Partager l'article ! Mon Maître m’emmène au sex-shop: C’était un des premiers jours de l’automne, j’avais fais preuve d’abstinence pendant près d’un m ...
C’était un des premiers jours de l’automne, j’avais fais preuve d’abstinence pendant près d’un mois. Ce n’était pas volontaire de ma part, mais des soucis de santé ne me permettaient pas d’avoir
envie de faire quoi que ce soit…
Une fois rétabli, c’est donc avec énormément d’envie que je reprenais mes occupations de travesti et de soumise. D’avoir mis au repos mes envies, m’ont redonné une pèche incroyable et c’est avec
motivation que je reprenais contact avec des personnes avec qui je partageais ma passion.
C’est maître A. qui se montrait le plus intéressé et le plus directif à mon égard, il avait envie de me voir en femme… J’en mourrai d’envie aussi, il ne me dit pas ce qu’il voulait faire avec
moi. Je lui faisais confiance.
Je me préparais à cette rencontre, je serai en blonde, collier de chienne, maquillage rouge pétant, vernis aux ongles des mains et des pieds, jupe effet vinyl et corset vinyl, bas et
porte-jarretelles dentelle noir et mes nouvelles sandales argentées avec ses 13 cm de talons. Je pense de cette manière plaire à mon Maître.
Il me donna rendez-vous à 19h30 à Annemasse sur un parking. J’étais curieuse de savoir ce qu’il voulait faire à 19h30 en pleine ville…
Lors de nos discussions, il m’avait fait part de son envie de se promener en ville avec moi, et de m’exhiber dans un parc. J’aimais les voyeurs, ça m’excitait grave et je m’imaginais
déjà en train de marcher au bras de mon maitre, m’arrêtant sur un banc, me mis accroupis et je le suçais langoureusement pendant que des hommes se branlaient derrière des
arbres en nous voyant.
Il était à l’heure, il me fit des appels de phares pour que je sorte de l’auto. Il sortit en même temps que moi, me salua, m’accrocha ma laisse et me fit marcher devant lui, il m’inspectait, de
haut en bas, relevant ma jupe pour me ploter les fesses. « Humm, tu m’air chaude ma pute ! », je continua à marcher sur le trottoir, il n’était que 20h00, encore pas mal de
passants dans les rues déjà sombres d’Annemasse. Les gens nous regardaient, j’étais assez fier d’appartenir à mon Maître. Il me dit enfin ce qu’il voulait faire de la soirée.
« Nous allons au sex-shop Daniela, j’aimerai t’acheter un plug, et je voudrai que tu l’essaie pour qu’il soit à ta taille ». Oups, j’avalais ma salive, je devrai rentre en pleine
lumière dans un commerce ! Bon le fait que ce soit un sex-shop me rassura, il n’y a généralement pas grand monde et le peu de personnes, des hommes discrets longeant rapidement les
rayons.
Après avoir fait le tour du pâté de maison, nous débouchons sur une rue commerçante mais calme. Je vis de suite l’enseigne du sex-shop allumée, juste devant nous. Je ralentis, montrant à mon
maître ma réticence, ma peur « Allez ma pute, avances et tu rentreras dans la boutique à droite. Je lui obéis, non sans crainte de me retrouver face à face avec le vendeur et quelques
clients.
A l’extérieur, quelques hommes faisant les cent pas sur le trottoir d’en face devant le sex-shop, attendant le moment propice pour rentrer je pense… Je jeta un coup d’œil à droite et à gauche
avant de rentrer dans le magasin. Il était évident qu’un bon nombre de personnes nous virent rentrer dans le sex-shop, je poussai le rideau de tissus et mon maître et moi nous retrouvons dans la
boutique. Boutique pas très éclairée, assez vaste avec quelques allées et plusieurs rayons , un homme en train de choisir des dvd et un autre homme faisant des aller-et retours
dans le rayon vêtements jetèrent un œil dans notre direction, le vendeur à sa caisse nous salua, « Bonsoir ! » je répondis par un bonsoir timide mais avec le sourire, mon maître le
salua également et l’interpella. « Dites-moi, je cherche un bon plug pour ma femelle, qu’avez-vous à me proposer, s’il vous plait ? » Le vendeur se leva et nous guida vers le rayon
accessoires. Une multitude de godes et autres plugs étaient accrochés. « Vous pouvez les essayer, vous mettrez simplement un préservatif et vous me rendrez ceux que vous aurez utilisés, je
les remballerais ». Le vendeur était très commerçant, mon maître allait pouvoir m’acheter ce qu’il désirait vraiment. Il remercia le vendeur et nous commencions a visiter le rayon. Cela
m’excitait de voir tous ces accessoires, maitre A. le vit et me chuchota à l’oreille, « Je vais te prendre un plug à ta taille et un autre beaucoup plus gros, ton objectif sera de réussir à
te l’enfiler d’ici une semaine ». J’étais excité par ce chalenge, il me tripota mon sexe pour vérifier mon excitation, il me souri. Avant d’arriver devant les godes et
autres plugs, quelques accessoires retinrent mon attention et celle de mon maître. Des pinces à seins, des bandeaux, des cravaches et autres fouets et bâillon boule de cuir
noir pour me tenir la bouche pleine… un vaste choix de présentait.
