Partager l'article ! Soumise à l'hôtel: C’était la fin de l’hiver, les beaux jours commencèrent à pointer le bout de leurs nez. Je pouvais donc me découvrir ...
C’était la fin de l’hiver, les beaux jours commencèrent à pointer le bout de leurs nez. Je pouvais donc me découvrir pour aller voir mon Maître. Il était 18 heures, j’avais rendez-vous avec lui sur un parking de la ville encore bien fréquentée à cette heure là.
Quel plan m’avait concocté mon cher Maître ? Il était encore trop tôt dans la soirée pour faire une exhibe sur ce parking, allait-il m’emmener dans un lieu bien à lui, qui allais-je
rencontrer… J’aimais cette situation, attendre qu’il se manifeste pour me donner un ordre, j’étais, comme toujours, mort de trouille à ne pas savoir
ce qu’il allait se passer pour moi, mais l’excitation était telle de lui appartenir, de lui faire confiance, de faire tout ce qu’il désire dépassait cette peur.
Je devais être prête à toute éventualité, être belle, aguichante, sexy, salope et chienne. Je l’étais au plus profondément de moi, en femme, belle et attirante, avide de sexe pour hommes en
rut.
J’étais à l’heure au rendez-vous, je cherchais en vain son auto sur le parking, je me garais et attendais.
Mon portable sonna, c’était lui… « Bonjour ma salope, j’espère que tu es en forme aujourd’hui, tu vas descendre de l’auto, te diriger jusqu’à l’hôtel en bas de la rue, tu demandes la clé de
la chambre de Mr A. et tu montes » Il raccrocha…
Je m’exécutai rapidement avec une certaine appréhension, certes il commença à faire nuit, mais dans cette rue marchande il y avait encore du monde et l’hôtel était à 50 mètres d’où j’étais garé.
Je sortis de l’auto, referma la porte, tira un peu sur ma jupe courte, on devinait mes bas, et je marchai en direction de l’hôtel. Mes escarpins frappaient les pavés, quelques hommes se retournaient à mon passage devant eux, cela m’excitait, un couple ralentit à ma vue, me dévisageait et se retournèrent tous les
deux en me croisant. J’appréciai marcher ainsi vêtue et me faire mater de la sorte, c’est excitant de se faire remarquer en tant que femme.
J’arrivais à l’hôtel, attendais avec appréhension une personne pour me
donner la clé. Une belle femme arriva de la salle arrière, me salua « Bonsoir Mademoiselle, vous désirez ? » Je pris mon air féminin et lui demanda la clé, ce qu’elle fit, je la
remerciais.
Je montais les escaliers de l’hôtel pour aller à la chambre, enjamber chacune des marches de l’escalier avec une jupe et des talons, un vrai bonheur ! Je cherchai à l’étage le numéro désiré,
ouvra la porte avec la clé et rentra dans la chambre. C’était une belle chambre confortable avec un grand lit, un bureau, une télévision et une table de nuit ou était posé un petit courrier. Je
me jeta dessus, pensant avec certitude qu’il m’était adressé.
