Vendredi 30 septembre 2016 5 30 /09 /Sep /2016 17:00

Voici le premier épisode des aventures de Madame Claire et moi-même...
Merci de vos avis et de vos commentaires ! 

C’était un jour de mois d’aout, j’étais en vacances avec ma famille dans la maison de mon cousin de Bretagne.
Nous avions l’habitude de passer deux semaines par an ensemble lui et sa compagne, ma femme, mes enfants et moi.
Chaque année, nous nous retrouvons ensemble quelques jours en Bretagne, c’est pour nous un moment de détente ou chacun a ses petites habitudes, les enfants vivent leur petite vie tranquille à rentrer et à sortir de la maison pour y retrouver les amis et revenir pour l’heure des repas, les adultes vaquent à leurs occupations et se retrouvent généralement à l’heure de l’apéro.
La maison est suffisamment vaste pour ne pas s’apercevoir des allées et venues des personnes de la propriété et chacun a loisir de se trouver un petit coin tranquille pour y profiter pleinement de ses vacances.

Ce matin là, les enfants dormaient encore. Mon épouse avait choisi ce matin de se faire une balade en vélo le long de la plage. Mon cousin devait encore travailler quelques jours avant de nous rejoindre, la compagne de mon cousin était déjà en congé, elle s’occupait en bonne gérante de propriété en s’occupant de son jardin et de ses fleurs. Quand à moi, je m’étais isolé dans une pièce qui servait de salle de gym et de détente, j’y avais déposé mon ordi et je pouvais ainsi venir consulter mes messages et travailler un peu pour mon association.

Quelqu’un frappa à la porte « Entrez ! » dis-je.
C’était Claire, la compagne de mon cousin qui entra calmement dans la pièce. Claire était une belle femme blonde de 50 ans environ, chef d’entreprise discrète, stricte et autoritaire au travail, bonne vivante dans la vie privée, elle savait se laisser aller entre nous pour blaguer et faire la fête. Sa principale occupation dans sa vie était son travail. Mon cousin, son compagnon s’en plaignait quelque peu car elle était très peu disponible pour leur vie privée.
Claire entra, elle s’approcha de moi, je regarda la pendule du mur, il était 7h30, j’étais levé depuis une bonne heure déjà profitant du calme matinal, j’étais un peu surpris de la voir si tôt.
J’étais sur le banc de musculation an train de faire quelques exercices. Elle se posa devant moi et me regarda quelques minutes. Je désirais finir ma série pour me lever et discuter avec elle. Je voulais me rendre disponible mais elle m’arrêta. « Continue Daniel, ça me plait de te voir sur ce banc de musculation ! ». Surpris, je souria et je relançais une série de dix tractions des jambes et des bras.
J’étais assis au fond de ce banc de muscu, et je sentais que cette activité lui plaisait.
« Tu aimes la musculation Claire, tu veux en faire une série ? ».
« Je t’en prie Daniel continue, c’est pas la muscu qui me plait, c’est toi que j’aime voir sur ce banc… »
Oulala, que se passait-il ? Je ne comprenais pas du tout sa réaction, elle m’observait debout les mains sur les hanches, elle avait un sourire en coin et elle attendait calmement je ne sais quoi.
Je préférai me concentrer sur mes exercices et attendre pour comprendre son attitude.

5.jpgElle se décida enfin à bouger, elle fit le tour de l’appareil en m’observant de près, je continuais, elle s’arrêta derrière moi, je ne voyais pas ce qu’elle faisait, mais elle avait pris deux justaucorps de gym et elle se mit face à moi.
« Ça me plait tellement de te voir sur ce banc, que tu vas y rester un peu, d’accord Daniel ? »
A peine elle eut finie sa phrase qu’elle m’avait déjà attaché mes poignets à la barre de traction que je tenais dans les mains en l’air à bouts de bras. C’était du lycra, il lui avait suffi de faire une boucle pour réussir à m’immobiliser les bras assez fortement. Je protesta.

« Mais Claire, que fais-tu ? Ça ne va pas ? »
« Silence ! Daniel, j’ai envie de te voir comme ça un petit moment alors tais-toi et sois patient ! ».

Ne comprenant pas la raison, ni ou Claire voulait en venir de m’avoir attaché de la sorte, que j’attendais, je relâchais mes bras, ils étaient écartés en l’air, je tenais la barre de traction, attaché que j’étais et mes bras restèrent en l’air. Me voyant calme, elle en profitait pour m’attacher aussi les pieds au banc.
« Mais ! Claire ! Voyons ! Que fais-tu ? ».
« Tais-toi te dis-je ! ». Elle prit une paire de collant de la caisse à linge et me bâillonna la bouche
« Voilà ! Tu protesteras moins ainsi ! ».
« Attends-moi là, je reviens de suite ! ». Je n’avais pas le choix, j’étais attaché, bien attaché, comment aurais-je pu ne pas l’attendre ici ? Elle sorti de la pièce et j’entendis qu’elle ferma cette porte à clef. Pendant qu’elle me laissa seul, j’eus largement le temps de penser à plein de choses…

J’étais totalement surpris par l’attitude qu’elle venait d’avoir avec moi, elle, si discrète, si sobre dans ses faits et gestes, sans jamais de fioritures ni d’écarts dans son comportement, je ne comprenais vraiment pas ce qui lui arrivait.

Quelle femme était Claire ? Etait-ce la même femme que je connaissais depuis maintenant quelques années déjà ? Rien ne m’aurais laissé penser à ça. J’attendis ainsi quelques temps, me ressassant les dernières minutes écoulées en boucle en essayant de comprendre.
Au même moment où je me demandais ce qui allait se passer, j’entendais le bruit de la clef dans la serrure. J’espérais que ce fut Claire qui arriva, même si je craignais son attitude du jour. Elle entra, elle s’était changée, on aurai dit qu’elle partait travailler, elle était en tailleur avec ses escarpins et avait attaché ses cheveux.
« Voilà ! » fit-elle, « Nous allons avoir un peu de temps, ton cousin ne rentrera que ce soir, voir demain…, ta femme va partir avec les enfants, je lui ai dit qu’elle pouvait profiter de la journée pour aller à Acquaparc, tu sais Daniel, ce parc d’attractions ou tu ne voulais pas aller ! ».
J’eus un air d’étonnement, je gloussais et essayais de parler mais le bas dans ma bouche m’en empêchait. « Ne t’inquiètes pas, je lui ai dis que tu étais déjà partie avec ton cousin, j’ai tout arrangé ! » « Tu n’auras qu’à l’appeler si tu ne me crois pas ».

