Dimanche 3 avril 7 03 /04 /Avr 04:47
Par Daniela - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 25 mars 5 25 /03 /Mars 05:14

Le lendemain de ma première rencontre magnifique avec ce couple et cette soirée travestie, j’avais décidé de m’aérer un peu, je partis donc courir dans ma montagne favorite, histoire de repenser un peu à tout ça, l’après-midi,  était donc consacrée à une sieste obligatoire !

J’avais un peu récupéré, il était 17h45, quand Maîtresse C. me laisse ce texto :
« Tu sais que je ne suis pas patiente,  j’attend toujours que tu me racontes qui t’as défoncé hier soir »
Je pensais bien lui raconté,  je lui répondis de suite :
« Bonjour Maîtresse, belle soirée de travs entre elles, très peu de mecs, pas été défoncé, mais j’ai bien été servi par votre homme et vous-même ! J’ai adoré…bisous. Daniela ».
« La prochaine fois je serai sans scrupules car je trouve que je suis trop gentille avec une grosse salope comme toi et c’est pas sur la couette mais sur ta belle petite gueule que je giclerai. Je vais t’arroser, par contre mon homme sera plus généreux c’est dans ta bouche qu’il éjaculera. De toute façon, tu aimes ça t’en prendre plein la gueule. Avant la fin de la semaine, je veux voir une grosse bite dans ton cul, je te laisse libre de la personne, n’oublie pas, je veux des preuves. »
Je n’eue pas beaucoup de répit, à peine mon aventure de samedi soir passée, je devais déjà m’organiser pour la semaine qui s’annonce. L’excitation était revenue au grand galop aussi, ce n’est pas tant d’avoir une nouvelle aventure qui m’excitais mais plus de sentir ma maitresse excitée. De plus, le fait que ça puisse la satisfaire m’excite encore plus et me motive beaucoup. Je ferai n’importe quoi pour une personne qui me domine…
« Bonjour Maîtresse, pour vous, je me ferai défoncer le cul d’ici la fin de semaine. J’attends avec impatience de prendre  ce qu’il vous plaira sur les parties du corps qu’il vous plaira. Daniela ».
J’attaquai la semaine plein pot au niveau boulot, mais ce lundi je n’avais en mémoire que les bons moments du week-end, du pur bonheur, à refaire….
Je m’organisais aussi pour trouver un plan ou je serais sur de satisfaire quelqu’un. J’envoyais donc plusieurs mails à mes contacts et laissait une annonce sur le net.
Le mardi 15h48, Maitresse C. me laisse un message :
« Coucou, alors t’as trouvé ta grosse bite ? ça m’excite de savoir que tu vas en prendre plein le cul. Dis-moi tout ce que tu as fais, je veux  tout savoir dans les moindres détails. Je salive de plaisir à l’avance.
« Bonjour Maîtresse, je devrai avoir rendez-vous demain soir avec un mec qui veut me voir depuis longtemps déjà. Je ne l’ai jamais rencontré par peur mais là le faire pour vous m’excite et me motive. Moi aussi ça me plait énormément, j’espère aussi aller loin dans notre plaisir. Bisous »
« Fais toi attacher quand il te baisera et photographier. Super ton blog, j’adore ! »
Le mardi soir, j’avais déjà trois quatre contacts pour mon plan du lendemain, j’enverrai des textos dès demain matin, c’est le seul moyen d’être sur qu’ils soient dispos. Je n’ai pas envie que l’on me pose un lapin, mais dans tous les cas, même si je ne trouve pas de rendez-vous, j’irai tapiner pour ma Maîtresse.
Le mercredi matin, j’envoyais quatre messages à quatre hommes, deux jeunes dominants et deux hommes amoureux de travestis. Ces deux derniers, ne me répondirent pas, des fantasmeurs peut-être ?
Le premier jeune homme dominant n’étant pas dispo ce soir, il me restait celui d’Annemasse. Ce n’est pas forcement vers lui que je serai allé spontanément car très SM et apparemment très hard, mais il fallait que j’aie une aventure, que je bouffe de la bite et que l’on m’en mette dans le cul, tout ça pour ma maitresse adorée. Ce jeune maitre voulait faire de moi, sa chienne, sa salope, très SM, il m’avait proposé de venir chez lui, je préférai avoir une première aventure en extérieur, du moins dans un endroit neutre pour nous deux. Je lui décrivis le plan que je désirai, il acquiesça et nous nous donnons rendez-vous sur Annecy.
L’après-midi j’envoyai également un message à Maîtresse C.
« Bonjour Maîtresse, merci de me donner votre adresse mail pour que je vous envois le compte-rendu et les photos du plan de ce soir. »
Le soir arriva bien vite, je finis le travail, me doucha au boulot, me goda sans oublié un petit lavement, j’avais 1h30 pour me préparer.
Entre temps Maitresse C. m’envoya son adresse mail pour que je lui envoie un petit compte-rendu et également des photos que j’aurai fait.
Une fois préparée, je lui envoyai ce petit message « Ça y est, je suis toute belle pour mon rendez-vous. C’est pour vous que je fais cela. » Elle me répondit par des encouragements .
« Je sais et j’adore ça. Donnes lui du plaisir et j’aimerai être là pour voir ta grosse chatte mouiller humm !  J’ai adoré y mettre la main d’ailleurs. T’es tellement chaude que le bras passera large. Prépares-toi la prochaine fois mais comme je suis généreuse je laisse Mr s’en occupé ce soir avant moi. Tu vas gueuler de plaisir et n’oublie pas belle et sexy mais j’en doute pas t’es sex ! ».
J’avais mis des bas voiles noirs avec ma robe sans manche noire satinée, avec un haut voile également et mes dernières bottes. Uniquement du rouge à lèvres et en blonde, j’allai sur mon lieu de rendez-vous. L’homme m’annonça qu’il arrivait, j’étais sortie de l’auto en faisant les cent pas autour.
