Samedi 20 mars 6 20 /03 /Mars 03:25

Je me préparai, mon Maître voulait me sortir… Venant de sa bouche, le mot sortir avait différentes significations,  il aimait me donner rendez-vous dans un lieu discret, on se baladait un peu, il me regardait  et il profitait de moi, je le suçais et il me prenait. Il jouissait, j’étais heureuse de le satisfaire.

Ce soir là nous avions rendez-vous sur le parking habituel et discret. Comme à mon habitude, j’avais pris soin de me faire belle. Petite robe de soie courte bien entendue, bas sur guêpière et talons hauts.
J’arrivais sur le parking à 19 heures, la nuit était tombée déjà, je vis son auto me faire des appels de phares, je  le rejoignais et nous partons pour un lieu inconnu pour moi.  Nous avons roulé environ dix minutes en direction de la montagne. Il y avait une église toute éclairée, nous faisons demi-tour devant pour redescendre plus bas vers un parking assez sombre. Il y avait des voitures garées un peu partout mais isolées les unes des autres. L’endroit était calme mais trompeur !
Mon Maître se gara, descendis, et me fit descendre. Il se posta devant moi, m’observa de haut en bas pour vérifier ma tenue, j’avais l’air de lui plaire…  Il me toucha les fesses, me mis la main au minou, j’étais déjà très excitée ! Il accrocha sa laisse à mon collier en me chuchotant à l’oreille «  ce soir je vais t’offrir, j’espère que tu assureras ? » j’acquiesçais d’un timide « oui Maître » car j’étais très surprise, je ne m’attendais pas à cela. Je savais que mon Maître avait follement envie de m’offrir mais je ne pensais pas que cela viendrait si tôt. Je ne m’étais pas préparée à cela, mais j’aime quand mon Maître nous trouve des nouvelles idées de rencontres, et je sais qu’elles sont toujours excellentes ! Il devait me sentir prête, je lui faisais confiance.
Il m’ordonnais de le suivre, nous marchions quelques mètres et il me fis signe de m’arrêter,  je stoppais sur l’emplacement de parking entre deux voitures, mon  Maître m’ordonna de me mettre à genoux, mains au sol, il souleva ma jupe, et me caressa les fesses. Il sorti sa cravache et me donna quelques coups « je veux que tu sois excitée, chaude, très chaude ». Mes fesses commencèrent à rougir, Mon Maître me masturba pour voir mon état, je sentais la douleur de mes fesses, aussi je mouillais terriblement. Au bout de cinq minutes j’entendais des pas s’approcher de nous. Il y avait plusieurs personnes, deux ou trois, il faisait sombre, je ne voyais pas grand-chose à genoux que j’étais encore.
Mon Maître me releva en tirant sur la laisse, « voilà chienne, tu vois ces hommes, tu vas les vider, ok ? ». Je fis signe oui de la tête, impressionnée que j’étais de voir ces trois personnes postés devant moi. Ils s’approchèrent ensemble vers moi, m’entourant, me tournant autour, à m’observer à la lueur de quelques phares de voitures allumés au loin. Ils commencèrent à me toucher, j’en eus les frissons, j’avais peur, trois inconnus d’un coup comme ça… Ils me pelotèrent le corps entier, me caressant, les jambes, me massant les fesses bien fermes et rougies par mon Maître, l’un d’eux s’arrêta sur ma chatte, me masturba. Il vut que j’étais chaude, cela l’excita et commença par défaire son pantalon. Machinalement, je jetais un œil en direction de mon Maître,  il me fit un signe de la tête, je compris son autorisation d’être entreprenante et j’aidais le premier homme  à se dévêtir. Il sorta son sexe de son slip, et me prit par le cou pour me pencher en avant « suce salope, à fond ». Je mis son sexe déjà bien dur dans ma bouche, humm c’était top bon. Pendant ce temps là les deux autres hommes me soulevèrent ma robe pour observer mes fesses « Votre chienne à un beau cul, belle trouvaille ! ».
Ils me tâtaient les fesses, me masturbaient, c’était très agréable, j’étais dans une position inconfortable, je me mis donc accroupi et ensuite à genoux. Je continuais à sucer vivement le premier homme, les deux autres commencèrent à se dévêtir aussi. Ils s’approchèrent de moi, un à ma gauche l’autre à ma droite en me présentant leur belle queue, qu’ils avaient sorti en commençant à se masturber. Je les aidais, j'en pris une dans chaque main, tout en suçant mon premier homme.

