Je me préparai, mon Maître voulait me sortir… Venant de sa bouche, le mot sortir avait différentes significations, il aimait me donner rendez-vous dans un lieu discret, on se baladait un peu, il me regardait et il profitait de moi, je le suçais et il me prenait. Il jouissait, j’étais heureuse de le satisfaire.
Ce soir là nous avions rendez-vous sur le parking habituel et discret. Comme à mon habitude, j’avais pris soin de me faire belle. Petite robe
de soie courte bien entendue, bas sur guêpière et talons hauts.
J’arrivais sur le parking à 19 heures, la nuit était tombée déjà, je vis son auto me faire des appels de phares, je le rejoignais et nous partons
pour un lieu inconnu pour moi. Nous avons roulé environ dix minutes en direction de la montagne. Il y avait une église toute éclairée, nous faisons
demi-tour devant pour redescendre plus bas vers un parking assez sombre. Il y avait des voitures garées un peu partout mais isolées les unes des autres. L’endroit était calme mais
trompeur !
Mon Maître se gara, descendis, et me fit descendre. Il se posta devant moi, m’observa de haut en bas pour vérifier ma tenue, j’avais l’air de lui plaire… Il me toucha les fesses, me mis la main au minou, j’étais déjà très excitée ! Il accrocha sa laisse à mon collier en me chuchotant à l’oreille « ce
soir je vais t’offrir, j’espère que tu assureras ? » j’acquiesçais d’un timide « oui Maître » car j’étais très surprise, je ne m’attendais pas à cela. Je savais que mon Maître
avait follement envie de m’offrir mais je ne pensais pas que cela viendrait si tôt. Je ne m’étais pas préparée à cela, mais j’aime quand mon Maître nous trouve des nouvelles idées de rencontres,
et je sais qu’elles sont toujours excellentes ! Il devait me sentir prête, je lui faisais confiance.
Il m’ordonnais de le suivre, nous marchions quelques mètres et il me fis signe de m’arrêter, je stoppais sur l’emplacement de parking entre deux
voitures, mon Maître m’ordonna de me mettre à genoux, mains au sol, il souleva ma jupe, et me caressa les fesses. Il sorti sa cravache et me donna
quelques coups « je veux que tu sois excitée, chaude, très chaude ». Mes fesses commencèrent à rougir, Mon Maître me masturba pour voir mon
état, je sentais la douleur de mes fesses, aussi je mouillais terriblement. Au bout de cinq minutes j’entendais des pas s’approcher de nous. Il y avait plusieurs personnes, deux ou trois, il
faisait sombre, je ne voyais pas grand-chose à genoux que j’étais encore.
Mon Maître me releva en tirant sur la laisse, « voilà chienne, tu vois ces hommes, tu vas les vider, ok ? ». Je fis signe oui de la tête, impressionnée que j’étais de voir ces trois
personnes postés devant moi. Ils s’approchèrent ensemble vers moi, m’entourant, me tournant autour, à m’observer à la lueur de quelques phares de voitures allumés au loin. Ils commencèrent à me
toucher, j’en eus les frissons, j’avais peur, trois inconnus d’un coup comme ça… Ils me pelotèrent le corps entier, me caressant, les jambes, me massant les fesses bien fermes et rougies par mon
Maître, l’un d’eux s’arrêta sur ma chatte, me masturba. Il vut que j’étais chaude, cela l’excita et commença par défaire son pantalon. Machinalement, je jetais un œil en direction de mon
Maître, il me fit un signe de la tête, je compris son autorisation d’être entreprenante et j’aidais le premier homme à se dévêtir. Il sorta son sexe de son slip, et me prit par le cou pour me pencher en avant « suce salope, à fond ». Je mis son sexe déjà bien dur
dans ma bouche, humm c’était top bon. Pendant ce temps là les deux autres hommes me soulevèrent ma robe pour observer mes fesses « Votre chienne à un beau cul, belle
trouvaille ! ».
Ils me tâtaient les fesses, me masturbaient, c’était très agréable, j’étais dans une position inconfortable, je me mis donc accroupi et ensuite à genoux. Je continuais à sucer vivement le premier
homme, les deux autres commencèrent à se dévêtir aussi. Ils s’approchèrent de moi, un à ma gauche l’autre à ma droite en me présentant leur belle queue, qu’ils avaient sorti en commençant à se
masturber. Je les aidais, j'en pris une dans chaque main, tout en suçant mon premier homme.
Mon Maître observait la scène face à moi, je levais de temps à autre les yeux en sa direction, il semblait satisfait de mes actes et
m’encourageait d’un signe de la tête. Je me concentrais à ce que je faisais, en prenant beaucoup de plaisir, c’était très bon de satisfaire plusieurs hommes devant mon Maître.
Je continuais donc de sucer mon premier homme quand il se retira
pour laisser sa place à l’homme de ma droite, j’eus juste le temps de tourner la tête, j’avais les trois bites à quelques centimètres de mon visage, il était facile pour moi de changer d’un homme
à un autre. Je n’avais pas le temps de reprendre mon souffle, les trois hommes m’en empêchaient en me prenant par la tête. Ils étaient très chauds, et avaient trop envie de jouir rapidement.
C’était pas pour me déplaire car sucer trois bites à la suite sans s’endormir dessus car mon Maître me regardait d’une part et les hommes, eux n’avaient que faire de mon exténuation, ils
voulaient se vider les couilles avec une belle femme comme moi !
Mon Maître intervint « allez chienne Daniela, tu vas me vider leurs couilles, sans en perdre une goutte ». Je redoublais d’efforts pour que le premier homme arrive à jouir, je sentais
qu’il venait, l’autre me pris la tête pour que je le suce, à chaque moment ou je pensais que l’homme allait jouir, l’autre me coupait dans son élan. Je décidais de garder bien en bouche cette
queue en m’aidant de la main pour le masturber, je sentis alors quelques gémissements arriver et il jouit dans ma bouche, c’était trop bon, je me délectais de son jus, mais cela eu pour effet
d’exciter encore plus les deux autres qui me sollicitaient de plus belle. Je dus avaler leurs foutres dans un court laps de temps à la chaîne, revenant sur le premier qui se branlait encore, je
nettoyais chaque homme de leurs dernières gouttes, ils semblaient satisfaits, se rhabillèrent, saluèrent mon Maître « Merci, votre chienne a assuré, vous la féliciterez ».
Je restais planté là quelques minutes, en m’essuyant le tour de ma bouche et en attendant les ordres de mon Maître « C’est bien ma salope, tu apprends vite, je veux que tu fasses encore mieux la prochaine fois ». J’étais contente, heureuse que mon Maître soit satisfait, qu’il ai pris du plaisir en me voyant offerte de la sorte. Cela m’a plu aussi, j’ai déjà l’appréhension d’une prochaine rencontre. Je devrai faire encore mieux…
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