Lundi 5 novembre 1 05 /11 /Nov 03:19

Journée de m...

 

Il y a des jours comme ça. Des jours ou tout va bien, vous êtes heureuse, tout se passe pour le mieux dans votre vie de tous les jours, le boulot, la famille, et pourquoi une journée visiblement belle, se termine par une journée de m...

Il y va de la vie, d’être attentive à ce qui nous entoure et de ne jamais se réjouir trop vite de ce qui nous attend.

 

Cela faisait juste une semaine que j’avais accompagné ma Maîtresse lors d’une soirée privée. J’avais passé une superbe soirée, Maîtresse m’avait largement libéré de mes pulsions accumulées pendant plus de trois semaines. Je pouvais alors repartir apaisée à la maison.

 

Malgré cela, le lundi soir je mourais d’envie de lui téléphoner afin de m’expliquer ma fin de séjour quelque peu mouvementée et mes esprits perturbés par la pose d’un harnais de contrainte de la part de ma Maîtresse avant de partir chez moi.

 

Je finissais de me préparer quand je vis la main de ma Maîtresse passée par la porte de la salle de bains, avec cet harnais orné d’un plug.

Sans un mot je le pris, et je l’enfilais avec excitation pensant bien finir notre rencontre par un nouveau jeu. J’enfilais ce harnais avec de plug ma foi assez important. Je ne serrai que très moyennement les sangles de la taille et sortis voir ma Maîtresse.

“Daniela ! tu vas rentré avec ce harnais et tu attendra mes instructions !”

Tout en me disant cette phrase que je comprenais rapidement le sens, ma Maîtresse serra le harnais de quelques trous supplémentaires et installa trois cadenas à chaque boucle. Elle vérifia son installation, je constatais avec elle que rien d’autre que les clés de ce cadenas ne pourront me libérer, me disant combien de temps j’allais devoir garder ce plug.

“Maîtresse... vous ne pensez pas que je vais rentrer chez moi comme ça !” “Tu verras bien, pour l’instant tu n’es encore pas partie Daniela !” “Mais si j’ai une urgence Maîtresse !”. Maîtresse rit sans me donner d’autres explications.

 

J’avais une totale confiance en ma Maîtresse pour savoir qu’elle ne faisait courir aucun risque dans ses pratiques à ses soumises. Je trouvais l’épreuve excitante mais je fus quelque peu angoissée par cette situation. Maîtresse rentra alors chez elle et je resta seule un peu de temps pour me reposer après cette nuit blanche et ranger le donjon.

Je n’arrivais pas à dormir et je décida de prendre le train plus rapidement que prévu. Avant cela il me resta une heure trente pour ranger mes affaires. J’étais obnubilée par une seule chose, Maîtresse allait elle me libérer avant mon départ...

Je lui envoyais un sms lui donnant mon heure de départ, j’attendais alors une réponse de sa part me signalant quel était la suite de mon programme harnachée que j’étais ou alors ou se trouvais la clé du cadenas.

Pas de message de sa part, je tournais en rond et réfléchissais alors ou Maîtresse aurai caché les clés pour que je me libère... Je vida ma valise et je la remplis de mes affaires en inspectant chaque recoin afin d’y découvrir les clés.... Pas de clés en vue, l’angoisse montait de plus en plus, je regardais bien dans mes affaires à laisser au donjon mais rien non plus.

Je faisais confiance en un plan B de la part de ma Maîtresse. Peut-être m’attendra t-elle à la gare avec les clés...

Bref, je partais angoissée mais confiante. Personne à la gare, pas de sms, le voyage du retour se passa bien, je dormis une bonne partie du voyage, fatiguée et excitée par ce plug et ce harnais qui me faisait penser à chaque instant à ma soumission à ma Maîtresse.

Arrivée à la maison, mon activité familiale reprit rapidement les devants de la scène, avec une semaine à préparer et à organiser qui plus est avec mes filles non prévues à la base.

L’organisation mise en place par mon ex-femme et moi subissait quelques fois quelques modifications liées à notre emploi du temps professionnel, difficilement gérable à l’avance.

J’envoyais un sms à Maîtresse pour lui demander la suite des évènements concernant mon harnais. Elle me rassurait rapidement en me donnant l’endroit ou les clés se trouvaient. J’avais vu juste, je les avais emportées avec moi, je fouillais l’endroit comme il faut sans rien trouvé... Je le signalais à ma Maîtresse, mais la panique me pris, et sans attendre sa réponse je décidais de me libérer coûte que coûte.