Je savais que Claire disait la vérité, j’étais soulagé de savoir que ma femme ne me trouve pas de suite dans cette situation, mais bon, qu’allait-il se passer maintenant ? Que Claire allait-elle faire de moi ? Etant donné que je ne l’avais jamais vu sous cet angle, je me demandais vraiment quelle idée elle avait derrière la tête…

« Tu vois Daniel, tu es là, seul avec moi, j’espère que tu n’as pas peur ? Avant que tu me répondes, je vais t’expliquer ce que nous allons faire, d’accord ? Je veux seulement que tu m’obéisses ! Je ne te demande pas grand-chose, que tu m’obéisses, c’est tout ! En échange…, je t'offre mon silence ! ». Claire me laissa réfléchir un peu de temps en meregardant dans les yeux. Elle m’enleva enfin mon bâillon pour que je puisse m’exprimer.
« Claire ! Je ne vois pas ou tu veux en venir mais maintenant cela suffit, ta blague a assez duré, tu vas me détacher et me laisser ».
« Tu plaisantes Daniel ! Je viens à peine de commencer à m’amuser avec toi ! ». Je rétorquais « Tu serais bien embêtée que je raconte cela à ma femme et à mon cousin, Claire, tu crois pas ? ».
Je savais que Claire comptait beaucoup sur son image envers les autres.
« D’accord Daniel, je veux bien que tu lui racontes ! » fit-elle en riant.
« Alors, quand à moi, je lui montrerais ce carton qui est au grenier dans lequel tu as plein de petites tenues féminines ! » « Je lui raconterai aussi que tu aimes t’habiller en femme, c’est ça, que tu veux ? »
Elle finit sa phrase en éclatant de rire pendant de longues secondes. Elle semblait tellement sûre d'elle.

Je fus d’abord hyper surpris de ce qu’elle venait de m’annoncer, comment avait put-elle découvrir mon jardin secret que je cultivais depuis quelques années déjà. Ensuite, j’en fus très gêné, que quelqu’un découvre ma face cachée, ce plaisir que j’ai depuis de nombreuses années découvert par un de mes proches. Je ne m’étais jamais imaginé que quelqu’un le sache, je prenais toujours mes précautions afin d'être le plus discrèt possible. Comment réagirait mes proches ? Cela me cloua le bec, je regarda Claire dans les yeux en pensant que c’était une sacrée coquine cette femme.
Qu’elle découvre mon secret, à la limite, mais qu’elle s’en serve pour profiter de moi, ça faisait beaucoup, et je me demandais franchement qu’est-ce qui serai le pire, que ma famille connaisse mon secret ou que je le partage avec une seule personne ? Il n’y avait pas photo, je devais me plier aux souhaits de ma chère cousine Claire qui était en train de voir sur ma tête mon désarroi face à cette situation.
Claire était fière d'elle, et semblait n’avoir aucun scrupule à me faire chanter.
« N’aies pas peur Daniel, si tu choisis de m’obéir et de me faire plaisir, tout se passera bien, et je sais que tu es capable de faire ce que je vais te demander »  «En plus, tu me plais bien, tu es une personne gentille et je suis sûre que tu dois être obéissant, voir un peu soumis, non ? Enfin une bonne petite soumise, si tu vois ce que je veux dire ! ».
Claise réussi à me faire décrocher un petit sourire et me donner une petite érection. Effectivement, non seulement elle avait découvert mon plaisir solitaire mais en plus elle avait deviné quelle personne j’étais. Je découvrais par la même occasion, quelle genre de femme était Claire. Je n’aurai jamais pensé qu’elle aille aussi loin qu’elle venait d’être aller et encore je n’étais pas encore au bout de mes surprises…

J’étais toujours attaché à ce banc de musculation, contraint et forcé d'écouter et d’obéir à Claire, j’attendais ses ordres.
« Tu me sembles un peu plus compréhensif à présent, on dirait ? Tu as sans doute choisi ? ».
Je me laissais aller désespérement dans mes liens, la tête face au sol. j'étais pensif, Claire ne bouegais pas et me laissais dans mon silence. Je n’avais pas le choix...
Claire sentait mon abattement et me trouvait compréhensif. Elle s’approcha de moi, me détacha les poignets de la barre et me rattacha les poignets ensemble devant moi, elle me libéra les chevilles. Elle prit la paire de collants lui ayant servi de bâillon et s’en servit comme une laisse pour me traîner en dehors de la pièce.

« Suis-moi ! ».
Je me laissa complètement guider et je suivais Claire qui sortiat de la pièce, sur le palier. Je regardais autour de moi si quelqu’un nous voyait, pas de risque, elle avait tout prévu. Je réfléchissais ou m’emmenait-elle et quel était la suite du programme. Elle rentra dans sa chambre qui était sur le même palier, je n’osa point rentrer.

« Rentres, dépêches-toi ! ». Je fus très gêné de rentrer dans la chambre de mon cousin, et encore plus avec sa compagne, mais j’étais sous sa direction et je lui obéissais. C’était stressant mais à la fois très excitant. Arrivé dans la chambre, Claire me détacha les poignets et s’assit sur le lit.

« Déshabilles-toi, et ouvre la porte de mon armoire ! ». Je m’exécuta calmement en lui tournant discrètement le dos. Je resta en caleçon et attendit.
« Entièrement Daniel allez ! ». Je fus gêné de me retrouver entièrement nu quand je baissa mon caleçon, elle regarda mon sexe qui se dressait légèrement, elle ria.
« Et bien Daniel, ça te fait de l’effet on dirait ! »
« Maintenant, tu vas te choisir une de mes tenues, et... que tu vas enfiler !!! » Claire éclata de nouveau de rire.
« T’as intérêt d’y mettre du tien et de choisir des choses à bon gout ! ».

