Partager l'article ! Offerte à l’Impérial: C’était les retrouvailles avec mon maître, après plus d’une année, nous nous étions perdu de vue. Nous avions ...
C’était les retrouvailles avec mon maître, après plus d’une année, nous nous étions perdu de vue. Nous avions alors continué notre route chacun de notre côté.
J’avais tout de même gardé ses coordonnées car les projets et les plans qu’il réalisait me correspondaient tout à fait.
Maintenant que j’étais libre de collier j’avais envie de renouer le contact avec lui afin de faire des choses jamais réalisées et qui me trottaient dans ma tête depuis longtemps.
Je savais qu’il affectionnait tout particulièrement ce genre de plan. Les différentes discussions avec lui me l’avait montré.
C’était de bonne augure, j’étais motivée pour être à sa disposition et lui montrer que je pouvais satisfaire ses exigences. C’était important pour moi de réussir afin qu’un lien se tisse entre
nous et que l’on avance chacun dans nos envies respectives.
Après quelques échanges cordiaux, il était temps de passer dans l’action !
Le dimanche, mon maître m’avait prévenu par sms, “je te convoquerais un soir de la semaine. Tu viendras habillée comme une pute.” Tout était très c lair dans ce message...
Dès le mercredi, je reçus un nouvel sms de sa part.
“Soit présente aux jardins de l’Impérial d’Annecy demain soir à 22h00. Tenue provocante exigée.”
Cette journée de jeudi avait été belle, la soirée s’annonçait douce. Nous avions rendez-vous, pas trop tôt, le temps que la nuit tombe largement et que les lieux soient moins fréquentées.
Je savais comment il désirait me voir, “tenue provocante” voulait dire une tenue pour l’exciter et aguicher, hauts talons, bas, robe ou jupe sexy, collier de soumise, et maquillée.
Je me rendais au rendez-vous dans la tenue exigée, un peu avant l’heure, histoire de sentir un peu l’ambiance...
J’attendais les ordres de mon maître dans ma voiture. J’étais prête, toute chaude, à sa disposition. Faire selon ses volontés, pour lui et pour les personnes qu’il voudra. J’étais prête à
m’offrir et à satisfaire mon ou mes amants de ce soir. Qu’ils repartent heureux et satisfaits de ma prestation.
Je ferai de mon mieux, cela faisait longtemps que je n’avais pas fait ce genre de plan, mais je suis une soumise volontaire et motivée.
Je devais sortir de la voiture quant il me le dira. Je savais qu’il m’observait car il connassait mon auto. Je devrais m’enfiler dans les allées du Parc...
Enfin son texto, il était 22h00. Il faisait nuit, beaucoup moins de monde et beaucoup moins d’autos sur le parking.
“Sors de l’auto et prends l’allée en direction du lac”
Je m’étais garée tout proche de cette allée, j’attendais le bon moment pour sortir. J’observais les alentours afin qu’il y ai le moins de monde possible aux alentours.
Garée en marche arrière, je pus sortir discrètement, tirer sur ma jupe courte, très courte afin qu’elle recouvre au moins le haut de mes bas. Mon blouson noir lui, m’arrivais à la taille et ne suffisait pas à cacher quoi que ce soit.
Je me sentais prête, j’avais déjà marché avec des talons, mais rarement seule. Je devais faire attention ou je mettais les pieds pour ne pas me tordre une cheville et ne pas me faire remarquer. Je devais me montrer crédible et assurer, c’était le meilleur moyen de passer inaperçue !
Je sortis, fermais l’auto à clé et rangeais cette dernière dans mon sac à main.
Je fis quelques pas et je m’engagea dans l’allée sans lampadaires, là je pris mon temps pour marcher, il faisait sombre, je me sentais protégée.
Je croisa un couple, trop amoureux pour me remarquer, et je continua le long de la presqu’île. Je fis le tour du parc presque en entier, et je ne voyais toujours pas mon maître. ça me faisait
flipper... Devrai-je faire demi-tour ? Pour me faire remarquer il y avait pas mieux, mais bon ça allait, il n’y avait pas l’air d’avoir trop de gens dans le parc, du moins je ne les voyais
pas...
Mon maître me cherchait-il, ou faisait-il exprès de me faire marcher dans le parc. Cela me plaisait assez, je me sentais en confiance.