J’avais rêvé d’une telle contrainte, un des summums de la soumission, avec ce plug cadenassé mais là je ne tenais plus. Je forçais avec difficulté un des cadenas et réussi à me libérer. J’étais soulagé d’être libre mais consciente de ne pas avoir attendu l’ordre de ma Maîtresse pour me libérer. J’allais me coucher complètement exténuée par cette nuit blanche que je venais de passer et ce stress de fin de week-end.

Je me réveillais non pas rassasiée de sommeil mais reposée avant d’attaquer cette première journée de travail de la semaine. Dès mon réveil, je consultais un message de ma Maîtresse la veille assez tard “Alors ???”. Je compris qu’elle me demandait si j’avais bien trouvé les clés. Je lui répondis par un message d’excuses d’avoir désobéie de m’être libérer sans sa permission et que je n’étais pas fière de n’avoir pu trouver la clé.

Le soir, elle me rassurait qu’elle avait bien retrouvé la clé du cadenas du harnais, je serai donc épargné d’une punition. Je me sentais tout de même trop mal dans ma peau et je lui demandais alors de lui téléphoner afin que je m’explique sur ma fin de week-end quelque peu mouvementé et mes esprits perturbés par la pose de ce harnais de contrainte.

Elle accepta gentiment et j’étais rassuré par ce long téléphone ou nous parlions de nos futurs projets communs à réaliser. Je me coucha apaisée.

 

Le mardi, je me réveilla sans réelles motivations... Quelques photos, quelques essais de logos à envoyer à ma Maîtresse, le contrecoup de ce week-end, et une fatigue bien présente se faisaient sentir. La journée au boulot ne se passait pas très bien, et je constatais un réel coup de blues... Je pensais ma Maîtresse, avec une envie folle de la sentir auprès de moi, je me sentais littéralement seule.

Le soir je décidais de m’aérer la tête en allant courir dans la montagne et de chasser mes idées noires. Je mis un certain temps à apprécier de courir. Cette séance de sport me fit du bien, je m’étais vidée la tête ! j’allais pouvoir repartir sur de bons pieds !

 

J’avais pour habitude de ne jamais me laisser envahir par des moments tristes et je rebondissais le plus souvent assez bien pour relancer la machine !

 

Je pouvais attaqué cette journée de mercredi sous de meilleurs hospices, avec une réelle motivation.

 

Maîtresse me fit installer Skype sur mon téléphone, voyant par là rapidement un contact de sa part, peut-être un ordre... J’avais alors envie de me retrouver sous ses contraintes. J’aimais sentir sa domination, sentir que Maîtresse était bien là pour s'occuper de sa soumise ou simplement le fait qu’elle pense à moi.

 

J’avoue qu’en ce début de semaine j’en avais bien besoin, même si cette journée se passait mieux, j’avais hâte d’avoir des nouvelles de ma Maîtresse. Mon sentiment de solitude revenu bien vite et mon blues s’installa de nouveau dans mes esprits.

Incapable de faire quelque chose de suivi, sans aucune motivation pour entreprendre une tache et d’aller au bout de celle-ci, mon oeil rivé sur mon téléphone à espérer un message de Maîtresse.

Je me posais toutes les questions inimaginables..., pourquoi ne me répondait-elle pas, pourquoi je n’étais pas bien surtout. Je n’avais aucune raison de souffrir de ma relation avec ma Maîtresse. Elle me comblait de bonheur, je faisais mon possible pour la satisfaire, tout devait alors aller très bien !

 

Depuis le début de notre relation, soit depuis le mois de juin, c’était la première fois que j’étais dans cet état. Un état de manque, un état de solitude, est-ce mon appartenance qui me mettais dans tous ses états ? Jamais je n’avais connu ça, et je n’aurai jamais pensé qu’une appartenance à une maîtresse me mette dans des états pareils.

J’ai eu quelques malheurs dans ma vie, et il n’était pas toujours facile de trouver les motivations pour avancer. Même quand j’ai perdu mon amie alors que quelques mois plus tard nous devions nous unir, j’avoue que je n’en menais pas bien large...

 

Le contexte est différent là, mais cette dépression passagère n’est pas facile à gérer. Je sais que Maîtresse me soutient et elle est largement présente pour me réconforter, mais cela n’enlève rien à cet état de solitude.

