Partager l'article ! Dressage d'une pute en devenir: La précédente rencontre que mon Maître m'avait organisé s'était merveilleusement passée. J'avais ét ...
La précédente rencontre que mon Maître m'avait organisé s'était merveilleusement passée. J'avais été comblé par un inconnu choisi par mon Maître. Cet homme m'avait donné du plaisir et je lui avais bien rendu ! Maître A. semblait satisfait de sa pute, je lui avais obéi au doigt et à l'œil et tout s'était déroulé comme il l'avait prévu. Je lui faisais à chaque fois confiance, et il me le rendait bien.
Comme à son habitude, je ne savais rien à l'avance, de la rencontre qu'il me concoctait, je ne devais faire qu'une chose, lui obéir avec comme objectif, satisfaire ses désirs.
En journée, quand mon téléphone sonne lorsque je suis au travail, je pense de suite à lui, je m'empresse toujours de lui répondre, espérant une proposition de rencontre ou plan dont il a le secret.
Ce jour là, mon téléphone sonna, alors que j'étais en réunion, j'avais pris soin de le mettre sur vibreur, je ne pu donc répondre, mais je pensais que c'était lui qui m'appelait, et j'avais hâte de finir cette réunion matinale pour écouter ma messagerie. Maître A. m'avait laissé un message, ouf ! j'avais de ses nouvelles...
« Bonjour c'est A., je veux que tu sois prête pour demain 17 heures. » Le message était court mais suffisamment clair. J'aimais quand il me laissait le temps de m'organiser, de préparer mes affaires et de me préparer mentalement.
Le lendemain était un vendredi, je finissais à 16 heures, cela me laissait le temps de me préparer tranquillement en attendant ses instructions. C'était excitant, j'allais être femme le temps d'une rencontre, et faire peut-être la pute pour mon Maître. Ce n'était pas toujours pour lui, il aimait m'offrir à des personnes inconnues ou pas.
Je choisis un petit parking tranquille pour me préparer. Nous étions au début de printemps, la température était bonne et je pouvais m'habiller léger. Je choisis une robe légère, courte bien sur, assez large, non moulante. J’enfilai des bas couleurs chair et mes escarpins noirs. Pas de culotte, nu sous ma robe, épilée et godée, chaude et excitée de faire un plan. Mon Maître ne m'avais pas encore vu dans cette tenue, je venais de l'acquérir. Perruque, maquillage, sac à main, j'étais fin prête !
Je marchais le long de l'auto, en attendant son coup de fil, je n'avais pas encore vraiment essayé ses talons hauts, 13 cm, c'est le plus haut que je possédais donc il fallait bien que je m'entraîne un peu ! Un vrai bonheur, ces talons aiguilles, confortables, il m'obligeait vraiment à me déhancher pour garder ma stabilité, il faisait également un joli son au contact du sol, assurément les hommes que je croiserai me décrocherai un regard. J'en avais oublié d'être discrète, une voiture s'était arrêté non loin de moi et les personnes étaient restées à l'intérieur et me regardait avec insistance. Je fus quelque peu gêné, mais cela m'excita de plus belle, le téléphone sonna.
C'était Maître A., « Bonjour ma salope !, tu es prête…, est-ce que tu t'es fais belle ? » Je lui décris dans les moindres détails ma tenue, il m'écouta avec patience « Tu n'as rien oublié, tu es sure ? » « Euh, non je ne crois pas Maître » « Et ton collier de chienne que je t'ai offert ! » Oups... j'avais oublié l'essentiel à ses yeux, mon signe d'appartenance à mon Maître. « Tu mérites une punition Daniela... je vais réfléchir, pour l'instant tu va te rendre sur le parking de l'autoroute et tu verras ce qui t'attend. »
Je montai dans l'auto, mis mon collier de chienne avec la plaquette gravé à mon nom et démarra pour me rendre sur le lieu, il y avait bien trente minutes de trajet, j'adorai conduire en femme, je dus traverser une partie de la ville, à chaque feu, je sentais des regards sur moi, les hommes au volant aiment bien mater en attendant que le feu passe au vert !
J’arrivai sur les lieux, il y avait assez de voitures et de camions garés pour la nuit, ayant pris leur chambre à l'hôtel de l'autoroute. Je préférai ne pas penser à ce qui m'attendait, et prenait du plaisir à vivre chaque instant dans mon look de femme sexy et quelque peu provocante.