Mon Maître observait la scène face à moi, je levais de temps à autre les yeux en sa direction, il semblait satisfait de mes actes et m’encourageait d’un signe de la tête. Je me concentrais à ce que je faisais, en prenant beaucoup de plaisir, c’était très bon de satisfaire plusieurs hommes devant mon Maître.
scenar3.jpgJe continuais donc de sucer mon premier homme quand il se retira pour laisser sa place à l’homme de ma droite, j’eus juste le temps de tourner la tête, j’avais les trois bites à quelques centimètres de mon visage, il était facile pour moi de changer d’un homme à un autre. Je n’avais pas le temps de reprendre mon souffle, les trois hommes m’en empêchaient en me prenant par la tête. Ils étaient très chauds, et avaient trop envie de jouir rapidement. C’était pas pour me déplaire car sucer trois bites à la suite sans s’endormir dessus car mon Maître me regardait d’une part et les hommes, eux n’avaient que faire de mon exténuation, ils voulaient se vider les couilles avec une belle femme comme moi !
Mon Maître intervint « allez chienne Daniela, tu vas me vider leurs couilles, sans en perdre une goutte ». Je redoublais d’efforts pour que le premier homme arrive à jouir, je sentais qu’il venait, l’autre me pris la tête pour que je le suce, à chaque moment ou je pensais que l’homme allait jouir, l’autre me coupait dans son élan. Je décidais de garder bien en bouche cette queue en m’aidant de la main pour le masturber, je sentis alors quelques gémissements arriver et il jouit dans ma bouche, c’était trop bon, je me délectais de son jus, mais cela eu pour effet d’exciter encore plus les deux autres qui me sollicitaient de plus belle. Je dus avaler leurs foutres dans un court laps de temps à la chaîne, revenant sur le premier qui se branlait encore, je nettoyais chaque homme de leurs dernières gouttes, ils semblaient satisfaits, se rhabillèrent, saluèrent mon Maître « Merci, votre chienne a assuré, vous la féliciterez ».

Je restais planté là quelques minutes, en m’essuyant le tour de ma bouche et en attendant les ordres de mon Maître « C’est bien ma salope, tu apprends vite, je veux que tu fasses encore mieux la prochaine fois ».  J’étais contente, heureuse que mon Maître soit satisfait,  qu’il ai pris du plaisir en me voyant offerte de la sorte. Cela m’a plu aussi, j’ai déjà l’appréhension d’une prochaine rencontre. Je devrai faire encore mieux…

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Jeudi 18 mars 4 18 /03 /Mars 03:19

Je venais de recevoir quelques nouveaux habits.
J’étais très excitée à l’idée d’enfiler tout ça.
Mon Maître m’avait demandé de me procurer une nouvelle jupe, il la voulait courte, très courte. Afin de le satisfaire, j’avais passé une commande et j’avais trouvé une jupe en cuir très courte, du même coup une superbe paire de bottines à talons hauts et une paire de bas.

J’ai de suite signalé à mon Maître l’arrivage de mon colis, très excitée de les enfiler rapidement pour lui. Il m’ordonna de me tenir prête à sortir avec. J’attendais avec impatience ses ordres et sursauta à chaque sonnerie de mon portable espérant son message.

C’était mercredi, le téléphone sonna à midi, c’était lui, je devrais être au parking de l’aire d’autoroute à 19 heures, il m’avait communiqué le lieu quelques jours auparavant, mon sac était prêt, je rentrais à la maison à 18 heures le récupérer pour aller illico sur la zone dite. J’étais nerveuse, excitée de sortir en femme, mais anxieuse de la rencontre que j’allais avoir.

Comme à son habitude, mon Maître ne me donna aucune information quant à la nature de la rencontre, je connaissais le lieu certes, mais pas du tout qui j’allais rencontrer, le nombre de personnes et le type de rencontre.

Je me garais sur le parking précédent de notre lieu de rendez-vous, je m’habillais de ma jupe, de bas et de mes bottines. Je mis un haut en satin et enfila mon blouson court. Je n’oublia pas de mettre ma perruque et mon collier de chienne que mon Maître m’avait offert. Il m’avait fait graver "Daniela, chienne de Maître A", sur la plaque pour me le confier, je devais l’avoir pour chacune de nos rencontres, lui avait la laisse.
Je reprenais la route sans avoir oublié de bien vérifier ma tenue. Mon Maître tenait à ce que j’assure, que je fasse femme, être crédible.

Je me gara sur le lieu convenu, la nuit commença à tomber, il y avait quelques voitures et quelques aller et venue sur le parking. Je restais planté là quelques longues minutes, en attendant un signe de la part de mon Maître.
Il avait l’habitude de se garer assez loin de moi, de me faire des appels de phares, c’était le signal pour que je me déplace jusqu’à sa voiture. Je cherchais désespérément son auto, mais ne la vit point quant mon portable sonna, c’était lui, je répondis hâtivement, il m’ordonna de sortir de l’auto, de marcher le long du trottoir et d’attendre que quelqu’un m’accoste.

J’étais surprise, je ne m’attendais pas à ça, il n’était pas là ; je devais quand même sortir vêtue en look très pute et attendre que quelqu’un vienne me voir.
Est-ce que se sera lui ou une autre personne, je ne le savais pas.
Moi qui était déjà nerveuse sans ça, ça me déstabilisait, j’avais peur…
Mais après avoir raccroché je me dis que connaissant mon Maître, il aurrai tout prévu et je peux lui faire confiance… J’avais aussi très envie de lui obéir et qu’il soit content et fier de mes actes. Je sortis de l’auto non sans attendre quelques instants et que l’activité du parking soit le plus calme possible, je sais que cela ne durera pas et que très vite d’autres voitures arriveront et que des personnes me verront, m’observeront…

Je fermais l’auto à clé et commençais à marcher le long des autos, ça allait, plus je marchais et plus je me sentais bien.
Je savais que je je ne pourrai pas retourner dans la voiture rapidement, elle était maintenant trop loin, je devais donc assurer mes actes, être habillée en femme provocante, paraitre le plus crédible possible afin d’être remarqué le moins possible.
Je savais que ce n’étais pas facile pour moi, je devais penser à mon allure, ma posture, ma façon de marcher, la manière de porter mes habits et me déplacer en attendant que quelque chose se passe. Je pensais donc à tout ça en même temps et cela m’aide beaucoup à me sentir à l’aise, car au fond de moi, c’est ce que j’aime, surtout quand j’entendis quelques voitures passer non loin de moi, elles ralentissaient, je sentais le regard de personnes, c'était très excitant, mon Maître était-il en train de m’observer, je l’espérais, ça m’excitait !


pute7.jpg

Je dûs attendre un quart d’heure quand une auto s’arrêta à ma hauteur, je m’arrêtais quand je vus que la fenêtre s’ouvrit.
J’étais impressionnée, qu’allait-il se passer ?
C’était un homme assez âgé qui me dit "vous devez avoir froid vêtue de la sorte, vous devriez venir vous réchauffez dans mon auto".
Je ne sus quoi dire, je restais sans voix, il me regardait, souriant, attendait une parole de ma part, je n’en eu point, il ouvrit la portière et me fit signe de monter.
J’hésita, en pensant quelques instants à mon Maître, il aimerait que je monte avec un inconnu, je saisis la poignée ouvrit la porte et me faufila dans l’auto. Je refermais la porte et l’homme redémarra.

Il avait environ 50 ans, belle allure, il avait l’air entreprenant. Il se gara une dizaine de mètres plus loin, je ne disais toujours rien, j’étais impressionnée, j’étais dans une voiture en femme, en tenue super court avec un homme inconnu.

