Partager l'article ! Plan avec maître domi: Voici enfin le récit de mon plan avec maître domi en juillet dernier. Pardon Maître pour le retard... J' ...
Voici enfin le récit de mon plan avec maître domi en juillet dernier.
Pardon Maître pour le retard...
J'attend de vos nouvelles prochainement, vous me manquez, j'ai envie de vous...
Nous avions reporté à maintes reprises notre rendez-vous. Rencontré déjà plusieurs fois, cet homme dominant ne m’avait jamais dominé de la même manière. Notre lieu habituel étant pris, je m’aventurais non loin de là, je sorti de l’auto pour l’attendre. Cet endroit, souvent fréquenté le jour était devenu plus calme ce soir. Malgré l’angoisse qui me prit de sortir et de m’éloigner de la voiture, je me lançais. Chaude comme j’étais je ne voulais pas rater mon rendez-vous de ce soir, et une fois sortie, sur mes hauts talons, tout allait bien, je me sentais a l’aise au fur et à mesure que j’avançais sur ce chemin bétonné le long d’un terrain de foot, éclairé par quelques lampadaires de la rue.
Ce soir là, je devais surprendre mon maitre, l’exciter par ma tenue et le satisfaire. Je m’y étais préparée… J’avais enfilé des bas avec un porte-jarretelles noir et des bottes noires. Pour le haut, un top dentelles et une jupe écossaise. J’avais mis un imper noir que j’adorais, ma perruque blonde et mon collier de chienne. Quelque peu maquillée, j’avais aussi verni mes ongles. J’espèrai lui plaire, j’avais vraiment envie de l’exciter et qu’il me baise, qu’il me domine, qu’il abuse de mon corps.
Je faisais les cent pas en attendant qu’il arrive. Dès que j’entendis son auto, je lui tournai le dos et marcha devant moi tel la pute attendant son client. Il me rattrapa rapidement pour m’accoster. Il me salua, me pris par la taille et nous avancions un peu pour nous éloigner de la route.
Il me dit de m’arrêter, se mit devant moi et m’inspecta. Il ouvrit mon imper, je me laissai faire, il me plotait un peu partout, me caressait, me sentait. Je me laisser aller… Je lui plaisais « Tu es belle ma pute, ce soir ! ». J’étais contente de lui plaire, il m’ordonna de me mettre face au grillage, les bras écartés, mains appuyées contre à plat. Il me plota encore à maintes reprises avant de me remonter mon imper pour laisser apparaitre mon cul. « Cambre toi, écartes bien les jambes » me fait-il d’un ton plus autoritaire. Il avait pris sa cravache en main et me la faisait sentir en la baladant sur mes fesses et mes entre cuisses. Je me rappelais alors de notre discussion quelques jours auparavant, il m’avait promis une belle correction, avec des marques durables. Je lui avais promis d’accepter, là, j’étais à sa merci et j’avais un peu peur… Fidèle à mes promesses et pour satisfaire mon maitre de ce soir, je me préparai à souffrir. La séance de cravache dura pratiquement une demi-heure, il alterna les caresses et les coups secs et violents avec sa cravache tenu bien fermement. Il me rougi tout d’abord l’ensemble de mon fessier par une multitude de coups donnés modérément. Je pouvais dire sans regarder les endroits qu’il ne m’avait pas fait tellement que ça me chauffait. Il m’ordonnait plusieurs fois de me cambrer, je lui offrais mes fesses bien fermes, les jambes écartées, les mains contre le grillage. Les coups devenaient de plus en plus durs, moins fréquents, il me surprenait, ne les voyant pas venir. Il me parlait, il me malaxait les fesses pour atténuer la douleur, il se faisait plaisir, moi aussi d’ailleurs !
« Est-ce que tu t’es fait baiser depuis notre dernière rencontre ? ». Je lui répondais la vérité par l’affirmative. « Tu peux te faire baiser ma pute, je n’ai rien contre, mais tu dois m’en
parler avant ! » « Oui maître » lui répondit-je. « Pour cette faute tu vas écoper de dix coups, et tu vas les compter ! ». J’acceptais la sentence et me préparai à recevoir la belle correction
promise. Il me fit attendre pour me donner le premier coup de cravache, je l’attendais, mais je ne m’imaginais pas recevoir un tel coup. Je cria de douleur, c’était horrible, je me tordis dans
tous les sens. La douleur s’estompa et je commençai à compter « Un maitre ». Le deuxième et le troisième s’enchainait rapidement, de la même force, je ne pu m’empêcher de me toucher les fesses.
