Samedi 8 décembre 6 08 /12 /Déc 06:08

C’était le lendemain de notre soirée au Cav’O, nous n’avions pas trop dormi Maîtresse Akina et moi, et il était l’heure pour elle de prendre son train du retour.

Arrivées à la Gare, avec plus d’une heure d’avance, nous nous posons à la terrasse d’un café dans une galerie marchande de la gare de Cornavin à Genève.

Assises à cette terrasse, les bons moments mais aussi les petites galères jaillirent de nos pensées et nous nous repassons le film de la soirée.

Et comment ne pas évoquer notre sortie de l'hôtel toutes les deux superbement vêtues, pour rejoindre l’auto et le Cav’o. Suite à notre soirée, notre retour à l’hôtel était alors moins glorieux... Oublié le code pour rentrer, la gardienne nous le donne par téléphone... Presque 30 minutes pour rentrer dans la chambre, la carte magnétique défaillante... encore la gardienne au téléphone, finalement Maîtresse arrive à ouvrir...

Enfin dans la chambre, encore quelques petits essayages et quelques photos témoins de la soirée.

Quelques marques témoins de la soirée de la veille au Cav'O
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Il était le petit jour, 7 heures et l’heure de se reposer un peu, avant de passer non pas la nuit mais quelques heures ligotée

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Mais pas seulement ligotée, maîtresse veut que j’enfile cette “poire d’angoisse” (faire un lien vers l’image de la poire), qui porte bien son nom, car une fois insérée et ouverte par écartement, il suffit de lui mettre un cadenas pour qu’elle reste dans cette position écartée, et ainsi la rendre inviolable.

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Deux petites heures plus tard, à peine reposées, une fois préparée Maîtresse me fit un petit tease pour bien me réveiller...

Il est tout de même 10h00, je me douche vite fait, me démaquille comme je peux, il faut aller déjeuner...

Le temps de refaire nos valises, Maîtresse me remet ma cage, pas question de me laisser libre, Maîtresse tient à me savoir encagée, voilà notre séjour à Lausanne qui se termine... Quels beaux souvenirs il restera...

Il ne fait pas très chaud à cette terrasse, la fatigue aidant, pas facile de retrouver nos esprits. Heureusement que le café nous aide un peu, et nous reprenons nos discussions. Le site internet, ma soumission, mon encagement permanent, ma disposition sans condition etc.

Maîtresse sort alors son agenda, et elle me convoque mardi 20 à 13 h.

Encore quelque peu endormie, je note le rendez-vous sur mon agenda, ciel c’est dans deux jours !

Sans hésitation, je serai au rendez-vous. Maîtresse en a décidé ainsi, je lui dois obéissance.

A beaucoup d’avance, on arrive à être bientôt en retard, nous passons la douane, personne pour nous contrôler, et Maîtresse est à sa place dans le train, direct, elle sera à Montpellier dans 3h30.
J’attends, son départ, une discussion visuelle intervient à travers les vitres du train entre Maîtresse et moi.

Je comprends ce qu’elle me dit, “deux jours et on se revoit”. Elle me donne un indice pour retrouver ma clé de la poire d’angoisse, mais je ne comprends pas tout cette fois-ci... Elle me donnera un autre indice plus tard...

C’est l’heure d’un dernier au revoir, de retour au parking, je repasse la douane, oups... des douaniers qui contrôlent des personnes... Et s’ils me demandaient de passer au rayons X, ma cage tout en silicone passera inaperçue, mais pas la poire, en aluminium et métal... pas de contrôle pour moi, ouf !

Ça me fait peur, garder cette poire d’angoisse sans savoir ou sont les clés. Combien de temps pourrai je tenir ? Encore quelques heures, je pense... pas trop quand même.

Retour la maison, la tête enfarinée, je range mes affaires espérant trouver la clé. Il n’en est rien, je contrôle une seconde fois dans les habits, au fond des chaussures, dans ma trousse de maquillage, rien du tout... Je fouille également la voiture de fond en comble, rien non plus...

L’angoisse monte petit à petit, il est l’heure de laisser la maison à ma fille, elle fête son anniversaire avec ses copains, je pars donc chez des amis pour la nuit. Avant de partir, je contacte Maîtresse pour lui demander un indice, elle me laisse chercher encore...

Je pars chez mes amis, pour la poire je verrai plus tard avec Maîtresse, mais j’aimerai la quitter ce soir.
ll est plus de 20h00, je la re contacte pour qu’elle veuille bien m’aider un peu.
Elle me laisse encore chercher... Je luis expliques alors que je suis à plus d’une heure de route de chez moi, mes sacs à la maison et que je devrai y retourner pour chercher la clé.
Elle me laissera un indice dès que je serai sur la route.