Je me tournais vers son armoire, j’ouvrais un tiroir pour y chercher tout d’abord une culotte. Ce n’était pas trop me demander de visiter le placard d’une femme, ça m’excitait ! Je fouillais un peu parmi le grand nombre à ma disposition, et mon choix se porta sur un string en dentelle de couleur noire. Je l’enfila, mon sexe ne rentra pas entièrement, je m’arrangeais au mieux.
« Allez continue ! ».
Je jetais un œil sur les différents rayons et sur la penderie, je ne devais pas prendre de pantalon, cela ne lui plairait pas, il y avait une multitude de robes, je passa ma main entre les cintres pour y trouver quelque chose d’attrayant et de sexy. Je vis une belle robe ample noire, elle semblait assez courte, je l’enleva de la barre et la présentais sur moi en regardant Claire.
« Tu peux l’essayer, mais je ne l’aime pas tellement. ». Je ne pris pas de risque, si elle ne lui plaisait pas, je la remis avec les autres. Mon choix se fixa sur une robe cintrée noire, courte et sexy, agrémentée de clous. Je la présentais à Claire qui acquiesça d’un large sourire, j’étais rassuré.
« Avant de l’enfiler, tu vas me mettre des bas et un porte-jarretelles, tu veux bien ! ».
J’ouvris un tiroir ou se trouvait quelques porte-jarretelles et une multitude de bas. Je choisis des bas à résilles très sexy que j’enfila avec une grande féminité. Je savais comment m'y prendre, des années à apprendre !
« Bien, Daniel ! Tu fais ça bien… ».
J’accrochais le porte-jarretelles à ma taille et j’y accrocha les bas avec cette même féminité. J’enfilais ensuite la robe, la taille un peu juste, m’allait tout de même. Je sentais Claire excitée de me voir me préparer de la sorte, elle se croisait et décroisait ses jambes à plusieurs reprises.
« Tu me plais comme ça Daniel, mais tu vas aller chercher dans ton carton au grenier tes escarpins pour aller avec, ta perruque et ton collier de soumise ! N’oublie pas la laisse, elle est tout au fond du carton ! Pour le reste je m’en occupe ! ».

Claire connaissait le contenu de ma garde-robe,  elle savait que j’allais me  dépêcher de lui apporter tout cela. Elle avait raison, j’étais très excité, j’en oubliais même que j’étais avec la compagne de mon cousin…

Je revenais quelques minutes plus tard dans sa chambre, elle m’y attendait assise sur le lit avec une cravache à la main, un sac d’accessoires se trouvait à ses côtés.
« Voilà qui est mieux, Daniel, tu as bon gout pour la perruque, le blond te vas très bien, tu portes à merveille les talons, tu as l’habitude de marcher avec, non ? ».
Je haussais un peu les épaules encore très gêné de mon accoutrement face à cette belle femme.
« Assis-toi sur la chaise en face de la coiffeuse ! ». Je m’y installais et Claire me maquilla.
« Toi qui aimes te sentir femme, tu ne vas pas être déçu ! ». Fond de teint, rouge à lèvres, bleus aux yeux, cils, elle me faisait la totale. « J’accentue un peu, ça fait plus pétasse ! » me dit-elle en reculant d'un pas.
Cela me plaisait, c'est certain, mais qu'est-ce que j'étais géné...
Claire me regardait dans le miroir et semblait contente d’elle. Elle me pris par la laisse accroché à mon collier de chienne et me leva d’un geste énergique.
« Te voilà comme j’aime à présent ! » Ele se mit à rire de nouveau...
Habillé en femme, cela me plaisait beaucoup, j’étais content de lui plaire, même si j’ignorais la suite des événements. Elle me fit marcher un peu dans la chambre et elle finit par s’asseoir de nouveau sur son lit.

555.jpg« Mets-toi à genoux face à moi ». Je m’exécutais rapidement.
« Daniel, je vais te proposer un deal, tu devras le respecter, sinon, je balance tout à ta famille ! D’accord ?»
« Répètes après-moi ! »

« Je suis une femelle soumise, la femelle soumise de Madame Claire, je lui obéirais au doigt et l’œil sans lui manquer de respect, à chaque manquement, je serais punie. ».

Je me répétais cette phrase dans ma tête afin de bien comprendre le sujet de ce deal. Mais je ne pouvais accepter...
« Allez Daniel ! répètes ! »
Je n'avais pas le choix, je ne voulais exposer ma double vie devant ma famille. Mais les mots ne pouvaient sortir de ma bouche. C'était une sacrée décision que je devais prendre, mais avais-je le choix ?
Je me lançais, et je répétais en plusieurs fois cette phrase qui décidait de mon changement de comportement envers Claire. J'aurais désormais un sacré secret partagé avec Claire, ma cousine. Le début d'une nouvelle vie... Elle sourit et était contente de ma réaction.

« Afin de sceller ce deal entre nous, je vais faire une photo que je garderai précieusement ! » « Mais avant ça tu vas aller me chercher un verre de vin en cuisine ! ».
Je voulais protester, je ne me voyais pas descendre dans cette tenue... Je réfléchissais et savais par avance que Claire ne céderais pas. Je descendais à la cuisine tant bien que mal avec mes talons et je revenais avec un verre de vin à la main.
Je me retourna aussitôt pour aller chercher le verre de vin. J’avais envie de respecter sans sourciller ses ordres en pensant qu’il sera toujours assez tôt de m’échapper de ce pétrin ou je m’étais fourré. Ce ne sera pas facile, je savais que Claire était quelqu’un d’obstinée qui arrivait souvent à ses fins. Là, c’est un verre de vin qu’elle désirait, mais elle aura surement d’autres exigences en tête, sans doute plus difficile à réaliser pour moi...

« Attends un peu Daniel !, tu vas ou comme ça ? ».
« Je vais te chercher du vin Claire ! ». « Alors Daniel..., tout d’abord, qaund tu es à mes pieds, tu ne me tutoies pas et quand je te demande quelque chose, tu me réponds, et poliment ! ok ? »
Je me repris.
« Oui ! Claire ! »
« Oui Madame Claire ! Tu dois dire ! »
« Pour que tu comprennes, ce que j’attends de toi, tu devras faire des efforts Daniel ! Ça ne va pas se faire comme ça ! ». « Viens ici, et mets-toi à genoux devant moi ! ». Je fis immédiatement ce qu’elle me dit de faire.
« Aille, aille, aille ! Qu’est-ce qu’on dit, Daniel ? ».
Je me repris de nouveau
« Pardon Madame Claire ! Oui Madame Claire ! ».
« Penches-toi en avant ! ».
« Oui, Madame Claire ! ».
Je posa mes mains à plats.
« Pousses tes mains le plus loin possible et laisses tes fesses en l’air ! ».
Je m’appliquais sans sourciller, la robe m’empêchait de trop m’avancer, Claire me remonta la robe sur mes hanches, cela m’aida, je sentais le string qui me rentrait dans les fesses.