J’adore marcher en femme, me regarder marcher, me sentir femme, je me laissais aller à fantasmer de me promener en ville, en plein jour, au bras de ma maitresse et faire les boutiques de fringues. C’est vrai que se serai cool !, faire des essais d’habits, plus ou moins sexy, les essayer pour ma maitresse, j’aimerai qu’elle choisisse ma garde robe. En tant que femme, elle est évidemment la seule à pouvoir me conseiller. Je rêvai de mettre des habits moulants, des sous-vêtements sexy, des chaussures à talons…, d’avoir une tenue super chic, tenue de soirée, très sexy et également, tenue assez flashy, leggins coloré, jupe en jean de couleur, mitaines résilles, escarpins… Ce qui m’excite dans ce genre de fantasme, c’est d’être en tenue super sexy, super provocante, histoire d’exciter mon entourage, et de détourner les regards sur moi. Un comble pour moi de nature si timide…
Une voiture arriva et me stoppa dans mes fantasmes, c’était l’homme que j’attendais. Il se gara l’autre côté de mon auto. Je me cala le dos contre l’auto, une jambe pliée, la parfaite putain attendant la passe. Il faisait nuit mais un lampadaire nous éclairait suffisamment. Il me salua, il était mignon, cheveux courts, pas très grand et surtout beaucoup plus timide que par les messages qu’il m’envoyait. Son attitude dominatrice reprenait vite le dessus, il s’approcha rapidement de moi et me pelota les fesses.
« Tu me plais toi, ma salope ! » «T’es belle ! T’es bonne, t’es franchement baisable ». Je lui souris timidement. Toujours impressionnée par une nouvelle rencontre, peur du premier regard, peur de ne pas plaire… je pris ses premières paroles comme des encouragements.
« Mets les mains sur le capot et montres-moi ton cul ». Il était d’un coup très directif, je m’exécuta rapidement, en me cambrant un maximum pour qu’ils admirent mon cul. Il avait l’air de lui plaire, il souleva ma robe, et me caressa de haut en bas, de la poitrine jusqu’à mes jambes. Humm, c’a me faisait frétillé et je bandais.
« Tu m’as l’air d’être une bonne salope, toi, tu dois y aimé, je me trompe ? ».
Il rebaissa ma robe et il me donna l’ordre de me retourner. « Tu veux faire quoi ? » « Je ne sais pas, ce que vous avez envie, je suis à vous ». Tout en disant ces quelques paroles, je pris les devants pour aller en direction des toilettes publics du lieu ou nous étions. Toujours éclairé par des lampadaires lointains, il y avait cinquante mètres qui nous séparaient de l’endroit abrité et à l’abri des regards. Je viens ici généralement avec un homme dominant qui m’attache les mains et les chevilles aux toilettes pendant qu’il me laboure ma chatte. L’homme me serre contre lui en me tenant les fesses, il me laisse filer pour voir ma démarche, j’adore être regardé de la sorte. Arrivé aux toilettes, il ne perdit pas de temps en défaisant son ceinturon. « En me présentant sa bite qui commençait à se durcir dans son caleçon il me dit « lèches, allez salope, lèches ». Je me mis à genoux et j’exécutais ses ordres. Sa bite vint rapidement bien dure pour que je puisse l’enfiler dans ma bouche. Il baissa son caleçon et je pus le sucer. « Laisses tes mains dans le dos et suces-moi » il ne voulait pas que je le touche, je m’appliquais à le sucer, il me manquait un peu de salive, je lui léchais également les couilles. Je le suçais maintenant comme il fallait, sa belle bite dans ma bouche, je pensais à ma maitresse, j’aurai tant aimé qu’elle soit à mes côtés en me voyant m’appliquer à sucer ce mec.
devoir1.JPGAu bout de quelques minutes, il m’arrêta « ça va ? » Je lui répondis que oui, et en profitais pour lui demander s’il pouvait faire quelques photos. Je voulais avoir des photos pour montrer à ma Maitresse. « Je sortis l’appareil pendant qu’il sortit un préservatif. « tournes-toi ! Tiens toi au pilier et montres-moi ton beau cul, salope ! » Je m’exécutai, en relevant ma robe pour laisser apparaitre mes fesses. Il me les plota, « Tu te godes, ma salope ! Hein ? C’est bien ça, tu dois être bien ouverte ». Il se recula et fit une photo. De nouveau je le suçai avec entrain, pour qu’il rebande bien dure. Il me donna des coups de queue sur ma langue, la bouche bien ouverte en le fixant dans les yeux. Il fit de nouveau quelques photos. Il m’ordonna de me retourner, et pendant qu’il me tapa les fesses, il me posa quelques questions qui l’intéressaient. Si j’avais déjà fait ça avec plein de mecs, à quel point j’aimais le sm, jusqu’ou… Il avait déjà des autres plans derrière la tête… Je lui répondis franchement que j’étais partante pour plein de plans sexe et sm mais de manière progressive. Il se mit une capote, enleva mon plug et m’empala franchement. Je gémis de plaisir, je prenais mon pied, j’adorais être prise comme ça, tenue par les hanches, je l’accompagnais dans ses mouvements de va et vient au fond de ma chatte, c’était trop bon, je mouillais de plaisir. J’aurai aimé une plus grosse bite encore… Au bout de quelques minutes il joui, j’étais heureuse lui aussi, il avait pris son pied. J’aurai aimé qu’il gicle dans ma bouche mais il a été plus rapide, trop rapide…
Il se retira et je me rhabillai, je pris mes affaires et nous repartons vers les voitures. Il me répéta que j’étais trop bonne, que je lui plaisais et qu’il aimerait me revoir mais cette fois-ci chez lui…
 Nous nous quittâmes aussi rapidement que nous nous étions vu. Je repartis en auto, contente d’avoir réussi ma mission, enfin j’espère que ma maitresse sera contente de moi…

