Histoires

Vendredi 13 juillet 2018 5 13 /07 /Juil /2018 00:01

Quelle soirée !

Je l'avais imaginé et rêvé, elle a eu lieu, ma superbe rencontre avec cette belle maîtresse BDSM, Lunatika !

Je n'ai plus de maîtresse depuis un certain temps déjà, ma dernière séance SM date également. Il me manquait de me retrouver sous la cravache d'une maîtresse. D'un autre côté, je n'avais jamais fait l'effort de venir à ce nouveau rendez-vous de la région, la soirée "Kinky & Fetish". Cette soirée se déroule au Trafick à Lausanne et devenu maintenant un rendez-vous incontournable du BDSM de Suisse et de France voisine. Quelques soumis et soumises venus à la recherche d'une petite séance mais pas mal de couples venus pour pratiquer mais surtout se réunir autour d'un buffet et d'un verre.

Souvent repoussée, je m'organise avec détermination cette fois-ci ! Lorsque j'ai vu que la célèbre Domina de l'est de la France Lunatika viendrait également je n'allais pas rater son passage ! Depuis le temps que je voulais la rencontrer !

Je vous passe les détails de samedi, passé à me préparer ! Ben oui, je devais me faire belle... Je devais faire bonne impression ! J'irai dans une tenue soft avec mon pantalon vinyl, mes bottines fétiches en vinyl également, mon soutien gorge à clous avec un haut en résilles. Un blouson de cuir noir et un petit foulard rouge pour cacher mon collier de soumise ! Une jupe, des bas, sans oublié ma laisse, le tout dans mon sac à main pour me changer sur place ! J'étais enfin prête.

Je pris la route pour Lausanne avec bonne humeur et l'assurance de passer une belle soirée ! J'arrivais tôt mais pas la première... Je me mis à l'aise, et saluais les deux amours du Trafick Laurent et Fred. Un ami est au bar, accompagnée d'une belle demoiselle. Nous buvons un verre ensemble. Les personnes arrivent peu à peu, beaucoup de couples donc, quelques connaissances, et pal mal de paires d'yeux qui me dévisagent, mais pas que du visage ! Ma tenue quelque peu allégée et moulante met bien en valeur mes formes. Je passe un bon moment à grignoter et papoter avec quelques personnes. Une belle femme sexy se laisse toucher dans son beau catsuit en latex. Il y a pas à dire j'adore cette matière ! Je descends à plusieurs reprises faire le tour du propriétaire, quelques joueurs de cordes s'entraînent et se font plaisir. Je suis suivie par quelques hommes qui ne me lâchent pas. Cela me plait assez de me faire suivre et de me faire mater dans les petits couloirs, certains en profitent pour me peloter le cul. Je me fais un plaisir de répondre par la négative à leur demande. J'adore ça !

J'étais très impatiente de voir Madame Lunatika. Je l'aperçois enfin arriver au loin. On a du mal à se faufiler, tellement de personnes ce soir là, ça fait vraiment plaisir de voir autant de monde. Je laisse ma préférée arriver, se préparer et saluer toutes ses connaissances. Je m'approche enfin d'elle. Elle est là devant moi, qu'est-ce qu'elle est belle, je l'adore ! Elle arborait un large sourire, j'étais conquise. Elle portait une belle petite robe en latex, laissant apparaître ses beaux tatouages un peu partout sur le corps et son piercing nasal qui lui va super bien. Elle porte également de belles bottes très fétiches. Elle me reconnait de suite, j'en fus surprise, je ne sais pas trop quoi dire sinon que de bafouiller quelques mots et lui baiser les pieds. Je salue son ami que je connaissais de vue, un beau jeune homme avec un joli sourire également. On discut deux minutes, je suis toute ouïe mais je suis ailleurs... Je ne sais pas quoi faire de mes mains, Je n'en crois pas mes yeux ! Qu'est-ce qu'elle est belle encore une fois ! Quel look magnifique, ses jeux, ses plaisirs, j'adore cette personne. C'est elle qui pris les devants de la discussion. Elle me proposa de nous voir plus tard, elle avait pris ses clous, qu'elle me dit ! Elle me demande si je veux jouer avec elle. Comment refuser, je lui réponds que je suis à elle... Je déglutis dans ma gorge nouée d'émotions, lorsque je réalise qu'elle est déjà loin à visiter les lieux avec son ami.

Je retourne au bar siroter mon verre de Champagne, seule, l'esprit occupé par la petite entrevue que je venais d'avoir avec Madame Lunatika, oui j'avais bien entendu, elle voulait jouer avec moi... L'attente était longue, impatiente que j'étais et surtout très curieuse de la suite... Avait-elle vraiment l'intention de jouer avec moi ? Je ne demandais que de croire Madame Lunatika. Je descends faire un tour voir si elle s'y trouvait. Par deux fois personne... Je m'inquiète. Même Fred s'aperçoit de mon inquiétude et me rassure en me disant qu'elle est bien dans les sous sol... Le sourire revient et pratiquement au même moment Madame Lunatika m'interpelle.

"Daniela ! es-tu prête à me suivre ?"

Je me retourne, et lui fit un large sourire gêné.

"Oui Madame, bien sûr !"

Elle me dit qu'on allait jouer avec des aiguilles... Oups...

Je connaissais ce jeu, j'avais déjà fait deux ou trois petites séances de cette pratique avec mon ex maîtresse. J'avais d'ailleurs eu assez peur la première fois. J'avais largement aimé, car j'avais alors dépassé une barrière pour moi. Se faire enfiler des choses dans son corps autre que dans des espaces naturels, n'était pas quelque chose d'anodin. Mais allez savoir pourquoi, je suis si curieuse de cet univers, de découvrir de nouvelles pratiques avec de nouvelles personnes. Le plaisir de me dépasser, d'appréhender la douleur, et de satisfaire la personne qui me torture. Cet ensemble de choses rend ce milieu assez magique. Le bonheur d'être soumise...

A ce moment précis, j'ai en face moi, une grande spécialiste de ce type de pratiques, j'avais observé les photos de son site et j'avais été impressionnée... Ais-je bien fait d'accepter... Elle me demande "En privé, en public ?" Personnellement, j'aime me montrer, mais je ne peux choisir à sa place "N'importe Madame, comme il vous plaira !" Elle préférait en public, j'avoue que moi également, quel honneur pour moi de m'exhiber à ses pieds devant quelques personnes ! J'espérais juste être à la hauteur, j'aurai l'air maline de lui dire "Stop Madame je ne peux plus". Je ne pouvais plus reculer, je n'étais pas inquiète pour autant. Ce moment, je l'avais espéré, je devais en profiter et assurer.

Elle prit quelques affaires et me prit par la laisse, je la suit alors à petits pas dans les méandres du club. Elle choisit l'endroit idéal pour ce type de jeu. Son assistant du jour nous régle la chaise et je m'installe. Elle me pose quelques petites questions d'usage, pour me rassurer mais qui me pousse à réfléchir... Aiguilles, douleur, peur et appréhension soudaine apparaissent. Allez Daniela, sois courageuse ! J'enlève ma cage de chasteté, mon clito ne fait pas le malin, il va un peu souffrir ce soir ! Madame Lunatika prépare la scène de crime ! Désinfectant, compresses, gants, elle est très professionnelle dans son approche de l'hygiène, c'est rassurant. Elle me met en confiance, elle parle beaucoup, elle est à l'aise, c'est son environnement, elle le maîtrise ! Je suis confiante.

L03-02

Quelques personnes commencent à arriver, curieuses de l'opération qui allait se dérouler... C'est vrai qu'une séance en public est toujours un grand moment, voir les comportements des personnes Dominantes et soumises...

Madame Lunatika me regarde et me plante une première aiguille, j'appréhende, non sans raison, une petite douleur se fait ressentir. Madame Lunatika me rassure, et continue. Une à une, elle m'enfile les aiguilles, plaisante avec les personnes, discute avec d'autres, en anglais avec une dame. J'ai un peu peur car j'ai l'impression qu'elle manque de concentration, alors que pas du tout, elle gère, elle fait plaisir à voir, et elle est heureuse, elle était dans son élément. Je lui dis comment je suis heureuse également, d'être là et que j'adore cette séance. Elle me félicite à plusieurs reprises, elle est adorable !

Je ne compte pas les aiguilles et je ne vois pas grand chose de la scène. Je préfère me concentrer sur les plantages d'aiguilles qui deviennent plus douloureux à l'approche de ma chatte... Elle remonte ensuite jusqu'à approcher mon gland, zone douloureuse également. Je suis un peu crispée, je ferme les yeux, Lunatika m'encourage à me calmer, à respirer, je me pince les lèvres, mais qu'est-ce que j'apprécie ces moments, si magiques.

La boite de cent aiguilles se termine alors, devant un public toujours très attentionné et quelque peu médusé. Je trouve génial d'être à ma place, car je me sens à l'aise, moi si généralement peureuse et craintive, jamais à ma place...

Madame Lunatika change alors de type d'aiguilles, pour le gland. La douleur va être plus grande me prévient-elle... Je me prépare pour la première aiguille. Effectivement, plus de chair, plus dense également, je sens l'aiguille rentrer et ressortir. Ce n'est pas la même chose ! Je me cramponne mais je tiens bon. Lunatika est de plus en plus contente de me voir souffrir mais également de voir comment j'apprécie cela. J'en veux encore, je ne savais pas quand elle s'arrêterait, et je ne le voulais pas. Je lâchais prise, ma tête toute retournée, j'étais absorbée par un sentiment de jouissance intérieure difficile à décrire. Elle plante la dixième aiguille et m'annonçait que c'est la dernière. Je me relâche et comme une jouissance, la chaleur m'envahit... Ma langue devient sèche, je déglutis, j'ai soudainement très soif... Heureusement Madame Lunatika me parle et me tient en éveil, ell me félicite pour le nombre d'aiguilles. J'avoue que je suis impressionnée. J'interpelle alors Fred juste à côté de moi, venu voir le spectacle, et je lui demande si je pouvais avoir de l'eau. Très aimable, il va me chercher une bouteille d'eau fraîche... Je propose de l'eau à ma maîtresse du jour, je siffle ensuite pratiquement d'un trait la bouteille. Je me sens mieux...

Ce n'était pas fini pour autant, Madame Lunatika sort son appareil électrique... un Violet Wand me semble t-il... Elle le branche et me le passe un peu partout sur le corps et surtout sur le métal des aiguilles. Je sursaute quelque peu, c'est un plaisir différent, de petites secousses envahissent toute la zone, elle change d'embout jusqu'à mettre un chaîne avec une boule en bout. La douleur est vraiment sensible mais très éphémère. Elle s'amuse bien et je supporte en appréciant ce moment intense.

Madame Lunatika veut ensuite me féliciter et me faire un petit cadeau, elle enfile d'autres gants et m'enlève mon rosebud. Elle n'arrive pas à l'enlever, je ne comprends pas, il n'est pas si gros que cela..., mais je l'ai ainsi depuis quelques heures. Elle a du mal à le retirer mais finalement y arrive. Elle le trouve pas si petit que ça ! Elle me trifouille alors ma chatte de manière assez intense. Quel bonheur ! J'ai envie qu'elle aille plus loin, j'avais adoré ses photos ou l'on ne voyait plus que son avant bras tatoué. Je trouvais cela tellement beau... Je gémis, je suis aux anges ! Elle s'arrête néanmoins, j'en avais assez eu pour ce soir. C'était clair, j'avais été particulièrement gâtée. Merci Madame Lunatika pour ce merveilleux moment. Je me souviendrais toujours de ces instants avec vous face à moi, votre sourire, vos yeux perçants. J'ai vraiment adoré. Je savais que ça allait être bien, mais à ce point là, jamais de la vie ! Madame Lunatika vous êtes géniale !

J'encourage vivement tous les soumis et soumises de vous approcher d'elle, vous y trouverez le bonheur assuré.

Un peu de nettoyage, et nous remontons à l'étage. La musique s'est arrêtée, on se sent seuls, la soirée se terminerait ? Je le crains, mais encore un peu de monde au bar. J'offre un verre à madame Lunatika et à son assistant. C'était le minimum...

Il est deux heures, nous devons partir, les horaires de fermeture sont très respectés en Suisse, on ne rigole pas avec ça ! Je salue quelques personnes, je baise la main de ma maîtresse de la soirée, et on se dit à très bientôt. Je rentre chez moi, heureuse !

A suivre...

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 30 septembre 2016 5 30 /09 /Sep /2016 17:00

Voici le premier épisode des aventures de Madame Claire et moi-même...
Merci de vos avis et de vos commentaires ! 

C’était un jour de mois d’aout, j’étais en vacances avec ma famille dans la maison de mon cousin de Bretagne.
Nous avions l’habitude de passer deux semaines par an ensemble lui et sa compagne, ma femme, mes enfants et moi.
Chaque année, nous nous retrouvons ensemble quelques jours en Bretagne, c’est pour nous un moment de détente ou chacun a ses petites habitudes, les enfants vivent leur petite vie tranquille à rentrer et à sortir de la maison pour y retrouver les amis et revenir pour l’heure des repas, les adultes vaquent à leurs occupations et se retrouvent généralement à l’heure de l’apéro.
La maison est suffisamment vaste pour ne pas s’apercevoir des allées et venues des personnes de la propriété et chacun a loisir de se trouver un petit coin tranquille pour y profiter pleinement de ses vacances.