« Tu as un beau cul Daniel ! T’es très sexy ! ».
« Merci, Madame Claire ! », dis-je naturellement, je me sentais à l’aise.
Claire me palpa les fesses avec ses mains, puis me tapota avec sa cravache. Elle me donna ensuite une multitude de coups de cravaches très violents sur toute la partie de mes fesses qu’elle pouvait atteindre. Je sentis qu’elle se défoulait et que cela lui faisait plaisir de me fouetter. Je fus surpris par les premiers coups et leurs violences, les suivants étaient aussi durs mais la chaleur de mes fesses les acceptait, ça me brulait largement, je me tortillais de douleur mais aussi de plaisir en gémissant, Claire adorait me voir ainsi, j’étais également content de lui faire plaisir. Elle s’arrêta, quelque peu exténuée et s’assit sur le bord du lit.
« Merci Madame Claire ! » dis-je rapidement. Elle me sourit, je pu me relâcher quelques minutes.
« Mais dis-oi Daniel, je me trompe ou tu as aimé ça ? »
Effectivement, j'avais pris un certain plaisir à me déhancher aux coups de cravache de Claire, je n'aurais peut-être pas dû lui montrer, mais il était trop tard, elle venait de constater un de mes points sensibles.

Après quelques minutes de silence et de réflexion, Claire se décidait de parler de nouveau.
« Relèves-toi ma chienne et va me chercher ce vin, maintenant !, tu as vu ce qui t’arriveras dorénavant si tu ne m’obéis pas comme il faut ? ».
« Oui Madame Claire ! ».
« Mais t'inquiètes-pas, tu n'apprécierais peut-être pas toujours mes punitions. »
Je me releva rapidement, descendis ma robe sur mes fesses brulantes et j’alla chercher le vin au rez-de-chaussée.
Je remontais quelques minutes plus tard avec un plateau largement garni pour faire plaisir à Claire. Elle s’était appuyée contre la tête de lit, et se reposait de ses efforts.
« Voilà Madame Claire ! ».
« Merci,  dis-moi Daniel, as-tu déjà fait l’amour avec un homme ? Sucer une bite ? » .
« Oh non Madame Claire ! Jamais fait ça ! ».
« Saches que cela fait partie de mes exigences que je te demanderai, tu devras le faire ! ».
Faire des trucs en catimini avec Claire m’allait encore, mais si maintenant, d’autres personnes intervenaient, cela commençait à craindre, ça ne me plaisait guère et surtout c’était risqué, trop risqué pour moi, je n’avais pas envie que cela se sache dans mon entourage.
« Ben… Claire, euh Madame Claire ! C'est-à-dire que… Je me vois mal faire ça ! J’aime m’habilller en femme c’est vrai, j’ai accepté d’être fouetté, cela t’as fait plaisir, je l’ai vue, mais ce jeu a assez duré et j’aimerai arrêter ! »

« Daniel ! T’as rien compris ! Tu as raison c’est un jeu, et c'st toi Mon jouet. Je déciderai quand on s’arrêtera de jouer, tu es très sexy en femme et je sens très bien que tu es très soumis. Donc tu es mon soumis, ma soumise dévouée, une femelle que je vais dresser, je vais t’apprendre à obéir et surtout à pratiquer des choses que tu n’aurais jamais fait. Je te veux chienne, et que tu pratiques pour moi des choses hard. Tu feras tout ça uniquement pour moi ! »
« Je sens que cela va te plaire car tu es quelqu’un de très respectueux de l’autorité. Tu aimes obéir et faire plaisir ? Et bien fais-le, et tu verras que tu apprécieras ce que je te demande dans un seul but, Me faire plaisir ! »
« J’ai prévu plein de choses pour toi ! Tes vacances ne te suffiront pas à me satisfaire, tu devras assurer aussi en dehors de cette maison et tout au long de l’année, Oui Daniel !, c’est comme ça tu m’appartiens ! Je fais ce que je veux  de toi, tu n’as rien à dire désormais ! ».
« Ah Ah Ah Ah !!! » Claire était contente d'elle et éclatait de rire.

J’étais scotché, elle venait de me cadrer et m’échapper de sa toile serait plus dure que prévu. Je ne la croyais qu'à moitié, m’habiller en femme était pour moi une passion, point, je ne voyais pas en quoi ces jeux qu’elle voulait me faire participer allait m’apporter et lui apporter. Je ne connaissais ces pratiques que par la fiction et par Internet et je pensais que les personnes qui prenaient part à ces jeux étaient marginales et n’avaient vraiment rien d’autre à faire. Claire me surprenait et je n’aurai jamais pensé qu’elle se mette dans la peau d’une femme dominatrice, elle le faisait très bien.
« On avancera à petit pas, t'inquiètes-pas, je te préserverais. Mais tu devras faire des éfforts à n'en point douter, car je suis très exigeante ! ».

« Donc ! Daniel, pour l’instant tu vas faire ce que je te dis, d’accord ? ». « Oui Madame Claire ».
Claire m’ordonna de me mettre à genoux, à côté du lit, je m’exécutais. Elle s’assit sur le bord d son lit et sortit de son sac une paire de menottes, elle m’attacha les poignets derrière le dos. Elle fit de même à mes chevilles.
« Un bon dressage commence par la contrainte, tu seras donc attaché mais aussi plugué ! ». Claire sortit un plug de grosseur moyenne, j’avais déjà utilisé une fois ce genre d’objet sur ma femme qui appréciait moyennement. Mais je n’aurai jamais pensé l’utiliser sur moi un jour…
Claire sortit également un lubrifiant.
« As-tu déjà eu cela dans ton cul Daniel ? ».
« Non, Madame Claire, jamais, mais cela va me faire mal, non ? ».
« Tu verras bien, je vais te le mettre en douceur, ne t’inquiètes pas, tu n’auras qu’à crier si tu as mal, personne ne t’entendra ! »
« Et puis t’as intérêt d’être coopératif et de te le laisser entrer. Plus tu sereras les fesses et plus t’auras mal ! ».
Elle me lubrifia également mon trou vierge de toute pénétration. Elle m’enfila un doigt, et commença à m’introduire ce plug. Elle s’y prit à plusieurs fois pour arriver à ses fins et pour que le plug soit aspiré et se bloquer dans sa partie étroite dans ma rondelle. J’eus souffert quelques minutes et une sensation étrange m’envahit. J’eus envie soudainement de penser que Claire me sodomisait avec une plug-ceinture. Mon sexe se dressa…

« Et bien Daniel ! Ça te plait on dirait ! » Tout en en poussant le plug plus profond elle me branlait le sexe, elle sentait le rapport entre mon érection et la sodomisation.
« Tu es une bonne salope ma chérie, tu aimes ça ! Tant mieux car ce n’est qu’un début ! ».