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Soumission et appartenance
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Mardi 22 mars 2 22 /03 /Mars 05:38

J’attendis en vain lundi et mardi des nouvelles de mon maitre ou du couple. J’étais déçu, mon maitre n’avais pas lu mes différents messages, et est-ce que ce couple allait toujours s’intéresser à moi.
Mercredi, je m’habillai pour sortir un peu, j’aurai aimé sucer une bonne bite. Je roda vers la Visitation, sans résultats, il était encore trop tôt. Ereintée par ma journée de travail je rentrais chez moi, frustrée…
Ce n’est que jeudi midi, que je reçu un texto de la femme du couple, comme j’étais contente de la lire !
Elle « Salut, je ne suis vraiment  pas contente de ton comportement, tu as osé me désobéir alors tu vas recevoir, mon homme est ok pour te mettre la même correction. On te tient au courant quand et ou. A bientôt. J’ai hâte… »
Moi « Bonjour Maitresse, même si j’ai l’appréhension de ce que vous allez me mettre, je suis contente d’avoir de vos nouvelles, que vous voulez toujours me voir. Croyez en ma motivation. Daniela. »
J’attendis cette soirée avec impatience, je m’étais préparé jeudi au cas où mais sans résultats. Heureusement quelque part, car j’avais une réunion à vingt heures, il m’aurai été difficile de m’éclipser pour aller faire ce plan. J’attendis le vendredi avec impatience.
Le vendredi, je me préparai pour le grand jour et être offerte à ce couple par mon Maître.
Encore une fois, je n’eu pas d’appel, et la soirée passa, je me promena un peu dans la ville recherchant je ne sais quoi, je rentrai.
Avant d’aller dormir, j’envoya un message à ce couple pour leur donner mon planning pour le lendemain au cas ou ils auraient envie de me voir. En effet le samedi, j’avais une soirée Travesties au Jet Set organisée par une amie, Cloé. Je m’étais promis d’y aller et d’y faire des rencontres. « Bonjour Maîtresse, j’ai attendu hier et aujourd’hui en vain votre message de convocation. Demain soir, je suis à votre disposition vers 18-19h, ensuite vers 22h, je vais à une soirée travestie avec des copines. Je meurs d’envie d’être à votre disposition et vous satisfaire. Daniela ».
Je n’eus pas de réponse le soir même.
Le samedi matin, je reçu la réponse que j’attendais par un appel, étant en rendez-vous, je ne pus répondre. La femme du couple me laissa ce message « Je veux que tu viennes ce soir vers 18h-18h30, je te rappelle vers 13hrs » J’avais raté cet appel mais c’était tout bon, j’allais enfin pouvoir les rencontrer ! La journée passa super vite, à 13h la femme me rappela et me donna rendez-vous pour le soir, elle m’expliqua également leur lieu d’habitation et l’itinéraire pour s’y rendre, c’était pas trop loin de Annecy. J’étais toute excitée pour cette rencontre, depuis le temps que j’attendais ce moment, concrétiser le plan organisé par mon Maître.
Je me nettoyais en profondeur, et me prépara, je décidai d’être on ne peut plus sexy. Je mis des résilles aux jambes arboré d’un porte-jarretelles en dentelles noire, je mis ma jupe extra courte satinée et mes bottes. Pour le haut, je mis un top en dentelles également, les manches suffisamment longues me permettent d’en faire également des mitaines. J’enfilai un blouson de cuir marron sans oublier mon collier de chienne en cuir. En blonde, rouge à lèvres, vernis aux ongles et bijoux, j’étais parée.
Je savais qu’elle aimait la ponctualité, j’arrivais juste sur les lieux dans ses temps impartis. Malheureusement, je pris la mauvaise route…, à 18h30, le téléphone émettait un message «  Tu cherches vraiment la fessée, t’es en retard ». Je répondis aussitôt par un appel, expliquant que je n’étais pas très loin, elle me vit par la fenêtre, je trouvai la maison.
Son mari m’accueilli à la sortie de la voiture. J’étais impressionnée, je devais sortir face à cet inconnu, je n’eus pas le temps de me regarder une dernière fois dans le miroir, je tirai un peu sur ma robe et sorti de l’auto. Je le saluai, sympathique et simple, il sut me mettre franchement à  l’aise. Je lui donnai une bouteille de champagne et je le suivis dans la maison.
Madame m’attendais dans la pièce principale, elle était ravissante, elle s’était préparée très sexy. Tout de noir vêtu, un chemisier long ouvert, laissait voir ses sous-vêtements cuir avec quelques anneaux de métal reliant les lanières. Des bas résilles avec de superbes bottes très montantes avec de beaux talons. Le ton était donné, j’étais dans mon univers ! Sa belle coiffure gonflante faisait la parfaite Maîtresse rêvée, féline,  il ne lui manquait que le fouet entre les mains !
Je complimentais la femme sur sa tenue, nous nous assirent autour d’une table pour boire un verre, Monsieur ouvrit une bouteille de champagne et Madame apporta des feuilletés sortis tout chaud du four.
Quel accueil ! J’en étais gêné que l’on m’accueille de la sorte, que l’on m’accorde autant d’importance, à chaque sortie ou à chaque rencontre, je faisais des efforts pour plaire, être présentable, être sexy, certes mais je ne pensais pas que je plairai comme ceci et être attendu de cette manière. Fidèle à mes principes, je devais donc assurer les attentes de mon Maître de satisfaire ce couple. Ce couple me plaisait trop et ferai tout pour qu’ils soient contents de moi. Ne sachant pas trop de leurs intentions envers moi, j’attendis les ordres, nous discutons de choses banales tout en buvant une coupe de champagne et en mangeant des petits fours.
Madame prit rapidement les devants, elle était chaude, elle écarta son chemisier me regarda et murmura.
« Viens me lécher ! » surpris pas le changement soudain de ton dans la conversation, je dus lui faire répéter,  j’avais bien compris, je lui obéis aussitôt, je me leva et me mis à genoux, elle écarta les cuisses et m’offrit sa chatte rasée. Je tira son string en cuir sur le côté et tout en la caressant la bouffa quelques minutes, c’était délicieux.
23.jpgPendant ce temps Monsieur la caressa aussi, ça l’excita. Sans que je m’en rende compte, Monsieur était déjà déshabillé. « Suces-le ! » me dit-elle. Je me tournai d’un quart de tour et prit sa belle bite rasée en main pour la mettre rapidement à la bouche. Pendant que je prenais beaucoup de plaisir à sucer Monsieur qui bandait déjà bien, Madame se leva et vint derrière moi pour me caresser le cul, elle prit en main mon plug et me laboura ma chatte quelques minutes. Voilà, j’y étais ! Un de mes moments privilégié de ma vie de soumise ! Sucer une belle bite et se faire labourer le cul. Dans cette position, je dus assurer quelques minutes, Madame et Monsieur prenaient chacun du plaisir avec moi et s’excitaient en  se caressant et en s’embrassant, c’était super.
J’avais chaud ! Nous nous arrêtâmes pour boire un coup et en profitions pour monter dans leur chambre à l’étage. Vaste chambre sous pente avec sur le lit quelques godes prêts à servir et une chaise balançoire accrochée à une poutre. Madame m’obligea rapidement à m’assoir dedans. Le cul bien calé, les jambes écartées bien en l’air les bottes bien calées dans les étriers, et à disposition de Madame qui recommença à me labourer la chatte avec un petit plug d’abord et ensuite avec un plus gros. Pendant ce temps, je me tenais tant bien que mal avec mes mains aux sangles pendant que Monsieur me fourrai sa queue au fond de ma gorge. Il la laissait bien au fond pour que j’en ai plein la bouche, humm, Madame, elle me fouaitait le cul en feu… chacun prenais son pied. Cela aurait pu durer des heures…
Nous changeâmes de position, Madame voulait que son homme la prenne, elle se mit à plat ventre sur la balançoire et Monsieur la prit debout à la bonne hauteur. Pendant ce temps là elle me suça avec envie. Elle engouffra mon sexe dans sa bouche, c’était très bon.
Madame m’ordonna de me mettre sur le lit, je me mis à quatre pattes au bord du lit pour être prit par Monsieur. Pendant ce temps Madame s’allongea sur le lit pour que je lui bouffe la chatte, c’était trop bon, elle était toute excitée, elle prit un gode et se le fourra en faisant de longs va e vient, je l’aidai à prendre son pied, en lui mettant un doigt puis deux doigts. Son mari continua à me prendre, je sentais sa bite su fond de moi et je prenais mon pied. Je gémissais de plaisir en faisant de petits cris. J’allais faire jouir madame « Oh putain, elle va me faire jouir, oh oui, oh oui… » son mari l’encouragea et il me pinait de plus belle.
Il s’arrêta pour venir actionner le gode dans la chatte de sa femme, je la caressai de plus belle en lui frottant son clito, elle gémissait de plaisir. Elle était superbe, elle prenait un plaisir fou, raillait de plus en plus, je la caressais, elle suçait son homme, elle allait venir. .. Elle gémit de plus en plus, m’écarta un peu et se frotta le clito quelques secondes avant de gicler. Elle inonda la couette du lit, je voulu lui lécher ce liquide sorti tout chaud de sa chatte mais elle m’écarta. Dommage, j’aurai aimé la nettoyer jusqu’à la dernière goutte. La prochaine fois, j’espère qu’elle me giclera sur mon visage. Elle était exténuée, son mari heureux de voir comment elle prit son pied et moi aux anges d’avoir satisfait Madame.

