Sissy Danyela

Le grand jour est enfin arrivé. Le réveil sonne, il est 6h du matin, une journée de travail m'attend, mais surtout les retrouvailles avec ma Maîtresse. Ma Maîtresse, c'est Maîtresse Daniela, une Maîtresse pleine de classe, merveilleuse, attentive et également sadique, qui se charge de mon éducation depuis plusieurs mois. Lors de notre dernière rencontre, la soirée a un peu mal tourné, notamment en raison de ma jalousie envers une autre soumise. Nous avons beaucoup parlé depuis, ma Maîtresse pense qu'elle doit être plus sévère avec moi. Je sais que cette soirée sera l'occasion d'un nouveau tournant dans notre relation.

Ma Maîtresse m'a donné ses ordres, je dois être encagée, porter un plug depuis le matin et me faire belle, aussi sublime que possible, pour l'exciter et la servir dans la soirée. Ma journée ne se passe pas du tout comme prévu, dès mon arrivée au bureau, je suis pris par des réunions imprévues, si bien qu'à midi, je ne suis ni pluggée, ni encagée. J'en informe ma Maîtresse et parvient à enfin respecter ses ordres en début d'après-midi. Je suis honteuse de n'avoir pas réussi à lui obéir en tous points. Je veux me racheter de notre dernière soirée et être irréprochable. Je suis totalement épilée de la veille, lisse comme une bonne chienne, prête à être maltraitée et brutalisée selon les désirs de ma Maîtresse.

L'heure de me préparer pour notre rendez-vous arrive. Je me rase de près, met mes bas et mon porte jarretelle, un string... j'ai choisi des bas résilles pour faire aussi pute que possible. Je pars dans un coin tranquille en forêt me changer. Je met ma robe et me maquille comme une pute, relativement vulgaire pour révéler ma nature d'esclave soumise. Nous avons rendez-vous à 19h au club, je crains un instant d'être en retard, j'en informe ma Maîtresse, mais j'arrive finalement à l'heure. Je m'installe au bar, je suis heureuse, je porte mon collier, avec ma plaquette de chienne qui démontre mon appartenance à ma Maîtresse, mais également mon nom, chienne K., ainsi que mon numéro de registre d'esclave.

Ma Maîtresse arrive enfin, elle est comme d'accoutumée très belle, bien apprêtée, désirable... je me réjouis de lui appartenir, mais sachant que le programme de la soirée sera probablement éprouvant, je suis un peu anxieuse. Je la salue, et je baisse les yeux en sa présence, autant par respect que par volonté de lui montrer que j'ai l'intention de me racheter de notre dernière soirée. Après quelques minutes, elle me fait signe que nous allons commencer, nous allons chercher le matériel, et elle m'emmène, tenue par ma laisse dans les sous-sols du club. Nous arrivons finalement dans une salle au fond de laquelle se dresse une belle croix de Saint-André. Je l'avais déjà repérée lors de nos précédentes soirées, j'ai toujours eu envie d'être punie dans cette pièce...

Ma Maîtresse me fait agenouiller près d'elle et nous parlons. Elle me reproche a raison ma attitude parfois un peu rebelle et me signifie que les choses vont changer. Je me suis préparée à une punition très dure... mais en préambule, ma Maîtresse décide de mettre mes aptitudes de suceuse à l'épreuve. Elle commence à me faire la sucer, mais cela se transforme rapidement en gorge profonde, elle me maintient fermement la tête et enfonce sa belle queue au fond de ma gorge. J'essaye de me dégager, je bave, je crache... Ma Maîtresse insiste jusqu'à ce que je vomisse... je crois qu'elle avait l'intention de parvenir à m'humilier de la sorte, elle me fait cracher par terre... puis me demande de nettoyer.