Je me garai ou je trouvai de la place et je sorti rapidement de la voiture. J'eu à peine le temps de me faufiler entre les voitures et de me diriger vers l'allée centrale pour me faire remarquer de mon Maître qui m'attendait ou de quelqu'un d'autre, qui sait... que je me fis accoster par un homme.
Il me prit par le bras et me força à marcher en direction de l'hôtel. « Tu t'appelles Daniela, n'est-ce pas ? C'est ton Maître qui m'envois, tu vas me suivre ! » Il était directif, je n'eu pas le choix de marcher à son allure, nous nous dirigeons ver l'entrée, nous croisons un couple puis un autre, à chaque fois un petit regard dans ma direction et un sourire du coin des lèvres. La porte de sa chambre était ouverte, il me fit entrer la première, me suivit de près et ferma la porte derrière lui. Cela devait être le plan de mon Maître, offerte à un inconnu, je me préparai à le satisfaire.
Cet homme de 50 ans environ, ne perdit pas de temps, il était hyper directif, chaud comme la braise, il n'avait qu'une envie, me baiser. « A genoux ! » tout en m'exécutant, il dégrafa son pantalon, retira son slip, il me dit « A. avais raison, tu m’as l’air bonne et d'être une belle salope ! ».
Je lui souris, il s'approcha de moi, en tenant sa queue toute excitée, se branla une ou deux fois et me la présenta. Je la saisi à sa base et l'approcha de ma bouche, tout en le regardant dans les yeux, je commençai à effleurer sa bite avec ma langue puis à la lécher de la base jusqu'à son bout. Je fis cela deux ou trois fois, il me prit la tête avec ses deux mains, pour la ramener contre son corps en veillant que j'avais son énorme sexe dans ma bouche. Je l'engloutis jusqu'à ses bourses et il me laissa de longues secondes dans cette position, histoire que je savoure sa bite et aussi pour voir mes capacités à tenir une bite en bouche. Je tenais bon, c'était bon, il me relâcha la tête et je pu faire mes va et vient en le suçant lentement mais goulument. Son sexe grossissait, s'allongeait encore et durcissait de plus en plus, il avait vraiment une belle bite et je me la voyais déjà au fond de mon trou en train de me ramoner.
Il semblait pressé de jouir, il était très excité que je m'occupe de lui, il me lâcha quelques mots crus « C'est bon hein salope » « Allez, suce comme il faut, c'est bien » « Mieux que ça chienne », « Si tu ne fais pas ça bien, je vais le dire à ton Maître et tu vas recevoir ! ». A chacune de ses phrases, je me relançai, m'appliquai de plus belle en pensant à mon Maître.
Au bout de 15 minutes, pensant qu'il allait enfin me prendre, j'avais trop envie de sentir sa bite dans mon cul, je dus prendre d'autres postures et le sucer de plus belle ! Couché sur l'assise du fauteuil, la tête en bas, il avait ma gorge bien accessible et c'est lui qui donnait la cadence pour que je le suce, il venait en butée contre mes lèvres, je ne pouvais reculer, ma tête bien caler. Je dus néanmoins une ou deux fois tourner la tête pour m'empêcher de vomir et cracher ma salive qui débordait de ma bouche. Il était vraiment chaud quand enfin, il m'ordonna de me mettre à quatre pattes, pour me prendre comme je l'espérais depuis un moment. Il prit soin de mettre un préservatif, le temps pour moi de souffler un peu, qu'il n'empala rapidement et sans vraiment de délicatesse. Mon plug qu'il venait d'enlever lui démontrai comment j'étais chaude et prête à être enfiler. Ce fut un vrai bonheur, je sentais son corps buter contre mes fesses et son sexe aller bien profondément, j'aurai aimé jouir de suite, et je me branlais quelque peu « Arrêtes de te toucher! » dit-il avec autorité. J’arrêtai immédiatement, il continua de plus belle « Tu aimes ça la pute, hein ? Alors prends-en encore, tiens..., tiens... ». Il raillait de plaisir tout me labourant ma chatte pendant encore dix bonnes minutes et finit tout de même par jouir, j'étais exténué, je n'avais pas joui, mais cet inconnu envoyé par mon Maître était ravi. Je restai sur le sol, le temps de récupérer de mes émotions, que l'homme se rhabilla vite fait, il prit ses clés de voiture, son téléphone portable et composa un numéro.
« Allo A., c'est M., oui... excellente..., je me suis régaler..., oui..., elle a assuré !, C'est une bonne chienne !, Merci encore ! ». Il raccrocha, me salua et sorti de la chambre.