Nous redescendîmes boire un verre dans le salon, nous discutons de longues minutes de tout de rien, de choses de notre vie prive, les enfants… Monsieur ouvrit même une deuxième bouteille de champagne. Monsieur nous quitta quelques minutes pour aller prendre une douche, pendant ce temps, je restai à table avec Madame à discuter de choses et d’autres. Nous nous racontions nos expériences diverses, discussions super intéressantes, pouvoir parler librement à des personnes ayant la même passion pour le sexe et de pratiques communes, voir des fantasmes communs. Elle me confirma son envie de me dominer lors d’une prochaine rencontre « ça sera la totale, bâillon boule, menottée… et tu ne diras rien ». « Comment voulez-vous que je vous appelle, Maîtresse C. ? » je l’appellerai dorénavant Maîtresse C.  « Vous savez Maîtresse, ce que j’aimerai, c’est d’être exhibée par vous et votre homme sur un lieu public ! » « On te fera ça, t’inquiètes pas ! ».
Monsieur revint, « On r’attaque ! » lui dit-elle. Tout en me regardant elle me fit un geste de la tête et écarta les cuisses. Je me levais avec plaisir pour aller lui lécher sa belle chatte encore toute humide de nos derniers ébats. Monsieur qui avait remis son caleçon, le r’enleva et s’approcha de son épouse pour qu’elle le suce. Rapidement elle se leva pour qu’elle le prenne, je restais accroupis à lui lécher la chatte pendant que Monsieur la prenais par derrière. Elle se tenait accrochée au pilier de bois du salon, penchée en avant, tout en me suçant.  Elle rejouie de plus belle, exténuée elle se rassit…

Nous discutons encore quelques minutes, je devais bientôt partir, « Ce soir, tu vas me remettre ton petit joujou à sa place et à cette soirée je veux que tu te fasses défoncer, tu le feras pour moi, d’accord ? » J’acquiesçais ses ordres « Oui, euh …oui Maîtresse ». Je me sentais pousser des ailes, Maîtresse C. me demandait d’avoir une aventure avec un inconnu et j’étais tout content, tout content de la faire pour elle !
Avant de partir, Madame me propose de me refaire une beauté, je fût d’accord, et je lui demanda si elle avait envie de me maquiller. « Avec plaisir ! » me dit-elle. Je la suivis dans la salle de bain, face au miroir assis sur un tabouret elle me fit belle. J’étais gêné, et en même temps tellement heureuse de vivre ces moments.
Il était 21h30 quand nous nous séparions. Je les saluais en les remerciant. Je monta dans mon auto, et lu un texto que j’avais reçu vers 19heures. La femme qui devait venir en boite avec moi y alla avec une autre copine. J’y allai donc seule.
Je repensai à cette soirée magnifique, ou j’avais pris du plaisir et j’étais heureuse d’en avoir donné. Un regret peut-être, ne pas avoir fait jouir Monsieur dans ma bouche, mais l’espoir de le faire une prochaine fois avec tout plein d’autres choses…
Sur la route, je repensais à tout cela, je savais que je pouvais remercier Maître A. pour cette rencontre, j’espère qu’il sera satisfait de mes actes.
J’arrivai à la boite une heure plus tard, je reçus un sms, c’était Maîtresse C.
« Tu as été très sage, alors ce soir tout est permis. Passe une bonne soirée à bientôt bises ».
J’étais déjà contente de passer une soirée avec ce couple et ça allait continuer avec celle-ci spéciale travesties. Je passai une belle soirée, avec plein de copines, plus ou moins belles, plus ou moins sexy, mais toutes heureuses d’avoir une soirée dédiée à leur trip. Y., la femme avec qui je devais venir arriva, nous discutions un peu, elle aurai voulut faire des trucs avec moi, mais pour elle, la soirée ne s’y prêta point. Y. était une femme dominatrice, qui avait comme spécialité de prendre son pied en attachant de belles petites femelles comme moi et de les fouetter. J’attendais ce moment depuis quelques temps déjà, j’attendrai encore un peu. Un homme aussi me dragua, je pensais à Maîtresse C. qui voulait que j’aie une bite dans le cul à cette soirée mais encore une fois, très peu d’hommes ce soir, la soirée ne se présentait vraiment pas pour faires plans cul. Je rentra vers 3 heures, fatiguée mais heureuse de ma soirée.

La suite pour bientôt…

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : travesti
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Mardi 15 mars 2 15 /03 /Mars 05:16

      Janvier, mois des soldes d’hiver, je me fais une commande de fringues à La Redoute. Cela vaut vraiment le coup, une robe satinée sans manche, un top à dentelle, quelques bas, et deux paires de chaussures. J’ai la chance de pouvoir enfiler du 42, c’est une pointure ou il y a encore des modèles sympas et surtout suffisamment sexy. Je me prends une paire de bottes en stretch noir et une paire de bottines mauves assortis avec un leggins cerise j’aimerai porter une tenue flashy un jour, pour aller en boite peut-être. J’ai vraiment hâte de pouvoir sortir et essayer mes nouveaux habits.