Ensuite, il est enfin l'heure de ma punition... Ma Maîtresse m'attache sur la croix de Saint-André, face à elle, et commence à me travailler les tétons... elle les malaxe et les pinces, tantôt doucement, tantôt très fort... Ce ne sont pas de tortures auxquelles je suis habituées, et j'ai les tétons très sensibles... je résiste le plus que je peux pour faire honneur à ma Maîtresse... après quelques minutes de ce traitement, elle m'attache face à la croix, me met les fesses et le dos à nu... la punition va commencer. Je suis résolue à faire honneur à ma Maîtresse. Il est exclu que je demande pitié... je subirai tout pour son plaisir. Pour tenir le plus longtemps possible, j'ai décidé de compter chaque coup... et de rester aussi détendue que possible pour résister. Les premiers coups arrivent... ma Maîtresse alterne les coups, plus ou moins fort, sur les fesses et sur mon dos... certains coups atteignent mes cuisses... je continue à compter, 50, 100, 150... Ma Maîtresse continue sa punition, et au fur et à mesure des coups, je sens ma résistance s'effriter... Ma Maîtresse me gratifie de quelques coups réellement violents... j'ai l'impression qu'elle y met toutes ses forces... au 351e coup, je craque complètement et commence à sangloter... j'arrête de compter et au fur et à mesure les larmes coulent, chaudes et abondantes... Ma Maîtresse continue à frapper... je suis décidée à ne pas lui demander grâce malgré mes larmes. Je ne sais pas combien de coups se succèdent, mais Maîtresse me détache et je m'effondre à ses pieds. Je n'ai jamais été aussi loin, j'aurais voulu tenir encore plus... mais j'ai fait de mon mieux.

Ma Maîtresse me console, puis elle m'aide à me calmer... je bascule alors dans un merveilleux sentiment de plénitude, j'ai mal, je suis meurtrie, mais je suis heureuse et légère, je me sens comme dans de la soie... Une fois que j'ai repris mes esprits, ma Maîtresse décide d'utiliser ma bouche et de me mettre à disposition de ceux qui le désirent... elle me promène en laisse dans le club et propose mes services... quelques hommes en profitent... je peux goûter à leur queue et à leur sperme... j'adore être utilisée comme vide-couilles... mais le sperme de ces hommes n'est rien par rapport à celui de ma Maîtresse que j'ai eu le plaisir de goûter plus tôt dans la soirée. Ma Maîtresse me ramène au bar, où nous restons quelques instants. Il y a trois noirs, deux hommes et une femme... au moment où nous pensions partir, la femme nous aborde et nous propose de nous amuser encore un peu ensemble... elle est soumise, mais débutante et peu résistante... Ma Maîtresse l'installe pour la cravacher... ma Maîtresse n'est pas très cruelle, mais la soumise souffre, je la tiens par les mains, je l'encourage, je la conseille comme une grande soeur... elle apprendra à aimer la cravache avec le temps... après ce dernier épisode, nous nous en allons.

En quittant le club, je remercie ma Maîtresse pour cette soirée... c'est tellement bon de sentir que je lui appartiens totalement. Je lui promet de progresser et de mieux résister la prochaine fois. A la fin de cette soirée, je ressens que j'appartiens encore plus à ma Maîtresse.

Je suis votre pute soumise pour longtemps

chienne K.

Convoquée au Club pour une après-midi de punition, bien mérité !

Récit de ma soumise :

16 août 2018. Je me lève à 6h, comme d'habitude, mais cette journée sera spéciale. A 17h, j'ai rendez-vous avec Maitresse Daniela pour me faire punir. Je me présente, je suis Karine, son esclave dévouée depuis quelques mois. J'essaie d'être irréprochable dans ma soumission, mais, lors de notre dernière rencontre programmée, j'ai oublié une partie de mes affaires et nous avons dû annuler. Il est temps aujourd'hui d'expier ma faute.

Je me rends à mon travail et, selon les ordres de Maîtresse, je mets ma cage de chasteté. Je passe la matinée à travailler, mais aussi à imaginer ma punition annoncée pour le soir. Je regarde quelques images de femmes soumises et fouettées, je les envoie à Maîtresse, cela m'excite et ma cage me fait mal.