Quelles sensations je vivais, soumis à ma cousine Claire, habillé en femme, maquillé provocante, attaché et godé, je m’imaginais difficilement tout cela et subitement sans que je décide rien. Je ne pensais pas être quelqu’un de soumis, mais j’avoue être excité à cette idée, et obéir à Claire est quelque chose que j’aime assez, je la sens très à l’aise et j’ai vraiment envie de la satisfaire, mais arriverais-je à tenir le coup et pour combien de temps, l’avenir me le dira…

« Très bien Daniel ! Bon début, tu progresses vite, saches tout de même que ce ne sera peut-être pas toujours aussi facile de m’obéir, mais si tu y arrives je te féliciterai. ».
« Oui madame Claire, mais ce n’était pas facile et je ne peux pas dire que je sois vraiment à l’aise en ce moment ».
« C’est normal, c’est nouveau pour toi, il me semble, mais c’est comme ça, il faut que tu souffres pour me satisfaire ! ».
« Allez, cesses de parler, continuons ! Lèves-toi et tiens-toi droit !».
Elle m’aida à me relever en tirant sur la laisse, elle m’arrangeait un peu ma tenue, elle sortit deux pinces de son sac et s’approcha près de moi et de ma poitrine.  Elle me dégagea un peu les bretelles de ma robe pour faire apparaitre mes tétons de seins. Elles les malaxa une fois ou deux, assez durement d'ailleurs, quelques grimaces apparaissaient alors sur mon visage.
Claire sourit et continuait dans son entreprise. Elle y accrocha les pinces, sèchement. Je poussa un cri de douleur que n’importe quelle personne présente dans la propriété aurait entendu. Cela me piquait pendant quelques secondes puis la douleur s’atténua, les pinces toujours en place. Je n’osais pas bouger par crainte de réveiller cette douleur qui me faisait tout de même bander.
Claire remis mes bretelles sur les pinces, je sérais les dents… Elle se retourna et tira sur la laisse, je du la suivre, difficilement avec mes menottes aux pieds. Il y avait une chaine de trente centimètres environ qui m’obligeait à marcher lentement. Avec les talons cela rendait ma marche encore plus difficile sans compter le frottement des pinces sur ma robe qui m’excitaient les seins. Elle prit son sac d’affaires et nous sortons de la chambre, prenons l’escalier juste en face pour monter à l’étage, au grenier. Claire était magnifique devant moi dans son tailleur avec ses bas et ses escarpins. Ça m’excitait beaucoup de la suivre tel un petit chien suivant sa Maîtresse.

Claire avait raison, en ce moment je souffrais, mais c’était pour son plaisir et ça, c’était très bon.
Elle ouvrit la porte principale du grenier, nous étions sous la toiture, une petite lucarne sous les tuiles laissait filtrer la lumière, des poutres étaient plus ou moins près de nos têtes.
Elle me positionnait sous la poutre principale ou se trouvait quelques crochets vissés. Elle du prendre une chaise mon monter dessus et pour y faire passer une corde à travers deux crochets. Je distinguais au passage la couture de ses bas au ras de sa jupe, je n’en vis pas plus et je ne pu dire si elle avait un porte-jarretelles. Elle m’attacha l’extrémité de la corde à mes poignets toujours attaché par des menottes et fit levier pour que mes bras s’étirent vers la poutre. Elle le fit d’un coup sec, je gémissais, Claire me regarda dans les yeux, elle eu un sourire malicieux me voyant tel son prisonnier sans défense. Elle fit un nœud et me voici immobilisé à sa merci.
J’avais un peu honte de cette situation, je ne pouvais plus bouger, il commençait à faire chaud sous les toits et j'angoissais tout de même pour la suite des événements.
Claire connaissait son affaire, elle, et savait exactement ce quelle faisait. Avec le peu de lumière  qu’il y avait dans ce grenier, je vis qu’elle prit quelque chose dans son sac. Elle se mit derrière moi, je sentis un grand coup sur mes fesses, puis deux et d’autres encore. Elle avait pris un fouet avec de longues lanières et je sentais qu’elle avait envie de me mettre une belle correction.
Elle me dégrafa ma robe qui tomba sur mes chevilles, elle put de cette manière me fouetter à même la peau, dans le dos, sur les fesses et sur la poitrine. Elle effleurait les pinces accrochées à mes tétons, à chaque coup, je criais, plus je criais et plus elle frappait. Cela l’excitait terriblement, moi je bandais certes mais les coups de lanières me chauffaient et j’avais mal. C’est ce qu’elle désirait, elle était aux anges !
A un certain stade, je ne criais plus, la douleur était intense et je ne distinguais plus les coups supplémentaires.

attachee--24-.jpg

« Tu as aimé les coups tout à l'heure, n'est-ce pas Daniel ?! ».
« Et mainteant tu aimes toujours ? ».
« Tu vois Daniel... Je veux que tu comprennes ce que suis capabe de faire et que chaque plaisir se paiera... ».

Elle s’arrêta, posa son fouet et elle me massa aux endroits meurtris, elle prit soin de mon corps en me caressant, elle me branla le sexe, j’aurai aimé jouir, je me déhanchais pour essayer de me détacher montrant mon envie de la toucher. Claire s’arrêta net.
« Tutututu…, arrêtes de bouger ou je remet ça ! »
Elle m’empoigna la perruque pour mettre ma tête en arrière et elle effleura ses lèvres aux miennes, je croyais qu’elle allait m’embrasser. J’en avais subitement et follement envie, j’étais prêt mais avec son autre main elle m’enleva la pince de mon sein gauche d’un coup !
Sèchement, elle enchaina sur l’autre pince, j’hurlais de douleur, c’était horrible, j’aurai préféré garder les pinces à vie plutôt que de les enlever, les larmes me montèrent aux yeux, je les fermais pour contenir mon mal, elle me massais un peu les tétons. Claire savait alterner le mal et le bien et inversement, c’était difficile à supporter, je gémissais dans tous les sens, immobilisé que j’étais, Claire me tenait et me regardait souffrir, cela avait l’air de lui plaire, pour m’aider à supporter ça, je pensais à sa satisfaction, elle semblait y prêter attention en me caressant le corps.

stufftoblowyourmind-23-2014-06-sadoenlightenment.jpg« C’est bien Daniel ! Je te félicite, tu as du mal à supporter la douleur, mais tu vas apprendre… ». Je n’eus pas la force de répondre, elle me détacha de la poutre et m’enleva les menottes. « Tu peux remettre ta robe, et redescendre dans ma chambre, je vais te remaquiller un peu, ton ricil a coulé, on dirait !!! ».