C’est en ce mois de février, ou il commence à faire meilleur, que l’envie de sortir se fait sentir, que mon maitre reprend contact avec moi. Il me laisse un message sur le site. Il veut connaître mon calendrier, jours et horaires pour être à sa dispo. Il voudrait aussi des photos  de moi suçant des hommes et recevant leurs semences. Il a plein de projets pour moi et il aimerai me présenter à des personnes  intéressés. C’est vrai que j’attends avec impatience de rencontrer des hommes et faire des photos. Ce printemps je vais donc multiplier les rencontres afin de m’entrainer et être vraiment au point pour les plans de mon Maître.
Quelques jours plus tard, je lui écris un scénario excitant pour une rencontre en Bourgogne qu’il est en train d'organiser. J’adore écrire des scénarios ou je suis en scène, je peux faire le plan que je veux ! Ce que vous lisez là, par contre c’est du réel, c’est ce que j’ai vécu en ce début d’année 2011.
Le scénario que j’écris plait à mon Maître, j’en suis heureux, vous pouvez d’ailleurs le lire sur mon blog « Prêté à un dominateur ».
Arrive enfin une proposition de sa part, il m’a promise à un couple de la région. Ce couple débute avec un travesti. Ce plan me plait beaucoup  d’avance, je ne remercierai jamais assez mon maitre de me dégoter des plans qui me plaisent. Certes,  je dois payer de mon corps à chaque plan mais c’est que du bonheur. Pas d’autres infos concernant ce plan, en attendant une rencontre avec madame dans un premier temps. Initialement prévu mercredi, puis jeudi, c’est vendredi matin que les choses se précipitent.
Heureusement j’avais pris mes précautions ! En effet, il y a quelques temps, j’ai raté un plan car je n’avais pas affaires avec moi et je ne pouvais pas me les procurer. J’avais été déçu…, merci Maître A. de ne m’en avoir pas trop voulu…
J’avais donc mes affaires avec moi et j’étais prête à toute éventualité. Je ne voulais pas décevoir mon maitre et je voulais être disponible quand les personnes voudront me voir. J’aime honorer la confiance qu’on me porte, on ne me propose pas des plans de cette nature tous les jours, alors je mets toutes les chances de mon côté. Ce vendredi donc, je reçus un appel de mon Maître, Il voulait me voir à 12h30. Je devais être apprêtée, aller le voir et lui obéir. Sans nul doute que la suite de l’aventure avec ce couple se déciderai lors de notre entrevue. J’acquiesçai sans sourciller.
Je m’organisa pour mon boulot et je me rendis sur le lieu de rendez-vous. Il avait lieu sur un parking au bord d’une route nationale. Je n’étais pas tranquille, je devais traverser le parking dans sa longueur à une heure très fréquentée de la journée. Mon avenir avec ce couple et aussi avec mon Maître se jouait peut-être à ce moment là, je devais donc assurer…
J’avais pris soin de bien me préparer, ma tenue, ma perruque…
Plusieurs voitures étaient garées sur le parking, je reconnu celle de mon Maître, je me gara à l’autre bout sans savoir si quelqu’un d’autre m’attendait. Sans doute voulait-il m’observer être sure de ma présentation. Maître A. ne laissait rien au hasard, peut-être que le couple que je devais rencontrer  m’observerait sur ce parking.
Je pouvais sortir, tout en fermant ma voiture, je vérifiai ma tenue et me dirigea dans sa direction. Pendant toute cette traversée de parking, je regardai ma démarche, je savais que mon maitre m’observait, il voulait voir mon comportement…

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Arrivée à sa hauteur, je ne montais pas dans son auto, je me dirigeai vers la fenêtre passager, il ouvrit cette fenêtre. Après quelques salutations, il me félicita sur ma tenue, « tu as progressée depuis que je ne t’avais pas vu, c’est bien, tu vas surement leur plaire ! » Effectivement, notre première rencontre datait de deux ans, et depuis, j’ai travaillé ma démarche, et ma garde robe s’est étoffée.
« Tu vas rencontré ce couple, tu vas leur plaire, je pense. Je veux que tu leur obéisses, tu ne discutera pas ce qu’ils te diront de faire, d’accord ? » « Oui, sans problèmes, vous pouvez compter sur moi »
La conversation ne dura pas aeternam, nous discutons de diverses choses pratiques, je lui demandais si ils étaient sm, il me dit que oui surtout à regarder…, ils habitaient à côté d’Annecy, ce serai facile de se voir… « Une derniere chose, ils n’aiment pas le retard… Je leur donne ton téléphone, il t’appelleront en soirée ». La conversation se termina, « C’est ok, vas à ton auto ! ». Nous nous séparâmes. J’étais content de mon entrevue, j’en savais un peu plus, et j’avais rassuré mon Maître sur ma motivation, ma tenue et mon comportement.
Le soir venu, après une bonne douche, je me prépara pour sortir, échaudée par l’entrevue de l’après-midi, j’avais hâte de retrouver cette femme et son mari. Vers dix-huit heures, je reçu le premier texto de cette femme, s’en suit cette conversation.
Elle : « Dis moi tu fais vraiment tout ce que je te dirai de faire ? Pour nous c’est une première mais ça m’excite de savoir que tu pourrai être ma chose. Par contre mon homme il n’est pas très chaud !
Il réfléchi encore pour ce soir mais moi j’ai envie de te défoncer le cul comme on te l’a jamais défoncé et si t’as le malheur de gueuler je t’en bourre un autre dans  la bouche. Je t‘appelle dès que mon homme est rentré. »
Moi « Oui je vous obéirai et serai votre chose. J’attends vos ordres. Daniela. »
Elle « Je te défoncerai demain, je sais pas à quelle heure mon homme rentre  alors t’as intérêt d’être prête à l’heure ou je t’appelle… Prépare ton petit cul »
Moi « Bien Maîtresse. Avec plaisir pour demain. Dommage pour ce soir. Je vais garder mon gode dans le cul en pensant à vous. »
Elle « Laisses le dans ton cul jusqu’à demain. Je ne veux pas te voir sans, quand tu te pointeras demain. »
Moi « Ou Maitresse. »

