Partager l'article ! Rencontre avec un inconnu sur l'autoroute: Je venais de recevoir quelques nouveaux habits. J’étais très excitée à l’idée d’enfiler ...
Je venais de recevoir quelques nouveaux habits.
J’étais très excitée à l’idée d’enfiler tout ça.
Mon Maître m’avait demandé de me procurer une nouvelle jupe, il la voulait courte, très courte. Afin de le satisfaire, j’avais passé une commande et j’avais trouvé une jupe en cuir très courte,
du même coup une superbe paire de bottines à talons hauts et une paire de bas.
J’ai de suite signalé à mon Maître l’arrivage de mon colis, très excitée de les enfiler rapidement pour lui. Il m’ordonna de me tenir prête à sortir avec. J’attendais avec impatience ses ordres et sursauta à chaque sonnerie de mon portable espérant son message.
C’était mercredi, le téléphone sonna à midi, c’était lui, je devrais être au parking de l’aire d’autoroute à 19 heures, il m’avait communiqué le lieu quelques jours auparavant, mon sac était prêt, je rentrais à la maison à 18 heures le récupérer pour aller illico sur la zone dite. J’étais nerveuse, excitée de sortir en femme, mais anxieuse de la rencontre que j’allais avoir.
Comme à son habitude, mon Maître ne me donna aucune information quant à la nature de la rencontre, je connaissais le lieu certes, mais pas du tout qui j’allais rencontrer, le nombre de personnes et le type de rencontre.
Je me garais sur le parking précédent de notre lieu de rendez-vous, je m’habillais de ma jupe, de bas et de mes bottines. Je mis un haut en satin et enfila mon blouson court. Je n’oublia pas de
mettre ma perruque et mon collier de chienne que mon Maître m’avait offert. Il m’avait fait graver "Daniela, chienne de Maître A", sur la plaque pour me le confier, je devais l’avoir pour chacune
de nos rencontres, lui avait la laisse.
Je reprenais la route sans avoir oublié de bien vérifier ma tenue. Mon Maître tenait à ce que j’assure, que je fasse femme, être crédible.
Je me gara sur le lieu convenu, la nuit commença à tomber, il y avait quelques voitures et quelques aller et venue sur le parking. Je restais planté là quelques longues minutes, en attendant un
signe de la part de mon Maître.
Il avait l’habitude de se garer assez loin de moi, de me faire des appels de phares, c’était le signal pour que je me déplace jusqu’à sa voiture. Je cherchais désespérément son auto, mais ne la
vit point quant mon portable sonna, c’était lui, je répondis hâtivement, il m’ordonna de sortir de l’auto, de marcher le long du trottoir et d’attendre que quelqu’un m’accoste.
J’étais surprise, je ne m’attendais pas à ça, il n’était pas là ; je devais quand même sortir vêtue en look très pute et attendre que quelqu’un vienne me voir.
Est-ce que se sera lui ou une autre personne, je ne le savais pas.
Moi qui était déjà nerveuse sans ça, ça me déstabilisait, j’avais peur…
Mais après avoir raccroché je me dis que connaissant mon Maître, il aurrai tout prévu et je peux lui faire confiance… J’avais aussi très envie de lui obéir et qu’il soit content et fier de mes
actes. Je sortis de l’auto non sans attendre quelques instants et que l’activité du parking soit le plus calme possible, je sais que cela ne durera pas et que très vite d’autres voitures
arriveront et que des personnes me verront, m’observeront…
Je fermais l’auto à clé et commençais à marcher le long des autos, ça allait, plus je marchais et plus je me sentais bien.
Je savais que je je ne pourrai pas retourner dans la voiture rapidement, elle était maintenant trop loin, je devais donc assurer mes actes, être habillée en femme provocante, paraitre le plus
crédible possible afin d’être remarqué le moins possible.
Je savais que ce n’étais pas facile pour moi, je devais penser à mon allure, ma posture, ma façon de marcher, la manière de porter mes habits et me déplacer en attendant que quelque chose se
passe. Je pensais donc à tout ça en même temps et cela m’aide beaucoup à me sentir à l’aise, car au fond de moi, c’est ce que j’aime, surtout quand j’entendis quelques voitures passer non loin de
moi, elles ralentissaient, je sentais le regard de personnes, c'était très excitant, mon Maître était-il en train de m’observer, je l’espérais, ça m’excitait !
Je dûs attendre un quart d’heure quand une auto s’arrêta à ma hauteur, je m’arrêtais quand je vus que la fenêtre s’ouvrit.
J’étais impressionnée, qu’allait-il se passer ?
C’était un homme assez âgé qui me dit "vous devez avoir froid vêtue de la sorte, vous devriez venir vous réchauffez dans mon auto".
Je ne sus quoi dire, je restais sans voix, il me regardait, souriant, attendait une parole de ma part, je n’en eu point, il ouvrit la portière et me fit signe de monter.
J’hésita, en pensant quelques instants à mon Maître, il aimerait que je monte avec un inconnu, je saisis la poignée ouvrit la porte et me faufila dans l’auto. Je refermais la porte et l’homme
redémarra.
Il avait environ 50 ans, belle allure, il avait l’air entreprenant. Il se gara une dizaine de mètres plus loin, je ne disais toujours rien, j’étais impressionnée, j’étais dans une voiture en femme, en tenue super court avec un homme inconnu.
Il commençait à faire sombre, uniquement un lampadaire sur ma gauche éclairait mes genoux, cela faisait briller mes bas, je distinguais un peu la dentelle du haut de mes bas, je voulus tirer un
peu sur ma jupe pour cacher cela, mais l’homme mis sa main sur mes cuisses et commençait à me caresser. J’étais excitée, je bandais, je mouillais déjà.