Tout à coup, j'entendis des pas derrière moi, naturellement et machinalement j'accélèrais un peu le pas. Je stressais un peu, pas longtemps, un inconnu s’approcha rapidement de moi et me pris par le bras, il enfila le sien dans le mien et nous continuions à marcher.
“Bonjour ma pute !” Ouf c’était mon maître....
“Bonjour maître, je suis contente de vous voir !”
Tout en parlant nous avancions ensemble , il me mis la main aux fesses.
Humm, j’avais l’air de lui plaire. Nous refaisons presque un tour complet du parc, puis nous coupons à l’intérieur du parc, quelques bancs, libres. Il en choisit un, il me stoppa à la hauteur d'un, il me prit le bras sèchement et me passa une corde autour du poignet qu’il sortit de je ne sais ou. Il passa mon bras dans mon dos et attrapa mon second poignet et me lia les poignets ensemble.
“Maître !” je proteste, “mais que faites-vous ?”
Je stressai qelque peu, je ne pouvais rien faire, il était trop tard, les bras liés, impossible de me sauver en courant, “Arrêtez Maître, détachez moi, allez, s’il vous plait”. Il ne me répondis
que brièvement.
“Trop tard ma belle, tu es à moi !”
Je protesta et me débata vivement, mais ça m’excita plutôt qu’autre chose, j’aimerai donc ça... ?
Il me prit par le bras, me mit face au banc
“A genoux salope !”
Le ton de sa voix changea, il devena autoritaire, je devais lui obéir.
J'étais long lente à son goût, il me frappa les fesses.
Je m’exécutais et je posais mes genoux au sol.
“Baisses ta tête”, j’inclina le buste, la joue posée sur le banc. Il se positionna derrière moi, s’accroupit et écarta mes jambes. Il remonta ensuite ma petite robe en cuir. ça m’excitait
tellement que je cambrais mes fesses comme si je le lui offrais.
“Bien ma salope” “Tu comprends vite !”
Il me pelota un peu mes fesses, me les écarta soudainement.
“Humm beau plug !”
J’avais mis en effet mon Rosebud, il joua un peu avec mais me le laissa bien au chaud.
Je jettais un oeil à droite et à gauche, cela me semblais terriblement calme, trop calme. La vie s’était arrêtée autour de nous.
Pas le temps de gamberger, il me tira par les cheveux pour me redresser et me banda les yeux avec un foulard. Je ne voyais plus rien, encore plus excitant.
Il s’asseya sur le banc face à moi., le bruit d'un ceinturon et je compris qu’il défaisait son pantalon, je devinais qu’il sortit son sexe pour me le présenter.
Il me pris soudain la tête à deux mains et l’approcha brusquement vers lui, je toucha son sexe de mes lèvres, j’ouvra tout grand la bouche.
Il m’introduit alors sa bite, je resta la bouche grande ouverte, il alla au plus profond et buta au fond de ma gorge. Je repoussais un peu la tête et il lâcha enfin ses mains, je pûs revenir en arrière, déglutir et respirer un grand coup. J’étais surprise par la rapidité de mon maître, je n’avais rien vu venir.
Je ferma délicatement les lèvres sur son sexe et je me retirais lentement. Arrivée au bout, je lui lèchais le bout du gland, je remis son sexe bien dans ma bouche et fis des allers et retours
afin de bien le sucer.
J'adorais ces premiers instants, le sexe grossissait au fur et à mesure que je m'occupais de lui.
Que c’était bon de sucer un sexe, qui plus est celui de mon maître. Je le suçais de belle manière pendant un certain temps. J’étais concentrée sur ce que je faisais, j’entendis soudain des pas
s’approcher sur ma gauche, une personne était toute près, des pas sur la droite, une seconde personne s’approcha.
Cela semblait normal pour mon maître, il ne fut pas surpris de les voir arrivés, il ne disait rien...
Je faisais comme si je ne les avais pas remarqué, m’appliquant encore mieux à sucer ce sexe bien dur, j’étais excitée, cela ne se voyait pas à genoux que mon sexe s’était dressé. J’avais trop envie d’aller au bout de mon envie et de sentir son sperme gicler. Je n’eus pas le temps, mon maître me fit soudain stopper en me repoussant la tête. Je me redressa, il se lèva. J’entendis qu’il se rhabilla.
