Suite...

Je ne savais pas qu’elle me préparait une suspension, chose qu’elle hésitait de me faire, car les premières expériences de bondage du premier week-end n’étaient pas concluantes.

Mais Maîtresse était persévérante et me sentant plus détendue, m’attacha de toute part, puis elle me suspendais d’abord une jambe en l’air puis les bras et enfin la dernière jambe pour me retrouver complètement en l’air. J’étais à plat ventre, les jambes un peu écartées et les fesses en l’air. C’était la première fois que j’étais suspendue et j’avoue que cette position était confortable, je ne sentais aucune pression des cordes, il suffisait de se laisser aller.

Le plaisir fut de courte durée, car la raison de cette suspension et de ce bâillon avait une signification bien particulière.

J’étais vraiment à sa merci, aucun moyen de bouger, elle prit alors sa cravache et commença par me dire que c’était l’heure de ma punition.

Plusieurs fois depuis mon arrivée, j’avais fauté, largement dépassé les limites d’une soumise, je l’avoue.

J’avais été tellement mis à l’aise par ma Maîtresse, que j’en avais oublié quelques règles primordiales à respecter dans notre relation.

J’avais plusieurs fois parlé au masculin, ce dont elle a horreur, elle considérait vraiment ses sissy comme de belles nanas.

Je n’avais que très peu respecté les “Oui Maîtresse”, “Bien Maîtresse”, “Merci Maîtresse”.

J’avais été très irrespectueuse au téléphone en omettant également les formules de politesses appropriées.

J’avais largement méritée la punition qui s’en suivais et je l’acceptais même si je n’avais pas le choix.

Les coups de cravaches étaient secs et je compris ma douleur. J’implorais ma maîtresse par des “Pardon Maîtresse” mais elle préférait entendre de ma part des “Merci maîtresse”. Effectivement j’avais pour devoir d’accepter cette punition et surtout de la remercier, montrant par là, la justesse des fautes commises et de la punition adaptée. J’en pleurais tellement, la douleur envahissait mes fesses.

L’orage se calma, mais les paroles de Maîtresse n’étaient pas encourageantes, car elle n’en avait pas fini avec moi...

C’est sur ces mots que le téléphone sonna et je fus sauvée - pour l’instant - de la suite de cette punition.

C’était Mina qui arrivait et l’on devait commencer à se préparer pour la balade.

Au cours de mon séjour, je pensais sans arrêt aux paroles de ma Maîtresse qui n’en avait pas finie avec ma punition, en me demandant qu’elle pourrai être la suite...

La punition avait fait son effet car je fus plus attentive à mes paroles et à mes faits et gestes envers ma Maîtresse. Je la remercie encore pour cette punition justifiée qui me remis dans le droit chemin.

Excellente leçon de sm car je sais maintenant et je comprend que les punitions font largement partie du dressage d’une parfaite soumise.

Mina était maintenant parmi nous, les présentations faites, s’en suit un peu d’excitation pour la préparation de cette balade. En effet, le planning de cette sissy, soumise également de maîtresse Akina était minuté, et c’est avec hâte que nous préparions nos affaires pour cette sortie. Et c’est dans pareil situation ou je ne suis vraiment pas à l’aise, le stress m’envahissant, pleins d’erreurs et de fautes de ma part s’en suivirent.

La première erreur fut pour moi de vouloir aider maîtresse à me défaire de mes liens et de les défaire moi-même sans permission, Maîtresse n’apprécia pas du tout et la paire de claques qu’elle m’infligea était méritée.

Quelques sacs d’affaires préparés précipitamment et j’oubliais, ma trousse de maquillage, mon sac à main avec mes bijoux dedans et un peu d’argent.

Maîtresse me fit prendre ma tenue pour l’après-midi. mon short cuir, mon haut sans manches rouge à sequins, une paire de collant résilles, mes sandales à lanières fines et semelles transparentes et mon collier de soumise. Je m’habillais en homme comme Mina, Maîtresse, elle, s’habilla de manière soft et nous partons.

Maîtresse alla avec Mina et je pris aussi ma voiture pour aller en direction de Agde au camp de naturistes ou nous attendais Vivianne.

Vivianne, la troisième fidèle soumise de maîtresse Akina nous fit rentrer dans le camp et nous allâmes nous changer chez elle.

Après s’être préparées toutes les quatre dans la bonne humeur, Maîtresse prit un peu de matériel et nous sortîmes nous balader en extérieur.

C’était ma première sortie de jour en public comme Mina d’ailleurs.

Certes, cette sortie avait lieu dans un camp de naturiste, cela semblait ne déranger personne et nous étions regardé plutôt avec le sourire.

Après quelques photos dans le parc, la promenade se poursuivit dans les allées commerçantes du camp. Nous n’étions pas à une heure de grand passage, la plage attirait encore le plus grand nombre, mais il y avait quelques personnes en terrasse de bar ainsi que dans des boutiques de vêtements coquins.

La balade était sympathique, et nous étions tout à tour tenues en laisse par notre Maîtresse préférée ou cravache en travers de la bouche nous devions marcher fièrement derrière Maîtresse Akina. Nous avons eu même droit à une petite promenade toutes les trois à quatre pattes et tenues en laisse. Un passant nous prit en photo et un attroupement se créa rapidement.

(photo)

Chaque badaud devait y aller de son commentaire, devait nous regarder tantôt avec envie mais surtout avec curiosité. Maîtresse nous fila aussi une petite correction à toutes les trois avec sa cravache.

Il était déjà l’heure de rentrer, Mina devait se changer, nous laisser et partir.

Vivianne se changeait également car elle attendait son épouse. Quand à moi, Maîtresse m’ordonna de rester habiller ainsi, jusqu’à notre soirée ou devons aller en Club toutes les deux.

J’avais largement apprécié cette première sortie de jour. je m’étais largement senti à l’aise, et j’avais apprécié les regards sur moi et sur mon corps. Il m’aurai plût de faire un peu plus les boutiques avec ma Maîtresse et de pouvoir déambuler davantage dans les allées de ce quartier.

J’espère vraiment rééditer cette expérience et aussi également faire une séance sm en public.

Cette fin d’après-midi se passa tranquillement, l’épouse de Vivianne arrivait, et nous prenions l'apéritif toutes les quatre.

Malheureusement, le petit verre de sangria servi avec le petit encas nous fatiguèrent et nous préférions rentrer au donjon.

Cette fin d’après midi au donjon était calme et les essayages se poursuivirent. Maîtresse me fit prendre de belles postures féminines, et me fit apprécier les différentes tenues que j’avais emporté.

Il était plus de minuit, sentant la fin de soirée s’annoncer, je commençais à avoir envie de dormir, et je suggéra à Maîtresse d’aller se coucher.

Il n’en était pas question ! Ma Maîtresse n’avait pas du tout envie de me laisser dormir, ni de passer une nuit calme.

Je dus me mettre sur la table en position d’examen gynécologique, et Maîtresse m’attacha les membres à cette table. Complètement immobilisée, je m’imaginais déjà lui dire “Bonne nuit Maîtresse” et m’endormir en pensant à cette belle journée vécue.

A suivre...