Je le laissa faire quelque instants, ça me plaisait, je décidais à mon tour d’approcher ma main de son pantalon, Je sentis son sexe à l’étroit dans son slip, il avait l’air gros, il était très
dur. Je commençais à me sentir vraiment à l’aise, pensant déjà à défaire son pantalon et à engouffrer sa bite dans ma bouche, j’en avais fortement envie.
Je fus surpris quand il prit ma main pour m’empêcher d’aller plus loin dans mes actes, "stop ! Arrêtes, on va faire ça ailleurs". il descendis de l’auto et vins m’ouvrir la porte. Je descendis, je lui obéis et le suivis, il me tenait par la taille, je marchais avec un homme l'un contre l'autre, j’étais très fière de cette situation et excitée de ce qu’il allait me faire.
On se dirigea vers les toilettes de l’aire d’autoroute, elles étaient en extérieur, il y avait de la place, il me fit entrer dans les toilettes handicapés sans dire un mot. Il rentra et referma
la porte derrière lui à clé, j’étais face au mur, n’osant pas me retourner.
Il prit les choses en main, me pelotant en inspectant tout mon corps de haut en bas, il passa sa main sous ma jupe "tu n’as pas de culotte, t’es une vraie salope toi, hein ?" s’arrêtant vers mon
sexe qu’il étira et le branla un peu "tu mouilles ma salope hein ?".
Je ne pus qu’acquiescer d’un signe de la tête, il m’appuya sur la tête pour me faire pencher en avant, je m’exécutais.
Il me pelota les fesses en les malaxant "t’as un beau cul de salope, tu vas voir ce qu’il va prendre".
La pression montait en moi, j’étais très excitée, lui aussi d’ailleurs, il me releva, me tourna vers lui "à genoux, chienne dépêches-toi" je m’exécutai face à lui "dégrafes mon pantalon, sors ma
bite et suce là".
Il était directif, cela m’allait bien, j’aimais ça.
Je sortis sans mal son sexe de son caleçon tellement il commençait à être gros et à être à l’étroit, "dépêches-toi sale catain, mets ça en bouche et applique-toi" je me l’engouffra directement
dans la bouche afin de mesurer sa taille.
Je le ressortis délicatement, suça le bout de son gland et savoura son premier jus, il mouillait grave ! c’était super bon, je saisis ses boules dans ma main et son sexe dans l’autre pour le
branler quelque peu tout en le suçant langoureusement, c’était excitant, je bandais aussi, mais je me concentrais sur l’homme que je suçais pour le satisfaire du mieux que je pouvais.
Sa queue devenait énorme et super dure, je faisais des allers et venues lents et rapides au fond de ma gorge, j’avais envie qu’il jouisse et je faisais tout pour. Je le suça bien une bonne
dizaine de minutes, je sentais qu’il ne jouirai pas de suite, il se retira et me retourna. Il me pencha vers l’avant, releva ma jupe, je sentis soudain son énorme sexe se frôler à mon anus.
J’avais peur de sa gosse bite, allait-il me faire mal, il prit un préservatif de sa poche, se l’enfila et m’enfila tout dans le cul. Il me prit avec délicatesse, rentrant dans mon cul lentement
mais surement, en deux ou trois fois, il était rentré dans mon corps des deux tiers de sa bite, c’était bon, elle était grosse, mais bonne.
Je m'accrocha au lavabo, les bras écartés comme les cuisses.
Il commença à faire quelques allers et venues de courtes distances afin de bien faire le passage, il rentrait son sexe de plus en plus loin, cela me faisait trop du bien même si j’avais
conscience de l’énormité de la chose.
Il me tenait les hanches et me donnais des coups de butoirs pour aller le plus loin possible, je sentais maintenant ses bourses cognés contre mes fesses, il avait atteind son rythme de croisière,
il me pilonnait le cul, il prenait du plaisir et par la même m’en donnait également « tu aimes ça, hein salope ? », je gémissais de plaisir.
Je me regardais en femme, véritable putain, en train de me donner à un homme, inconnu de surcroit, qui me prenait par derrière dans les toilettes publiques d’une aire d’autoroute.
J’éprouvais beaucoup de plaisir et l’homme avait l’air aussi de se régaler, il s’arrêtais de me prendre, tout en me relevant et en me retournant, il me dit "tu vas me pomper jusqu’à la dernière
goutte".
Je lui enleva le préservatif pour m’enfiler sa grosse bite bien chaude dans ma bouche, il était prêt à jouir, je voulais qu’il jouisse, qu’il m’inonde, je voulais qu’il le fasse dans ma bouche,
je n’ai pas eu à attendre très longtemps, je sentais que ça venait de loin, cela arrivait avec une telle pression que son foutre alla directement au fond de ma gorge, je déglutissais une première
fois et m’empressa de le pomper à fond et aspirer jusqu’à la dernière goutte, je me régalais de son foutre.
Son sexe était maintenant propre, il semblait très satisfait du plaisir que je lui avait donné, il se rhabilla, me remercia, "à la prochaine fois salope…"
il sorta rapidement en me saluant.
Je restais quelques minutes, bouche bé, savourant le plaisir donné, j’aurai aimé sortir en même temps que lui, mais jétais exténuée.
Je sortis discrètement pour retourner à mon auto, j’étais fière sur mes talons, en femme et surtout d’avoir fait la pute pour un homme.
Le téléphone sonna, c’était mon Maître, "c’est bien ma salope t’as bien assuré, je suis fière de toi, la prochaine fois, tu assureras pour plusieurs hommes …"
Il raccrocha.
J'en ai eu la chatte trempée.
Bisous.