Il me laissa, juché sur le sol, comme une vulgaire chienne ayant reçu ce qu'elle méritait, je récupérais lentement, je me regardais dans le miroir pour vérifier si j'étais sortable et je repartais à mon auto. Je quittais la chambre discrètement, je croisai de nouveau un couple, qui me salua avec un grand sourire.
Je commençai vraiment à souffler et à me remettre de mes émotions, le gout de bite dans la bouche et la chatte toute mouillée, cet homme était vraiment une bête, il m'avait usée...
Sur le chemin menant à la voiture, un homme m'accosta ! « Bonjour Daniela ! », surpris je m’arrêtai brusquement, et le regardait. C'était un jeune homme, la trentaine, sûr de lui, il continua, « A. vous a dit que je devais vous rencontrer ? » « Euh... non pas du tout... » « Ce n’est pas grave, suivez-moi ! ». Je restai planté là encore abasourdie par le plan dans la chambre, en attendant je ne sais quoi... Pas refaire un plan cul c’est sur, j’étais trop fatigué pour cela !
Il vu que j'hésitai, il me prit finalement par le bras, « Viens, suis-moi je te dis » Le ton avait changé, je baissais les yeux, je me laissais guider sans vraiment avoir le choix.
Il me fit rentrer de nouveau dans cette chambre dans laquelle j'étais sortie dix minutes auparavant. Cela me faisait bizarre, de nouveau je bandais ! Les hommes ont raison, je suis une bonne salope ! J’aime le sexe !
Il claqua la porte derrière lui, je sursautai. « Alors tu ne voulais pas me suivre ? » « Je ne m’attendais pas c’est tout » « Tu es mignonne, j’aimerai voir ce que tu vaux ! » Cet homme au premier abord sympathique, calme me parait tout à coup autoritaire, sur de lui, je craignais pour ma personne…
« Tu vas d’abord te mettre à genoux et tu vas me sucer » « Vite ! Dépêches-toi ! ». Je sentais son impatience, je devais obéir rapidement, mais j’étais encore un peu dans les vaps… Je n’ai pas eu le temps de m’agenouiller qu’il avait déjà sorti une cravache de son sac et commençai à m’en donner des coups sur les fesses. Il me saisi par le bras en le serrant si fort que je gémis « Tu ne vas pas te plaindre en plus ! » Il prît un bracelet cuir qu’il me fixa au poignet et accrocha le mousqueton sur le haut du lit à étage face contre mur.
Je ne bougeai point, attendant la suite.
Il m’attacha le deuxième bracelet à l’autre poignet. Il m’écarta les jambes que j’ai la chatte bien écartée, le tout pour être à sa disposition.
Il me remonta ma robe, baissa ma culotte, de manière énergique, et me donna des coups de cravaches sur les fesses « Tu vas comprendre pourquoi tu dois rapidement m’obéir » J’en reçu une bonne dizaine, des coups secs et nets qui me chauffèrent immédiatement le fessier. Je ne bronchai point, lui montrant ainsi que je savais obéir, et que je ferai ce qu’il me demandera.
Je pensais qu’il allait s’arrêter mais il prit dans son sac un martinet « Tu croyais t’en tirer comme ça ! Ta punition n’est pas terminée ! Je te préviens, je suis un Maître qui dresse les soumises récalcitrantes, ton Maître ne t’a pas prêté pour ton plaisir, mais pour que je te dresse ! ».
Je me rappelais que j’avais une punition en suspend et que mon Maître allait me la donner un de ces quatre mais je ne pensais pas qu’il la ferai faire par quelqu’un d’autre.
Je reçu une bonne vingtaine de coups de martinet, les lianes sifflaient dans l’air et venait me fouetter les fesses, je me tordais de douleurs, je bandais toujours mais je gémissais, j’essayais de me retenir, mais je finis tout de même par crier.
Le Maître ne fut pas content, « Tu vas te taire, j’en ai marre » Il me mit un énorme bâillon pour que je me taise définitivement. Voyant que je bandais toujours il me donna des coups de fouet sur mon sexe en érection, je gémissais dans tous les sens et finis par me redresser de la position que j’avais réussi à garder depuis le début. « Tu vas arrêter de bouger, non ! » Il m’attacha les jambes bien écartées à chaque pied du lit, j’étais complètement immobilisé.