J’étais soudain soulagé des contraintes et de la douleur, j’en avais presque oublié ma tenue de femme et mon plug. Claire rangea ses affaires dans son sac et nous redescendons d’un étage, je m’assis dans le fauteuil de sa coiffeuse soulagé et exténué par ce que je venais de vivre. Mon repos ne dura que quelques minutes. Pendant qu’elle me ma remaquillait, elle m’expliqua la suite des évènements.
« Tu vas aller à la lingerie, il y a une lessive à étendre dehors, tu t’en occuperas et tu rangeras cette pièce, je dois recevoir le réparateur du lave-linge ».
« Mais Claire, je ne vais pas sortir dans cette tenue, si quelqu’un me voyait ! Et… et le réparateur ? ».
« Et bien justement, j’aimerai bien qu’il te voit, tu es belle comme ça, Daniel ! » 
« Ne t’inquiètes pas, je ne ferai jamais d’impair envers ta famille, souviens-toi, c’est notre deal ! »
« Mais je te montrerai à d’autres personnes, oui ! »
« Et pour te présenter, tu te nommeras... Daniela, d’accord ! ».
Je fis mine d’acquiescer, je n’en avais pas le choix, Claire pensait à tout.

« Daniela ! Oui Daniela, ça me plait bien ! ».
Claire était contente de sa trouvaille soudainte. C'est à partir de cet instant précis que ma vie de garçon soumis à Claire se transforma en vie de fille. Je devrais dorénavant toujours parler au féminin, et je serais considéré comme une femelle.
« Daniela, tu vas être ma femelle, et je te considérais en tant que telle. Je veux que toi aussi tu en ai conscience ! D'accord ? ».
« Oui Claire, Oui Madame Claire ! »
Quelle décision encore une fois en si peu de temps, je ne sais pas si je vais tenir le coup à assumer autant de choses...

« Tu verras, je connais très bien le réparateur, c’est une personne très bien, il est connu pour être un chaud lapin ! Il aime les femmes comme toi, tu devrais lui plaire je pense, et salope comme tu fais, tu vas lui plaire ! »
« Tu vas donc le recevoir, tu le guideras jusqu’à la lingerie, et s’il te fait des avances tu accepteras ! »
« Attention Daniela, hein ! Je ne veux pas que quelqu’un de passage chez moi sois déçu ! Tu dois assurer, sinon gares à toi ! Saches que je serai au courant de tout ! »
« D’accord Daniela ?, tu accepteras ? Réponds-moi ! ».
« Ben… oui…, Madame claire ».
Un petit oui sortit de ma bouche, quel plan m’avait encore préparé Claire. Me montrer en femme à un inconnu et de surcroit accepter ses avances. Cela faisait beaucoup, j’étais stressée, je me regardais dans le miroir et je m’observais en pensant au regard des autres. Comment serais-je perçu dans cette tenue ?
C’est vrai que j’étais presque crédible, mais le regard des autres n’est déjà pas facile dans la vie courante d’homme alors en femme… Je souris en pensant à ça, c’est vrai que le fait que ce soit Claire qui me le demande est un peu différent et pour lui faire plaisir je le ferai. Petit à petit, je sentais que je rentrais dans son jeu et que je devenais son petit chien, sa petite chienne, son soumis, sa soumise. Claire m’avait laissé quelques secondes dans mes pensées et m’observait de près. Elle contrôlait tout et elle avait l’air de connaître à l’avance mes réactions. Le sourire que j’esquissais dans le miroir était pour elle un signe d’acceptation de ma part et elle en était ravie.

« Allez ! Daniela ! je te laisses gérer cela. Quand le réparateur sera parti, tu reviendras me voir dans ma chambre, je vais me reposer un peu »
« D’ailleurs, avant ça, je vais l’appeler et lui signaler que c’est toi qui le recevra ! ».
Je me leva, Claire pris son portable. « Allo, c’est Madame R. à l’appareil, vous aviez rendez-vous dans une heure pour mon lave-linge…, juste pour vous dire que je serai absente mais que ma gouvernante sera là pour vous recevoir ! » « Elle connait la maison, elle est très bien…, oui, sous toutes les coutures ! ».
Claire raccrocha,
« Voilà Daniela, c’est arrangé, à tout à l’heure ! ». Je compris que je devais m'ecliper, je me regardais une dernière fois dans le grand miroir de l’armoire, de la tête aux pieds. J’avais un peu de mal à penser que c’était moi, en femme sexy, prête à faire la salope et tout ça pour une femme qui me l’avait ordonné.

Je descendais à la lingerie au rez-de-chaussée, je réfléchissais et j’essayais de m’imaginer cette prochaine rencontre. Moi qui aimais bien savoir ce qui m’attendait, j’étais servi ! J’allais rencontrer en tête à tête un inconnu et devrais accepter ses avances. Je préférais me concentrer et faire ce que Claire m’avait demandé. Je devais lui faire confiance, et vivre les événements au présent, on verra bien…
Perché sur mes talons, je récupérais le linge et alla l’étendre dans la cour arrière. Je devais pour cela sortir sur le perron, peut-être que quelqu’un me verra. C’est pas grave, on ne me reconnaîtra surement pas comme ça, je fonçais. J’avoue que c’était agréable d’être ainsi habillé j’adorais marcher avec des talons. Juste les douleurs aux fesses et aux seins me dérangeaient, j’en avais oublié le plug bien ancré dans mon cul.

