Partager l'article ! Trois jours mémorables, fin...: Suite... Le petit jour pointait le bout de son nez, je me réveillais quelque peu ens ...
Suite...
Le petit jour pointait le bout de son nez, je me réveillais quelque peu ensuquée par cette nuit, Maîtresse s’affairait à droite et à gauche, je la salua en pensant à mon imminente libération.
Il n’en était encore pas question, elle enleva les électrodes mais les remplaça par une pompe qui me fit gonfler mon sexe, aidée par l’érection matinale !
Un vibro sur le sexe et c’était reparti pour de longues minutes de plaisir. Ainsi bien excitée, Maîtresse vint s’occuper de moi, elle m’enleva le plug et la pompe, me lubrifia ma chatte et me branla le sexe.
Petit à petit, elle enfila ses doigts puis sa main et me fit un fist magistral.
Encore une première pour moi, et sans appréhension, j’acceptais que Maîtresse me pénètre avec ses mains.
Elle insista longuement en me massant la prostate tout en me branlant le sexe.
A plusieurs reprises je failli jouir mais elle sût s’arrêter à temps. Maîtresse Akina me fit découvrir encore un nouveau plaisir.
Merci Maîtresse.
Nous commençons maintenant à bien nous connaître Maîtresse Akina et moi, elle connaît mes attentes, elle sait ce que j’aime, et moi de plus en plus détendue entre ses mains, je me laisse guider par ses gestes et par ses paroles, je me laisse emmener sur de nouveaux chemins.
Telle la bonne soumise obéissante que je suis certes, mais aussi, irrésistiblement attirée par ma Maîtresse, je la laisse me diriger, comme elle le souhaite, et c’est un devoir pour moi de lui obéir, une envie, un besoin même.
Sentiment étrange de dépendre à ce point d’une personne, sentiment inconnu encore pour moi, mais c’est cette quête dont je suis à la recherche depuis plus de vingt ans.
Que ma vie dépende de Ma Maîtresse, qu’elle décide de mon plaisir, de ma souffrance... tel est mon choix. Elle seule dépend de mon plaisir.
J’aime cette situation et je veux la vivre désormais.
Suite à ce magnifique “break-fist” Maîtresse me laissa un peu de temps pour reprendre mes esprits et me libéra de mes liens et de la table. Plus de huit heures harnachée sur cette table, quel beau supplice !
Je préparais le petit-déjeuner et nous passons encore un excellent moment Maîtresse et moi.
Malheureusement le temps filait à toute allure, je devais commencer à ranger mes affaires. Je les triais afin d’en laisser une partie chez ma Maîtresse. Il me restait peu de temps à passer avec elle, et je pensais discuter avec elle avant de se quitter et de repartir tranquillement prendre mon train.
C’était sans compter sur Maîtresse Akina qui voulait encore profiter de mon corps.
D’habitude si stressée, je ne voulais pas raté mon retour, car attendue pour un retour à une vie plus “normale”! Je restais calme et me laissais dominer encore un moment par ma Maîtresse.
Je n’avais pas essayer une dernière robe et un déshabillé rouge en dentelle. J’avais déjà rangé une bonne partie de mes affaires, je ne pû mettre des sous-vêtements, Maîtresse me maquillait quelque peu, et me fit un magnifique bondage de buste.
Les mains attachées sur ma poitrine, elle me fit également un magnifique string en corde. Cela faisait office d’une belle tenue ! Un bâillon sur ma bouche, parée de rouge à lèvres, et un collier de maintien super large complétait ma tenue.
(photo)
Je ne savais pas si j’allais recevoir la suite de ma correction ou tout autre chose, je me laissais guider...
De nouveau couchée sur la table le haut du corps bien attaché à cette dernière, les jambes écartées, j’étais toute ouverte pour ma Maîtresse.
Elle m’enleva ma cage de chasteté, commença par me branler tranquillement mon sexe devenu raide, je compris alors que j’allais avoir le plaisir de jouir.
Elle me fista proprement tout en m’emmena jusqu’au plaisir ultime et sublime, j’étais libérée, j’hurlais de plaisir.
Ce moment inoubliable faisait partie de tous les autres plaisirs de ce week-end, mais là ça sentait la fin du séjour, je me dépêchais de finir les derniers préparatifs de mon départ.
Maîtresse nous fît chauffer le repas, et c’est avec tristesse que je quittais ma Maîtresse, en la remerciant chaleureusement et nous nous promettions de nous revoir rapidement.
Le temps m’était compté pour rendre l’auto et prendre mon train. Ouf ! j’étais dans le train...
Je me relâchais, je pouvais m’endormir quelques heures pour récupérer de ce week-end chargé d’émotions et de cette dernière nuit blanche.
Avant cela, je regardais mes mails et je découvris le message écris par ma Maîtresse lorsque je finissais mes valises.
Son message me mit les larmes aux yeux, j’avais déjà la nostalgie de ma Maîtresse...