Ce matin là, les enfants dormaient encore. Mon épouse avait choisi ce matin de se faire une balade en vélo le long de la plage. Mon cousin devait encore travailler quelques jours avant de nous rejoindre, la compagne de mon cousin était déjà en congé, elle s’occupait en bonne gérante de propriété en s’occupant de son jardin et de ses fleurs. Quand à moi, je m’étais isolé dans une pièce qui servait de salle de gym et de détente, j’y avais déposé mon ordi et je pouvais ainsi venir consulter mes messages et travailler un peu pour mon association.

Quelqu’un frappa à la porte « Entrez ! » dis-je.
C’était Claire, la compagne de mon cousin qui entra calmement dans la pièce. Claire était une belle femme blonde de 50 ans environ, chef d’entreprise discrète, stricte et autoritaire au travail, bonne vivante dans la vie privée, elle savait se laisser aller entre nous pour blaguer et faire la fête. Sa principale occupation dans sa vie était son travail. Mon cousin, son compagnon s’en plaignait quelque peu car elle était très peu disponible pour leur vie privée.
Claire entra, elle s’approcha de moi, je regarda la pendule du mur, il était 7h30, j’étais levé depuis une bonne heure déjà profitant du calme matinal, j’étais un peu surpris de la voir si tôt.
J’étais sur le banc de musculation an train de faire quelques exercices. Elle se posa devant moi et me regarda quelques minutes. Je désirais finir ma série pour me lever et discuter avec elle. Je voulais me rendre disponible mais elle m’arrêta. « Continue Daniel, ça me plait de te voir sur ce banc de musculation ! ». Surpris, je souria et je relançais une série de dix tractions des jambes et des bras.
J’étais assis au fond de ce banc de muscu, et je sentais que cette activité lui plaisait.
« Tu aimes la musculation Claire, tu veux en faire une série ? ».
« Je t’en prie Daniel continue, c’est pas la muscu qui me plait, c’est toi que j’aime voir sur ce banc… »
Oulala, que se passait-il ? Je ne comprenais pas du tout sa réaction, elle m’observait debout les mains sur les hanches, elle avait un sourire en coin et elle attendait calmement je ne sais quoi.
Je préférai me concentrer sur mes exercices et attendre pour comprendre son attitude.

5.jpgElle se décida enfin à bouger, elle fit le tour de l’appareil en m’observant de près, je continuais, elle s’arrêta derrière moi, je ne voyais pas ce qu’elle faisait, mais elle avait pris deux justaucorps de gym et elle se mit face à moi.
« Ça me plait tellement de te voir sur ce banc, que tu vas y rester un peu, d’accord Daniel ? »
A peine elle eut finie sa phrase qu’elle m’avait déjà attaché mes poignets à la barre de traction que je tenais dans les mains en l’air à bouts de bras. C’était du lycra, il lui avait suffi de faire une boucle pour réussir à m’immobiliser les bras assez fortement. Je protesta.

« Mais Claire, que fais-tu ? Ça ne va pas ? »
« Silence ! Daniel, j’ai envie de te voir comme ça un petit moment alors tais-toi et sois patient ! ».

Ne comprenant pas la raison, ni ou Claire voulait en venir de m’avoir attaché de la sorte, que j’attendais, je relâchais mes bras, ils étaient écartés en l’air, je tenais la barre de traction, attaché que j’étais et mes bras restèrent en l’air. Me voyant calme, elle en profitait pour m’attacher aussi les pieds au banc.
« Mais ! Claire ! Voyons ! Que fais-tu ? ».
« Tais-toi te dis-je ! ». Elle prit une paire de collant de la caisse à linge et me bâillonna la bouche
« Voilà ! Tu protesteras moins ainsi ! ».
« Attends-moi là, je reviens de suite ! ». Je n’avais pas le choix, j’étais attaché, bien attaché, comment aurais-je pu ne pas l’attendre ici ? Elle sorti de la pièce et j’entendis qu’elle ferma cette porte à clef. Pendant qu’elle me laissa seul, j’eus largement le temps de penser à plein de choses…

J’étais totalement surpris par l’attitude qu’elle venait d’avoir avec moi, elle, si discrète, si sobre dans ses faits et gestes, sans jamais de fioritures ni d’écarts dans son comportement, je ne comprenais vraiment pas ce qui lui arrivait.

Quelle femme était Claire ? Etait-ce la même femme que je connaissais depuis maintenant quelques années déjà ? Rien ne m’aurais laissé penser à ça. J’attendis ainsi quelques temps, me ressassant les dernières minutes écoulées en boucle en essayant de comprendre.
Au même moment où je me demandais ce qui allait se passer, j’entendais le bruit de la clef dans la serrure. J’espérais que ce fut Claire qui arriva, même si je craignais son attitude du jour. Elle entra, elle s’était changée, on aurai dit qu’elle partait travailler, elle était en tailleur avec ses escarpins et avait attaché ses cheveux.
« Voilà ! » fit-elle, « Nous allons avoir un peu de temps, ton cousin ne rentrera que ce soir, voir demain…, ta femme va partir avec les enfants, je lui ai dit qu’elle pouvait profiter de la journée pour aller à Acquaparc, tu sais Daniel, ce parc d’attractions ou tu ne voulais pas aller ! ».
J’eus un air d’étonnement, je gloussais et essayais de parler mais le bas dans ma bouche m’en empêchait. « Ne t’inquiètes pas, je lui ai dis que tu étais déjà partie avec ton cousin, j’ai tout arrangé ! » « Tu n’auras qu’à l’appeler si tu ne me crois pas ».

Je savais que Claire disait la vérité, j’étais soulagé de savoir que ma femme ne me trouve pas de suite dans cette situation, mais bon, qu’allait-il se passer maintenant ? Que Claire allait-elle faire de moi ? Etant donné que je ne l’avais jamais vu sous cet angle, je me demandais vraiment quelle idée elle avait derrière la tête…

« Tu vois Daniel, tu es là, seul avec moi, j’espère que tu n’as pas peur ? Avant que tu me répondes, je vais t’expliquer ce que nous allons faire, d’accord ? Je veux seulement que tu m’obéisses ! Je ne te demande pas grand-chose, que tu m’obéisses, c’est tout ! En échange…, je t'offre mon silence ! ». Claire me laissa réfléchir un peu de temps en meregardant dans les yeux. Elle m’enleva enfin mon bâillon pour que je puisse m’exprimer.
« Claire ! Je ne vois pas ou tu veux en venir mais maintenant cela suffit, ta blague a assez duré, tu vas me détacher et me laisser ».
« Tu plaisantes Daniel ! Je viens à peine de commencer à m’amuser avec toi ! ». Je rétorquais « Tu serais bien embêtée que je raconte cela à ma femme et à mon cousin, Claire, tu crois pas ? ».
Je savais que Claire comptait beaucoup sur son image envers les autres.
« D’accord Daniel, je veux bien que tu lui racontes ! » fit-elle en riant.
« Alors, quand à moi, je lui montrerais ce carton qui est au grenier dans lequel tu as plein de petites tenues féminines ! » « Je lui raconterai aussi que tu aimes t’habiller en femme, c’est ça, que tu veux ? »
Elle finit sa phrase en éclatant de rire pendant de longues secondes. Elle semblait tellement sûre d'elle.

Je fus d’abord hyper surpris de ce qu’elle venait de m’annoncer, comment avait put-elle découvrir mon jardin secret que je cultivais depuis quelques années déjà. Ensuite, j’en fus très gêné, que quelqu’un découvre ma face cachée, ce plaisir que j’ai depuis de nombreuses années découvert par un de mes proches. Je ne m’étais jamais imaginé que quelqu’un le sache, je prenais toujours mes précautions afin d'être le plus discrèt possible. Comment réagirait mes proches ? Cela me cloua le bec, je regarda Claire dans les yeux en pensant que c’était une sacrée coquine cette femme.
Qu’elle découvre mon secret, à la limite, mais qu’elle s’en serve pour profiter de moi, ça faisait beaucoup, et je me demandais franchement qu’est-ce qui serai le pire, que ma famille connaisse mon secret ou que je le partage avec une seule personne ? Il n’y avait pas photo, je devais me plier aux souhaits de ma chère cousine Claire qui était en train de voir sur ma tête mon désarroi face à cette situation.
Claire était fière d'elle, et semblait n’avoir aucun scrupule à me faire chanter.
« N’aies pas peur Daniel, si tu choisis de m’obéir et de me faire plaisir, tout se passera bien, et je sais que tu es capable de faire ce que je vais te demander »  «En plus, tu me plais bien, tu es une personne gentille et je suis sûre que tu dois être obéissant, voir un peu soumis, non ? Enfin une bonne petite soumise, si tu vois ce que je veux dire ! ».
Claise réussi à me faire décrocher un petit sourire et me donner une petite érection. Effectivement, non seulement elle avait découvert mon plaisir solitaire mais en plus elle avait deviné quelle personne j’étais. Je découvrais par la même occasion, quelle genre de femme était Claire. Je n’aurai jamais pensé qu’elle aille aussi loin qu’elle venait d’être aller et encore je n’étais pas encore au bout de mes surprises…

J’étais toujours attaché à ce banc de musculation, contraint et forcé d'écouter et d’obéir à Claire, j’attendais ses ordres.
« Tu me sembles un peu plus compréhensif à présent, on dirait ? Tu as sans doute choisi ? ».
Je me laissais aller désespérement dans mes liens, la tête face au sol. j'étais pensif, Claire ne bouegais pas et me laissais dans mon silence. Je n’avais pas le choix...
Claire sentait mon abattement et me trouvait compréhensif. Elle s’approcha de moi, me détacha les poignets de la barre et me rattacha les poignets ensemble devant moi, elle me libéra les chevilles. Elle prit la paire de collants lui ayant servi de bâillon et s’en servit comme une laisse pour me traîner en dehors de la pièce.

« Suis-moi ! ».
Je me laissa complètement guider et je suivais Claire qui sortiat de la pièce, sur le palier. Je regardais autour de moi si quelqu’un nous voyait, pas de risque, elle avait tout prévu. Je réfléchissais ou m’emmenait-elle et quel était la suite du programme. Elle rentra dans sa chambre qui était sur le même palier, je n’osa point rentrer.

« Rentres, dépêches-toi ! ». Je fus très gêné de rentrer dans la chambre de mon cousin, et encore plus avec sa compagne, mais j’étais sous sa direction et je lui obéissais. C’était stressant mais à la fois très excitant. Arrivé dans la chambre, Claire me détacha les poignets et s’assit sur le lit.

« Déshabilles-toi, et ouvre la porte de mon armoire ! ». Je m’exécuta calmement en lui tournant discrètement le dos. Je resta en caleçon et attendit.
« Entièrement Daniel allez ! ». Je fus gêné de me retrouver entièrement nu quand je baissa mon caleçon, elle regarda mon sexe qui se dressait légèrement, elle ria.
« Et bien Daniel, ça te fait de l’effet on dirait ! »
« Maintenant, tu vas te choisir une de mes tenues, et... que tu vas enfiler !!! » Claire éclata de nouveau de rire.
« T’as intérêt d’y mettre du tien et de choisir des choses à bon gout ! ».

Je me tournais vers son armoire, j’ouvrais un tiroir pour y chercher tout d’abord une culotte. Ce n’était pas trop me demander de visiter le placard d’une femme, ça m’excitait ! Je fouillais un peu parmi le grand nombre à ma disposition, et mon choix se porta sur un string en dentelle de couleur noire. Je l’enfila, mon sexe ne rentra pas entièrement, je m’arrangeais au mieux.
« Allez continue ! ».
Je jetais un œil sur les différents rayons et sur la penderie, je ne devais pas prendre de pantalon, cela ne lui plairait pas, il y avait une multitude de robes, je passa ma main entre les cintres pour y trouver quelque chose d’attrayant et de sexy. Je vis une belle robe ample noire, elle semblait assez courte, je l’enleva de la barre et la présentais sur moi en regardant Claire.
« Tu peux l’essayer, mais je ne l’aime pas tellement. ». Je ne pris pas de risque, si elle ne lui plaisait pas, je la remis avec les autres. Mon choix se fixa sur une robe cintrée noire, courte et sexy, agrémentée de clous. Je la présentais à Claire qui acquiesça d’un large sourire, j’étais rassuré.
« Avant de l’enfiler, tu vas me mettre des bas et un porte-jarretelles, tu veux bien ! ».
J’ouvris un tiroir ou se trouvait quelques porte-jarretelles et une multitude de bas. Je choisis des bas à résilles très sexy que j’enfila avec une grande féminité. Je savais comment m'y prendre, des années à apprendre !
« Bien, Daniel ! Tu fais ça bien… ».
J’accrochais le porte-jarretelles à ma taille et j’y accrocha les bas avec cette même féminité. J’enfilais ensuite la robe, la taille un peu juste, m’allait tout de même. Je sentais Claire excitée de me voir me préparer de la sorte, elle se croisait et décroisait ses jambes à plusieurs reprises.
« Tu me plais comme ça Daniel, mais tu vas aller chercher dans ton carton au grenier tes escarpins pour aller avec, ta perruque et ton collier de soumise ! N’oublie pas la laisse, elle est tout au fond du carton ! Pour le reste je m’en occupe ! ».