Etendre le linge et ranger la lingerie me pris environ une demi-heure, le réparateur arriva plus tôt que prévu. Il sonna à la porte d’entrée, je respirais longuement avant d’ouvrir, je tremblais et j’étais stressée. Je pensais à Claire et à la satisfaire pour m’aider et me calmer, c’était mon unique motivation qui me fit ouvrir cette porte à cet inconnu.
« Bonjour Monsieur. ». Le réparateur était un homme de 45 ans, d’allure sportive et beau garçon, il avait l’air un peu macho. Il me salua avec une attitude normale, sa réaction me surpris agréablement, cela se voyait que je n’étais pas une femme et cela ne le dérangeait pas.
Je luis dis de me suivre, je me plaisais à marcher devant lui, et je m’appliquais dans ma démarche. Je ne voulais pas montrer mon manque d’habitude à marcher avec des talons. Il avait vu tout de même ma gêne et ma timidité et il avait prit la conversation à son compte en me parlant de la pluie et du beau temps. J’étais polie et souriante et répondais simplement à ses questions.
240x180-7.jpg Je le laissais rentrer dans la lingerie, il s’accroupit devant le lave-linge pour l’inspecter. Je restais près de lui en pensant ce que m’avait dit Claire, pour cela je devais tenir mon rôle de femme, aguichante voir salope. De nature timide en homme, je me découvrais une aisance à faire du charme à quelqu’un. C’est vrai que je profitais de la tenue que je portais, je savais que les hommes étaient décontenancés mais attirés face à ces femmes sexys et aguichantes. A plusieurs reprises, je me montrais provocante en me baissant pour qu’il voit mon cul bien moulé dans ma belle robe, je croisais et décroisais les jambes, il avait les yeux baladeurs et m’observait.  Je lui lançais également des sourires discrets mais parleurs.
A un moment, je m’accroupissais à ses côtés pour voir avec lui le lave-linge, naturellement, il toucha ma cuisse, j’en profita pour écarter mes jambes, je savais qu’il fallait que je saisisse l’occasion, il fit un aller et retour sur ma jambe et mes cuisses s’ouvraient.
J’attendais qu’il y engouffre sa main, mais non au lieu de cela il se leva, d'un coup sec. Je fus troublée et m’en excusa presque auprès de lui, pensant que je l’avais choqué.
Je n’eus pas le temps de me lever.
« Ne bouges-pas » me dit-il d’un ton calme mais directif. Il dégrafa son ceinturon, baissa un peu son caleçon pour y engouffrer sa main et y saisir sa queue. Il là sortit, pendante et juteuse, il la décalotta

« Tiens ! Prends-la ! ». Je compris ce que cela voulait dire, je m’approchais en me redressant sur mes genoux et il me mit sa bite dans la bouche en la branlant pour qu’elle durcisse.
C’était la première fois que je voyais une autre bite que la mienne en érection, j’étais impressionnée par sa grosseur et par le fait de l'avoir aussi rapidement dans ma bouche.
Je voulus la rentrer doucement et je n’osais point la sucer.
Il donna un coup de rein pour la rentrer plus profondément, je la ressortis en la suçant lentement, je preferais m’aider de la main pour contrôler ses allers et venues.
Il lâchait ensuite sa queue et me tenait la tête à deux mains pour me donner le rythme, je dûs le suivre et le sucer du mieux que je pûs. J’avais l’impression de ne pas faire ça comme il fallait, il m’encourageais.

« Vas-y ! Suces, allez, c’est bien, continue ! »

Je m’appliquais, mais c'était la première fois pour moi. Ce n'était pas facile, alors je restais naturelle. Et finalement, je profitais du moment présent et le plaisir m'envahit subitement.
J’allais d’avant en arrière aidée par ses mains, j’avais la bouche pleine, le réparateur avait l'air de prendre du plaisir.
Je découvrais ce nouveau plaisir inconnu pour moi, mais j'aimais ça à n'en point douter ! 

Je pensais à Claire, j'aurai tant aimé qu’elle me voit Je pense qu'elle aurai été satisfaite de ma prestation.
J’étais fière de lui faire plaisir mais le pire est que je prenais du plaisir à faire cela ! J’avais envie que cet homme prenne vraiment son pied et qu’il jouisse.
Quelle sensation curieuse, de nouveau plaisir pour moi que d’aimer une bite, j’en espérais aussi qu’il me prenne par derrière et qu’il me remplisse le cul avec son gros sexe. Il devina mes pensées, il sortit sa bite de ma bouche, elle était inondé de bave, je m’essuyais avec ma main et me branla un peu avec ce jus. J’étais chaude et j'avais envie de jouir.
Il m’appuya sur ma tête pour que je me penche en avant, je ne me fus pas prier et je me cambrai lui offrant mon cul. Je le voulais en moi, j’étais sa chienne, je voulais qu’il me prenne jusqu’au fond de moi. Il souleva ma robe découvrant mon plug « Oh ! La salope ! C’est que tu t’es préparée pour moi, toi ! » Je lui répondu naturellement telle une femme 
« Oui ! Prenez-moi, allez-y ! ».

Je n’aurai jamais pensé que les choses se passeraient aussi normalement que cela, comme-ci j’avais l’habitude de faire l’amour avec un homme, je me sentais femme ! Que penserai Claire si je lui raconterais la vérité que j’ai sucé le réparateur, il m’a baisé et j’ai adoré ! Je devrais peut-être lui mentir, garder ça pour moi…
En attendant, il s’enfila une capote et me pénétra facilement, aidé par le passage du plug, il alla plus profond et vint buter contre mes fesses qu’il prit de chaque côté. Je gémis de douleur mais ça eut l’effet de me faire bander plus dure encore et j’avais envie de me branler.
J’avoue que c’est à ce moment là que j’ai pris le plus de plaisir, me sentir possédée par cet homme, qui m’abusait en me tenant les fesses à pleines mains, plus profond à chaque coup de butoir, j’eus envie de jouir et de sentir sa semence au plus profond de moi et en même temps j’avais envie d’un contact buccal, je me suçais le majeur en imaginant sa belle bite.

Qu'est-ce qu'il m'arrivait !
C’était ma première expérience homosexuelle de ma vie, et quelle surprise d'y avoir pris autant de plaisir. Comment étais-ce possible ? Comment allais-je expliquer cela à Claire ? Je ne voudrais pas qu’elle s’imagine que j’aime cela, j’aurai peur qu’elle me demande encore autre chose, j’improviserais, mais je ne pourais sans doute cacher le plaisir que je venais de prendre.
En plus, tout cela arrivait grace à Claire que je devrais remercier.

Pour l’instant il me labourait ma chatte et je gémissais, je prenais mon pied. J’aurai voulu qu’il se retire pour qu’il me gicle dessus mais je n’eus pas le temps de lui demander, il éjacula au fond de moi, c’était bon, je n’avais pas joui mais c’était tout comme, le réparateur pris vraiment son pied, j’étais contente de moi !
Il se retira sans piper mot, enleva sa capote et remonta son pantalon. Comme si de rien ne s’était passé, il reprit son travail. Je me relevais difficilement encore toute bousculée par ce que je venais de recevoir. Je préférai me retirer de la pièce pour me remettre de mes émotions.
J'alla dans la salle de bains du bas, je remettais ma robe en place, remontais mes bas, et je me recoiffais un peu.  En me regardant dans le miroir, je pensais à ce que je venais de vivre, ma première expérience de femelle. J’ai plut à un homme et ce n’était pas désagréable du tout !
Le réparateur finit rapidement son entretien de la machine et m’appela.
« Mademoiselle ! » « Oui Monsieur ! » répondis-je subitement. « J’ai fini ma réparation, je vous laisse, je passerais un coup de fil à Madame. Merci pour tout ! ». 
« De rien Monsieur, tout le plaisir était pour moi ».