Il recommença ses séries de flagellation, par dizaine et sur chaque fesse, j’hurlais de douleur mais sans bruit, au bout de la troisième série, cela me brulait tellement que je commençai à moins sentir les coups, voyant que je devenais docile, il se calma, reposa ses ustensiles de torture et me laissa récupérer.
Pas pour longtemps…, il prit des gants en latex, il allait me fouiller la chatte. J’écartai mes cuisses pour qu’il ai l’espace le plus libre possible, « Tu deviens coopérante, c’est mieux ». Je mouillais tellement qu’il n’eut pas de mal à se frayer un chemin pour y glisser un doigt d’abord puis plusieurs.
« Tu es bien chaude ! » Il me triturait mon trou, c’était excellent, il atteignait des points très sensibles qui me faisait monter au ciel de la jouissance. Il continua le travail avec un gode assez souple et suffisamment gros pour que je le sente comme il faut. « Tu es merveilleusement prête pour accueillir de belles bites dans ton trou », Il avait raison, il lisait dans mes pensées, je fermais les yeux en pensant à une belle bite venait me ramoner mon trou, j’en avais vraiment envie… J’espérais qu’il me prenne aussi bien qu’il m’affait fouillée.
Il me détacha lentement, m’enleva le bâillon, je ne me rendais pas compte de ma fatigue tellement j’étais bien, « A genoux, chienne, maintenant tu vas peut-être me sucer, non ? ». Je n’en avais pas tellement envie, mais je n’avais pas le choix que de le satisfaire. Je me mis à genoux, il s’approcha de moi, bite en main bien bandante « Allez tiens, prends ça ! ». Je lui saisis sa belle bite, je la branlai bien avec mes deux mains, je lui la léchais pour l’humidifier un peu et je lui suçai lentement puis plus rapidement. Plus vite il sentira la jouissance monter en lui, qu’il voudra me prendre. Pensant bien faire, je ne m’appliquai point à ma tache et il le vu rapidement « Mieux que ça salope ! » J’essayai de m’appliquer mais je n’arrivai pas à me concentrer, le fessier en feu et mon trou trempé, je voulais une bite ! « Ça suffit comme ça! Sale pute ! Tu veux encore une punition ? » « Non Maître, pitié » « Et bien suce-moi comme il faut et vite ! » « Maître, j’aimerai que vous me preniez » « Il manquerait plus que ça ! Ce n’est pas toi qui décide, sale chienne ! » « Et si tu le prends comme ça, tu vas voir ! ». Il prit une chaine dans son sac, me l’attacha à mon collier « Lèves-toi sale pute, debout ». Je me levais rapidement, il m’attacha les mains devant avec une paire de menottes, m’engouffra un plug dans ma chatte « Tu as intérêt de le garder, ne le fais pas tomber ». Il était suffisamment gros pour qu’il tienne dans ma chatte trempée, mais je ne savais qu’il allait me faire marcher, là c’était autre chose.
« Allez, viens, on va aller faire un tour ! ».
J’étais un peu angoissé quand il ouvrit la porte de la chambre, je n’allais pas sortir comme ça… « Tu ne veux pas m’obéir correctement, tu vas enfin comprendre ». Il me traina, lamentablement.
J’avançai comme sur des œufs, avec mes hauts talons et mon plug bien placé, n’osant regarder à droite et à gauche, préférant regarder l’horizon et penser à autre chose. Je me déhanchais pour ne pas perdre le plug, j’étais morte de trouille…
Nous avions bien fait dix mètres, sur le trottoir de l’hôtel, entre les voitures arrêtées, heureusement pas trop de passage à cette heure là, je le suivais difficilement, il ne disait rien et ne se retournait pas. J’avais l’air maline dans cette situation, j’étais en femme soumise et humiliée, j’espérais que personne ne me vois, mais je savais que cela ne durera pas et que ce n’était pas le but recherché.
Effectivement, dans le parking suivant, quelques voitures garées et quelques personnes autour. Mon dominateur se faufila entre les voitures en se dirigeant vers une personne, il avait choisi sa cible…
« Bonjour Monsieur ! » fit-il sur un ton naturel, d’un commercial cherchant son client. « Ça vous dirai de vous faire sucer par cette salope ? » L’homme ne fut pas plus choqué que cela, que l’on vienne lui proposé de lui faire une gâterie, il regarda mon dominateur et lui fit un signe de la tête « Pourquoi pas ! » « Allez ! Chienne Daniela, à genoux, et suce monsieur ! ».