Claire connaissait le contenu de ma garde-robe,  elle savait que j’allais me  dépêcher de lui apporter tout cela. Elle avait raison, j’étais très excité, j’en oubliais même que j’étais avec la compagne de mon cousin…

Je revenais quelques minutes plus tard dans sa chambre, elle m’y attendait assise sur le lit avec une cravache à la main, un sac d’accessoires se trouvait à ses côtés.
« Voilà qui est mieux, Daniel, tu as bon gout pour la perruque, le blond te vas très bien, tu portes à merveille les talons, tu as l’habitude de marcher avec, non ? ».
Je haussais un peu les épaules encore très gêné de mon accoutrement face à cette belle femme.
« Assis-toi sur la chaise en face de la coiffeuse ! ». Je m’y installais et Claire me maquilla.
« Toi qui aimes te sentir femme, tu ne vas pas être déçu ! ». Fond de teint, rouge à lèvres, bleus aux yeux, cils, elle me faisait la totale. « J’accentue un peu, ça fait plus pétasse ! » me dit-elle en reculant d'un pas.
Cela me plaisait, c'est certain, mais qu'est-ce que j'étais géné...
Claire me regardait dans le miroir et semblait contente d’elle. Elle me pris par la laisse accroché à mon collier de chienne et me leva d’un geste énergique.
« Te voilà comme j’aime à présent ! » Ele se mit à rire de nouveau...
Habillé en femme, cela me plaisait beaucoup, j’étais content de lui plaire, même si j’ignorais la suite des événements. Elle me fit marcher un peu dans la chambre et elle finit par s’asseoir de nouveau sur son lit.

555.jpg« Mets-toi à genoux face à moi ». Je m’exécutais rapidement.
« Daniel, je vais te proposer un deal, tu devras le respecter, sinon, je balance tout à ta famille ! D’accord ?»
« Répètes après-moi ! »

« Je suis une femelle soumise, la femelle soumise de Madame Claire, je lui obéirais au doigt et l’œil sans lui manquer de respect, à chaque manquement, je serais punie. ».

Je me répétais cette phrase dans ma tête afin de bien comprendre le sujet de ce deal. Mais je ne pouvais accepter...
« Allez Daniel ! répètes ! »
Je n'avais pas le choix, je ne voulais exposer ma double vie devant ma famille. Mais les mots ne pouvaient sortir de ma bouche. C'était une sacrée décision que je devais prendre, mais avais-je le choix ?
Je me lançais, et je répétais en plusieurs fois cette phrase qui décidait de mon changement de comportement envers Claire. J'aurais désormais un sacré secret partagé avec Claire, ma cousine. Le début d'une nouvelle vie... Elle sourit et était contente de ma réaction.

« Afin de sceller ce deal entre nous, je vais faire une photo que je garderai précieusement ! » « Mais avant ça tu vas aller me chercher un verre de vin en cuisine ! ».
Je voulais protester, je ne me voyais pas descendre dans cette tenue... Je réfléchissais et savais par avance que Claire ne céderais pas. Je descendais à la cuisine tant bien que mal avec mes talons et je revenais avec un verre de vin à la main.
Je me retourna aussitôt pour aller chercher le verre de vin. J’avais envie de respecter sans sourciller ses ordres en pensant qu’il sera toujours assez tôt de m’échapper de ce pétrin ou je m’étais fourré. Ce ne sera pas facile, je savais que Claire était quelqu’un d’obstinée qui arrivait souvent à ses fins. Là, c’est un verre de vin qu’elle désirait, mais elle aura surement d’autres exigences en tête, sans doute plus difficile à réaliser pour moi...

« Attends un peu Daniel !, tu vas ou comme ça ? ».
« Je vais te chercher du vin Claire ! ». « Alors Daniel..., tout d’abord, qaund tu es à mes pieds, tu ne me tutoies pas et quand je te demande quelque chose, tu me réponds, et poliment ! ok ? »
Je me repris.
« Oui ! Claire ! »
« Oui Madame Claire ! Tu dois dire ! »
« Pour que tu comprennes, ce que j’attends de toi, tu devras faire des efforts Daniel ! Ça ne va pas se faire comme ça ! ». « Viens ici, et mets-toi à genoux devant moi ! ». Je fis immédiatement ce qu’elle me dit de faire.
« Aille, aille, aille ! Qu’est-ce qu’on dit, Daniel ? ».
Je me repris de nouveau
« Pardon Madame Claire ! Oui Madame Claire ! ».
« Penches-toi en avant ! ».
« Oui, Madame Claire ! ».
Je posa mes mains à plats.
« Pousses tes mains le plus loin possible et laisses tes fesses en l’air ! ».
Je m’appliquais sans sourciller, la robe m’empêchait de trop m’avancer, Claire me remonta la robe sur mes hanches, cela m’aida, je sentais le string qui me rentrait dans les fesses.

« Tu as un beau cul Daniel ! T’es très sexy ! ».
« Merci, Madame Claire ! », dis-je naturellement, je me sentais à l’aise.
Claire me palpa les fesses avec ses mains, puis me tapota avec sa cravache. Elle me donna ensuite une multitude de coups de cravaches très violents sur toute la partie de mes fesses qu’elle pouvait atteindre. Je sentis qu’elle se défoulait et que cela lui faisait plaisir de me fouetter. Je fus surpris par les premiers coups et leurs violences, les suivants étaient aussi durs mais la chaleur de mes fesses les acceptait, ça me brulait largement, je me tortillais de douleur mais aussi de plaisir en gémissant, Claire adorait me voir ainsi, j’étais également content de lui faire plaisir. Elle s’arrêta, quelque peu exténuée et s’assit sur le bord du lit.
« Merci Madame Claire ! » dis-je rapidement. Elle me sourit, je pu me relâcher quelques minutes.
« Mais dis-oi Daniel, je me trompe ou tu as aimé ça ? »
Effectivement, j'avais pris un certain plaisir à me déhancher aux coups de cravache de Claire, je n'aurais peut-être pas dû lui montrer, mais il était trop tard, elle venait de constater un de mes points sensibles.

Après quelques minutes de silence et de réflexion, Claire se décidait de parler de nouveau.
« Relèves-toi ma chienne et va me chercher ce vin, maintenant !, tu as vu ce qui t’arriveras dorénavant si tu ne m’obéis pas comme il faut ? ».
« Oui Madame Claire ! ».
« Mais t'inquiètes-pas, tu n'apprécierais peut-être pas toujours mes punitions. »
Je me releva rapidement, descendis ma robe sur mes fesses brulantes et j’alla chercher le vin au rez-de-chaussée.
Je remontais quelques minutes plus tard avec un plateau largement garni pour faire plaisir à Claire. Elle s’était appuyée contre la tête de lit, et se reposait de ses efforts.
« Voilà Madame Claire ! ».
« Merci,  dis-moi Daniel, as-tu déjà fait l’amour avec un homme ? Sucer une bite ? » .
« Oh non Madame Claire ! Jamais fait ça ! ».
« Saches que cela fait partie de mes exigences que je te demanderai, tu devras le faire ! ».
Faire des trucs en catimini avec Claire m’allait encore, mais si maintenant, d’autres personnes intervenaient, cela commençait à craindre, ça ne me plaisait guère et surtout c’était risqué, trop risqué pour moi, je n’avais pas envie que cela se sache dans mon entourage.
« Ben… Claire, euh Madame Claire ! C'est-à-dire que… Je me vois mal faire ça ! J’aime m’habilller en femme c’est vrai, j’ai accepté d’être fouetté, cela t’as fait plaisir, je l’ai vue, mais ce jeu a assez duré et j’aimerai arrêter ! »

« Daniel ! T’as rien compris ! Tu as raison c’est un jeu, et c'st toi Mon jouet. Je déciderai quand on s’arrêtera de jouer, tu es très sexy en femme et je sens très bien que tu es très soumis. Donc tu es mon soumis, ma soumise dévouée, une femelle que je vais dresser, je vais t’apprendre à obéir et surtout à pratiquer des choses que tu n’aurais jamais fait. Je te veux chienne, et que tu pratiques pour moi des choses hard. Tu feras tout ça uniquement pour moi ! »
« Je sens que cela va te plaire car tu es quelqu’un de très respectueux de l’autorité. Tu aimes obéir et faire plaisir ? Et bien fais-le, et tu verras que tu apprécieras ce que je te demande dans un seul but, Me faire plaisir ! »
« J’ai prévu plein de choses pour toi ! Tes vacances ne te suffiront pas à me satisfaire, tu devras assurer aussi en dehors de cette maison et tout au long de l’année, Oui Daniel !, c’est comme ça tu m’appartiens ! Je fais ce que je veux  de toi, tu n’as rien à dire désormais ! ».
« Ah Ah Ah Ah !!! » Claire était contente d'elle et éclatait de rire.

J’étais scotché, elle venait de me cadrer et m’échapper de sa toile serait plus dure que prévu. Je ne la croyais qu'à moitié, m’habiller en femme était pour moi une passion, point, je ne voyais pas en quoi ces jeux qu’elle voulait me faire participer allait m’apporter et lui apporter. Je ne connaissais ces pratiques que par la fiction et par Internet et je pensais que les personnes qui prenaient part à ces jeux étaient marginales et n’avaient vraiment rien d’autre à faire. Claire me surprenait et je n’aurai jamais pensé qu’elle se mette dans la peau d’une femme dominatrice, elle le faisait très bien.
« On avancera à petit pas, t'inquiètes-pas, je te préserverais. Mais tu devras faire des éfforts à n'en point douter, car je suis très exigeante ! ».

« Donc ! Daniel, pour l’instant tu vas faire ce que je te dis, d’accord ? ». « Oui Madame Claire ».
Claire m’ordonna de me mettre à genoux, à côté du lit, je m’exécutais. Elle s’assit sur le bord d son lit et sortit de son sac une paire de menottes, elle m’attacha les poignets derrière le dos. Elle fit de même à mes chevilles.
« Un bon dressage commence par la contrainte, tu seras donc attaché mais aussi plugué ! ». Claire sortit un plug de grosseur moyenne, j’avais déjà utilisé une fois ce genre d’objet sur ma femme qui appréciait moyennement. Mais je n’aurai jamais pensé l’utiliser sur moi un jour…
Claire sortit également un lubrifiant.
« As-tu déjà eu cela dans ton cul Daniel ? ».
« Non, Madame Claire, jamais, mais cela va me faire mal, non ? ».
« Tu verras bien, je vais te le mettre en douceur, ne t’inquiètes pas, tu n’auras qu’à crier si tu as mal, personne ne t’entendra ! »
« Et puis t’as intérêt d’être coopératif et de te le laisser entrer. Plus tu sereras les fesses et plus t’auras mal ! ».
Elle me lubrifia également mon trou vierge de toute pénétration. Elle m’enfila un doigt, et commença à m’introduire ce plug. Elle s’y prit à plusieurs fois pour arriver à ses fins et pour que le plug soit aspiré et se bloquer dans sa partie étroite dans ma rondelle. J’eus souffert quelques minutes et une sensation étrange m’envahit. J’eus envie soudainement de penser que Claire me sodomisait avec une plug-ceinture. Mon sexe se dressa…

« Et bien Daniel ! Ça te plait on dirait ! » Tout en en poussant le plug plus profond elle me branlait le sexe, elle sentait le rapport entre mon érection et la sodomisation.
« Tu es une bonne salope ma chérie, tu aimes ça ! Tant mieux car ce n’est qu’un début ! ».

Quelles sensations je vivais, soumis à ma cousine Claire, habillé en femme, maquillé provocante, attaché et godé, je m’imaginais difficilement tout cela et subitement sans que je décide rien. Je ne pensais pas être quelqu’un de soumis, mais j’avoue être excité à cette idée, et obéir à Claire est quelque chose que j’aime assez, je la sens très à l’aise et j’ai vraiment envie de la satisfaire, mais arriverais-je à tenir le coup et pour combien de temps, l’avenir me le dira…

« Très bien Daniel ! Bon début, tu progresses vite, saches tout de même que ce ne sera peut-être pas toujours aussi facile de m’obéir, mais si tu y arrives je te féliciterai. ».
« Oui madame Claire, mais ce n’était pas facile et je ne peux pas dire que je sois vraiment à l’aise en ce moment ».
« C’est normal, c’est nouveau pour toi, il me semble, mais c’est comme ça, il faut que tu souffres pour me satisfaire ! ».
« Allez, cesses de parler, continuons ! Lèves-toi et tiens-toi droit !».
Elle m’aida à me relever en tirant sur la laisse, elle m’arrangeait un peu ma tenue, elle sortit deux pinces de son sac et s’approcha près de moi et de ma poitrine.  Elle me dégagea un peu les bretelles de ma robe pour faire apparaitre mes tétons de seins. Elles les malaxa une fois ou deux, assez durement d'ailleurs, quelques grimaces apparaissaient alors sur mon visage.
Claire sourit et continuait dans son entreprise. Elle y accrocha les pinces, sèchement. Je poussa un cri de douleur que n’importe quelle personne présente dans la propriété aurait entendu. Cela me piquait pendant quelques secondes puis la douleur s’atténua, les pinces toujours en place. Je n’osais pas bouger par crainte de réveiller cette douleur qui me faisait tout de même bander.
Claire remis mes bretelles sur les pinces, je sérais les dents… Elle se retourna et tira sur la laisse, je du la suivre, difficilement avec mes menottes aux pieds. Il y avait une chaine de trente centimètres environ qui m’obligeait à marcher lentement. Avec les talons cela rendait ma marche encore plus difficile sans compter le frottement des pinces sur ma robe qui m’excitaient les seins. Elle prit son sac d’affaires et nous sortons de la chambre, prenons l’escalier juste en face pour monter à l’étage, au grenier. Claire était magnifique devant moi dans son tailleur avec ses bas et ses escarpins. Ça m’excitait beaucoup de la suivre tel un petit chien suivant sa Maîtresse.