Je reprenais mon souffle, assez sereine de ma « prestation », pour me rendre auprès de Claire qui devait attendre mon résumé. Je passa à la cuisine pour préparer une petite collation pour Claire, et monta dans sa chambre. Je frappais avant d’entrer, elle était au téléphone, c’était le réparateur qui lui expliquait la panne résolue de son lave-linge.

« D’accord ! Merci bien ! Et ma gouvernante..., elle s’est bien occupée de vous ? Oui ? Et bien parfait, Merci encore, au revoir ! ».

Elle racrocha et me regardait dans les yeux, ils brillaient d'impatinece de savoir ce qui s'était précisemment passé.
« Racontes-moi Daniela ! Comment ça s’est passé ? ».
Je lui raconta mot à mot et réellement le déroulement, elle était pendue à mes lèvres. Je n’ajoutais aucun commentaire personnel en omettant le plaisir que j’eus à faire cela, cela n’avait pas l’air de la toucher plus que ça.
«C’est très bien Daniela ! Le réparateur avait l’air content, et toi, donnes-moi ton avis concernant cette expérience ».
« Et bien… Comment dire… Euh… Madame Claire… J’ai fait ce que tu m’as demandé, en pensant te satisfaire et je l’ai fait, c’est vrai que je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé. »
« Ah bon Daniela ! Comment ça ? Racontes-moi ça m’intéresse ! »
J’en avais trop dis, Claire avait les yeux qui brillaient, elle sentait qu’elle avait bien fait les choses.
« Pour résumé, j’ai aimé être femme et avoir plû à un homme »
« Je savais Daniela que tu avais le profil !, je le savais. Tu vas continuer ta formation ! J’ai plein d’idées pour toi… »
« Es-tu toujours prête à m’obéir ? »
« Je n’ai pas le choix Madame Claire » lui dis-je avec un sourire du coin des lèvres.
« Ok, très bien, maintenant, mets-toi à genoux ! ». Je m’exécutais rapidement. Elle prit un de ses bas encore sur son lit et me banda les yeux. Que se passait-il encore, qu’allait-il m’arriver. de nouveau.

0.JPGIl était le milieu de l’après-midi, j’étais exténuée par ce que je venais de vivre et je n’avais qu’une seule envie, me reposer et me détendre.
« Couches-toi sur le dos ! ». Je m’allongea sur le dos, je sentais qu’elle m’attacha les chevilles ensembles, ensuite les bras qu’elle me tira vers le haut de mon corps afin que je sois bien tendu. Je pense qu’elle m’attacha une extrémité à l’armoire et l’autre à un pied du lit.
J’étais immobilisée et je ne voyais rien. Soudain je sentis son bas contre ma bouche, elle voulu que je lèche son pied, je le fis avec grand plaisir, elle me mit son gros orteil dans la bouche et je lui suçais avec délicatesse, c’était très bon ? Serait-ce une récompense ?
Au bout de quelques minutes, elle s’assit sur moi, sur mon visage, en écartant sa robe. Sans culotte, je sentais sa chatte humide à souhait. Je pûs à peine respirer, mais très vite elle alla d’avant en arrière frottant sa chatte contre mon nez puis contre ma bouche, je sortis ma langue pour la lécher.
Elle mouillait de plus en plus, elle accélairait ses mouvemens sur mes lèvres.
Elle resta soudaienement immobilisée quelques secondes, j'eus du mal à respirer, elle venait de jouir.
Je venais de faire jouir Claire ! Je venais de combler sexuellement ma cousine ! Je n'en revenais pas.
Je l’avais comblé, elle se releva. Elle alla quelques instants dans la salle de bains, et evena ensuite me détacher. Sans rien dire, je me défis de mes liens et me releva.
« Tu peux aller dans ta chambre Daniela, ça suffit pour aujourd’hui ! ».
J'aurai voulu parler de ce qui venait de se passer, mais pas Claire... Je retourna dans ma chambre, je me déshabillais, et fit une douche pour me démaquiller et me laver de tout ce que je venais de vivre. Quelle journée !

Je m’alongeais sur le lit et sans rien voir venir, je m’assoupis bien une heure de temps. A mon réveil, je pensais avoir rêvé à tout ça, mais non ce que j’avais rêvé était bien réel, je venais de le vivre. Toutes ces choses venaient de se passer, Claire m'avait surprise mais j'étais comblée.

Je rangeais les affaires, lavais le linge, mais je ne revis pas Claire de la soirée...

Les jours suivants, mes rapports avec Claire étaient redevenus comme avant, comme si de rien ne s’était passé. J’avais un peu du mal à la regarder en face et de lui adresser la parole comme si de rien ne s’était passé, surtout devant mon épouse et mon cousin.
Nos vacances se terminèrent trois jours plus tard, il n’y eu aucune autre occasion de me retrouver seule avec elle. Je cherchais et attendais un moment ou j’aurai pu lui parler en tête à tête, elle le sentait et me fuyait.

Nous laissons Claire et mon cousin dans leur propriété en les remerciant encore une fois pour leur accueil. 
« On reste en contact par téléphone et au pire on se voit l’année prochaine ! Vous êtes les bienvenus ici ! »
En s’embrassant pour se dire au revoir, Claire me donna discrètement un papier dans la main, je le mis discrètement dans ma poche. Nous rentrons chez nous, j’avais hâte d’arriver à la maison pour lire ce que m’avait donner Claire.

« Mon cher Daniel ! J’espère que tu ne pensais pas que c’était fini entre nous ! Tu m’appartiens toujours, tu es toujours à ma disposition. Je veux que tu continues à m’obéir comme tu l’as fais pendant ces vacances, et que tu fasses ce que je te demanderai en temps et en heure. Régulièrement, je te contacterai par mail, tu t’organiseras pour réaliser mes souhaits, je veux des preuves que tu fais bien ce que je te demande, tu feras des photos comme preuve par exemple… Pour que tu puisses te libérer du temps, je te trouverai des alibis, ne t’inquiètes pas…
Je veux pour d’ici la fin de semaine que tu te rases et que tu t’épiles le sexe comme il faut. Je te veux lisse et sans poils. Je veux aussi que tu portes un plug au moins 1 heure par jour, je veux un planning !
D’ici la fin du mois, je te donnerais un rendez-vous en après-midi, tu devras l’honorer.
Donc, penses bien à notre deal, sinon je dis tout à ta femme ! ».

FIN du premier épisode

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : plaisirs SM
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume

Photos Aléatoires

  • insta-29-01-2022
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés