Suite...

Maîtresse toujours aussi surprenante, vint avec un nouveau jouet dans ses mains, il s’agissait d’électrodes.

J’adore ce moment précis de la scène, au moment ou je ne m’y attend pas du tout, lors de l’instant ou Maîtresse me laisse divaguer dans mes pensées, elle sort de son escarcelle, un jouet dont elle a le secret.

Cela me fait l’effet à chaque fois, me montrant l’objet, elle s'arrête, sourire en coin, le temps se figeant l’espace de quelques secondes, je réalise ce qu’il va m’arriver et à ce moment précis et je me sens comme si je dégustais la première bouchée d’un met excellent, un plaisir incommensurable.

Cela me fit soupirer et frissonner tout au plus fond de moi. Un instant magique comme sait me faire apprécier Maîtresse Akina.

Elle m’attacha les testicules aux chevilles, histoire de bien étirer le sexe et elle me posa une petite sangle reliée à une électrode à la base et une autre juste avant le gland du sexe. Je reprenais ma respiration en craignant le pire...

La machine était en route et c’est en douceur que de petites décharges se propagèrent sur mon sexe. Une fois à la base, une fois au sommet, de plus en plus forte mais assez modérées, ces secousses donnent l’effet d’une masturbation légère, avec l’envie d’aller plus loin, mais juste l’envie ! et sans savoir ou cela me mènera ni combien de temps durera la séance.

Maîtresse continua alors sa préparation sur mon corps, comme d’habitude, rien ne me laissa deviner la raison de toute cette préparation.

Un collier de maintien assez large, la tête bien plaquée sur le matelas avec une serviette en guise de coussin. une serviette sous mes fesses. et une couche !

Une couche ? “Oui Daniela ! Une couche... ! De cette façon, je ne serai pas obligé de te libérer pour aller aux toilettes, je ne t’ai pas trop serré les liens, et si tu as soif je te donnerai à boire dans cette position. Tu vas pouvoir passer une nuit sans bouger !!!”

Maîtresse avait pensé à tout, elle était comme une vraie mère s’occupant de son enfant, elle savait s’occuper de moi, comme de toutes ses sissy, elle était pleine d’attention.

Elle savait s’adapter à chaque situation, en les analysant et trouver une parade. Je ne pouvais que m’incliner devant tant d’attention, d’ingéniosité et d'intelligence.

J’étais de plus en plus fatiguée, complètement sous l’emprise de ma Maîtresse, je me sentais bien, en sécurité entre ses mains, je me laissait complètement aller, malgré les secousses données par les électrodes, qui me faisait garder mon érection mais me berçait pour m’endormir.

Les supplices continuaient, je tombais dans le sommeil par à-coup, Maîtresse me mit un plug, me demandant de m’empaler seule, délicieux...

Elle me mit dans la bouche son string humide avec son odeur, m’obligeant à respirer l’air filtré de son doux parfum de femme un peu “humide”.

Ensuite, elle revint des toilettes et me donna à boire. C’était son jus, que j’ai bû en plusieurs gorgées, c’était une première pour moi, jamais je n’aurai pensé pouvoir faire cela, mais en bonne soumise que je suis, j’acceptais avec plaisir ce jus venant de ma maîtresse.

Je pense qu’elle a apprécié et qu’elle a été fière de sa soumise. J’aime me dépasser de la sorte et satisfaire les désirs de ma maîtresse. Je pense qu’elle aurait bien continuée la séance sur sa lancée, j’étais excitée mais je m’endormais !

Pardon maîtresse, mais quel bonheur cette séance ! Elle finissait de préparer son matériel, et m’annonçait une nuit agitée nous concernant.

Excellent programme, j’aimais m’endormir et me faire réveiller avec l’excitation.

Je me laissais aller mais jamais complètement, impossible...

Les électrodes déchargeaient leur courant sur mon sexe de manière si aléatoire qu’il m’était difficile de tomber lourdement dans le sommeil.

Le silence me réveilla d’un coup, je distinguais Maîtresse dans son hamac, les électrodes avaient cesser, mais j’étais toujours harnacher à cette table, je me rendormis paisiblement.

Quel bonheur ! Quelques instants plus tard, je surpris Maîtresse à côté de moi, posant une main sur mon sexe. Elle remis un programme d’électrodes et retourna se coucher.

De nouveau mon sommeil fût rythmé entre l’envie de bander très fort, excitée par cette machine et le sommeil qui pesait sur mes paupières.

La nuit fut alternée de pauses et de moments forts me laissant penser à une véritable nuit blanche. Incapable de dire combien de temps duraient les séances d’électrodes ni d’en dire le nombre.

Jamais, je n’aurai pensé supporter une telle séance, moi à l’habitude si stressée, immobilisée pendant des heures, supportant et appréciant cette situation !

Je l’avais rêvé et imaginé comme un fantasme difficile à assouvir, mais là j’étais en train de le vivre et c’était un vrai bonheur... Merci Maîtresse.

A suivre...