« Ma petite pute, j’espère que tu t’ais bien préparé à me satisfaire ? Tout d’abord, tu vas ouvrir les rideaux de la chambre, les vis-à-vis
pourront te mater. Ensuite, tu vas prendre dans le tiroir de la table de nuit, les quelques ustensiles que tu vas te servir en attendant que quelqu’un vienne te rejoindre. Prend la laisse et
accroche la au mousqueton de ton collier de chienne, mets-toi le baillon-boule en serrant bien fort pour qu’aucun son ne puisse sortir de ta bouche, mets les bracelets en cuir à tes chevilles,
attaches-les ensemble, mets-toi à genoux, bandes-toi les yeux avec la paire de collants, attention ! Prends garde à toi, tu ne dois rien voir,
j’arriverai à le savoir ! Accroches-toi la paire de menottes à tes poignets prends la cravache et tiens-là dans tes mains. Tu devras avoir une posture de soumise. » Je relis cette
lettre avec attention afin de ne rater aucun passage, mon Maître aimais le respect des consignes, je m’exécuta, ça me plaisait bien… Les bracelets cuirs étaient reliés entre eux par une chaine
quarante centimètres environ, seulement au moment de me mettre la deuxième paire de menottes, je m’aperçus qu’il n’y avait pas de clés pour me
libérer. J’ai un peu flippé, de plus n’importe qui pouvait me voir par la fenêtre ou rentré par la porte, j’étais à la merci de n’importe qui, sans
pouvoir faire quoi que ce soit, les yeux bandés, attaché, mais j’avais confiance en mon Maître. Cela m’excitait de savoir qu’il me faisait faire cela, j’étais impatient, mais allait-il venir
seul, ou avec plusieurs personnes ? J’attendais patiemment sans bouger, j’entendis quelques va-et vient, des talons sur le sol, des rires, je pensais à ce couple croisé dans la rue, je les
aurais bien vu, rentré dans ma chambre, me découvrant soumise à leur pieds.
Cela devait bien faire une demi-heure que j’attendais sans bouger, attendant avec appréhension que quelqu’un ouvre cette porte et entre dans la chambre d’un coup.
Quelques pas d’homme, d’une allure lente, mais ferme et décidé se firent de plus en plus pressant de ma chambre. Les pas s’arrêtèrent, la porte s’ouvrit, la personne rentra et referma derrière
elle. J’étais morte de trouille, je n’osais bouger et attendais en chienne soumise que la personne me dise quelque chose. Elle ne semblait pas surpris de me voir dans cette posture, elle ne parlait pas, je ne pouvais rien dire. Elle me prit la cravache des mains, me fit remonter le menton, je me redressais aussitôt, montrant mon obéissance
et elle me tourna autour pour me regarder tout en me donnant des petits coups de cravaches sur les fesses et sur les seins. C’est une belle sensation de se sentir appartenir à la personne
qui se trouve devant vous, prisonnier de mes liens que j’étais.
Je ne voyais toujours pas qui était cette personne mais son comportement me faisait croire qu’il s’agissait bien de mon Maître. Cela me rassura et m’excitai de plus belle. Il s’arrêta, prit la
laisse et m’aida à me relever, cela me faisait du bien d’avoir une nouvelle posture. Il me demanda d’écarter un maximum mes pieds, je reconnu la voix de mon Maître, j’écartai au maximum mes
pieds, il commençait à me tâter les fesses et me donna quelques coups de cravaches. Cela me chauffait toutes les fesses, je devais avoir le fessier entièrement rougi. Il commença l’inspection de
ma chatte, histoire de me dilater un peu « Je veux que tu sois bien chaude ma salope, je veux que tu assures ». Il m’engouffra un plug assez important « Tu vas garder ça au
chaud un moment ». Il me détacha un bras, pour me le rattacher de suite avec l’autre dans le dos. Il continua son inspection, me regarda, me toucha, m’excita. Il me félicita pour ma tenue,
mon gout pour la couleur de mes bas qui m’allait à ravir sur mes jambes, mes talons qui me donnait de la grandeur et confirmait mon statut de salope. Il me tâtait les couilles, me branlait pour
me faire grossir mon sexe déjà bien important, il prit le tout à la base en allongeant le tout vers le haut, une fois le tout bien en main et bien étiré, il fit le tour avec une corde de nylon,
serra un peu et fit en nœud à la base, il me passa cette corde entre les cuisses, puis dans la fente de mes fesses pour me le l’attacher à mes poignets. J’étais contraint de bander, la corde
m’enfonçait de plus belle mon plug, mon Maître me fouettai les fesses, j’étais en feu, excitée comme jamais, immobilisé… J’aurai aimé supplier mon
Maître d’arrêter, je n’en pouvais plus, il se calma un peu, j’avais trop envie de jouir… Il me laissa souffler un peu, je respirais, il me fit remettre à genoux et m’enleva le bâillon boule, j’eu
à peine le temps de détendre ma mâchoire, qu’il m’engouffra son sexe bien dur dans ma bouche, ce fut un vrai plaisir de sucer son sexe bien dur, un soulagement qui me fit oublier mes fesses
rougies par les coups de fouets, je le pompai jusqu’au bout avec délicatesse, le remerciant par là de cette offrande, je sentit la jouissance monter et mon Maître me gicla son jus au fond de ma
gorge, je ne m’arrêta point de le pomper, je le sentit aux anges.