A midi, je commence à me préparer pour mon rendez-vous. Je me rase, je mets mes dessous féminins (porte jarretelles, bas, string), je met mon plug pour obéir aux ordres de ma Maîtresse. Le rendez-vous est à 17h, je suis terriblement excitée. Je pars du travail à 15h30, pour m'assurer de ne pas être en retard. Je trouve un coin calme en forêt pour finir de me changer et de me maquiller. Je met mon soutien-gorge, mon chemisier transparent, ma mini jupe en vinyl, ma perruque et je me maquille comme une pute, avec les yeux bien noirs pour que Maîtresse puisse voir la trace de mes larmes à la fin de la punition.

J'arrive au club à 16h40, comme ordonné par Maîtresse, je me rends au bar, avec la clé de ma cage, mon collier, mes bracelets de cuir pour mes poignets, ma laisse et une cravache. Je le sais, à son arrivée je dois venir vers elle, me mettre à ses pieds et lui donner tout cela. Le temps passe, l'heure approche et je suis toujours autant excitée. Un couple arrive et s'installe au bar. L'homme s'éloigne et la femme vient me parler. Elle me dit: "Tu es toute mignonne et tu as l'air si timide". Je lui répond "Bonjour Madame, je suis une soumise et j'attends ma Maîtresse qui va me corriger". Elle est très jolie, je vois que je lui plais, mais je reste sagement au bar comme Maîtresse l'a exigé. L'attente est délicieuse, je sais que je dois être punie, mais je le mérite et je veux expier ma faute.

17h20, Maîtresse entre dans le club. Elle est sublime, et je l'aime tellement. J'attends qu'elle se prépare, et lorsqu'elle me fait signe, je vais vers elle, je lui donne la clé de ma cage, je pose le reste du matériel à ses pieds et je m'agenouille devant elle. Elle me fait embrasser ses pieds, elle a des chaussures sublimes et je suis heureuse d'être aux pieds de ma Maîtresse. Ensuite, elle me met mon collier, ma laisse, mes bracelets. Elle m'ordonne de me lever, elle inspecte mon maquillage... elle a l'air satisfaite de mes efforts.

L'heure de la punition a sonné, elle me prend par la laisse et m'emmène dans les sous-sol du club, pour trouver l'endroit idéal pour m'administrer ma punition. Elle s'arrête dans une petite salle, il y a un banc pour la punition, des anneaux au plafond et un bambou suspendu au plafond. Je connais cette salle, j'ai subi ma dernière punition sur ce beau banc rembourré. Maitresse me fait mettre à genoux et prépare les instruments.

Avant de recevoir ma punition, Maîtresse me demande de la sucer et de la faire jouir. Je m'applique du mieux que je peux, c'est un tel cadeau d'avoir le droit de la sucer... j'écoute ses demandes, j'essaie de l'avaler le plus profondément possible... j'aime être prise par sa belle queue ainsi... finalement, elle jouit dans ma bouche ouverte, je l'ouvre grand pour lui montrer son sperme chaud dans ma bouche de pute, puis, à son signal, j'avale avec délectation.

Ensuite, elle décide de m'attacher les bras en croix au bambou suspendu au plafond. Elle m'attache, je sais que la punition est imminente. Je suis à la fois anxieuse et excitée, j'ai commis une faute grave et je sais que Maîtresse va me la faire payer.

Les premiers coups arrivent... à la cravache, plutôt doucement, puis de plus en plus fort. Je me rend compte que je ne suis pas en forme ce soir, les coups sont plus douloureux qu'habituellement, la punition va être pénible, mais je le mérite, je suis une esclave, une pute, sa pute, sa chienne... elle a tous les droits sur moi et c'est un honneur de recevoir ses coups. La punition continue, elle alterne la cravache, les martinets, les badines de bois, et une badine gainée de cuir très douloureuse... Maîtresse sait que je crains cette badine. Au fur et à mesure de la séance, j'ai mal mais je sens que le plaisir commence à prendre le dessus, je tends plus volontiers mes fesses pour recevoir ma punition. Maîtresse interrompt la séance, elle me demande de compter 10 coups de la badine gainée de cuir, et m'annonce qu'ensuite nous ferons une pause. Je reçois les 10 coups, douloureux, mais, à la fin de cette série, je lui demande de continuer, j'ai envie de sentir encore les coups sur mes fesses, mais aussi sur mon dos... mais elle arrête.