23 heures, avec la fatigue accumulée, j’aurai aimé dormir sur place mais ma priorité est d’enlever cette poire. J’informe Maîtresse que je vais repartir à la maison, et enfin elle me donne l’emplacement.
La clé est dans la voiture, ouf... pas besoin de refaire la route, je la trouve enfin, je remercie Maîtresse, soulagée, je vais pouvoir aller dormir. Elle était bien cachée, jamais je n’aurai penser la trouver là.

Pas évident d’être la soumise de Maîtresse Akina ! Elle a su à merveille contrôler cette contrainte jusqu’à l’heure qu’elle avait décidé. Cette première expérience m’a donné des sueurs froides, j’avais peur d’être prise au dépourvue. Il n’en a rien été...

Le lendemain après une nuit calme, détendue et assez reposée, pas suffisamment tout de même, je pars m’aérer la tête en faisant une randonnée, ça fait du bien... Le soir, je me couche de bonne heure, raide morte...

Finalement, je suis aller aux toilettes que là avant de me coucher, j’aurai pu tenir 24 heures de plus avec cette poire... C’était une première expérience, assez stressante mais aussi très excitante, me sentant prise, Maîtresse contrôlant alors ma libération...

Je vais travailler lundi et déjà mardi, je prends le train à 7 heures pour être à Montpellier vers 11 heures.

Maîtresse m’accueille, et nous passons l’après-midi à faire les boutiques. Il était question que ma féminisation se fasse progressivement et que je m’habitue à me montrer de plus en plus efféminée.

Nous trouvons un pantalon très moulant, un slim effet cuir, avec de petites chaussures basses assorties. deux hauts cintrés, de couleurs pastels.

L’effet est saisissant, non provocante mais “décalée” cette tenue accroche le regard et interpelle.
Depuis que je m’habille seule, je m’imaginais bien de porter une tenue pareille sans jamais oser le faire. J’ai toujours pensé qu’une telle tenue était considéré aux yeux de tous comme étant une tenue “sexe”.

Préférant passer inaperçue en société, je préférais m’habiller de manière classique. Mais j’ai toujours aimé qu’une personne me matte les fesses.

Il est temps que cela change ! Aidée par Maîtresse Akina, cela ne me fait plus peur d’envisager de porter ce genre de vêtements et un jour pouvoir faire le grand saut.

Nous achetons quelques sous-vêtements féminins coquins et une belle petite tenue de fin de soirée et un beau kimono noir transparent. C’est tout de même un autre plaisir de faire les boutiques en vrai plutôt “qu’en ligne”, qui plus est accompagnée de sa maîtresse. Quel bel après-midi !

De retour, je fais quelques essayages et je mets des sous-vêtements, mes mules, mon collier de soumise et mon kimono, pour préparer le repas du soir.

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L’heure du dodo a sonné, je vais passé la nuit quelque peu contrainte... Quelques cordes aux poignets et aux chevilles, Maîtresse me filme alors de la tête aux pieds. Les couches successives de film me compacte petit à petit le corps, puis pour finir encore des cordes qui accorde un effet visuel non négligeable et qui augmentent encore le serrage.

L’avantage d’une telle immobilisation est qu’il n’y a pas de point précis de serrage, c’est chaque partie de mon corps qui se retrouve compacté. L’effet négatif, est qu’il fait relativement chaud dessous.

Prête pour la nuit, Maîtresse joue un peu avec moi et fait quelques photos. Quelques petits tiraillements arrivèrent, ma cage dans un premier temps qui me serre, Maîtresse me soulage un peu en la replaçant différemment. C’était plutôt une érection qui me génait ! Le bout des pieds aussi, très serrés l’un contre l’autre me donnaientt quelques douleurs.

Je pouvais alors me calmer et m’endormir paisiblement, ma Maîtresse non loin de moi veillant sur moi.

Couchée sur le dos, sans même pouvoir bouger la tête à droite et à gauche, je me laissais aller dans les bras de Morphée, mais à chaque assoupissement, de petits ronflements m'empêchèrent de m’endormir.

C’est ainsi que je ne ferma pas l’oeil de la nuit. Chaque instant à penser à ma position, à mes liens, à ma cage et à ma maîtresse.

La nuit fut longue et douloureuse mais que c’était bon de se savoir ainsi harnachée, j’avais hâte de voir les photos !

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Daniela, filmée pour la nuit
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Je m’étais assoupie quelques minutes d'affilié, quand survient le matin...