J’étais heureux de penser que mon Maître ait pris son pied, je restai planté là, sur ma faim, avec une sacré envie de jouir également. Il n’en était
rien, mon Maître se rhabilla et sans perdre du temps, me remis le bâillon boule, m’aida à me relever et me conduis vers la porte de la chambre.
Que se passait-il ? À peine le temps de me remettre de mes émotions que je me pose de nouveau cette question, que va-t-il faire de moi, à présent… ? Il préparait quelque chose, mais
quoi…, c’était la grande inconnue, seule dans un hôtel, avec mon Maître…
Je marchais difficilement, tiré par la laisse de mon Maître, les yeux bandés, la bouche bâillonnée, les mains attachés dans le dos et le sexe en érection attaché aussi, qui se tendait à chacun de
mes pas.
Il ouvrit la porte de la chambre, je marchais dans les couloirs de l’étage, il me fit monter les escaliers. La chaine m’empêchait de faire de grands pas et j’arrivai tant bien que mal à monter
les escaliers avec cet énorme plug dans mon cul. Je montai comme cela deux étages pour me retrouver, j’imagine, au grenier de l’hôtel, il ouvrit une porte, me fit rentrer dans une pièce fermée à
clé par une chaine, il me semblait être une sorte de cave mais dans un grenier. Il n’y avait pas beaucoup de lumière, avec mon bandeau, il faisait vraiment noir. Il me positionna comme il le
souhaita en m’écartant les jambes pour me les attacher, une chaine à chaque pied qu’il prit au sol. J’entendis le clic d’un cadenas puis d’un autre… il me détacha mes mains pour me les attacher
cette fois-ci à deux chaines qui pendaient d’une poutre. J’étais en position de croix, les membres tendus, totalement immobilisée, il prit soin de me rattacher aussi les couilles en tirant cette
fois-ci vers le haut, je ne pouvais que me déhancher afin de m’exciter un peu la chatte. Mon Maître m’aida en jouant un peu avec le plug, « Tu vas rester bien sagement ici en attendant que
je revienne te chercher ».Je gémissais, il sortit en fermant la chaine de la porte à clé, j’aimais être immobilisé de la sorte, c’était très excitant, mais j’avoue que cette fois-ci, je ne
faisais pas le fier…
Je resta ici bien trente minutes qui me parurent interminables, je m’efforçais de garder mon érection en me déhanchant, j’écoutais le moindre bruit, espérant que mon Maître vienne me libérer.
Quand il revenu, j’étais soulagé, j’avais envie qu’il me libère, envie de me détendre, de le voir et de le remercier, il n’en fut rien, sans un mot, il me détacha de mes liens en prenant bien
soin à chaque fois de me rattacher de suite, me contraignant immédiatement, je devais rester prisonnier, son prisonnier.
Je dus redescendre les escaliers difficilement, un peu fatigué par le temps déjà passé debout. L’excitation revint rapidement quand je sentis de
nouveau mon plug et mes liens me tirant les membres. La fatigue aidant, j’en avais oublié mon statut de femme chienne et salope de mon Maître. Je devais le satisfaire de nouveau à tout prix et je
savais qu’il me testait, voulait voir si je tiendrai le coup. Je me redressais fièrement et le suivit comme je le pouvais.