Claire avait raison, en ce moment je souffrais, mais c’était pour son plaisir et ça, c’était très bon.
Elle ouvrit la porte principale du grenier, nous étions sous la toiture, une petite lucarne sous les tuiles laissait filtrer la lumière, des poutres étaient plus ou moins près de nos têtes.
Elle me positionnait sous la poutre principale ou se trouvait quelques crochets vissés. Elle du prendre une chaise mon monter dessus et pour y faire passer une corde à travers deux crochets. Je distinguais au passage la couture de ses bas au ras de sa jupe, je n’en vis pas plus et je ne pu dire si elle avait un porte-jarretelles. Elle m’attacha l’extrémité de la corde à mes poignets toujours attaché par des menottes et fit levier pour que mes bras s’étirent vers la poutre. Elle le fit d’un coup sec, je gémissais, Claire me regarda dans les yeux, elle eu un sourire malicieux me voyant tel son prisonnier sans défense. Elle fit un nœud et me voici immobilisé à sa merci.
J’avais un peu honte de cette situation, je ne pouvais plus bouger, il commençait à faire chaud sous les toits et j'angoissais tout de même pour la suite des événements.
Claire connaissait son affaire, elle, et savait exactement ce quelle faisait. Avec le peu de lumière  qu’il y avait dans ce grenier, je vis qu’elle prit quelque chose dans son sac. Elle se mit derrière moi, je sentis un grand coup sur mes fesses, puis deux et d’autres encore. Elle avait pris un fouet avec de longues lanières et je sentais qu’elle avait envie de me mettre une belle correction.
Elle me dégrafa ma robe qui tomba sur mes chevilles, elle put de cette manière me fouetter à même la peau, dans le dos, sur les fesses et sur la poitrine. Elle effleurait les pinces accrochées à mes tétons, à chaque coup, je criais, plus je criais et plus elle frappait. Cela l’excitait terriblement, moi je bandais certes mais les coups de lanières me chauffaient et j’avais mal. C’est ce qu’elle désirait, elle était aux anges !
A un certain stade, je ne criais plus, la douleur était intense et je ne distinguais plus les coups supplémentaires.

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« Tu as aimé les coups tout à l'heure, n'est-ce pas Daniel ?! ».
« Et mainteant tu aimes toujours ? ».
« Tu vois Daniel... Je veux que tu comprennes ce que suis capabe de faire et que chaque plaisir se paiera... ».

Elle s’arrêta, posa son fouet et elle me massa aux endroits meurtris, elle prit soin de mon corps en me caressant, elle me branla le sexe, j’aurai aimé jouir, je me déhanchais pour essayer de me détacher montrant mon envie de la toucher. Claire s’arrêta net.
« Tutututu…, arrêtes de bouger ou je remet ça ! »
Elle m’empoigna la perruque pour mettre ma tête en arrière et elle effleura ses lèvres aux miennes, je croyais qu’elle allait m’embrasser. J’en avais subitement et follement envie, j’étais prêt mais avec son autre main elle m’enleva la pince de mon sein gauche d’un coup !
Sèchement, elle enchaina sur l’autre pince, j’hurlais de douleur, c’était horrible, j’aurai préféré garder les pinces à vie plutôt que de les enlever, les larmes me montèrent aux yeux, je les fermais pour contenir mon mal, elle me massais un peu les tétons. Claire savait alterner le mal et le bien et inversement, c’était difficile à supporter, je gémissais dans tous les sens, immobilisé que j’étais, Claire me tenait et me regardait souffrir, cela avait l’air de lui plaire, pour m’aider à supporter ça, je pensais à sa satisfaction, elle semblait y prêter attention en me caressant le corps.

stufftoblowyourmind-23-2014-06-sadoenlightenment.jpg« C’est bien Daniel ! Je te félicite, tu as du mal à supporter la douleur, mais tu vas apprendre… ». Je n’eus pas la force de répondre, elle me détacha de la poutre et m’enleva les menottes. « Tu peux remettre ta robe, et redescendre dans ma chambre, je vais te remaquiller un peu, ton ricil a coulé, on dirait !!! ».

J’étais soudain soulagé des contraintes et de la douleur, j’en avais presque oublié ma tenue de femme et mon plug. Claire rangea ses affaires dans son sac et nous redescendons d’un étage, je m’assis dans le fauteuil de sa coiffeuse soulagé et exténué par ce que je venais de vivre. Mon repos ne dura que quelques minutes. Pendant qu’elle me ma remaquillait, elle m’expliqua la suite des évènements.
« Tu vas aller à la lingerie, il y a une lessive à étendre dehors, tu t’en occuperas et tu rangeras cette pièce, je dois recevoir le réparateur du lave-linge ».
« Mais Claire, je ne vais pas sortir dans cette tenue, si quelqu’un me voyait ! Et… et le réparateur ? ».
« Et bien justement, j’aimerai bien qu’il te voit, tu es belle comme ça, Daniel ! » 
« Ne t’inquiètes pas, je ne ferai jamais d’impair envers ta famille, souviens-toi, c’est notre deal ! »
« Mais je te montrerai à d’autres personnes, oui ! »
« Et pour te présenter, tu te nommeras... Daniela, d’accord ! ».
Je fis mine d’acquiescer, je n’en avais pas le choix, Claire pensait à tout.

« Daniela ! Oui Daniela, ça me plait bien ! ».
Claire était contente de sa trouvaille soudainte. C'est à partir de cet instant précis que ma vie de garçon soumis à Claire se transforma en vie de fille. Je devrais dorénavant toujours parler au féminin, et je serais considéré comme une femelle.
« Daniela, tu vas être ma femelle, et je te considérais en tant que telle. Je veux que toi aussi tu en ai conscience ! D'accord ? ».
« Oui Claire, Oui Madame Claire ! »
Quelle décision encore une fois en si peu de temps, je ne sais pas si je vais tenir le coup à assumer autant de choses...

« Tu verras, je connais très bien le réparateur, c’est une personne très bien, il est connu pour être un chaud lapin ! Il aime les femmes comme toi, tu devrais lui plaire je pense, et salope comme tu fais, tu vas lui plaire ! »
« Tu vas donc le recevoir, tu le guideras jusqu’à la lingerie, et s’il te fait des avances tu accepteras ! »
« Attention Daniela, hein ! Je ne veux pas que quelqu’un de passage chez moi sois déçu ! Tu dois assurer, sinon gares à toi ! Saches que je serai au courant de tout ! »
« D’accord Daniela ?, tu accepteras ? Réponds-moi ! ».
« Ben… oui…, Madame claire ».
Un petit oui sortit de ma bouche, quel plan m’avait encore préparé Claire. Me montrer en femme à un inconnu et de surcroit accepter ses avances. Cela faisait beaucoup, j’étais stressée, je me regardais dans le miroir et je m’observais en pensant au regard des autres. Comment serais-je perçu dans cette tenue ?
C’est vrai que j’étais presque crédible, mais le regard des autres n’est déjà pas facile dans la vie courante d’homme alors en femme… Je souris en pensant à ça, c’est vrai que le fait que ce soit Claire qui me le demande est un peu différent et pour lui faire plaisir je le ferai. Petit à petit, je sentais que je rentrais dans son jeu et que je devenais son petit chien, sa petite chienne, son soumis, sa soumise. Claire m’avait laissé quelques secondes dans mes pensées et m’observait de près. Elle contrôlait tout et elle avait l’air de connaître à l’avance mes réactions. Le sourire que j’esquissais dans le miroir était pour elle un signe d’acceptation de ma part et elle en était ravie.

« Allez ! Daniela ! je te laisses gérer cela. Quand le réparateur sera parti, tu reviendras me voir dans ma chambre, je vais me reposer un peu »
« D’ailleurs, avant ça, je vais l’appeler et lui signaler que c’est toi qui le recevra ! ».
Je me leva, Claire pris son portable. « Allo, c’est Madame R. à l’appareil, vous aviez rendez-vous dans une heure pour mon lave-linge…, juste pour vous dire que je serai absente mais que ma gouvernante sera là pour vous recevoir ! » « Elle connait la maison, elle est très bien…, oui, sous toutes les coutures ! ».
Claire raccrocha,
« Voilà Daniela, c’est arrangé, à tout à l’heure ! ». Je compris que je devais m'ecliper, je me regardais une dernière fois dans le grand miroir de l’armoire, de la tête aux pieds. J’avais un peu de mal à penser que c’était moi, en femme sexy, prête à faire la salope et tout ça pour une femme qui me l’avait ordonné.

Je descendais à la lingerie au rez-de-chaussée, je réfléchissais et j’essayais de m’imaginer cette prochaine rencontre. Moi qui aimais bien savoir ce qui m’attendait, j’étais servi ! J’allais rencontrer en tête à tête un inconnu et devrais accepter ses avances. Je préférais me concentrer et faire ce que Claire m’avait demandé. Je devais lui faire confiance, et vivre les événements au présent, on verra bien…
Perché sur mes talons, je récupérais le linge et alla l’étendre dans la cour arrière. Je devais pour cela sortir sur le perron, peut-être que quelqu’un me verra. C’est pas grave, on ne me reconnaîtra surement pas comme ça, je fonçais. J’avoue que c’était agréable d’être ainsi habillé j’adorais marcher avec des talons. Juste les douleurs aux fesses et aux seins me dérangeaient, j’en avais oublié le plug bien ancré dans mon cul.

Etendre le linge et ranger la lingerie me pris environ une demi-heure, le réparateur arriva plus tôt que prévu. Il sonna à la porte d’entrée, je respirais longuement avant d’ouvrir, je tremblais et j’étais stressée. Je pensais à Claire et à la satisfaire pour m’aider et me calmer, c’était mon unique motivation qui me fit ouvrir cette porte à cet inconnu.
« Bonjour Monsieur. ». Le réparateur était un homme de 45 ans, d’allure sportive et beau garçon, il avait l’air un peu macho. Il me salua avec une attitude normale, sa réaction me surpris agréablement, cela se voyait que je n’étais pas une femme et cela ne le dérangeait pas.
Je luis dis de me suivre, je me plaisais à marcher devant lui, et je m’appliquais dans ma démarche. Je ne voulais pas montrer mon manque d’habitude à marcher avec des talons. Il avait vu tout de même ma gêne et ma timidité et il avait prit la conversation à son compte en me parlant de la pluie et du beau temps. J’étais polie et souriante et répondais simplement à ses questions.
240x180-7.jpg Je le laissais rentrer dans la lingerie, il s’accroupit devant le lave-linge pour l’inspecter. Je restais près de lui en pensant ce que m’avait dit Claire, pour cela je devais tenir mon rôle de femme, aguichante voir salope. De nature timide en homme, je me découvrais une aisance à faire du charme à quelqu’un. C’est vrai que je profitais de la tenue que je portais, je savais que les hommes étaient décontenancés mais attirés face à ces femmes sexys et aguichantes. A plusieurs reprises, je me montrais provocante en me baissant pour qu’il voit mon cul bien moulé dans ma belle robe, je croisais et décroisais les jambes, il avait les yeux baladeurs et m’observait.  Je lui lançais également des sourires discrets mais parleurs.
A un moment, je m’accroupissais à ses côtés pour voir avec lui le lave-linge, naturellement, il toucha ma cuisse, j’en profita pour écarter mes jambes, je savais qu’il fallait que je saisisse l’occasion, il fit un aller et retour sur ma jambe et mes cuisses s’ouvraient.
J’attendais qu’il y engouffre sa main, mais non au lieu de cela il se leva, d'un coup sec. Je fus troublée et m’en excusa presque auprès de lui, pensant que je l’avais choqué.
Je n’eus pas le temps de me lever.
« Ne bouges-pas » me dit-il d’un ton calme mais directif. Il dégrafa son ceinturon, baissa un peu son caleçon pour y engouffrer sa main et y saisir sa queue. Il là sortit, pendante et juteuse, il la décalotta

« Tiens ! Prends-la ! ». Je compris ce que cela voulait dire, je m’approchais en me redressant sur mes genoux et il me mit sa bite dans la bouche en la branlant pour qu’elle durcisse.
C’était la première fois que je voyais une autre bite que la mienne en érection, j’étais impressionnée par sa grosseur et par le fait de l'avoir aussi rapidement dans ma bouche.
Je voulus la rentrer doucement et je n’osais point la sucer.
Il donna un coup de rein pour la rentrer plus profondément, je la ressortis en la suçant lentement, je preferais m’aider de la main pour contrôler ses allers et venues.
Il lâchait ensuite sa queue et me tenait la tête à deux mains pour me donner le rythme, je dûs le suivre et le sucer du mieux que je pûs. J’avais l’impression de ne pas faire ça comme il fallait, il m’encourageais.