Nous remontons au bar, elle me fait mettre au coin dans une salle attenante, et me donner l'ordre de rester 15 minutes avec les mains sur la tête. Elle profite de l'occasion pour venir faire des photos, notamment de mon cul rougi par le fouet. Je me rappelle ma punition, les raisons qui l'ont provoquée, et je pense à ma Maîtresse, que j'aime tellement, à son sperme que j'ai pu avaler, au contrat d'appartenance que je pourrai peut-être un jour signer...

Après mon quart d'heures de pénitence, elle vient vers moi, me laisse boire un peu d'eau, et m'emmène à nouveau au sous-sol. Nous arrivons dans une petite salle avec une cage, ainsi qu'une sorte de toile d'araignée en chaines... elle décide que la suite de la punition aura lieu ici. Elle m'attache à cette toile, le contact des chaines est excitant, j'aime être ainsi attachée... je pense à ce moment que ma punition va reprendre, et que je vais pouvoir prendre le plaisir que je n'ai pas pu prendre quelques instants plus tôt.

Mais Maîtresse connait mes réactions, et elle veut me punir. Je ne m'en doute pas, mais elle sait que cette punition va être terrible pour moi... Les premiers coups arrivent, mes fesses se sont refroidies, les muscles sont endoloris suite à la première partie de la punition, et chaque coup m'amène au supplice. Je me contorsionne dans ma toile, je m'accroche aux chaines... je crie de douleur... Maîtresse continue un peu, et décide de mettre un terme à ma punition. Elle m'administre encore dix coups avec la badine de bois à deux tiges qu'elle me fait compter. Après ma punition, elle me détache et je tombe, vaincue et brisée, à ses pieds sur le sol en béton froid. Nous parlons quelques mots, elle m'informe qu'elle estime que j'ai terminé ma punition. Je suis honteuse, j'aurais tellement voulu être capable d'être plus résistante... Ensuite, compte tenu du peu de personnes intéressantes et intéressées dans le club, Maîtresse décide que nous allons partir.

En partant, nous retrouvons ce joli couple du début de la soirée, la jeune fille est très belle, elle complimente Maîtresse pour sa belle tenue. Nous parlons quelques mots. Je suis apaisée, je me rend compte que, bien que je doive encore progresser, Maîtresse est fière de moi.

Je rentre chez moi, et je vais me coucher, fatiguée de cette soirée, mais heureuse d'être l'esclave d'une Maîtresse si merveilleuse.

Le lendemain matin, je me lève, je regarde mes fesses dans le miroir. Elles sont noires... je vais porter plusieurs jours les marques de ma punition, comme témoignage de mon appartenance à ma Maîtresse. Lorsque je retourne à mon bureau, à chaque fois que je me lève ou que je m'assied, je sens mes fesses douloureuses, mais cela me rappelle que je suis une esclave, une trainée, une pute, une chienne soumise, et que j'ai beaucoup de chance d'avoir une Maitresse si merveilleuse.

Merci Maîtresse Daniela

Le lendemain :

Quelle soirée !

Je l'avais imaginé et rêvé, elle a eu lieu, ma superbe rencontre avec cette belle maîtresse BDSM, Lunatika !

Je n'ai plus de maîtresse depuis un certain temps déjà, ma dernière séance SM date également. Il me manquait de me retrouver sous la cravache d'une maîtresse. D'un autre côté, je n'avais jamais fait l'effort de venir à ce nouveau rendez-vous de la région, la soirée "Kinky & Fetish". Cette soirée se déroule au Trafick à Lausanne et devenu maintenant un rendez-vous incontournable du BDSM de Suisse et de France voisine. Quelques soumis et soumises venus à la recherche d'une petite séance mais pas mal de couples venus pour pratiquer mais surtout se réunir autour d'un buffet et d'un verre.