Nous arrivâmes devant les plugs, Maitre A., choisit de suite celui qui le tentait le plus, je fis de drôles d’yeux. Mon maitre me regarda et me dit « Oui Daniela, c’est ton
objectif ! ». Il était énorme, je ne me voyais pas du tout m’enfiler cet objet d’au moins 7 cms de diamètre dans mon orifice, certes à la base il devait faire 5 cms mais avant d’en
arriver là, ça sera difficile. Il le mit de côté et me trouva un autre plus raisonnable, de 5 cms soit le plus gros plug que je n’ai jamais porté. Il prit un préservatif, l’enfila sur le plug,
mis du lubrifiant. Pour me l’enfiler maître A. m’appuya sur la nuque afin que je me penche en avant. Je m’exécuta, je me tenant au rayon, il me releva ma jupe, et m’enleva mon plug-pocket qu’il
m’ordonnait de mettre lors de chacune de nos rencontres. Il commença par m’enfiler un doigt puis deux afin de me dilater mon cul de chienne. Je gémissais devant les yeux ébahis des deux clients
et du vendeur. Il essaya à plusieurs reprises de me l’enfiler, dix minutes plus tard, le plug était rentré dans mon cul, c’était très bon… Un des deux s’approcha de mon Maître et lui marmonna
quelque chose. Je compris rapidement ce qu’avait demandé le client à mon Maître. L’homme se positionna devant moi et dégrafa son pantalon. Il passa sa main dans son caleçon et sorti son sexe. Je
compris qu’il m’était adressé, je jeta un œil à mon maître « Suces-le ! » je le pris dans la main pour le branler un peu. Il s’approcha encore plus près de moi et il m’enfila son
sexe dans ma bouche.
Je le suça délicatement, son sexe durcit rapidement et l’homme prit la direction des choses. Il fit des aller- et retours dans ma bouche, je ne pouvais reculer, mon maitre me tenait par les
fesses, il faisait des va et vient avec le plug, cela m’excitait. Le client me tenait la tête afin qu’il puisse vraiment donner son rythme que je devais le sucer. Je faillis
m’étouffer plusieurs fois mais je tenais bon. Je levais de temps à autre les yeux en l’air, le vendeur et le deuxième client regardait ça avec envie.
Ce dernier s’approcha aussi de moi et baissa rapidement son pantalon. Je pris sa bite dans ma main et le branlait. Il attendit que le premier veuille bien lui laisser la place. J’attendais aussi
car il me pilonnait tellement la bouche que j’avais envie de souffler un peu. J’eus à peine le temps de me retirer que le deuxième m’engouffrai aussi son sexe dans ma bouche bien échaudée et très
humide.