Il me fit de nouveau rentré dans la chambre, il n’y avait personne, je stoppai au milieu de la pièce en attendant ses directives. Après m’avoir
observer quelque peu sous tous les angles, il vint vers moi, et me baissa le torse afin que je me plie en deux, je butta la tête sur une table, je posa ma joue, les bras attaché dans le dos, je
du écarter les jambes, j’imaginai le sort qui m’était réservé. Il m’enleva le plug, j’étais fortement dilaté, cela plut à mon Maître « Tu
mouilles ma salope, j’aime ça, t’es bonne là ». Il ne perdu pas de temps pour m’enfiler son sexe dans ma chatte, d’un coup, il vint buter contre mes fesses. C’était trop bon, je gémissais de
plaisir, mes couilles venaient taper contre le bord de la table à chacun de ses coup de butoir qu’il me donnait. Il se donnait vraiment, il allait profondément en me tirant sur la laisse,
m’obligeant à relever la tête, je gémissais de douleur et de plaisir.
Il s’en donnait à cœur
joie, et cela dura de longues minutes, j’étais exténué. Il se retira au moment de jouir, détacha rapidement mon bâillon boule, je pris son sexe en bouche, il me serra la tête contre son sexe, il
était au fond ma gorge, et il se décharga, je dus déglutir et avaler immédiatement sa semence. Je sentis mon Maître prendre encore une fois beaucoup de plaisir à me baiser, j’étais heureux pour
lui, frustrée de ne pas jouir…
Après quelques minutes de silence, son téléphone sonna, il répondit « Oui vous pouvez monter, elle est bien chaude ! », j’allais repasser à la casserole… En raccrochant, il
s’adressa à moi, « Daniela, tu vas me faire le plaisir d’honorer ces personnes qui vont monter, tu vas leur donner du plaisir salle pute, n’est-ce pas ? » Exténué, j’acquiesçai
d’un signe de la tête, je savais qu’il fallait que j’assure encore une fois, je ne devais pas décevoir ces personnes, mon Maître ne le supporterait pas, et je saurai puni. Je sais que cela ne
serai pas facile, après plus de deux heures de soumission totale, complètement contrainte, j’étais fatigué, la chatte en feu, toujours l’envie de jouir en moi, je me disais que si je jouissais je
pourrai enfin me reposer, mais ce n’était pas du tout mon rôle, j’étais une pute et je devais satisfaire les désirs de ces hommes.
Des pas dans le couloir, la porte s’ouvrit et quelques personnes rentraient. Mon Maître les accueila, « Cette chienne est à vous, profitez-en, elle devrait vous plaire ! N’est-ce pas
sale pute ? Si ces Messieurs ne sont pas satisfaits, tu le paieras ! ».
J’entendis les hommes se dévêtirent, un par un, ils devaient être trois, je pense… Mon Maître me tira par la laisse pour m’agenouiller. Le premier de
suite me mit son sexe déjà bien excité dans ma bouche qui était encore toute baveuse du sperme de mon Maître. Cela m’aida pour le sucer aisément, je sentais des mains me tâter les fesses,
d’autres mains me trifouillant la chatte bien chaude et dilatée, Ils semblaient être contents de moi, j’étais chaude, préparée à point par mon Maître, ils allaient se faire plaisirs les coquins.
Je dus les sucer un par un, tout en prenant par derrière, j’étais leurs chienne, cela m’usait, mais j’y mettais de la volonté, mon Maître m’observait, et me mettait quelques coups de cravaches
quand mon intensité baissait. Cela dura un temps interminable, avant que qu’ils jouissent chacun leur tour sur mon visage et dans ma bouche.
J’étais cuite ! Extenuée, je posa ma tête sur le sol, les fesses en l’air toujours, j’eu l’impression de tomber dans le coma, j’étais ailleurs, dans un autre monde, je n’entendais plus rien,
j’étais vidée…
J’entendis vaguement la porte s’ouvrir et se refermer, les personnes repartirent en prenant soin de féliciter mon Maître pour ce bon moment passé. Mon Maître me détacha les poignets tout en me
disant « Tu progresses sale chienne ! ». Il prit la porte et me laissa seule… Je me laissai aller sur le sol, souillée, mal partout, mais heureuse d’avoir passé ce moment sous les
ordres de mon Maître.