Il était environ vingt heures quand la conversation se termina.
Un peu déçu par ce plan reporté, surtout que j’étais bien prête et surtout très chaude !, cette femme m’avait résolument excitée et j’avais trop envie de sexe !
Je pris l’auto et arpenta les rues de la ville en repensant à tout cela. Je montai aussi à la Visitation, j’avais le cul en feu et excitée comme une chienne en chaleur. Je pense que si j’étais tombé sur quelqu’un de bien chaud, cela aurai fait tout de suite ! Personne… la pression retomba et je rentra, un peu frustré tout de même. J’avais hâte d’être le lendemain. 
Ne sachant pas à quelle heure cette maîtresse voulait me voir, vers quatorze heures je n’avais toujours pas de nouvelles d’elle, je pris les devants en lui envoyant un texto.
« Bonjour Maitresse, je ne sais pas a quelle heure vous avez envie et si vous voulez me voir, mais ce soir, je ne suis plus dispo à partir de 17h30. Je pars sur Lyon…
Daniela »
Elle me répondu aussitôt, 
« Bonjour, j’espère que tu as passé une bonne nuit alors mettons les choses au point. Tu es ma chose, à ce soir, je ne suis pas dispo avant 20h, alors si tu ne viens pas tu seras puni la prochaine fois que je t’attrape. »
Je devais partir sur Lyon pour une soirée en famille prévue de longue date et je ne pouvais pas ne pas y aller, je lui répondis enfin 
« Je ne rentre de Lyon que très tard. Je suis conscient que je faute en ne venant pas ce soir, et j’assumerai ma punition la prochaine fois. Je saurai me rattraper pour vous satisfaire. Sincèrement 
Daniela »

Elle ne me répondit pas, je laissai passé dimanche et rendit compte à mon Maître de ce qui s’était passé. Je pensais qu’il me téléphonerai dans la journée de lundi, en espérant qu’il ai des nouvelles à me donner. Pas grave, je n’eu pas beaucoup de temps pour y penser….
Ce mardi, je suis dispo au téléphone. suite cette semaine, j’espère …

Bientôt la suite...

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : travesti
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Lundi 28 février 1 28 /02 /Fév 05:37

 

Ce jeudi, mon Maître me laisse un texto : « tel moi ». Lorsque je vois l’expéditeur de ce message, je m’empresse de l’appeler. Cela faisait longtemps que Maître A. me laissait miroiter un plan, j’attendais impatiemment  ce jour.
Je l’appelle, il me demande quelles étaient mes disponibilités, jours et horaires… il a un plan pour moi.
Maître A. a décidé de me prêté à un dominateur,  je serai à sa disposition comme il lui plaira et selon les directives de mon Maître.  Je raccroche et réfléchi à ma meilleure disponibilité pour être à disposition de ce dominateur.
J’ai l’appréhension de savoir à quel genre de dominant va-t-il me prêter, que va-t-il me faire subir, je sais que mon Maître l’aura choisi en fonction de mon profil et de ce que j’aime faire pour lui. Maître A. me réserve toujours des surprises, des bonnes surprises...
Dès le lendemain, je le rappelle pour lui dire que mon meilleur jour serai le mercredi. Je lui demande des détails sur ce dominateur.
Plutôt cérébral, il veut me voir dans une tenue de pute, m’exhiber dans des lieux publics et fréquentés, voir ce que je vaut en tant que soumise et je devrai sucer des bites. Voilà le petit résumé que Maître A. a bien voulu me dire sur ce que j’allais subir. Le reste sera de l’improvisation selon mes dispositions et selon les envies de mon Maître et du dominateur sachant que je devrai obéir, point.

Les jours suivants, mon Maître me donna plus de détails sur ce rendez-vous, important pour mon Maître, pour ce qu’il a envie de me faire subir et pour moi aussi, me faire prêter à un homme… Je rêvais de cela depuis un petit bout de temps déjà. Envie d’être à disposition d’hommes pour les sucer sous le contrôle de mon Maître. Etre obligé de faire ce qu’il me dit…
« Tu devras être apprêtée sur le parking de la sortie Annecy- Sud à 22 heures » « Tu obéiras, tu le conduiras au bord su lac, à la visitation… ».

Le mercredi arriva, je me présenta au parking de l’autoroute comme prévu. J’étais apprêtée, en tenue et maquillée.  Je sortis de l’auto à 22 heures pour me faire remarquer par l’homme qui allait s’occuper de moi toute cette soirée. Le parking était petit, éclairé et je ne savais pas ou me placer pour éviter d’être trop à la vue de tout le monde. Quelques voitures ralentirent à ma vue, je ne bronchais pas et attendait patiemment.  Je n’eus pas à attendre trop longtemps. Une voiture rentra dans le parking, se dirigea directement vers moi et stoppa à ma hauteur. La vitre passager se baissa « Montes Daniela ! ». Non sans inquiétude et avec un peu d’appréhension, j’ouvris la portière et monta à bord de l’auto.

Après avoir fait les présentations, le dominateur me posa des questions sur mes pratiques et sur ce qu’il attendait de moi. Et que je devais obéir sinon ça allait barder… je lui remis ma laisse. Il l’accrocha à mon collier. « Tu es ma chienne, maintenant ! ».  Il sortit de l’auto et me fit sortir, il me promena sur le parking afin de voir ma manière de marcher et de me conduire. Nous traversâmes le parking deux fois, aucune voiture ne vinrent à proximité, j’étais soulagée.  Il détacha ma laisse « marches seule maintenant, que je t’observe ». Je m’exécuta. « Vas plus loin, allez marches ! Montres moi comment tu tapines ! ». Je marchais de la plus naturelle des manières, mais en talons et en tenue de pute, je marcha lentement en faisant bien taper mes talons au sol. Je n’avais jamais fait ça, je ne savais pas ce qu’il attendait vraiment de moi. Je continuais de marcher de long en large autour des autos du parking, sous les yeux de mon dominant. Je revins vers lui l’air aguicheuse. Je me stoppa devant lui en baissant les yeux. Il me remis la laisse « Voilà ! C’est bien Daniela ! C’est pas encore tout à fait ça, mais je vais te dresser, je sens que tu vas y arriver, tu m’as l’air d’être une bonne salope, toi ! A genoux maintenant ! » 20.jpg Pendant que je me mis à genoux, il dégrafa son pantalon,  « Montres-moi comment tu t’occupes d’une bite maintenant ».Je lui attrapa son sexe et la sortit de son caleçon et me mis à la branler. Elle était déjà bien dure,  excitée par mon comportement de pute que je venais de lui montrer. Je la mis rapidement dans ma bouche et m’appliqua à sucer mon dominant. Il était endurant et n’était pas prêt de jouir. J’étais de plus excité et j’avais vraiment envie de le satisfaire et de le faire jouir, il m’arrêta. « Relèves-toi, tu vas m’emmener ou il y a un peu plus de monde ». Il se rhabilla, je me relevais et nous montèrent dans l’auto. « Pareil pour les pipes ma pute ! Tu devras t’appliquer mieux que ça, il faut que les hommes sentent de suite que t’es une bonne salope, tu as l’air d’aimer ça, c’est déjà ça ! » « Et puis, je te préviens, je te veux endurante ! Alors il va falloir t’entrainer, tu devras en sucer des bites » « Ou je veux t’emmener, il y aura un paquet de mecs … ». Cela avait le mérite d’être clair, je savais ce que mon dominant attendait de moi, ce n’était pas pour me déplaire, mais allais-je assurer…