Souvent repoussée, je m'organise avec détermination cette fois-ci ! Lorsque j'ai vu que la célèbre Domina de l'est de la France Lunatika viendrait également je n'allais pas rater son passage ! Depuis le temps que je voulais la rencontrer !

Je vous passe les détails de samedi, passé à me préparer ! Ben oui, je devais me faire belle... Je devais faire bonne impression ! J'irai dans une tenue soft avec mon pantalon vinyl, mes bottines fétiches en vinyl également, mon soutien gorge à clous avec un haut en résilles. Un blouson de cuir noir et un petit foulard rouge pour cacher mon collier de soumise ! Une jupe, des bas, sans oublié ma laisse, le tout dans mon sac à main pour me changer sur place ! J'étais enfin prête.

Je pris la route pour Lausanne avec bonne humeur et l'assurance de passer une belle soirée ! J'arrivais tôt mais pas la première... Je me mis à l'aise, et saluais les deux amours du Trafick Laurent et Fred. Un ami est au bar, accompagnée d'une belle demoiselle. Nous buvons un verre ensemble. Les personnes arrivent peu à peu, beaucoup de couples donc, quelques connaissances, et pal mal de paires d'yeux qui me dévisagent, mais pas que du visage ! Ma tenue quelque peu allégée et moulante met bien en valeur mes formes. Je passe un bon moment à grignoter et papoter avec quelques personnes. Une belle femme sexy se laisse toucher dans son beau catsuit en latex. Il y a pas à dire j'adore cette matière ! Je descends à plusieurs reprises faire le tour du propriétaire, quelques joueurs de cordes s'entraînent et se font plaisir. Je suis suivie par quelques hommes qui ne me lâchent pas. Cela me plait assez de me faire suivre et de me faire mater dans les petits couloirs, certains en profitent pour me peloter le cul. Je me fais un plaisir de répondre par la négative à leur demande. J'adore ça !

J'étais très impatiente de voir Madame Lunatika. Je l'aperçois enfin arriver au loin. On a du mal à se faufiler, tellement de personnes ce soir là, ça fait vraiment plaisir de voir autant de monde. Je laisse ma préférée arriver, se préparer et saluer toutes ses connaissances. Je m'approche enfin d'elle. Elle est là devant moi, qu'est-ce qu'elle est belle, je l'adore ! Elle arborait un large sourire, j'étais conquise. Elle portait une belle petite robe en latex, laissant apparaître ses beaux tatouages un peu partout sur le corps et son piercing nasal qui lui va super bien. Elle porte également de belles bottes très fétiches. Elle me reconnait de suite, j'en fus surprise, je ne sais pas trop quoi dire sinon que de bafouiller quelques mots et lui baiser les pieds. Je salue son ami que je connaissais de vue, un beau jeune homme avec un joli sourire également. On discut deux minutes, je suis toute ouïe mais je suis ailleurs... Je ne sais pas quoi faire de mes mains, Je n'en crois pas mes yeux ! Qu'est-ce qu'elle est belle encore une fois ! Quel look magnifique, ses jeux, ses plaisirs, j'adore cette personne. C'est elle qui pris les devants de la discussion. Elle me proposa de nous voir plus tard, elle avait pris ses clous, qu'elle me dit ! Elle me demande si je veux jouer avec elle. Comment refuser, je lui réponds que je suis à elle... Je déglutis dans ma gorge nouée d'émotions, lorsque je réalise qu'elle est déjà loin à visiter les lieux avec son ami.