J’attendais, je ne bougeais pas, la bouche toute baveuse, Une main m’appuya soudain sur la tête, je n’eu pas d’autre choix que de me plier, cette main me plaqua la tête sur le banc et appuya fermement. Pendant ce temps, je sentis que l’on toucha mes fesses, que l’on me les tâta, une autre enfin m’écarta les cuisses.
Toutes ces mains sur moi m’excitait, cela se voyait, une énième main m’attrapa mon clito qui commençait à être bien dur, la main me le branla, j’écarta les cuisses, je gémis.
“Ouah la salope !”
Entendis-je d’une voix d’homme.
Un autre voix que je ne connaissais pas lui répondis.
“On dirait oui, on va le voir rapidement si elle aime ça !”
“Elle est bien sexy cette salope, elle me plait bien !” fit une autre voix.
”Reste à la voir à l’oeuvre si c’est une bonne chienne”
“Oui c’est sûr, qu’entre nos mains, il faudra qu’elle tienne le coup !”
Mon maître répondis “Elle manque d’entraînement, mais je peux vous dire qu’elle aime ça !”
“Tu crois qu’elle va supporter nos séances de sm dans la cave ?”
“De ce côté là t’en fais pas, elle est très sm et même plutôt hard !”
“Bon tant mieux car j’aime bien m'occuper de belles fesses comme ça !”
La troisième voix intervint “Tu me la prêteras pour une bande de pôtes ?”
J’écoutais attentivement ce dialogue entre ces deux hommes et mon maître. Il avait trouvé deux experts on dirait, ça m’angoissait quelque peu, mais je savais que mon maître ne me mettrai pas dans
n’importe quelles mains.
Je ne voyais rien, j’étais attachée et j'avais les yeux bandés, je m'inquiéta de me retrouver entre les mains de ces inconnus. Je reconnus la main de mon maître qui me rassura, il me présenta un
de ses doigts, que je suça langoureusement, montrant mon excitation mais aussi que j’étais rassuré qu’il soit près de moi.
Tout en discutant, mon maître m’accrocha ma laisse à mon collier et me redressa. J’étais maintenant debout devant ces hommes à moitié déshabillée.
Je restais immobile, attendant la suite. J’eus droit à une inspection en règle, les deux hommes me tournèrent autour, me regardaient et me touchaient partout.
“C’est une belle pute ta soumise, je pense qu’on pourrai faire plein de trucs avec !”
Les hommes me caressèrent les fesses. on me demandait d’écarter les jambes, je sentis une baguette, une cravache sûrement me tapoter entre les cuisses. Je les écartas sans sourciller, toujours les mains attachées dans le dos. J’avais aussi les fesses à l’air, je reçus un grand coup dessus, un cri sortit de ma bouche.
“Tais-toi salope” J’en reçu un second, je cria encore.
“Ça suffit, fermes-la !”
“Attends un peu, je vais te la fermer ta bouche”.
Je sentis qu’il voulait me bâillonner, j’ouvris la bouche, c’était un bâillon boule. La boule rentra dans ma bouche et une lanière attacha ce bâillon derrière ma tête. Au même moment, je reçus un autre coup de cravache sur les fesses, effectivement, je ne criais plus, je ne pouvais que gémir.
L’homme de la cravache pouvait maintenant me donna une bonne série de coups sur les fesses, seuls les coups qui claquèrent sur mes fesses s’entendaient dans le parc apparemment désert. Les fesses commençaient à me chauffer mais je ne bronchais pas.
Mon maître tira sur ma laisse vers le bas, je me pliais en deux, mes fesses étaient alors mise de plus en plus en évidence pour recevoir la cravache, une autre série s’en suivit.
“Ben voilà, tu commences à sentir à qui tu as à faire ma salope !”.
Je fus surprise quand je sentis que l’on attrapa mes testicules, l’homme les malaxa et les étira afin de les avoir bien en main. Je sentis qu’il me les attacha avec une cordes. Il serra assez
fort et fit quelques tours d’une fine corde. Il put ainsi contrôler mon sexe. Il le tirait en arrière.