« Emmènes-moi vers le lac, je vais te t’exhiber un peu ! ». Je choisi de l’emmener vers les Marquisats.

Arrivé sur place, il sorti de l’auto et me fit sortir, il devint plus directif et autoritaire, « Là, tu vas être une bonne soumise, je vais t’apprendre à me suivre comme une bonne chienne à son Maître ! » De son sac il sorti un bâillon boule qu’il me posa, bien serré « Déjà ça t’éviteras de parler, tu n’es plus maitre de tes actes, tu vas faire ce que je te demande ! » Ensuite il sorti une paire de menottes métal et m’attacha les poignets dans mon dos. « Et pour que tu te tiennes bien droite je vais t’attacher les avant-bras avec une corde ». Effectivement cela m’obligea à me redresser. Il prit son sac et nous partîmes nous promener. Je n’étais pas très fier, de me faire remarquer par le peu de passants de cette heure là mais tout de même impressionnée. J’étais heureux de ma position et me sentais en sécurité avec mon dominateur. Certes je ne faisais pas la fière, mais j’avais envie de lui obéir. Cela me rendait forte et capable de faire plein de choses…

Nous traversâmes la route nationale pour aller du côté du lac, une auto nous laissa passer, nous observa une ou deux minutes et repartit. A cette heure tardive quelques passants encore se baladaient ou rentraient chez eux. Le bord du lac était un peu éclairé et on me voyait bien, promenée en laisse par mon Maître. Il avait sorti sa cravache et de temps à autre il me tapait les fesses. Il s’arrêta à un lampadaire me détacha et m’attacha face au lampadaire. Il me plota sans retenue, il m’excitai… Il souleva ma robe sur mes hanches, sortit un fouet de son sac et me donna des coups sur les fesses. Je me cambrai droite sur mes talons, je me cramponnai au lampadaire. Je ne pu sortir aucun son de ma bouche entravée qu’elle était du bâillon. Cette petite séance dura un bon quart d’heure. Mon dominant me massa les fesses rougies et rebaissa ma robe. Il me détacha du lampadaire et nous repartîmes.
Nous marchons bien une demi-heure, nous allons jusqu’aux jardins de l’Europe, très peu éclairé, quelques personnes marchent. Mon dominateur accoste un homme, et lui demande « Elle vous plait ma salope, vous voulez quelle vous suce ? » Après deux refus, un troisième homme s’arrêta puis s’approcha de mon Maître « Elle est belle ma pute, non ? Qu’en pensez-vous ? ». L’homme répondit « Oui ! Elle a l’air bonne ! ». « Daniela mets-toi à genoux ! » m’ordonna mon Maître, je m’exécuta, il m’enleva mon bâillon et me détacha de mes liens.
Pendant ce temps là l’inconnu me plota largement les fesses et les jambes. « Tu vas me sucer cet homme et comme il faut, tu entend sale pute ? » Mon Maître avait changé de ton, il montra à l’homme qui j’étais réellement et ce qu’il attendait de moi. Je fis un signe de la tête, acquiesçant ses paroles et j’aida l’homme à sortir sa bite pour m’en occuper. L’inconnu, très excité à l’idée de se faire sucer, ne me ménageait pas, il me prit la tête pour la tirer à lui pour que sa bite aille de suite au fond de ma gorge. Il y resta quelques secondes, sa bite gonfla encore, il se retira et je commençai des allers et venues. Je m’appliqua à le sucer avec mes lèvres, je le pompai, il s’excitait, il n’allait pas tarder à jouir. Je lui suça juste le bout du gland, il vint rapidement, je serra les lèvres et lui aspira son jus qui venait par saccades. Il m’inonda la bouche en quantité de son foutre, j’avala le tout directement et lui nettoya comme il faut son gland. Il était satisfait, il se rhabilla rapidement. Mon maître me félicita « Bien ma chienne, tu as bien sucé monsieur » Et il me remit mon bâillon boule, je n’eus pas le temps de déglutir complètement, j’avais encore plein de jute dans ma bouche, ce n’était pas anodin de sa part. J’eu l’autorisation de me relever, il me remit les menottes à mes poignets attachées devant.
« Bon il n’y a pas trop de monde ici, tu vas m’emmener à la visitation. Ton Maitre a donnez rendez-vous à quelques hommes. Tu vas devoir en sucer quelques uns et t’aura intérêt de le faire bien ! ».