« Vas-y ! Suces, allez, c’est bien, continue ! »

Je m’appliquais, mais c'était la première fois pour moi. Ce n'était pas facile, alors je restais naturelle. Et finalement, je profitais du moment présent et le plaisir m'envahit subitement.
J’allais d’avant en arrière aidée par ses mains, j’avais la bouche pleine, le réparateur avait l'air de prendre du plaisir.
Je découvrais ce nouveau plaisir inconnu pour moi, mais j'aimais ça à n'en point douter ! 

Je pensais à Claire, j'aurai tant aimé qu’elle me voit Je pense qu'elle aurai été satisfaite de ma prestation.
J’étais fière de lui faire plaisir mais le pire est que je prenais du plaisir à faire cela ! J’avais envie que cet homme prenne vraiment son pied et qu’il jouisse.
Quelle sensation curieuse, de nouveau plaisir pour moi que d’aimer une bite, j’en espérais aussi qu’il me prenne par derrière et qu’il me remplisse le cul avec son gros sexe. Il devina mes pensées, il sortit sa bite de ma bouche, elle était inondé de bave, je m’essuyais avec ma main et me branla un peu avec ce jus. J’étais chaude et j'avais envie de jouir.
Il m’appuya sur ma tête pour que je me penche en avant, je ne me fus pas prier et je me cambrai lui offrant mon cul. Je le voulais en moi, j’étais sa chienne, je voulais qu’il me prenne jusqu’au fond de moi. Il souleva ma robe découvrant mon plug « Oh ! La salope ! C’est que tu t’es préparée pour moi, toi ! » Je lui répondu naturellement telle une femme 
« Oui ! Prenez-moi, allez-y ! ».

Je n’aurai jamais pensé que les choses se passeraient aussi normalement que cela, comme-ci j’avais l’habitude de faire l’amour avec un homme, je me sentais femme ! Que penserai Claire si je lui raconterais la vérité que j’ai sucé le réparateur, il m’a baisé et j’ai adoré ! Je devrais peut-être lui mentir, garder ça pour moi…
En attendant, il s’enfila une capote et me pénétra facilement, aidé par le passage du plug, il alla plus profond et vint buter contre mes fesses qu’il prit de chaque côté. Je gémis de douleur mais ça eut l’effet de me faire bander plus dure encore et j’avais envie de me branler.
J’avoue que c’est à ce moment là que j’ai pris le plus de plaisir, me sentir possédée par cet homme, qui m’abusait en me tenant les fesses à pleines mains, plus profond à chaque coup de butoir, j’eus envie de jouir et de sentir sa semence au plus profond de moi et en même temps j’avais envie d’un contact buccal, je me suçais le majeur en imaginant sa belle bite.

Qu'est-ce qu'il m'arrivait !
C’était ma première expérience homosexuelle de ma vie, et quelle surprise d'y avoir pris autant de plaisir. Comment étais-ce possible ? Comment allais-je expliquer cela à Claire ? Je ne voudrais pas qu’elle s’imagine que j’aime cela, j’aurai peur qu’elle me demande encore autre chose, j’improviserais, mais je ne pourais sans doute cacher le plaisir que je venais de prendre.
En plus, tout cela arrivait grace à Claire que je devrais remercier.

Pour l’instant il me labourait ma chatte et je gémissais, je prenais mon pied. J’aurai voulu qu’il se retire pour qu’il me gicle dessus mais je n’eus pas le temps de lui demander, il éjacula au fond de moi, c’était bon, je n’avais pas joui mais c’était tout comme, le réparateur pris vraiment son pied, j’étais contente de moi !
Il se retira sans piper mot, enleva sa capote et remonta son pantalon. Comme si de rien ne s’était passé, il reprit son travail. Je me relevais difficilement encore toute bousculée par ce que je venais de recevoir. Je préférai me retirer de la pièce pour me remettre de mes émotions.
J'alla dans la salle de bains du bas, je remettais ma robe en place, remontais mes bas, et je me recoiffais un peu.  En me regardant dans le miroir, je pensais à ce que je venais de vivre, ma première expérience de femelle. J’ai plut à un homme et ce n’était pas désagréable du tout !
Le réparateur finit rapidement son entretien de la machine et m’appela.
« Mademoiselle ! » « Oui Monsieur ! » répondis-je subitement. « J’ai fini ma réparation, je vous laisse, je passerais un coup de fil à Madame. Merci pour tout ! ». 
« De rien Monsieur, tout le plaisir était pour moi ».

Je reprenais mon souffle, assez sereine de ma « prestation », pour me rendre auprès de Claire qui devait attendre mon résumé. Je passa à la cuisine pour préparer une petite collation pour Claire, et monta dans sa chambre. Je frappais avant d’entrer, elle était au téléphone, c’était le réparateur qui lui expliquait la panne résolue de son lave-linge.

« D’accord ! Merci bien ! Et ma gouvernante..., elle s’est bien occupée de vous ? Oui ? Et bien parfait, Merci encore, au revoir ! ».

Elle racrocha et me regardait dans les yeux, ils brillaient d'impatinece de savoir ce qui s'était précisemment passé.
« Racontes-moi Daniela ! Comment ça s’est passé ? ».
Je lui raconta mot à mot et réellement le déroulement, elle était pendue à mes lèvres. Je n’ajoutais aucun commentaire personnel en omettant le plaisir que j’eus à faire cela, cela n’avait pas l’air de la toucher plus que ça.
«C’est très bien Daniela ! Le réparateur avait l’air content, et toi, donnes-moi ton avis concernant cette expérience ».
« Et bien… Comment dire… Euh… Madame Claire… J’ai fait ce que tu m’as demandé, en pensant te satisfaire et je l’ai fait, c’est vrai que je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé. »
« Ah bon Daniela ! Comment ça ? Racontes-moi ça m’intéresse ! »
J’en avais trop dis, Claire avait les yeux qui brillaient, elle sentait qu’elle avait bien fait les choses.
« Pour résumé, j’ai aimé être femme et avoir plû à un homme »
« Je savais Daniela que tu avais le profil !, je le savais. Tu vas continuer ta formation ! J’ai plein d’idées pour toi… »
« Es-tu toujours prête à m’obéir ? »
« Je n’ai pas le choix Madame Claire » lui dis-je avec un sourire du coin des lèvres.
« Ok, très bien, maintenant, mets-toi à genoux ! ». Je m’exécutais rapidement. Elle prit un de ses bas encore sur son lit et me banda les yeux. Que se passait-il encore, qu’allait-il m’arriver. de nouveau.

0.JPGIl était le milieu de l’après-midi, j’étais exténuée par ce que je venais de vivre et je n’avais qu’une seule envie, me reposer et me détendre.
« Couches-toi sur le dos ! ». Je m’allongea sur le dos, je sentais qu’elle m’attacha les chevilles ensembles, ensuite les bras qu’elle me tira vers le haut de mon corps afin que je sois bien tendu. Je pense qu’elle m’attacha une extrémité à l’armoire et l’autre à un pied du lit.
J’étais immobilisée et je ne voyais rien. Soudain je sentis son bas contre ma bouche, elle voulu que je lèche son pied, je le fis avec grand plaisir, elle me mit son gros orteil dans la bouche et je lui suçais avec délicatesse, c’était très bon ? Serait-ce une récompense ?
Au bout de quelques minutes, elle s’assit sur moi, sur mon visage, en écartant sa robe. Sans culotte, je sentais sa chatte humide à souhait. Je pûs à peine respirer, mais très vite elle alla d’avant en arrière frottant sa chatte contre mon nez puis contre ma bouche, je sortis ma langue pour la lécher.
Elle mouillait de plus en plus, elle accélairait ses mouvemens sur mes lèvres.
Elle resta soudaienement immobilisée quelques secondes, j'eus du mal à respirer, elle venait de jouir.
Je venais de faire jouir Claire ! Je venais de combler sexuellement ma cousine ! Je n'en revenais pas.
Je l’avais comblé, elle se releva. Elle alla quelques instants dans la salle de bains, et evena ensuite me détacher. Sans rien dire, je me défis de mes liens et me releva.
« Tu peux aller dans ta chambre Daniela, ça suffit pour aujourd’hui ! ».
J'aurai voulu parler de ce qui venait de se passer, mais pas Claire... Je retourna dans ma chambre, je me déshabillais, et fit une douche pour me démaquiller et me laver de tout ce que je venais de vivre. Quelle journée !

Je m’alongeais sur le lit et sans rien voir venir, je m’assoupis bien une heure de temps. A mon réveil, je pensais avoir rêvé à tout ça, mais non ce que j’avais rêvé était bien réel, je venais de le vivre. Toutes ces choses venaient de se passer, Claire m'avait surprise mais j'étais comblée.

Je rangeais les affaires, lavais le linge, mais je ne revis pas Claire de la soirée...

Les jours suivants, mes rapports avec Claire étaient redevenus comme avant, comme si de rien ne s’était passé. J’avais un peu du mal à la regarder en face et de lui adresser la parole comme si de rien ne s’était passé, surtout devant mon épouse et mon cousin.
Nos vacances se terminèrent trois jours plus tard, il n’y eu aucune autre occasion de me retrouver seule avec elle. Je cherchais et attendais un moment ou j’aurai pu lui parler en tête à tête, elle le sentait et me fuyait.

Nous laissons Claire et mon cousin dans leur propriété en les remerciant encore une fois pour leur accueil. 
« On reste en contact par téléphone et au pire on se voit l’année prochaine ! Vous êtes les bienvenus ici ! »
En s’embrassant pour se dire au revoir, Claire me donna discrètement un papier dans la main, je le mis discrètement dans ma poche. Nous rentrons chez nous, j’avais hâte d’arriver à la maison pour lire ce que m’avait donner Claire.

« Mon cher Daniel ! J’espère que tu ne pensais pas que c’était fini entre nous ! Tu m’appartiens toujours, tu es toujours à ma disposition. Je veux que tu continues à m’obéir comme tu l’as fais pendant ces vacances, et que tu fasses ce que je te demanderai en temps et en heure. Régulièrement, je te contacterai par mail, tu t’organiseras pour réaliser mes souhaits, je veux des preuves que tu fais bien ce que je te demande, tu feras des photos comme preuve par exemple… Pour que tu puisses te libérer du temps, je te trouverai des alibis, ne t’inquiètes pas…
Je veux pour d’ici la fin de semaine que tu te rases et que tu t’épiles le sexe comme il faut. Je te veux lisse et sans poils. Je veux aussi que tu portes un plug au moins 1 heure par jour, je veux un planning !
D’ici la fin du mois, je te donnerais un rendez-vous en après-midi, tu devras l’honorer.
Donc, penses bien à notre deal, sinon je dis tout à ta femme ! ».

FIN du premier épisode

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 3 octobre 2015 6 03 /10 /Oct /2015 06:01

Suite à notre sortie en club maîtresse et moi ce dernier été. Nous avions vu un exhibitionniste se branler devant nous en sortant de la boite. Cela a donné des idées à ma maîtresse...
Maîtresse m’en avait parlé à notre retour dans l’auto, elle voulait m’offrir à un homme richement doté.

Quelques mois plus tard, nous faisions une sortie dans ce même club, je n’y pensais plus guère, mais une occasion se présentait à maîtresse...

Après avoir passé une excellente soirée, nous partons du club vers 3h00, moins de monde dans les rues nous nous dirigeons vers l’auto garée quelques centaines de mètres plus loin.
Maîtresse qui marchait devant moi s’arrêta net. Je stoppa.
Elle m’ordonna de m’attendre au pied du lampadaire, pendant qu’elle allait voir un peu plus loin, elle avait repéré un inconnu assis sur un muret qui était en train de se toucher.
Pas besoin de me faire un dessin pour deviner ce que maîtresse avait en tête !
Je les observais et ma cage venait de plus en plus petite, j’étais très excitée à l’idée...

Maîtresse revint quelques instants plus tard avec un large sourire en me fixant droit dans les yeux.
Elle vint vers moi, fouilla dans son sac et en sortit la laisse qu’elle fixa à mon collier.
Les yeux dans mes yeux, elle me dit ces mots “Tu es ma salope n’est ce pas !” Je répondis par l’affirmative “Oui maîtresse” “Je vais t’offrir à cet homme que tu viens de voir, tu vas le sucer, et peut être qu’il te prendra !” “Bien maîtresse!” Je fis un sourire qui en disait long sur mon envie d’obéir à ma maîtresse.

“Mais attention à toi, tu as intérêt de t”appliquer !” “Je ne peux pas me permettre de t’offrir à quelqu’un et qu’il soit déçu !” “Compris ma salope ?” “Oui bien maîtresse”.

15_320x180.jpg Aussitôt dit, aussitôt fait, elle me traîna du bout de ma laisse jusqu’à un lampadaire suivant et m’ordonna de me mettre à genoux. Je m’exécuta, et l’homme s’approcha, toujours en se branlant sans équivoque.

De ci de là, quelques badauds rentrant de boite, nous sommes au Cap ne l'oublions pas !, ils s'arrêtèrent net en comprenant la situation qui se préparait. Je voyais tous ces gens me regarder, d’autres assez loin, d’autres juste le trottoir d’en face, j'étais quelque peu impressionnée.
Mais tenue en laisse par ma maîtresse, je me sentais en sécurité et assez fière de ce qu’elle me proposait. Je dus attendre à genoux, les mains posées sur les cuisses, le buste bien droit, tel un chien attendant un os à ronger.