J’ouvris les yeux, Maîtresse était la devant moi, me regardant. Quel bonheur de la voir, et de lui raconter ma solitude de la nuit.

Elle me libère alors mes liens, et petit à petit, mon corps se relâche alors. Le film enlevé, j’ai alors très froid, Maîtresse me laisse mes liens de cordes, me couvre avec une couverture et me laisse me reposer un peu. Je tombe alors dans un sommeil pour presque deux heures très reposantes.

Il est temps de se lever, les membres engourdies, je suis contente de me lever.

Je files prendre une douche, et m’habille pour la journée.

En tenue pour la journée
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Je fais quelques taches ménagères, j’aide Maîtresse à préparer le repas de midi. Elle me coache également sur les futures taches que j’aurai à assumer lors de mes stages comme stipulé sur mon contrat.

Ce contrat tant attendu, est maintenant prêt, il me sera envoyé pour lecture lors de mon retour.

J’ai vraiment hâte de le lire et de vous commenter son contenu !

Nous prenons le repas de midi, maîtresse regarde l’horloge, me regarde et me lance son sourire coquin. Je lui répond par un sourire timide comprenant très bien la suite des évènements.

Elle me demande de me poster devant le miroir, et elle commence à sortir quelques cordes.

Elle tisse alors sa toile sur mon corps pour me suspendre à un crochet de la poutre au dessus de moi. La position est confortable, Maîtresse adopte un serrage précis et exact sur mon corps, et je me sens comme en lévitation, sans douleurs aucune, sur le dos, les jambes tendues et écartées. Maîtresse vérifie alors la bonne hauteur de ma posture et enfile son gode-ceinture.

Encordée par Maîtresse Akina
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Maîtresse pose le bout de son engin au bord de mon fondement, puis, délicatement elle s’appuie contre moi et petit à petit je sens son gode me pénétrer. Puis d’un coup, il rentre jusqu’au bout de lui même, je souffre l’espace d’une seconde et c’est ensuite uniquement que du plaisir.

Bien positionnée par rapport à son gode, je sens chaque centimètre du gode de ma maîtresse m’envahir, elle fait quelques va et vient, je réagis par des gémissements.

Cela m’avait trop manqué, depuis le temps..., les sensations sont énormes, j’aime trop comment Maîtresse me prend. Déjà de la sentir en moi, celle de me posséder, celle de me dominer par son gode, sentir ses va et vient, ou elle se cale en venant buter contre moi.

Merci maîtresse, pour ce bonheur, j’ai l’impression qu’à chaque rencontre, vous allez plus loin, (rire), mais aussi, plus loin en qualité et en plaisir, et ce jour là je vous jure que jamais depuis que je m'adonne à ces plaisirs anals, je n’ai eu autant de plaisir.

Suspendue confortablement
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C’est vrai que nous nous connaissons de plus en plus Maîtresse et moi,, de mieux en mieux même, et nous savons aussi bien l’une de l’autre ce qui nous fait plaisir, et comment donner ce plaisir à l’autre.

Les jambes écartées, je peux alors les bouger pour sentir différemment son gode me pénétrer, je peux même replier mes jambes contre ses fesses et l’aider dans ses va et vient.

Je gémis à chacun de ses coups de rein, de logues minutes, de longues saccades interminables mais tellement intense.

Daniela, prête pour le gode de sa Maîtresse
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Je n’ai pas le temps de souffler, Maîtresse regarde l’horloge, le timing est respecté, effectivement, il va falloir faire vite mais j’aurai mon train à temps.

Je pense avoir beaucoup progressé au niveau de la gestion de mon stress. Le timing était limite, et sachant qu’avec Maîtresse on sait quand on commence mais jamais quand on termine, je pensais que l’on dépasserait le temps et que je louperais mon train.

Mais à aucun moment pendant cette séance, je n’ai pensé aux minutes qui défilaient., me concentrant sur le plaisir, uniquement le plaisir et cela est passé et j’ai pu avoir mon train !

Certes je montais dans le train avec deux minutes d’avance, le rangement de mes affaires, la douche, et les trajets se furent dans la vitesse et la précipitation.

Je quittais Montpellier et ma maîtresse, comblée de bonheur.

Depuis ce séjour, je vis mieux ma soumission.

Ayant vécu l’espace de deux journées aux pieds de ma Maîtresse, j’ai pu voir comment elle passait ses journées et cela m’aide à surmonter mes moments de solitude à des kilomètres d’elle.

Merci Maîtresse

Daniela, votre soumise avouée et dévouée.

Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume

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