 il me traina par la laisse à la voiture. Je l’emmenai  à la Visitation, haut lieu des rencontres libertines…  Mon maître me parlai, je répondais par des signes de la tête, il me redisait ce qu’il attendait de moi, une totale obéissance pour faire de moi sa pute.
L’idée me plaisait, mais jusqu’ou je serai capable d’aller…
Effectivement, à la visitation il y avait toujours quelques voitures garées le long  de la route. Des hommes viennent ici pour des rendez-vous ou à l’improviste, Ils sont tous là pour se soulager ! Nous montons en auto jusqu’en haut puis redescendons en bas de la côte et mon Maître se gara. Il sorti de l’auto. Il vient m’ouvrir la porte et je sorti également.
Il faisait nuit noire,  je le suivi, il monta le long de la route en me tirant quelque peu. Il regarda dans les voitures s’il y avait quelqu’un, personne pour l’instant, nous continuons sans un mot à monter.
Ne voyant personne aux alentours, il decida de me détacher et de m’enlever le baiilon.
« Tu vas aller sous le lampadaire et tu vas attendre que quelqu’un vienne te draguer ok ! » « Oui Maître ».
Je marcha pour rejoindre le lampadaire éclairé, bien en vue, les hommes me verront mieux. Je me mis le dos contre, une jambe pliée talon contre le lampadaire, ma cuisse totalement découverte laissant apparaitre mes bas. J’étais parfaite, la pute attendant son client, j’attendais patiemment. Je n’eus pas à attendre longtemps, un homme s’approcha d’un pas décidé. Il me tourna autour, je ne bronchais pas, il se mit derrière moi, je sentis les frissons en moi, il s’approcha et commença à me toucher la taille et me caressait de haut en bas.il alla jusqu’à mes bas, il me caressa avec attention, il remonta petit à petit sa main pour atteindre mon sexe. Je bandais déjà… il me branla encore, excité de me voir chaude, il m’embrassait, je me détournais quelque peu, il me retourna et me plaqua dos contre le lampadaire. L’homme face à moi, sa tête dans ma poitrine me plotait les fesses avec fermeté. Il déboutonna  son Jean, j’engouffrai ma main dans son pantalon et dans son caleçon pour lui attraper sa bite. Je n’eus pas de mal, elle était déjà bien tendue, je la massa un peu et m’agenouilla. Je mis son sexe dans ma bouche, il était gros et je prenais trop de plaisir à le sucer. J’en avais oublié mon Maître, qui ne tardait pas accompagné de deux hommes.  Je continuai de le sucer pendant que les deux autres sous les yeux de mon dominant sortirent leur sexe de leur pantalon et s’approchèrent de moi. Je laissa tomber le sexe pour attraper un sexe dans chaque main pour les branler en même temps, sans lâcher la bite que j’avais en bouche.
L’homme que je suça, me prit la tête à deux mains pour augmenter la cadence, sa bite allait bien au fond de ma gorge, c’était trop bon, j’avais peur de vomir, je me concentrais sur mes mains  en train de branler deux belles bites dont une assez énorme !
 Les deux autres hommes semblaient impatients que je les suce, j’essayais de me retirer un peu mais l’homme que je suçai insista de plus en plus et ma tête faisait de violents allers et retours d’avant en arrière, je m’appliquais à serrer sa bite entre mes lèvres,  je n’en pouvais plus, j’essayais de m’attarder sur le bout de son gland et de le masser avec mes lèvres pour le faire venir. Il se lâcha enfin, je le laissai aller au fond de ma gorge, il y resta le temps de cracher son jus que je n’avais pas le choix d’avaler. Il se retira violemment, je repris ma respiration, l’homme à ma droite me tourna la tête face à lui et je dû mettre de suite sa bite dans ma bouche.  Pour l’avoir branlé pendant que je suçais l’autre, je m’étais aperçu qu’elle était différente,  j’avais pu mettre la précédente entière dans ma bouche, celle-ci, j’aurai plus de mal… son diamètre légèrement plus gros, c’était la longueur surtout qui était plus importante. Les premiers allers et venues se firent plus lentement, j’avais vraiment du mal, elle prenait ma bouche entière, l’homme alla également doucement.
Mon Maître me surveillait de près, « Allez salle pute prend cette bite, jusqu’au bout ! » Cela m’encouragea, je m’appliquai et accéléra les mouvements.  Quel bonheur de sentir cette grosse bite envahir ma bouche, j’avais envie qu’il me la mette ailleurs. Je provoquais cet homme en arrêtant de le sucer, je me tournais vers le troisième tout en relevant ma jupe et en relevant mes fesses, il comprit rapidement, en se mettant derrière moi. Je suçai ce troisième homme avec une bite plus raisonnable ! Pendant que le deuxième me prenait par la taille et commençait à se branler dans ma raie. Il m’écarta la ficelle de mon string et força sa bite vers mon trou.  Mon Maître lui sorti une capote qu’il enfila rapidement, pour essayer de rentrer son énorme sexe.
Je me concentrais sur la bite que je suçais, histoire de détendre mon orifice, j’en aurai besoin pour faire rentrer l’engin ! Avant cette séance, j’avais pris soin de bien me lubrifier, et j’avais fais de bonnes séances avec mon plug, ça m’aida.
Petit à petit il forçait le passage, il mit quelques minutes à arriver jusqu’au bout, je gémissais de douleur, mais quel plaisir. Il pouvait maintenant faire des vas et viens, très courts mais il venait buter contre mes fesses, c’était l’extase. Une fois qu’il était bien en rythme, je pouvais me re-concentrer sur la bite que j’avais toujours en bouche. Excitée comme j’étais, le plaisir que je prenais, je suçais avec acharnement et avec conviction, je m’aidai d’une main pour lui malaxer ses boules et le branler activement dans ma bouche. Il finit par gicler dans ma bouche, cela excita l’homme qui me prenait qui joui aussi très vite. J’avais trop envie de jouir aussi, mais les hommes se retirèrent de leur trou respectif et la pression retomba.
Ils se rhabillèrent, échangèrent quelques mots avec mon Maître, je restai à quatre pattes pour souffler un peu, exténué que j’étais. Mon Maître me prit par le bras pour me remettre debout, je me relevai. Tout en marchant en direction de l’auto, il me complimentait sur ma prestation, pensant déjà à la prochaine.
« Je téléphonerai à Maître A. pour lui raconter, tu as bien assuré pour les trois hommes à la suite ! » « En même temps, c’est que l’on attend de toi ma pute ! » 
« C’est un bon test, je pense qu’il va pouvoir « taper plus haut » maintenant »
« On va y aller progressivement mais à chaque nouveau plan, il y aura de plus en plus d’hommes à satisfaire, il faudra que tu assures, de gré ou de force ! »
« Je sais que Maître A. travaille sur d’autres plans pour toi, il a tout un groupe d’hommes à te soumettre».
« Tu  aimes la bite, ça se voit, on va t’en donner ok, mais notre but à Maître A. et moi serai de repousser tes limites, tu sais ? »
« Peut-être que tu n’aimeras pas faire telle ou telle chose, que tu en auras marre de sucer des bites, marre que tes trous soient remplis »
« Et bien c’est pas toi qui décidera ! On aimerai te voir enduré, donc  s’il le faut on te contraindra ! »
« Nous connaissons des Maîtres spécialisés SM qui s’occuperont de toi, ils te dresseront s’il le faut !
Mon Maître me raccompagna à mon auto et me laissa.

J’eus un peu peur de cette conversation, peur de ne pas réussir mais au fond de moi, je sais que j’aime cela…

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Soumission et appartenance
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Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume
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