Tenez donc, je trouve cette image assez adaptée à l’occasion ! Bref... attendant les ordres de maîtresse, l’homme arrivait et s’arrêta à quelques centimètres de moi.
Je le regardais quelques instants et je baissais la tête lorsque maîtresse tira sur la laisse “Allez Daniela, prends son sexe dans tes mains et suce le !”

L’homme sortit sa bite de son large caleçon, je lui pris son gros sexe dans ma main et je lui lécha le bout du gland. Il me paraissait énorme et cela m’impressionnait. Il était déjà bien dur.
Heureusement, les semaines passées depuis ce dernier été m'avaient été avantageuses. Maîtresse m’avait fait sucer de nombreuses fois Alphonse et ce pendant de longs instants. Cela m’avait bien entraîné pour ce grand jour que j’attendais sans l’attendre !

Je lui lécha le bout du gland et petit à petit,en mettant son sexe dans ma bouche. L’homme ne tardait pas à m’aider dans mon entreprise en me forçant à le sucer plus amplement....
Son sexe était assez gros et bien dur, il était délicieux à sucer et cela me changeait du silicone du gode de maîtresse !
Je m’appliquais à le sucer, je levais les yeux pour voir le gars qui était concentré sur son affaire en cours, maîtresse toute souriante, me tenait à ma laisse comme pour m’aider.
Cela me donnait de l”élan et je m’enfonçais le sexe encore plus loin dans ma gorge. Je voyais quelques personnes s’approcher, surtout des couples, qui me regardaient sucer cet inconnu avec envie.

Qu’est ce que j’aimais me donner en spectacle, cela me donnait l’impression d’une importance particulière, d’une certaine attention des autres.
Ce soir là, je ne sais pas combien de temps je suçais ce jeune homme, mais cela durait, je salivais, et je sentais couler la salive sur mes bas.

Maîtresse toujours très à mon attention sentait que cela avait assez duré et qu’il était temps que je la fasse jouir.

“Daniela,je t’ordonnes de le faire jouir !”.

Maîtresse m’avait dit cela sur un tel ton et surtout suffisamment fort pour que toute l’assistance l’entende bien.
Le brouhaha se fait alors moins fort et je dus m’atteler à le sucer de mieux en mieux afin qu’il vienne.
Je m’aidais d’une main pour lui masser le sexe jusqu’à ma bouche et le branlais en faisant taper son sexe contre mes lèvres. Je sortais ma langue et lui lécha le gland tout en le branlant de plus en plus fort.

Se sentant partir, l’homme repris la man, c’est le cas de le dire, et se branla d’une force que je n'aurai jamais oser le faire.
Je retirais mes mains. Maîtresse me donna l’ordre de poser mes mains sur mes cuisses et d’ouvrir grand la bouche. Je m’exécuta en levant bien haut la tête cherchant désespérément à attraper son sexe avec ma bouche. Je n’eus pas à attendre très longtemps. L’homme commençait à gémir, il bloqua son sexe quelques dixièmes de secondes posé sur ma lèvre inférieure, et d’un coup le liquide jaillissait de son sexe écarlate.

Par saccades, il giclait bien au fond de ma gorge “Prends tout Daniela” m’ordonna maîtresse, quelques jets giclaient sur ma joue mais le maximum arrivait dans ma bouche, sur ma langue.
L’homme finissait de se branler encore quelques secondes, les personnes autour de nous, riaient et s’exclamaient.

Maîtresse prit la parole au milieu de ce vacarme ”C’est bien ma salope !” “Montres à ta maîtresse !’
Je levais la tête tout en ouvrant grand ma bouche lui montrant tout le foutre que le gars avait déposé.

“C’est bien Daniela ! Avales tout maintenant !”

Je m’exécuta aussitôt et je déglutissais afin d’avaler d’un coup le reste de la semence du mec. J’ouvrais ensuite ma bouche toute humide de bonne salope en montrant à maîtresse comment j’avais tout avalé;

“C’est bien ma chienne !”

Je m’essuyais le sperme sur ma joue, pendant que l’homme s’était déjà rhabillé. Maîtresse tira sur la laisse pour que je me lèves.
Tout le monde s’était reculé et partaient tout en discutant entre eux, en se retournant de temps à temps. Ils n’avaient pas été insensible à cette fellation donnée en pleine rue.
Moi non plus ! j’avais éprouvé un vrai plaisir à sucer cet inconnu.

Ma maîtresse m’avais fais un beau cadeau. Pendant que tout le monde se dispersait, maîtresse me regarda dans les yeux en tirant ma laisse.

“Clac... Clac...”, elle me ficha une paire de claques, une bonne gifle sur chaque joue. Je compris alors mon oubli.

“Merci maîtresse !”

“Bien...”. Elle se retourna elle me tira la laisse jusqu’à l’auto.

Nous retournons au donjon...
Maîtresse était toute souriante en m’ayant vu faire ce dont elle m’avait ordonné.....
Cela avait sans aucun doute très excitée maîtresse qui se lâcha littéralement sur mon corps. Avec ses liens et son gode ceinture... Quelle soirée ! Merci maîtresse.

Plusieurs mois passèrent, et lors de chacune de mes séances, je passais facilement une heure à sucer des godes proposés par maîtresse. différentes composition, des mous et des durs, des longs et des gros, toutes sortes de godes se présentèrent à ma bouche. C’est Alphonse qui orchestrait les entraînements et petit à petit j’arrivais à enfiler ces godes au plus profond de de ma gorge. Hummm, je progressais bien....
Quel entraînement !!!

Lors d’une séance, maîtresse me fit d’abord bien souffrir avec une punition que j’avais largement méritée. En effet, j’avais été quelque peu odieuse devant des silences de maîtresse à mes sms.
Ensuite à genoux toujours les bras attachés dans le dos j‘attendais quelques instants ainsi. Le bandeau sur les yeux, elle m’enleva mon bâillon. J’entendis des personnes entrer et rapidement je sentis quelque chose de chaud contre ma bouche. Je l’ouvris toute grande et d’un seul coup un long sexe s’y engouffrais.

Sans mot dire, et pour cause, je suçais ce sexe offert par ma maîtresse.
Il devenait de plus en plus dur, je le suçais comme je pouvais, les bras dans le dos. Maîtresse m’aida en me faisant faire des allers et venues en avant et en arrière de ma tête afin que je suce plus profondément ce sexe bien juteux.
J’arrivais à l'enfiler profondément au fond de ma gorge, cela me faisait déglutir et j’avais des remontées. Maîtresse m’encouragea

“Daniela, tu en as sucé des plus gros alors j’aimerai que tu me suces mieux celui-ci”

Je fis un geste affirmatif de la tête à maîtresse et je m’appliquais. Je me concentrais sur ce beau sexe et après quelques va et vient, je pouvais sentir le sexe au fond de ma gorge. Maîtresse me bloqua la tête afin que je reste quelques secondes dans cette position. Je n’en pouvais plus, je voulais me retirer mais impossible. Ouf, l’homme se retirais de lui même, je pouvais déglutir, et cracher de la salive...
Je m’appliquais pendant plusieurs minutes ainsi, quand l’homme se mit derrière moi. Maîtresse m’ordonna de me pencher.

“Présentes lui ton cul mieux que ça ma salope”

Je me cambrais. Maîtresse m’enleva mon plug tout chaud immédiatement remplacé par la bite de cet inconnu assez dure.
Il avait pris soin de mettre un préservatif, il s'engouffrait rapidement et facilement au fond de moi. Il me prit par les hanches et me baisa comme il faut. Je gémissais

“C’est bon hein ma salope !” me dit maîtresse, “Oh oui maîtresse, merci “

Je n’eus pas le temps de gémir trop longtemps, maîtresse me redressa la tête et une deuxième bite se présenta dans ma bouche.
Deux hommes qui s’occupait de moi. Quel plaisir !!!

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Je ne me saurais jamais imaginé que maîtresse avait des idées comme ça pour moi.
Toute souriante, elle était contente de me faire plaisir. Je la trouvais aussi assez fière de pouvoir offrir une belle salope à des hommes qu’elle a du sûrement choisir...
J’étais très fière de faire ça devant ma maîtresse et pour elle, comme sa vraie soumise.

J’étais prise devant et derrière, je ne savais pas de quel coté me concentrer. Je me laissais faire comme une vraie chienne, je n’étais que leur poupée.
Ils y allaient sans ménagement, j’étais exténuée...
Maîtresse me tapais les fesses avec sa cravache pour me revigorer un peu. C’était bonnnnnn
Les deux hommes s’échangeaient de position, le premier jouit rapidement, dans ma bouche bien sur...

“Ouvres grand ta bouche !” me lança maîtresse, je tirai la langue afin qu’il vienne déposer son sexe qui allait jouir. Il me cracha violemment dessus et dans ma bouche. Il engouffra de nouveau son sexe afin je le finisses complètement. J’avais la bouche remplie de sperme. Je devais attendre les ordres de maîtresse pour avaler.

Le mec se retira, je leva la tête en ouvrant grand la bouche.

“Tu peux avaler Daniela !’ Je m’exécuta, et rouvris la bouche afin que maîtresse voit que j’ai bien avalé.

J’aimais obéir à ma maîtresse.. Le gars derrière me pris de nouveau, mais je n’en pouvais plus, heureusement il me présenta assez rapidement son sexe pour que je le fasse jouir avec ma bouche.

Maîtresse me félicita, toujours à genoux, les bras attachés dans le dos, je posa ma tête au sol afin de me reposer un peu. Je m’assoupis même quelques instants, le temps que maîtresse accompagna les hommes vers la sortie.

Maîtresse vint me voir et tout en me détachant me félicitant me parla beaucoup. elle semblait bien fière de moi.
Une fois détachée, je lui baisa les pieds en la remerciant longuement.

Quelle séance....

De temps en temps elle aimait m’offrir à un ou plusieurs hommes...
Cela me plaisait bien, à maîtresse également...

Puis un jour...

Suite pour bientôt !

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Samedi 13 juillet 2013 6 13 /07 /Juil /2013 22:22

C’était les retrouvailles avec mon maître, après plus d’une année, nous nous étions perdu de vue. Nous avions alors continué notre route chacun de notre côté.
J’avais tout de même gardé ses coordonnées car les projets et les plans qu’il réalisait me correspondaient tout à fait.

Maintenant que j’étais libre de collier j’avais envie de renouer le contact avec lui afin de faire des choses jamais réalisées et qui me trottaient dans ma tête depuis longtemps.
Je savais qu’il affectionnait tout particulièrement ce genre de plan. Les différentes discussions avec lui me l’avait montré.
C’était de bonne augure, j’étais motivée pour être à sa disposition et lui montrer que je pouvais satisfaire ses exigences. C’était important pour moi de réussir afin qu’un lien se tisse entre nous et que l’on avance chacun dans nos envies respectives.

Après quelques échanges cordiaux, il était temps de passer dans l’action !
Le dimanche, mon maître m’avait prévenu par sms, “je te convoquerais un soir de la semaine. Tu viendras habillée comme une pute.” Tout était très c lair dans ce message...

Dès le mercredi, je reçus un nouvel sms de sa part.
“Soit présente aux jardins de l’Impérial d’Annecy demain soir à 22h00. Tenue provocante exigée.” 

Cette journée de jeudi avait été belle, la soirée s’annonçait douce. Nous avions rendez-vous, pas trop tôt, le temps que la nuit tombe largement et que les lieux soient moins fréquentées.
Je savais comment il désirait me voir, “tenue provocante” voulait dire une tenue pour l’exciter et aguicher, hauts talons, bas, robe ou jupe sexy, collier de soumise, et maquillée.

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Je me rendais au rendez-vous dans la tenue exigée, un peu avant l’heure, histoire de sentir un peu l’ambiance...
J’attendais les ordres de mon maître dans ma voiture. J’étais prête, toute chaude, à sa disposition. Faire selon ses volontés, pour lui et pour les personnes qu’il voudra. J’étais prête à m’offrir et à satisfaire mon ou mes amants de ce soir. Qu’ils repartent heureux et satisfaits de ma prestation.
Je ferai de mon mieux, cela faisait longtemps que je n’avais pas fait ce genre de plan, mais je suis une soumise volontaire et motivée.
Je devais sortir de la voiture quant il me le dira. Je savais qu’il m’observait car il connassait mon auto. Je devrais m’enfiler dans les allées du Parc...

Enfin son texto, il était 22h00. Il faisait nuit, beaucoup moins de monde et beaucoup moins d’autos sur le parking.

“Sors de l’auto et prends l’allée en direction du lac”
Je m’étais garée tout proche de cette allée, j’attendais le bon moment pour sortir. J’observais les alentours afin qu’il y ai le moins de monde possible aux alentours.

Garée en marche arrière, je pus sortir discrètement, tirer sur ma jupe courte, très courte afin qu’elle recouvre au moins le haut de mes bas. Mon blouson noir lui, m’arrivais à la taille et ne suffisait pas à cacher quoi que ce soit.

Je me sentais prête, j’avais déjà marché avec des talons, mais rarement seule. Je devais faire attention ou je mettais les pieds pour ne pas me tordre une cheville et ne pas me faire remarquer. Je devais me montrer crédible et assurer, c’était le meilleur moyen de passer inaperçue !

Je sortis, fermais l’auto à clé et rangeais cette dernière dans mon sac à main.