Je retourne au bar siroter mon verre de Champagne, seule, l'esprit occupé par la petite entrevue que je venais d'avoir avec Madame Lunatika, oui j'avais bien entendu, elle voulait jouer avec moi... L'attente était longue, impatiente que j'étais et surtout très curieuse de la suite... Avait-elle vraiment l'intention de jouer avec moi ? Je ne demandais que de croire Madame Lunatika. Je descends faire un tour voir si elle s'y trouvait. Par deux fois personne... Je m'inquiète. Même Fred s'aperçoit de mon inquiétude et me rassure en me disant qu'elle est bien dans les sous sol... Le sourire revient et pratiquement au même moment Madame Lunatika m'interpelle.

"Daniela ! es-tu prête à me suivre ?"

Je me retourne, et lui fit un large sourire gêné.

"Oui Madame, bien sûr !"

Elle me dit qu'on allait jouer avec des aiguilles... Oups...

Je connaissais ce jeu, j'avais déjà fait deux ou trois petites séances de cette pratique avec mon ex maîtresse. J'avais d'ailleurs eu assez peur la première fois. J'avais largement aimé, car j'avais alors dépassé une barrière pour moi. Se faire enfiler des choses dans son corps autre que dans des espaces naturels, n'était pas quelque chose d'anodin. Mais allez savoir pourquoi, je suis si curieuse de cet univers, de découvrir de nouvelles pratiques avec de nouvelles personnes. Le plaisir de me dépasser, d'appréhender la douleur, et de satisfaire la personne qui me torture. Cet ensemble de choses rend ce milieu assez magique. Le bonheur d'être soumise...

A ce moment précis, j'ai en face moi, une grande spécialiste de ce type de pratiques, j'avais observé les photos de son site et j'avais été impressionnée... Ais-je bien fait d'accepter... Elle me demande "En privé, en public ?" Personnellement, j'aime me montrer, mais je ne peux choisir à sa place "N'importe Madame, comme il vous plaira !" Elle préférait en public, j'avoue que moi également, quel honneur pour moi de m'exhiber à ses pieds devant quelques personnes ! J'espérais juste être à la hauteur, j'aurai l'air maline de lui dire "Stop Madame je ne peux plus". Je ne pouvais plus reculer, je n'étais pas inquiète pour autant. Ce moment, je l'avais espéré, je devais en profiter et assurer.

Elle prit quelques affaires et me prit par la laisse, je la suit alors à petits pas dans les méandres du club. Elle choisit l'endroit idéal pour ce type de jeu. Son assistant du jour nous régle la chaise et je m'installe. Elle me pose quelques petites questions d'usage, pour me rassurer mais qui me pousse à réfléchir... Aiguilles, douleur, peur et appréhension soudaine apparaissent. Allez Daniela, sois courageuse ! J'enlève ma cage de chasteté, mon clito ne fait pas le malin, il va un peu souffrir ce soir ! Madame Lunatika prépare la scène de crime ! Désinfectant, compresses, gants, elle est très professionnelle dans son approche de l'hygiène, c'est rassurant. Elle me met en confiance, elle parle beaucoup, elle est à l'aise, c'est son environnement, elle le maîtrise ! Je suis confiante.

Quelques personnes commencent à arriver, curieuses de l'opération qui allait se dérouler... C'est vrai qu'une séance en public est toujours un grand moment, voir les comportements des personnes Dominantes et soumises...

Madame Lunatika me regarde et me plante une première aiguille, j'appréhende, non sans raison, une petite douleur se fait ressentir. Madame Lunatika me rassure, et continue. Une à une, elle m'enfile les aiguilles, plaisante avec les personnes, discute avec d'autres, en anglais avec une dame. J'ai un peu peur car j'ai l'impression qu'elle manque de concentration, alors que pas du tout, elle gère, elle fait plaisir à voir, et elle est heureuse, elle était dans son élément. Je lui dis comment je suis heureuse également, d'être là et que j'adore cette séance. Elle me félicite à plusieurs reprises, elle est adorable !

Je ne compte pas les aiguilles et je ne vois pas grand chose de la scène. Je préfère me concentrer sur les plantages d'aiguilles qui deviennent plus douloureux à l'approche de ma chatte... Elle remonte ensuite jusqu'à approcher mon gland, zone douloureuse également. Je suis un peu crispée, je ferme les yeux, Lunatika m'encourage à me calmer, à respirer, je me pince les lèvres, mais qu'est-ce que j'apprécie ces moments, si magiques.