Pendant que je me mettais à genoux, mon Maître expliqua à l’homme que j’étais en cours de dressage, et que je n’étais pas très obéissante. L’homme pendant ce temps là, baissa son pantalon, je dus marcher à quatre pattes pour m’approcher de lui pour qu’il m’enfile sa bite. Je dus la branler pour qu’elle durcisse avant de commencer de le sucer. « Je te préviens, fais ça bien ! » dis mon Maître dresseur.
Dans quelle situation je m’étais fourré…, je m’étais déjà tapé un mec, un deuxième m’avait suffisamment chauffé et je devais faire une pipe à un troisième. Cela commençait à faire beaucoup pour moi, l’air extérieur m’avait réveillé quelque peu, mais j’étais assez fatigué. Jamais je n’avais fais un plan de plus de deux heures, mais c’était le prix à payer pour que je sois plus endurante, et que je sois une bonne pute.
J’aimerai que Mon Maître soit fier de moi, il m’avait confié qu’il aimerait que je fasse la pute à la chaine pour lui.
Je suçai donc cet homme avec application, mon dresseur me surveillait avec sa cravache en main, il me donnait des coups sur les fesses à chaque fois que je faisais cela mal. Je pompa cet inconnu sans m’arrêter, bien profondément.
Au moment qu’il eu envie de jouir, mon Maître m’ordonna « Continue ! Ne t’arrête pas ! » Je dus le sucer pendant qu’il jouissait et dus tout avaler. Je lui nettoya sa bite proprement « Je ne veux plus voir une goutte ! » et il se retira.
L’homme remonta son pantalon, satisfait de la bonne pipe que je lui avais administré. « Continuons notre petit chemin ! » fit mon dresseur.
Je me releva, et nous nous faufilons à travers d’autres voitures, je dus faire le même plan à un autre homme quelques dizaines de mètres plus loin. Je dus encore souffrir de mon corps pour satisfaire ce nouvel inconnu, mais je prenais tout de même un certain plaisir.
Pendant que je m’occupais de cet homme, un groupe de trois gars nous mataient tout en s’approchant discrètement de nous. Bien occupé que j’étais, je les apercevais en toile de fond, mon Maître également, à peine terminé de lécher le sperme de cette bite il leur dit « Approchez ! Elle est à vous ! ».
Non, je ne pourrai pas, j’étais exténuée, la tache était ardue, je voulais cesser mais mon dresseur n’y voyait pas de cet œil là, il avait envie que je fasse la pute, la vraie, à la chaine. Je dus m’occuper des trois bites simultanément, mon Maître m’avait de nouveau offert.
Je continuais donc en m’appliquant à chaque bite en bouche à les sucer et donner un maximum de plaisir. J’avais soif, j’avais envie d’avaler autre chose que le foutre de ces inconnus mais je continuais avec mon plug dans ma chatte toujours aussi trempée. Il giclèrent pratiquement en même temps deux dans ma bouche, le troisième sur mon visage. « Avales tout sale pute ! » Avec leurs bites, ils s’employaient à ramener le foutre de la joue vers ma bouche ouverte, je dus avaler et montrer que je l’avais vraiment fait.
Je me releva et nous revenons en direction de la chambre. Ouf, je n’en pouvais plus, sur mes hauts talons, toujours ce plug qui nageait au fond de ma chatte, je n’avais plus tellement envie de jouir, mais plutôt de me reposer.
Arrivé en chambre, croyant le calvaire terminé, il lança « As-tu bien appris la leçon, je vais voir ça ! ». Je dus le sucer encore mieux que je ne l’avais fait précédemment, il finit également par me prendre, je me donnais de plus belle pour son plaisir et pour le remercier de l’éducation que j’avais eu ce jour présent.
Certes, j’avais sué, j’étais vraiment fatiguée mais contente d’avoir pu réaliser toutes ces pipes enchainées. Je n’aurai pas pensé un jour y arriver, mais ma motivation et la confiance allouée à mon Maître A. m’ont permis de le faire. Je le remercie ce jour d’avoir pu trouvé ce dresseur de femelles qui m’a poussé dans mes limites. Mon éducation n’est pas parfaite, j’en suis consciente mais c’est par des plans de ce genre que je progresserai.
Mon dominateur de ce jour me quitta sur ces mots « Bien sale chienne ! T’as fais du bon boulot, je le signalerai à ton Maître ».
Daniela
ERIK (A) .