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Je fis quelques pas et je m’engagea dans l’allée sans lampadaires, là je pris mon temps pour marcher, il faisait sombre, je me sentais protégée.
Je croisa un couple, trop amoureux pour me remarquer, et je continua le long de la presqu’île. Je fis le tour du parc presque en entier, et je ne voyais toujours pas mon maître. ça me faisait flipper... Devrai-je faire demi-tour ? Pour me faire remarquer il y avait pas mieux, mais bon ça allait, il n’y avait pas l’air d’avoir trop de gens dans le parc, du moins je ne les voyais pas...
Mon maître me cherchait-il, ou faisait-il exprès de me faire marcher dans le parc. Cela me plaisait assez, je me sentais en confiance.

Tout à coup, j'entendis des pas derrière moi, naturellement et machinalement j'accélèrais un peu le pas. Je stressais un peu, pas longtemps, un inconnu s’approcha rapidement de moi et me pris par le bras, il enfila le sien dans le mien et nous continuions à marcher.

“Bonjour ma pute !” Ouf c’était mon maître....
“Bonjour maître, je suis contente de vous voir !”
Tout en parlant nous avancions ensemble , il me mis la main aux fesses.

Humm, j’avais l’air de lui plaire. Nous refaisons presque un tour complet du parc, puis nous coupons à l’intérieur du parc, quelques bancs, libres. Il en choisit un, il me stoppa à la hauteur d'un, il me prit le bras sèchement et me passa une corde autour du poignet qu’il sortit de je ne sais ou. Il passa mon bras dans mon dos et attrapa mon second poignet et me lia les poignets ensemble.

“Maître !” je proteste, “mais que faites-vous ?”
Je stressai qelque peu, je ne pouvais rien faire, il était trop tard, les bras liés, impossible de me sauver en courant, “Arrêtez Maître, détachez moi, allez, s’il vous plait”. Il ne me répondis que brièvement.
“Trop tard ma belle, tu es à moi !”
Je protesta et me débata vivement, mais ça m’excita plutôt qu’autre chose, j’aimerai donc ça... ?
Il me prit par le bras, me mit face au banc
“A genoux salope !”
Le ton de sa voix changea, il devena autoritaire, je devais lui obéir.
J'étais long lente à son goût, il me frappa les fesses.
Je m’exécutais et je posais mes genoux au sol.
“Baisses ta tête”, j’inclina le buste, la joue posée sur le banc. Il se positionna derrière moi, s’accroupit et écarta mes jambes. Il remonta ensuite ma petite robe en cuir. ça m’excitait tellement que je cambrais mes fesses comme si je le lui offrais.
“Bien ma salope” “Tu comprends vite !”
Il me pelota un peu mes fesses, me les écarta soudainement.
“Humm beau plug !”
J’avais mis en effet mon Rosebud, il joua un peu avec mais me le laissa bien au chaud.

Je jettais un oeil à droite et à gauche, cela me semblais terriblement calme, trop calme. La vie s’était arrêtée autour de nous.
Pas le temps de gamberger, il me tira par les cheveux pour me redresser et me banda les yeux avec un foulard. Je ne voyais plus rien, encore plus excitant.
Il s’asseya sur le banc face à moi., le bruit d'un ceinturon et je compris qu’il défaisait son pantalon, je devinais qu’il sortit son sexe pour me le présenter.

Il me pris soudain la tête à deux mains et l’approcha brusquement vers lui, je toucha son sexe de mes lèvres, j’ouvra tout grand la bouche.

Il m’introduit alors sa bite, je resta la bouche grande ouverte, il alla au plus profond et buta au fond de ma gorge. Je repoussais un peu la tête et il lâcha enfin ses mains, je pûs revenir en arrière, déglutir et respirer un grand coup. J’étais surprise par la rapidité de mon maître, je n’avais rien vu venir.

Je ferma délicatement les lèvres sur son sexe et je me retirais lentement. Arrivée au bout, je lui lèchais le bout du gland, je remis son sexe bien dans ma bouche et fis des allers et retours afin de bien le sucer.
J'adorais ces premiers instants, le sexe grossissait au fur et à mesure que je m'occupais de lui.

Que c’était bon de sucer un sexe, qui plus est celui de mon maître. Je le suçais de belle manière pendant un certain temps. J’étais concentrée sur ce que je faisais, j’entendis soudain des pas s’approcher sur ma gauche, une personne était toute près, des pas sur la droite, une seconde personne s’approcha.
Cela semblait normal pour mon maître, il ne fut pas surpris de les voir arrivés, il ne disait rien...

Je faisais comme si je ne les avais pas remarqué, m’appliquant encore mieux à sucer ce sexe bien dur, j’étais excitée, cela ne se voyait pas à genoux que mon sexe s’était dressé. J’avais trop envie d’aller au bout de mon envie et de sentir son sperme gicler. Je n’eus pas le temps, mon maître me fit soudain stopper en me repoussant la tête. Je me redressa, il se lèva. J’entendis qu’il se rhabilla.

J’attendais, je ne bougeais pas, la bouche toute baveuse, Une main m’appuya soudain sur la tête, je n’eu pas d’autre choix que de me plier, cette main me plaqua la tête sur le banc et appuya fermement. Pendant ce temps, je sentis que l’on toucha mes fesses, que l’on me les tâta, une autre enfin m’écarta les cuisses.

Toutes ces mains sur moi m’excitait, cela se voyait, une énième main m’attrapa mon clito qui commençait à être bien dur, la main me le branla, j’écarta les cuisses, je gémis.
“Ouah la salope !”
Entendis-je d’une voix d’homme.
Un autre voix que je ne connaissais pas lui répondis.
“On dirait oui, on va le voir rapidement si elle aime ça !”
“Elle est bien sexy cette salope, elle me plait bien !” fit une autre voix.
”Reste à la voir à l’oeuvre si c’est une bonne chienne”
“Oui c’est sûr, qu’entre nos mains, il faudra qu’elle tienne le coup !”
Mon maître répondis “Elle manque d’entraînement, mais je peux vous dire qu’elle aime ça !”
“Tu crois qu’elle va supporter nos séances de sm dans la cave ?”
“De ce côté là t’en fais pas, elle est très sm et même plutôt hard !”
“Bon tant mieux car j’aime bien m'occuper de belles fesses comme ça !”
La troisième voix intervint “Tu me la prêteras pour une bande de pôtes ?”

J’écoutais attentivement ce dialogue entre ces deux hommes et mon maître. Il avait trouvé deux experts on dirait, ça m’angoissait quelque peu, mais je savais que mon maître ne me mettrai pas dans n’importe quelles mains.
Je ne voyais rien, j’étais attachée et j'avais les yeux bandés, je m'inquiéta de me retrouver entre les mains de ces inconnus. Je reconnus la main de mon maître qui me rassura, il me présenta un de ses doigts, que je suça langoureusement, montrant mon excitation mais aussi que j’étais rassuré qu’il soit près de moi.

Tout en discutant, mon maître m’accrocha ma laisse à mon collier et me redressa. J’étais maintenant debout devant ces hommes à moitié déshabillée.
Je restais immobile, attendant la suite. J’eus droit à une inspection en règle, les deux hommes me tournèrent autour, me regardaient et me touchaient partout.

“C’est une belle pute ta soumise, je pense qu’on pourrai faire plein de trucs avec !”

Les hommes me caressèrent les fesses. on me demandait d’écarter les jambes, je sentis une baguette, une cravache sûrement me tapoter entre les cuisses. Je les écartas sans sourciller, toujours les mains attachées dans le dos. J’avais aussi les fesses à l’air, je reçus un grand coup dessus, un cri sortit de ma bouche.

“Tais-toi salope” J’en reçu un second, je cria encore.
“Ça suffit, fermes-la !”
“Attends un peu, je vais te la fermer ta bouche”.

Je sentis qu’il voulait me bâillonner, j’ouvris la bouche, c’était un bâillon boule. La boule rentra dans ma bouche et une lanière attacha ce bâillon derrière ma tête. Au même moment, je reçus un autre coup de cravache sur les fesses, effectivement, je ne criais plus, je ne pouvais que gémir.

L’homme de la cravache pouvait maintenant me donna une bonne série de coups sur les fesses, seuls les coups qui claquèrent sur mes fesses s’entendaient dans le parc apparemment désert. Les fesses commençaient à me chauffer mais je ne bronchais pas.

Mon maître tira sur ma laisse vers le bas, je me pliais en deux, mes fesses étaient alors mise de plus en plus en évidence pour recevoir la cravache, une autre série s’en suivit.

“Ben voilà, tu commences à sentir à qui tu as à faire ma salope !”.

Je fus surprise quand je sentis que l’on attrapa mes testicules, l’homme les malaxa et les étira afin de les avoir bien en main. Je sentis qu’il me les attacha avec une cordes. Il serra assez fort et fit quelques tours d’une fine corde. Il put ainsi contrôler mon sexe. Il le tirait en arrière.
Un autre homme m’enleva le bâillon, à peine enlever qu’il m’enfila son sexe dans ma bouche. Je ne vu rien venir, je n’eus pas de mal à l’introduire, la bouche baveuse que j’avais.

Très vite il fit des aller et retours incessants, j’étais malmené, brutalisé, mon sexe étiré, il pleuvait des coups sur mes fesses.

Pendant ce temps, l’autre homme m’enleva mon Rosebud, et m’enfila un gode plus gros. Il y alla en douceur mais il était suffisamment gros pour que je le sente passé.

J’étais chaude, je mouillais, le gode rentra finalement assez facilement, il me l’enfila profondément sans s’arrêter.
“Et bien dis-moi ma salope, tu aimes ça !”
“je vais te prendre comme une vraie chienne tu vas voir !”
“C’est vraiment une grosse pute ta soumise, elle aime trop ça !”.

18a

Effectivement, je ne pouvais qu’apprécier la situation, j’étais à disposition de mon maître, je suçais une belle bite et j’allais être prise par un homme visiblement aussi chaud que le premier.

J’adorais que l’on s’occupe de moi de cette manière, et cela faisait longtemps que j’en avais envie.
L’homme s'enfila un préservatif et s’approcha de mon trou. Son sexe sembla bien dur, je me relâchais, il pût alors s'introduire facilement. Je me concentrais sur mon postérieur alors que je suçais le premier mec machinalement, ils avaient raison, j’étais une vrai salope ! 

Je ne sais pas combien de temps je me fis limer le cul, perché sur mes talons, les jambes écartées, j’étais ballotté d’avant en arrière au rythme de leurs à-coups.
Au bout d’un moment ils inversèrent les rôles, je suça le second, et l’autre se mit derrière moi. 

“T'inquiètes pas, il met aussi une capote” Mon maître m’avertit que l’homme que je viens de sucer avait trop envie de me prendre.

Aidé par son collègue qui avait fait le passage, il s’approcha de mon trou et d’un coup, il m’enfonça son sexe au fond. Tout en suçant langoureusement le gars, je ne peux m'empêcher de gémir, j’étais complètement prise, et il me prirent violemment tous les deux.
Tantôt en alterné et tantôt en même temps. Pas le même effet, mais comme c'était bon.

J’avais déjà vécu pareil situation, prise et sucer en même temps, ça décuple le plaisir. J’avais envie qu’il me laboure qu’il me prenne violemment....

Je ne sais pas combien dura le temps ou je fus malmenée par ces deux hommes très dominateurs sous les yeux de mon maître, je commençais à fatiguer un peu sur mes talons. Le sexe étiré à son maximum, je n’avais qu’une seule envie, les faire jouir.

C’est mon maître qui décida le moment. Il attendait que je sois prête et que j’en prennes un maximum, j’étais là pour ça...
Il se décida enfin. celui qui me prenait arrêta, vint devant moi, il me semblait qu’il se branlait.

“A genoux salope ! et ouvre bien grand la bouche !”
Je m’exécuta, et attendais patiemment, les mains toujours attachées dans le dos, mes jambes se reposaient un peu.
Ils se branlaient vivement et je ne dû pas attendre trop longtemps pour sentir sur ma bouche puis au fond de ma gorge chacun leur semence. Je restais la bouche ouverte sans broncher, ça se terminait.

Mon maître m'ordonnait, “Ferme la bouche et avale tout !”
Je m’exécutais en bonne soumise.
“Montres !” J’ouvrais la bouche après avoir avalé leur foutre. Je me détendais enfin.

Ils me laissaient me remettre de mes émotions, en me détachant les bras et en enlevant le bandeau. J’eus le droit de m’asseoir sur le banc. Je me nettoyais un peu et me rhabillais un peu les fesses.

Pendant ce temps les hommes et mon maître s’éloignèrent de quelques pas. Je les entendais discuter peu de temps, ils se saluèrent et les deux hommes dominateurs s’éclipsaient comme ils étaient venus.

Mon maître revint me voir, s'inquiéta de savoir si j’allais bien.
J’allais bien, je lui montrait ma satisfaction d’avoir réalisé ce plan. Il semblait aussi content de moi.

“Ils veulent te revoir bientôt !, pour un plan sm cette fois-ci...”

Mon maître me raccompagna vers l’auto, nous nous saluons, je m’enfilais dans mon auto et partit.

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Au royaume des salopes
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Mercredi 4 avril 2012 3 04 /04 /Avr /2012 03:34

Dans mes recherches à vouloir être offerte à des hommes dans des lieux publics, j’avais quelques contacts, cela avançait plus ou moins rapidement suivant les disponibilités des Maîtres qui avaient envie de m’emmener sur de tels lieux.