Au moment ou je changeais de sexe je vis que le vendeur y alla aussi de sa contribution, voyant que mon maitre me branlait la chatte avec le plug, il lui donna un gode d’environ 3-4 cms avec un
préservatif dessus. Ma chatte tellement humide n’eut pas de mal à recevoir ce gode, enfin les premiers centimètres, car il me l’enfila plus profond, je le sentis passer et je me trémoussais du
cul pour l’aider à l’enfoncer. Chacun y alla de son commentaire, « Quelle belle salope votre chienne ! » dit le vendeur, un des deux hommes dit « Préparez la bien, j’aimerai
la prendre après ! » mon maitre « Vous inquiétez pas vous allez en profiter ! » En effet tout en suçant le second homme, mon maitre m’avait enfilé le gode et s’amusait à
me branler la chatte vigoureusement. Je gémissais de plaisir, c’était trop bon. « Tiens, viens la prendre cette salope ! » le premier homme que j’avais sucé,
avait continué de se branler, il enfila un préservatif sur son sexe plus gros que le gode, et me prit violemment. Je sentis son bas ventre venir buter contre mes fesses, mais aussi son sexe qui
n’eut pas trop de mal à rentrer. Je reconnu le même pilonnage qu’il m’avait fait dans la bouche. Il me tenait les fesses et il allait d’avant en arrière. J’essayais de gémir mais le sexe dans ma
bouche étouffait les sons que je voulais sortir. J’étais prise des deux côtés, c’était trop bon mais très dur à encaisser, j’avais envie de leur demander pitié mais impossible, incapable
d’esquisser le moindre geste de recul, je devais assumer. Je voyais mon maitre tout sourire me voyant en véritable chienne.
Entre temps, sans avoir prêté attention, d’autres personnes étaient rentrés dans la boutique et tous me regardaient de loin m’offrir à ces deux hommes, il y avait aussi un couple, j’étais quelque
peu gêné, moi tellement timide, face à tous ces gens… Je n’avais pas le choix et c’est vrai que c’était assez jouissif d’être exhibée et en pleine action
face à toutes ces personnes.
D’autres hommes se rapprochèrent de moi devant et derrière, tous se branlèrent et tenait leur bite à la main, prêt à me l’enfiler dès qu’une place se libérait. Mon maître gérait ce beau monde, Je
n’avais pas le temps de souffler, il m’avait installé face au dos d’un canapé que je puisse appuyer ma poitrine. Je ne gérai rien du tout, je me laissais faire, tout en assurant du mieux que je
pouvais, j’étais maintenant chaude et je mouillais tellement de la chatte que je n’avais plus l’appréhension de recevoir une grosse bite dans mon cul. Maitre A. faisait reculer
ceux qui avaient déjà bien pris leur pied, et ordonnait à tel ou tel homme de m’enfiler sa bite devant ou derrière. Je ne sais plus combien j’ai sucé de sexe et combien me prirent ce soir là, je
sais que cela durait depuis un sacré bout de temps, j’avais la chatte en feu, certains s’étaient fini sur mon cul, je sentais que cela coulait le long de mes fesses. Le dernier homme à me prendre
se retira et mon maitre me tenait toujours en laisse, il me tirait au centre de la pièce et me fit rassoir à genoux. J’avais à peine repris ma respiration, qu’une bite s’était
de nouveau introduite dans ma bouche. Pendant qu’une bite me labourai la gorge d’autres homes se branlèrent et me giclèrent sur le visage, d’autres dans ma bouche, certains se bloquaient au fond
dans ma gorge et jouirent. Ils me forcèrent à avaler.
J’avais du foutre de partout. C’était l’humiliation totale, je me retrouvais au milieu de la pièce, véritable chienne à bites, exténuée, enduit de sperme, mon Maître ne traina pas pour me
relever, et m’entraina dans une pièce voisine. « Allez, nettoie toi sale pute ! Bon… c’est bien, t’as assuré ma salope, tu en as bouffé de la bite là, hein ! » Je le
regardais et lui souris « T’as aimé en tout cas, tu t’es pas plaint ! » « Non maître, j’ai aimé ! ». Je me rhabillais quelque peu et nous sortîmes de la pièce. Tout
le monde s’était éclipsé, comme si de rien ne s’était passé, le vendeur nous sourit, mon Maître récupéra le gros plug et me le montra. Je compris ce qu’il voulait en faire. Je releva ma jupe et
me pencha en avant, mon maître avait déjà enfiler un préservatif et m’enfila ce plug de 7 cm de diamètre. J’étais super dilaté, il n’eut pas trop de mal à me l’enfiler, je le sentis tout de même
passé… Une fois calé dans mon cul, je me redressais, mon maître paya ce plug « Merci, nous reviendrons ! » fit mon maître au vendeur et nous sortons du sex-shop. Ce plug imposant
me fit marcher de travers, mais quelques pas suffirent pour que je m’habitue.
Mon maître me raccompagna jusqu’à son auto « C’est bien ma pute, t’as bien fait la salope ! » « Tu es prête à recevoir encore plus de bites, montes ! Je vais t’emmener
quelque part… »
A suivre…