi. C’est la première affaire à faire partie de ma garde-robe il y a quelques années, j’y tiens, je me sens belle dedans et elle moule bien le corps mettant en valeur
mes formes.
Mon corset par dessus accentuait encore plus ma cambrure et mes seins. Mes belles cuissardes en vinyle complétèrent ma tenue.
Quelques photos plus tard, Maîtresse Akina commença par me faire un magnifique bondage. Bâillonnée ensuite et complètement immobilisée par des liens au plafond, mes testicules étaient étirées par
des poids.
J'appréciais énormément le bondage serré, mais j’ai de plus en plus de mal à les accepter. Par deux fois, j’ai eu du mal à les supporter, me sentant un peu à l’étroit, certes tout à fait normal
!, mais cette impression de suffocation m’empêchait d’apprécier à sa juste valeur ce magnifique bondage réalisé par une grande artiste de cette pratique.
J’en étais désolée pour ma maîtresse qui me trouva un autre bondage plus adapté à mon corps. Mais surtout, elle me fit prendre une position qui allait me préparer au bouquet final de ce séjour.
Les photos parlent d’elles-mêmes, j’ai vécu à ce moment un plaisir jamais atteint jusqu’alors.
Les bras pliés et attachés, les jambes également très liées, le tout de chaque côté de mon buste. A quatre pattes, poitrine sur le canapé, mes testicules et mon sexe tirés en arrière de mon
corps, mes fesses étaient alors à disposition de Maîtresse Akina qui ne se fit pas prier pour s’harnacher de son beau gode ceinture, qu’elle me fit sucer au passage.
Un autre gode à sucer, j’étais prête avec une envie pressante que maîtresse me prenne.
J’étais dans une de mes positions favorite que j’affectionne tout particulièrement, offrant mes fesses et m’offrant totalement tout en étant harnachée, immobilisée, je me sentais véritablement
soumise.
Je voulais m’offrir totalement à Maitrese Akina, lui donner le meilleur de mon corps, que le plaisir nous envahisse toutes les deux, ensemble, je serai à ce moment-là comblée de bonheur.
Par saccades, elle me prit violemment, sentant son corps venir s’encastrer dans mon cul, en plusieurs séquences, il vint me pénétrer tout en me masturbant le clito, je gémissais de plaisir...
A son regard, de suite après m’avoir honorée, j'espère être parvenue en partie à ce dont elle espérait vivre à ce moment là.
Personnellement, j’ai été envahis par le plaisir, jusqu’à la jouissance que m’accorda maîtresse.
Merci maîtresse de m’avoir donné tout ce plaisir, tout cet amour, que je vous retourne en toute sincérité. Merci encore.