Pendant ce temps, je mettais en ligne une histoire dont je venais d’écrire et qui correspondait vraiment à mes envies du moment « Mon maitre m’emmène au sex-shop ». Histoire de maitre et moi faisant des achats au sex-shop, mon maitre m’obligeant à sucer et à être prise par les clients.

De mon côté, je sélectionnais deux personnes avec suffisamment d’expériences pour me faire vivre une pareil expérience.

La première personne était de Lyon, c’était un maitre qui possédait une soumise travestie sous contrat, et avait déjà réalisé des plans dans lieux chauds comme des jardins publics, des aires d’autoroute, des cinémas pornos… avec de nombreuses soumises. Il avait envie de me dresser en privée et de me faire dresser par des hommes vicieux dans un donjon privé, pour ensuite être livrée à des groupes d’hommes, son but que je sois une vraie chienne à bites.

Le deuxième homme, d’Annemasse, offrait sa femme régulièrement dans des soirées privées et dans des saunas et clubs de la région. Celui-ci aimait les soumises de mon genre, et voulait me tester pour m’offrir directement dans un sauna.

J’avoue que ces deux personnes m’avaient attiré par leurs projets et ce qu’ils voulaient faire de moi. C’était mon envie du moment, j’étais motivé à faire la pute pour un dominant.

Je ne pouvais pas faire ce plan sans un maître très directif avec un minimum d’expérience pour m’offrir à des hommes. Je devais également m'entraîner pour faire ce genre de plan, et être éduquée pour cela.

En attendant de pouvoir réaliser un tel plan, je continuais à chercher des hommes qui voulaient bien me baiser. Une bonne chienne de mon genre n’a pas trop de difficultés à trouver des hommes qui ont envie de la sauter. Je décidais également de ne pas les choisir sur leur physique, je devais prendre ce qui venait, et mettre mes trous à leur disposition.

Pendant mes recherches, je retrouvais mon maître d’Annecy, je l’excitais toujours autant et on passait toujours de bons moments ensemble ! Il venait de lire mon histoire sur mon blog et il me proposa rapidement de m’emmener dans un ciné porno, celui de Genève. On en avait jamais parlé ensemble, mais je vis que mes envies du moment lui plaisaient et qu’il aimerait aussi me livrer sur des lieux publics. Nous planifions ce plan pour bientôt, le temps de se préparer moralement et physiquement.

Une semaine passa, j’avais rencontré le mercredi, un homme en plan nature, sans fioriture, je l’attendais au bord d’un chemin le long de l’autoroute, adossé à la voiture, il se gara derrière moi, et il vint près de moi.

Je me mis face à lui, et c’est moi qui pris les devants. Je ne me reconnaissais pas, moi qui avait l’habitude d’attendre les gestes des mecs, souvent directifs, je tendis les mains le long de son blouson et descendit rapidement pour lui passer ma main sur le haut de son pantalon. Droit dans les yeux, main à plat, je sentais sa bite à travers, et je le caressais, je lui défis le bouton et descendis la fermeture éclair. Il se laissait faire, le pantalon descendis sur ses chevilles, je pouvais lui caresser sa bite plus facilement.

Il me mit les mains au cul et il gémissait de plaisir. Je ne mis pas longtemps à glisser ma main dans son caleçon et à me saisir à pleine main de sa bite toute raide et toute chaude. Son sexe me rappelait ce qu’il m’avait attiré chez lui, les dimensions hors normes de son sexe, la longueur et surtout la grosseur. Tout en continuant de le branler, je me mis accroupis et je lui suça le bout de sa bite. J’ouvris la bouche et il m’engouffra rapidement sa belle queue bien dure j'eus du mal à le sucer, je la lui ressortit et le lécha, histoire de la lubrifier quelque peu. Je pu ensuite le sucer comme il fallait. J'eus ensuite rapidement la bouche bien humide, ses allers et venues au fond de ma gorge me lubrifia largement ma bouche, sa bite était devenu bien baveuse. Je le suça longuement m'aidant de mes mains pour le branler.

Il était si chaud qu'il pris rapidement une capote dans sa poche et se l'enfila. Je me redressais et me retournais. Il me plia en deux et releva ma jupe, il écarta mon string et mes fesses et commença à approcher sa bite de mon trou. J'avais pris soins de bien me lubrifier, heureusement car il ne perdit pas de temps à m'introduire sa grosse queue.

Il la rentra rapidement de moitié, et me lima ainsi quelques coups avant de me l'enfiler ensuite tout au fond d'un coup sec. Je gémis quelque peu de douleur, il m'avait prise et je le sentais bien profond, la douleur laissa la place au plaisir, c'était trop bon. Mon petit cul serré le fit malheureusement jouir assez vite, mais il m’avait bien baisé ! J'étais satisfaite.

La semaine suivante, mon maître d'Annecy, maitre Domi me contactait le mercredi via le site de tchat. Il était chaud comme la braise ! Il voulait absolument me voir et me baiser. Je n’avais pas de dispo avant le vendredi soir. Cela lui convenait « Réserves ta soirée ma pute, je t’emmène te faire baiser ! ».

Ces phrases m'excitaient et j'attendais avec impatience son plan “secret”. Il ne voulait rien me dire préférant me faire la surprise. Au fond de moi j'espérais que cela se passerai au sauna ou au ciné. J'avais la plus grande confiance avec ce maitre, organisé et juste, il pensait à tout. Je me préparais donc en fonction de ce plan.

Tenue plus que sexy, du genre pute ! jupe très courte, bas résilles, talons treize centimètres, perruque blonde et maquillée bien colorée.

Nous avions rendez-vous sur un parking près de la frontière franco-suisse, je monta dans son auto. J’étais un peu angoissé, je n’avais pas l’habitude que l’on m’emmène en tenue, je me sentais prisonnière, impossible de faire demi-tour et obligée d’assurer ma tenue.

Nous passons la frontière, personne pour nous contrôler. Ouf ! je balisais, j’avais peur de me faire arrêter, que l’on me questionne, la trouille quoi...

Et en même temps, j’étais avec mon maitre, je me sentais en sécurité, je savais qu’il me protégerai, je me détendais un peu.

Sur la route, je commença par caresser mon maitre, très vite, il banda. Je lui sorti son sexe de son pantalon et je le suça. J’étais absorber par son sexe, envie de le faire jouir. Il finit par s'arrêter, il inclina son siège et je le suça de plus belle. Il finit par jouir. Je ne voulais qu’il se salisse, je gardais donc son sexe dans ma bouche, et avalais son jus jusqu’à la dernière goutte.

Je me releva, nous étions sur un parking public en pleine ville. Pas grand monde en cette heure tardive de la nuit, très peu de lumière également.

cinema-porno-atlas-paris“Voilà ! nous y sommes !” Sur ces mots, maitre domi se rhabilla et se prépara à sortir de l’auto. Je m'arrangeais rapidement et je le suivais. Je ne voyais rien aux alentours, rein d’ouvert pour rentrer au chaud. Il me pris par la taille et me mettait la main aux fesses. J’étais assez heureuse de marcher en ville avec un homme.

Au bout de la rue, nous traversons et tournons sur la droite. Au bout de la place, une lumière attira mon attention.

J’attendais de s’approcher un peu pour lire l’enseigne, de loin, on ne savait pas trop de quoi il s'agissait, sexe-shop, bar, boite de nuit ou ciné -sexe... je saurai maintenant rapidement ou mon maitre m’emmenait ce soir.

“C’est là !” me dit il. “Nous allons au cinéma !” ça te plaît ?” “Euh oui...” lui répondis-je peu surprise mais surtout quelque peu stressée, j’avalais ma salive.

Hormis en boite de nuit, je ne m’étais jamais déplacé dans un endroit aussi chaud. Je savais qu’il y aurai du monde. Deux hommes discutaient non loin de l’enseigne de là, ils nous observaient en train de rentrer dans le cinéma. Je me colla un peu plus vers mon maitre, cela lui plut et il me sourit.

Je laissa rentrer mon maitre en premier dans le sas d’entrée, ou il prit deux billets pour le seul film en cours. Je déglutis ma salive encore pleine de sperme de mon maitre, quand nous rentrons dans cette salle sombre éclairée par le film projetée sur le mur.

Une femme se faisait baiser en levrette par un homme et elle en suçait un autre.

Les images de ce film étaient de qualité médiocre et le son un peu fort.

Dans la salle deux couples assis presque au fond de cette petite salle et trois quatre hommes seuls vite intéressés plus que perturbés par notre entrée au premier rang dans le bas de la salle.

Je m’assis rapidement espérant être la plus discrète possible. Je mis une main sur le genou de mon maitre assis à coté de moi, lui montrant par la mon inquiétude à être ici. Il me rassura par un sourire et sorti de sa poche ma laisse, il me l'accrocha à mon collier de chienne.

Il n’était pas très discret, je pense que toute la salle nous regardait. Je bandais un peu, excitée par les images du film mais j’avais aussi très chaud, je quitta mon manteau.

92E1AD7.pngA peine cinq minutes que nous étions assis, un homme vient s’asseoir à côté de mon maitre. Mon maitre n’hésita pas, il tira sur la laisse. Je compris le message, mais je ne me levais pas encore. Je suis timide et j’avais du mal à approcher un inconnu, bien qu’il faisait sombre. Mon maitre insista et je dû me lever pour ne pas tomber du siège. Je me mis vite fait à quatre pattes devant mon maitre, il me tira encore sur la laisse afin que je m’approche de son voisin. Je rampais tel une chienne.

L’homme était en train de déboutonner son pantalon et de le descendre sur ses chevilles. Le message était explicite, je m'approchais de lui et je me glissais entre ses jambes afin d’atteindre son sexe. Il ne bandait pas encore, je le pris dans les mains et le branlais. Je faisais cela machinalement sans appréhension, ma timidité disparaissait. Je jeta un oeil en direction de mon maitre, il me fit un sourire d’encouragement.

Tout en fixant mon maitre dans les yeux je mis le sexe de cet inconnu dans ma bouche et je le suçais. Je faisais la parfaite salope, mon maitre se branlait à son tour. Je suçais l’homme avec envie, je me plaisais à faire cela.

Très vite, je sentis la présence d’un autre homme s’approchant de moi, il me caressait les fesses. Il remontait ma jupe et me branlais mon plug. Je gémissais de plaisir et remontait mon cul telle une véritable chienne en chaleur avec l’envie de me faire mettre.

Je branlais ce nouveau sexe dans mon dos. Il était bien dur aussi et surtout plus gros. Je ne pû m’empêcher de me retourner et de prendre cette nouvelle bite dans ma bouche. Quel beau sexe, très agréable à sucer.

 

Pendant ce temps le premier que j’avais sucé, s’enfila une capote et me prit d’un seul coup en me tenant les hanches. J’avais la chatte bien humide et bien chaude. Son sexe de petite taille me fit du bien. Je gémissais de plaisir et j’alternais les saccades d’avant en arrière afin de satisfaire ces deux hommes en même temps.

Mon maitre m’observait et je sentais que cela lui faisait plaisir que je me fasse prendre par deux mecs.

Bientôt le premier finit par jouir dans sa capote.

Je voulais que ce second sexe, plus gros, me prenne dans la chatte. je me retourna donc de nouveau. A peine retournée, un autre homme s’était approché et me présentait aussi son sexe.

Je ne sais plus combien de fois je fis cette manoeuvre mais je n’avais pas le temps de souffler. J’avais le cul bien chaud par toutes ces bites passées dans mon cul et la bouche bien humide. Quelques hommes n’eurent pas le temps de me prendre, ils me giclaient leur foutre sur mon visage et dans ma bouche.

Je commençais à fatiguer, quand mon maitre se leva, quelques voyeurs partirent s’asseoir plus loin et un autre se rhabiller.

Je remercia mon maitre pour toutes ces queues, je rassemblais mes affaires et il m'emmena aux toilettes afin de me rafraîchir le visage. J'en avais teminé et je commençais à souffler un peu.

Arrivés aux toilettes, nous croisons un homme en train de se laver les mains.

Mon maitre m’ordonna de me mettre à quatre pattes.

“Suces moi cet homme, chienne !”

L’homme se retourna face à moi et il défit rapidement son pantalon. Je le suçais dans ces toilettes pas très propres, ça ne me faisait pas trop envie, mais je devais satisfaire mon maitre et cet homme.

Je suçais un énième homme, j’étais là pour ça. Cela semblait satisfaire mon maitre. J’étais sa propriété, il me menait à la laisse comme une vraie chienne à ses pieds.

Encore une fois, un homme joui dans ma bouche et je dus avaler sa semence. Quelle pute je faisais...

Nous sortons enfin, mon maitre regarda son portable, “Voilà deux heures que nous sommes là ! Le temps a passé super vite... “Tu as sucé sept mecs, ma salope !” C’était la première fois que je me faisais autant de mecs. Je n’aurai jamais cru y arriver !

“Je suis fier de toi !” me lança mon maitre. J’étais content de l’avoir satisfait, mais j’avais bien pris mon pied aussi !

Cela m’a semblé assez facile, j’ai eu la chance d’avoir été surveillé par mon maitre qui veillait à ce que chaque mec ne soit pas violent avec moi et qu’ils mettent bien tous une capote.

J’espère un jour y venir seule et assumer...

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Au royaume des salopes
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Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume

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