Le quatrième arriva aussi rapidement, je n’en pouvais plus, je le suppliais d’arrêter.
Il y eu un long silence, je
souffrais le martyr mais j’aimais tout de même ça et j’avais promis… Il attendait, je me détendais un peu, les fesses en feu, j’espérais sa clémence et qu’il s’arrête enfin. Il n’en fut rien, de
manière méthodique, il continua. Maso que je suis, ou les coups moins forts, toujours est-il que j’acceptai les derniers coups avec envie et fierté. Le dernier se fit longuement attendre, j’avais
envie d’en finir avec cette sentence. Je m’attendais à chaque seconde, à chaque coup de cravache dans le vide recevoir ce dernier coup, que cela se termine, cela ne venais pas. C’est au moment ou
je m’y attendais le moins que je reçu le bouquet final, un magistral coup de cravache qui me fit hurler. Je me touchai les fesses pour diminuer la douleur, je grimaçais, mon maitre me félicita «
Très bien ma pute, je suis fier de toi… ». J’étais également satisfaite, j’avais tenu les dix coups. J’ai souffert mais tout en y prenant du plaisir. A la vue des photos je ne pensais avoir de
telles marques, de belle boursoufflures certaines jusqu’au sang… le lendemain et quelques jours qui suivirent mes fesses étaient marrons de bleus…
Il m’ordonna de me mettre à quatre pattes dans le talus d’herbe. Je m’exécutai, écarta les jambes. Il me souleva mon imper et mis ses gants latex. Il me malaxa le plug que j’avais dans mon cul, il me l’enleva et me travailla mon trou pour bien me le dilater. Il me branla tellement le plug au fond de ma chatte toute chaude et toute mouillée que je failli jouir, c’était excellent. Il me remis mon plug sans oublié de faire une nouvelle photo de mon cul et je me releva.
« Face à moi et mets-toi à genoux ! ». Je m’exécuta, il détacha son ceinturon et baissa son pantalon.
« Branles-toi ! ». Je me caressais longuement pendant qu’il sortait sa bite de son slip. Il bandait déjà, « Ouvres ta bouche ! » J’ouvris ma bouche, il approcha son sexe, je lui léchai l’extrémité et il me l’enfila de plus en plus dans ma bouche. Je le rentrai et sorti de ma bouche pour l’humidifier et la savourer. Cela faisait longtemps que je ne l’avais sucé, son odeur et sa dureté m’excita, je le suçai goulument. Il était aussi très excité que je le suce, il se branla, me donna des coups de bite sur les joues, tout en me touchant je le branlais aussi de mon autre main, c’était délicieux…
Mon homme ne voulu pas jouir de suite et me fit un énorme plaisir en me faisant vivre une nouvelle expérience pour moi. Je l’en remercie de m’avoir fait découvrir ce nouveau plaisir que je rêvais de vivre depuis un moment. Je ne pensais pas d’abord y arriver mais surtout que ce soit aussi excitant que cela ! Cela dura de longues minutes, car il a fallu insister et persévérer… Accroupi dos contre le grillage, je m’y cramponnai en écartant les bras, pendant qu’il me pilonnait la gorge. Mon Maître me martelait d’ouvrir grandement la bouche. A chaque fois il enfonçait un peu plus sa bite. Mes yeux coulèrent et de temps à autre je détournais la tête pour déglutir, reprendre mon souffle ou cracher ma salive. Il insistait et par étape, me tenant la tête droite contre le grillage m’empêchant de bouger, il m’enfilait sa queue de plus en plus loin jusqu'au fond de ma gorge. Il s’y arrêtait, il finit par se retirer et je failli vomir… Il recommença à plusieurs reprises, dieu que c’était bon… indescriptible plaisir… à refaire !
Il finit par se branler entre mes lèvres et je reçu son liquide tout chaud dans ma bouche. Je le gardais un peu, lui montrant, il fit une photo et m’ordonna d’avaler. J’avalais et lui montrais bouche ouverte, comment j’avais fait la salope telle qu’il aime si bien que je sois. Il me donna un Kleenex pour m’essuyer un peu, je me relevai, et me rhabilla un peu. Il me raccompagna vers mon auto.
Nous discutons quelques minutes, de tout, de rien, avant de nous séparer, il me demandait de lui promettre de ne pas tant attendre pour se voir, il ajouta « J’aimerai que tu me reçoives à l’hôtel, je pourrai ainsi profiter de toi une après-midi entière ! ».
Belle proposition, je lui promettais et nous nous séparions.