Partager l'article ! Goûters au Mistik - Dimanche 30 avril 2017: Quelques mois sans maîtresse et sans séances, il me manquait de me retrouver aux pieds d'une b ...
Quelques mois sans maîtresse et sans séances, il me manquait de me retrouver aux pieds d'une belle dominatrice. Maîtresse Anaïs m'a offert la possibilité de la suivre à Lyon pour un après-midi dans le club mythique, j'ai nommé Le Mistik !
J'étais quelque peu angoissée, voir stressée à l'idée de rencontrer cette maîtresse. Je la connais pour suivre son parcours, depuis des années déjà. Nous n'avions jamais eu l'occasion de nous rencontrer alors que nous sommes distantes d'une dizaine de kilomètres...
Le rendez-vous pris, je me préparais donc à essayer de lui plaire et de ne pas la décevoir.
Toilette, épilation, il y avait du travail ! Malgré l'entretien régulier pour mes sorties en club, ma rencontre avec maîtresse allait se faire de jour. Je devais aller à sa rencontre au pied de sa résidence, mais je devais monter à l'étage chercher sa valise.
J'enfilais donc une tenue soft mais féminine. Certes, mes bas résilles et mes sandales rouges montraient que je n'étais pas là pour aller cueillir du muguet en cette veille de 1er mai !
Maîtresse m'ouvre et me fait rentrer dans son appartement. Je m'agenouille directement afin de lui baiser les pieds. Suis très contente de cet instant qui marque peut-être le début de quelque chose... Des rencontres, une histoire, un suivi, à l'heure ou j'écris ces lignes, il est encore trop tôt pour le dire, mais j'avoue ne pas être insensible à cette belle maîtresse et sa grande expérience des travestis mais aussi du BDSM, jeux dans lesquels elle excelle. Elle me reçoit très simplement et très sympathiquement, je suis conquise. Maîtresse finit de se préparer et nous partons. Je prends sa valise remplie de matériel, et nous montons dans mon auto ou je la conduirais à une heure trente minutes d'ici. Le soleil bien présent, il fait chaud en ce début d'après-midi. Avec le stress de bien vouloir faire les choses, je mets un peu de temps à faire baisser ma température corporelle. Maîtresse m'y aide agréablement, car c'est avant tout une femme très gentille et très avenante. Nous discutons d'un peu de tout afin de nous connaître mutuellement.
La route se passe bien, et nous arrivons bien rapidement dans la rue ou se situe le club. Le long de la Saône, quelques passants profitent de ce beau dimanche, il nous faut quelques minutes pour trouver une place à proximité et sur le même trottoir que l'entrée du club. La panique s'empare de moi, lorsque je dois préparer les affaires que je dois prendre et sortir de la voiture. Merci maîtresse d'avoir garder votre calme lors de ces instants... Maîtresse passe devant et nous entrons dans ce club. Le gérant de l'établissement nous prend nos vestes et nous laisse rentrer dans une grande salle très bien éclairée. La lumière tamisée met bien en valeur les nombreux accessoires qui rappellent que nous ne sommes pas que dans un club traditionnel de nuit !
Maîtresse Anaïs est ici chez elle, elle connait toutes les personnes présentent ce jour. C'est rassurant pour ma part et j'arrive à me détendre. Je là suis aux toilettes ou j'en profite pour me changer afin d'avoir une tenue un peu plus bdsm... J'enfile donc ma nouvelle jupe en latex noire et mes escarpins. Je rejoins le bar, ou j'ai l'impression d'être déshabillée du regard, cela ne me dérange pas, au contraire. Je reste dans mon coin jamais très loin de maîtresse, elle accroche la laisse à mon collier je m'agenouille près d'elle. Quel bonheur d'être à ses pieds, à ma place, aux côté d'une maîtresse d'une grande classe. Nous prenons des forces, je mange une part de tarte aux pommes. Je me sens à l'aise aux pieds de maîtresse, la serveuse me met à l'aise également avec quelques sourires. Je bois mon coka pendant que maîtresse se boit une coupe de Champagne. Un soumis tout en résilles et en position d'attente, collier au cou, attendant sa maîtresse. Un autre homme, soumis également doit se mettre nu près de moi. Suite à cela, maîtresse ne perd pas son temps pour me faire mettre les fesses à l'air et les bras contre la croix de Saint André. Elle commence à me mettre dans l'ambiance en me chauffant les fesses avec son fouet à lanières multiples. Un peu de douceur liée à des coups plus appuyés, maîtresse fait connaissance avec mes fesses. Elle plaisante au sujet de mon tatouage qui correspond aussi à ses initiales ! Je m'étais fait la remarque quelques jours auparavant en pensant à notre prochaine rencontre. Elle s'occupe également du soumis qui venait d'être mis à nu. Il prend aussi quelques coups de fouet à quatre pattes au sol. Pendant que je subis quelques coups, maîtresse Nadia, l'amie de maîtresse Anaïs, arrive à son tour au club. On se salue de loin à travers le miroir, elle ne perd pas son temps pour prendre aussi son fouet afin de jouer avec maîtresse Anaïs. Elles me semblent très complices, cela promet quelques bons moments à suivre ! Je suis alors mis dans la grande cage pendant quelques minutes, pendant ce temps maîtresse s'occupe un peu plus ardemment du soumis. Quelques beaux coups de fouet lui sont administrés sur son dos. Une fois sortie de la cage je dois me mettre face à la grande cage et me tenir aux barreaux aux côtés de l'autre soumis. Le miroir en face de moi me permet de voir ces deux maîtresses se préparer à nous fouetter le dos et les fesses. Quelques coups fouets bien placés me font quelque peu crier, mais dans l'ensemble j'encaisse bien les coups de fouet bien appuyés sur mes fesses et sur mes cuisses.