La boite de cent aiguilles se termine alors, devant un public toujours très attentionné et quelque peu médusé. Je trouve génial d'être à ma place, car je me sens à l'aise, moi si généralement peureuse et craintive, jamais à ma place...

Madame Lunatika change alors de type d'aiguilles, pour le gland. La douleur va être plus grande me prévient-elle... Je me prépare pour la première aiguille. Effectivement, plus de chair, plus dense également, je sens l'aiguille rentrer et ressortir. Ce n'est pas la même chose ! Je me cramponne mais je tiens bon. Lunatika est de plus en plus contente de me voir souffrir mais également de voir comment j'apprécie cela. J'en veux encore, je ne savais pas quand elle s'arrêterait, et je ne le voulais pas. Je lâchais prise, ma tête toute retournée, j'étais absorbée par un sentiment de jouissance intérieure difficile à décrire. Elle plante la dixième aiguille et m'annonçait que c'est la dernière. Je me relâche et comme une jouissance, la chaleur m'envahit... Ma langue devient sèche, je déglutis, j'ai soudainement très soif... Heureusement Madame Lunatika me parle et me tient en éveil, ell me félicite pour le nombre d'aiguilles. J'avoue que je suis impressionnée. J'interpelle alors Fred juste à côté de moi, venu voir le spectacle, et je lui demande si je pouvais avoir de l'eau. Très aimable, il va me chercher une bouteille d'eau fraîche... Je propose de l'eau à ma maîtresse du jour, je siffle ensuite pratiquement d'un trait la bouteille. Je me sens mieux...

Ce n'était pas fini pour autant, Madame Lunatika sort son appareil électrique... un Violet Wand me semble t-il... Elle le branche et me le passe un peu partout sur le corps et surtout sur le métal des aiguilles. Je sursaute quelque peu, c'est un plaisir différent, de petites secousses envahissent toute la zone, elle change d'embout jusqu'à mettre un chaîne avec une boule en bout. La douleur est vraiment sensible mais très éphémère. Elle s'amuse bien et je supporte en appréciant ce moment intense.

Madame Lunatika veut ensuite me féliciter et me faire un petit cadeau, elle enfile d'autres gants et m'enlève mon rosebud. Elle n'arrive pas à l'enlever, je ne comprends pas, il n'est pas si gros que cela..., mais je l'ai ainsi depuis quelques heures. Elle a du mal à le retirer mais finalement y arrive. Elle le trouve pas si petit que ça ! Elle me trifouille alors ma chatte de manière assez intense. Quel bonheur ! J'ai envie qu'elle aille plus loin, j'avais adoré ses photos ou l'on ne voyait plus que son avant bras tatoué. Je trouvais cela tellement beau... Je gémis, je suis aux anges ! Elle s'arrête néanmoins, j'en avais assez eu pour ce soir. C'était clair, j'avais été particulièrement gâtée. Merci Madame Lunatika pour ce merveilleux moment. Je me souviendrais toujours de ces instants avec vous face à moi, votre sourire, vos yeux perçants. J'ai vraiment adoré. Je savais que ça allait être bien, mais à ce point là, jamais de la vie ! Madame Lunatika vous êtes géniale !

J'encourage vivement tous les soumis et soumises de vous approcher d'elle, vous y trouverez le bonheur assuré.

Un peu de nettoyage, et nous remontons à l'étage. La musique s'est arrêtée, on se sent seuls, la soirée se terminerait ? Je le crains, mais encore un peu de monde au bar. J'offre un verre à madame Lunatika et à son assistant. C'était le minimum...

Il est deux heures, nous devons partir, les horaires de fermeture sont très respectés en Suisse, on ne rigole pas avec ça ! Je salue quelques personnes, je baise la main de ma maîtresse de la soirée, et on se dit à très bientôt. Je rentre chez moi, heureuse !

A suivre...