Un autre homme m’enleva le bâillon, à peine enlever qu’il m’enfila son sexe dans ma bouche. Je ne vu rien venir, je n’eus pas de mal à l’introduire, la bouche baveuse que j’avais.
Très vite il fit des aller et retours incessants, j’étais malmené, brutalisé, mon sexe étiré, il pleuvait des coups sur mes fesses.
Pendant ce temps, l’autre homme m’enleva mon Rosebud, et m’enfila un gode plus gros. Il y alla en douceur mais il était suffisamment gros pour que je le sente passé.
J’étais chaude, je mouillais, le gode rentra finalement assez facilement, il me l’enfila profondément sans s’arrêter.
“Et bien dis-moi ma salope, tu aimes ça !”
“je vais te prendre comme une vraie chienne tu vas voir !”
“C’est vraiment une grosse pute ta soumise, elle aime trop ça !”.
Effectivement, je ne pouvais qu’apprécier la situation, j’étais à disposition de mon maître, je suçais une belle bite et j’allais être prise par un homme visiblement aussi chaud que le premier.
J’adorais que l’on s’occupe de moi de cette manière, et cela faisait longtemps que j’en avais envie.
L’homme s'enfila un préservatif et s’approcha de mon trou. Son sexe sembla bien dur, je me relâchais, il pût alors s'introduire facilement. Je me concentrais sur mon postérieur alors que je
suçais le premier mec machinalement, ils avaient raison, j’étais une vrai salope !
Je ne sais pas combien de temps je me fis limer le cul, perché sur mes talons, les jambes écartées, j’étais ballotté d’avant en arrière au rythme de leurs à-coups.
Au bout d’un moment ils inversèrent les rôles, je suça le second, et l’autre se mit derrière moi.
“T'inquiètes pas, il met aussi une capote” Mon maître m’avertit que l’homme que je viens de sucer avait trop envie de me prendre.
Aidé par son collègue qui avait fait le passage, il s’approcha de mon trou et d’un coup, il m’enfonça son sexe au fond. Tout en suçant langoureusement le gars, je ne peux m'empêcher de gémir,
j’étais complètement prise, et il me prirent violemment tous les deux.
Tantôt en alterné et tantôt en même temps. Pas le même effet, mais comme c'était bon.
J’avais déjà vécu pareil situation, prise et sucer en même temps, ça décuple le plaisir. J’avais envie qu’il me laboure qu’il me prenne violemment....
Je ne sais pas combien dura le temps ou je fus malmenée par ces deux hommes très dominateurs sous les yeux de mon maître, je commençais à fatiguer un peu sur mes talons. Le sexe étiré à son maximum, je n’avais qu’une seule envie, les faire jouir.
C’est mon maître qui décida le moment. Il attendait que je sois prête et que j’en prennes un maximum, j’étais là pour ça...
Il se décida enfin. celui qui me prenait arrêta, vint devant moi, il me semblait qu’il se branlait.
“A genoux salope ! et ouvre bien grand la bouche !”
Je m’exécuta, et attendais patiemment, les mains toujours attachées dans le dos, mes jambes se reposaient un peu.
Ils se branlaient vivement et je ne dû pas attendre trop longtemps pour sentir sur ma bouche puis au fond de ma gorge chacun leur semence. Je restais la bouche ouverte sans broncher, ça se
terminait.
Mon maître m'ordonnait, “Ferme la bouche et avale tout !”
Je m’exécutais en bonne soumise.
“Montres !” J’ouvrais la bouche après avoir avalé leur foutre. Je me détendais enfin.
Ils me laissaient me remettre de mes émotions, en me détachant les bras et en enlevant le bandeau. J’eus le droit de m’asseoir sur le banc. Je me nettoyais un peu et me rhabillais un peu les fesses.
Pendant ce temps les hommes et mon maître s’éloignèrent de quelques pas. Je les entendais discuter peu de temps, ils se saluèrent et les deux hommes dominateurs s’éclipsaient comme ils étaient venus.
Mon maître revint me voir, s'inquiéta de savoir si j’allais bien.
J’allais bien, je lui montrait ma satisfaction d’avoir réalisé ce plan. Il semblait aussi content de moi.
“Ils veulent te revoir bientôt !, pour un plan sm cette fois-ci...”
Mon maître me raccompagna vers l’auto, nous nous saluons, je m’enfilais dans mon auto et partit.