Ces deux belles maîtresses bien parties dans leurs jeux décident d'aller jouer dans un endroit plus au calme et plus discret. Je prend la valise de maîtresse Anaïs, le soumis en fait de même avec celle de maîtresse Nadia, et nous les suivons dans la pénombre dans une des pièce à l'arrière du bar. On se retrouve très vite à quatre pattes sur le bord du lit, à subir de nouveau quelques coups de fouet de la part des maîtresses. Elles se préparent ensuite pour de nouveaux jeux dont j'apprécie pleinement. Elles s'équipent chacune de leur gode-ceinture. Maîtresse m'enlève mon rosebud d'un coup sec, puis me prend délicatement avec son gode. Humm, quel délice... Cela faisait un bout de temps que je n'avais été prise par le gode d'une maîtresse. Pendant quelques minutes, maîtresse Anaïs me prend bien profondément, quel bonheur de se sentir possédée ainsi. C'est vraiment un sentiment d'appartenance fort, j'adore ces instants. Elle finit par une belle série ou je couine et suis prête à jouir ainsi. Mon clito mouille et je suis aux anges. Maîtresse se retire et m'introduit quelques doigts. Elle a envie de me fister, c'était il y a un an pour la dernière fois, c'est difficile. Effectivement, je pense qu'elle est tout prêt de le faire mais ce sera pour une prochaine. Je sens ses doigts s'introduire un à un puis une partie de sa main et de son poing. Elle rentre, elle sort, elle trifouille avec sa main, je me sens petit à petit possédée. J'avais fortement envie d'être prise par la main de maîtresse, et me sentir complètement à elle. J'espère que j'en aurai l'occasion un jour. Je peux souffler un peu, maîtresse me remet mon rosebud, maîtresse Nadia quand à elle, récupère le gode ceinture de son amie car plus gros pour prendre son soumis du jour. Elle a envie de le prendre sur la table de gynéco. Après quelques réglages, maîtresse Nadia se prépare, maîtresse Anaïs quant à elle enfile un préservatif sur le sexe du soumis, et après quelques attouchements il jouit très rapidement dans sa capote. Maîtresse Nadia n'a même pas eu le temps de s'introduire. Elles sont déçues toutes les deux car elles avaient de bonnes intentions de la situation qui se présentait à elles...
Nous rangeons le matériel et revenons vers le bar. A genoux, et en position d'attente, ces deux belles maîtresses reprennent rapidement leurs jeux. Le patron de l'établissement étale alors une couverture au sol et j'en devine rapidement la raison. Avant de me faire mettre à quatre pattes sur ce tapis, maîtresse me fait enlever mon haut mais aussi mon corset. Une fois en position, sur le tapis, maîtresse Anaïs et Nadia prennent chacune une grosse bougie qui brûlait dans un coin de la pièce et commencent à nous faire couler des gouttes sur le dos. C'est rapidement un flot de liquide brûlant qui s'étale sur mon dos, mes épaules puis mes mains. Je n'avais rarement eu autant de cire sur mon corps mais ce n'était que le début de ce jeu. Maîtresse m'ordonne de me mettre sur le dos, et les deux maîtresses m'arrosent littéralement de cire chaude, voir bouillante, surtout sur le ventre qui m'est quelque peu sensible. Je me crispe aux pieds de maîtresse. Je dois vite remettre mes mains sur ma poitrine pendant que maîtresse Nadia me décore mon ventre en dessinant quelque chose avec la bougie. C'est très jouissif de sentir la cire bouillante toucher son corps, je n'ose plus bouger, maîtresse Nadia continue son oeuvre, elle finit par mettre au centre de mon ventre sur un joli cercle de cire une petite bougie qu'elle laissera se consumer jusqu'à la fin. Je ne bouge pas, je suis bien, au centre des préoccupations de ces deux belles maîtresses, je vis un bonheur sans nom. Maîtresse Nadia surveille la bougie qui se consume petit à petit et quelques minutes plus tard, maîtresse Anaïs, d'un coup de fouet sec éteint la bougie qui commençait à me brûler le ventre. Quel beau moment, je me relève, me rhabille et nettoie le lieu avec le soumis.
Je passe le reste de l'après-midi aux pieds des maîtresses à leurs masser les pieds et les jambes. Avant de partir, maîtresse Anaïs a encore envie de jouer un peu, je dois remonter ma jupe et les mains accrochées à un anneau d'une potence, je subis quelques coups de fouet mais aussi de badine dont maîtresse s'exerce. J'ai très peur de cet instrument de torture. Bien utilisé, il laisse de sacrés traces mais surtout il procure des douleurs très vives et intenses.
Ce bel après-midi se termine, le temps a passé si vite, nous saluons l'assemblée. Retour à Annecy ou le voyage a passé encore super vite. Je dépose Maîtresse Anaïs chez elle en lui remontant sa valise. Elle n'oublie pas de faire une petite dernière photo de mes fesses dont il me semble qu'elle a bien aimé. Tant mieux, je lui confierai bien. Je m'agenouille pour lui baiser les pieds, et je salue ma belle maîtresse que j'espère revoir bientôt. Ce sera bien vite là car elle me veut comme soubrette lors d'une soirée le 24 juin. Je vais me trouver une tenue adéquate afin de faire belle figure pour les convives de maîtresse.
Merci beaucoup maîtresse de m'avoir permis de vous suivre à ce goûter. Je me sentais vraiment dans mon élément, à vos pieds et au bout de vos mains expertes. Vivement d'autres aventures avec vous, en espérant encore aller plus loin dans certaines pratiques qui nous tiennent à coeur toutes les deux. Avec l'essentiel pour moi et comme toujours satisfaire ma maîtresse.