La journée de jeudi et celle de vendredi n’ont fait que amplifier mon état de solitude et de mal-être. Maîtresse ayant largement décelé mon état, j’attendais de jour comme de nuit son appel, un message de sa part, qu’elle pensait bien à moi, cela devait me rassurer, de plus elle me confirma que le harnais commandé était bien arrivé et qu’il m’attendait, ce dernier message me rassura, un instant seulement...

La semaine se terminait enfin, libérée des soucis professionnels, je pensais que cela allait enfin se décanter un peu pour moi et que j’allais un peu retrouver le sourire et l’envie.

 

La journée de samedi était une journée pas tout à fait comme les autres. Je pus vraiment le constater jusqu’à sa dernière heure...

Tout devait visiblement bien se passer pour cette journée d’anniversaire. Mon neveu fêtait ses vingt ans et nous avait invité moi, mes filles, la maman de mes filles mais aussi une cinquantaine de personnes, de la famille mais aussi es amis.

J’étais seulement perturbée par une semaine de solitude sans beaucoup de nouvelles de ma Maîtresse.

Je travaillais tout de même toujours pour elle avec envie. Véritable “junkie” comme s’est si bien le dire ma maîtresse, j’avoue avoir une motivation sans faille à la satisfaire voulant être une bonne soumise et qu’elle soit fière de moi. Cette optique là m'amenait à travailler entre 3 et 5 heures par jour ou par nuit plutôt ! sur son blog et son site.

Ce samedi matin, j’étais assez satisfaite d’avoir montée une vidéo des photos de l’anniversaire d’escargot baveux à mettre en ligne dès ce début de semaine, plus la création d’une présentation de ma nouvelle cage de chasteté sur mesure.

J’avais travaillé sur cette cage en demandant au fabricant des dimensions bien particulières adaptées à ma morphologie et en proposant quelques options que ma Maîtresse aurai aimé pour cette cage de chasteté inviolable et avec des contraintes.

Comme tout ce que j'entreprends, je l'envoi à ma Maîtresse afin quelle valide ou pas les photos, les textes, les commandes. Depuis le début de cette semaine, c’est vrai que je n’ai eu que très peu de réponses à mes nombreuses questions et l’inondant de mails, certaines questions finissent à passer “à la trappe”.

Je n’en veux pas à ma Maîtresse, doutant de moi, doutant de mes propositions, doutant de mes décisions, jusqu’à douter de ma capacité à satisfaire ma Maîtresse.

C’est ce sentiment qui m’anime ce samedi matin, quand Maîtresse prenant gentiment de mes nouvelles, me demandant pourquoi je n’avais pas fait de sms ce matin. Je lui expliquais alors que je ne voulais pas montrer mon insistance mais que ce n’est pas l’envie qui me manquait.

Il était aux alentours de midi, quand je lui envoya quelques sms que je regretterai amèrement pendant longtemps je pense. Ces messages montraient ma déception, mon impatience et mon agacement de la situation.

Je froissais ma Maîtresse par ces qualificatifs indignes d’une soumise, me remettant en place et à ma place. je regrettais de suite mon comportement, la suite ne fut qu’un “ratage” de ma part et une succession de malchance jusqu’à tard de cette nuit de samedi à dimanche.

Je ratais plusieurs appels de sa part, plusieurs le matin et un le soir à 22h. A chaque fois, pas d’excuses de ma part, mais des réels “concours de circonstances” montrant en plus mon état de fébrilité actuel.

 

Je fus réellement alors désemparée, je fis une nuit blanche à écrire entre autre ce récit mais aussi à “psycoter” sur ces évènements d’une semaine pas comme les autres.

J’espère en tirer toutes les meilleurs conclusions imaginables, de cette succession d’erreurs de ma part, tant au niveau de mon comportement, vis à vis de ma Maîtresse mais aussi de ma condition de soumise.

Mon désir réel d’être une véritable soumise, ne se fera pas en claquant des doigts en me comportant de la sorte mais la confiance installée par Maîtresse Akina, m’ont fait poussé des ailes. Je dois progresser, être dressée afin de ne pas avoir de tels comportements.

 

Penser à une seule chose : Faire confiance à Ma Maîtresse pour mon éducation.

Pardon Maîtresse pour ces “évènements”, j’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur enfin trop longtemps, sachez qu’en outre mes sincères regrets, je suis et je reste motivée à vous obéir et à vous suivre.

Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume

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