Il commençait à faire sombre, uniquement un lampadaire sur ma gauche éclairait mes genoux, cela faisait briller mes bas, je distinguais un peu la dentelle du haut de mes bas, je voulus tirer un peu sur ma jupe pour cacher cela, mais l’homme mis sa main sur mes cuisses et commençait à me caresser. J’étais excitée, je bandais, je mouillais déjà.
Je le laissa faire quelque instants, ça me plaisait, je décidais à mon tour d’approcher ma main de son pantalon, Je sentis son sexe à l’étroit dans son slip, il avait l’air gros, il était très dur. Je commençais à me sentir vraiment à l’aise, pensant déjà à défaire son pantalon et à engouffrer sa bite dans ma bouche, j’en avais fortement envie.

Je fus surpris quand il prit ma main pour m’empêcher d’aller plus loin dans mes actes, "stop ! Arrêtes, on va faire ça ailleurs". il descendis de l’auto et vins m’ouvrir la porte. Je descendis, je lui obéis et le suivis, il me tenait par la taille, je marchais avec un homme l'un contre l'autre, j’étais très fière de cette situation et excitée de ce qu’il allait me faire.

On se dirigea vers les toilettes de l’aire d’autoroute, elles étaient en extérieur, il y avait de la place, il me fit entrer dans les toilettes handicapés sans dire un mot. Il rentra et referma la porte derrière lui à clé, j’étais face au mur, n’osant pas me retourner.
Il prit les choses en main, me pelotant en inspectant tout mon corps de haut en bas, il passa sa main sous ma jupe "tu n’as pas de culotte, t’es une vraie salope toi, hein ?" s’arrêtant vers mon sexe qu’il étira et le branla un peu "tu mouilles ma salope hein ?".
Je ne pus qu’acquiescer d’un signe de la tête, il m’appuya sur la tête pour me faire pencher en avant, je m’exécutais.
Il me pelota les fesses en les malaxant "t’as un beau cul de salope, tu vas voir ce qu’il va prendre".
La pression montait en moi, j’étais très excitée, lui aussi d’ailleurs, il me releva, me tourna vers lui "à genoux, chienne dépêches-toi" je m’exécutai face à lui "dégrafes mon pantalon, sors ma bite et suce là".

Il était directif, cela m’allait bien, j’aimais ça.
Je sortis sans mal son sexe de son caleçon tellement il commençait à être gros et à être à l’étroit, "dépêches-toi sale catain, mets ça en bouche et applique-toi" je me l’engouffra directement dans la bouche afin de mesurer sa taille.
Je le ressortis délicatement, suça le bout de son gland et savoura son premier jus, il mouillait grave ! c’était super bon, je saisis ses boules dans ma main et son sexe dans l’autre pour le branler quelque peu tout en le suçant langoureusement, c’était excitant, je bandais aussi, mais je me concentrais sur l’homme que je suçais pour le satisfaire du mieux que je pouvais.

Sa queue devenait énorme et super dure, je faisais des allers et venues lents et rapides au fond de ma gorge, j’avais envie qu’il jouisse et je faisais tout pour. Je le suça bien une bonne dizaine de minutes, je sentais qu’il ne jouirai pas de suite, il se retira et me retourna. Il me pencha vers l’avant, releva ma jupe, je sentis soudain son énorme sexe se frôler à mon anus.
J’avais peur de sa gosse bite, allait-il me faire mal, il prit un préservatif de sa poche, se l’enfila et m’enfila tout dans le cul. Il me prit avec délicatesse, rentrant dans mon cul lentement mais surement, en deux ou trois fois, il était rentré dans mon corps des deux tiers de sa bite, c’était bon, elle était grosse, mais bonne.
Je m'accrocha au lavabo, les bras écartés comme les cuisses.

Il commença à faire quelques allers et venues de courtes distances afin de bien faire le passage, il rentrait son sexe de plus en plus loin, cela me faisait trop du bien même si j’avais conscience de l’énormité de la chose.
Il me tenait les hanches et me donnais des coups de butoirs pour aller le plus loin possible, je sentais maintenant ses bourses cognés contre mes fesses, il avait atteind son rythme de croisière, il me pilonnait le cul, il prenait du plaisir et par la même m’en donnait également « tu aimes ça, hein salope ? », je gémissais de plaisir.

Je me regardais en femme, véritable putain, en train de me donner à un homme, inconnu de surcroit, qui me prenait par derrière dans les toilettes publiques d’une aire d’autoroute.
J’éprouvais beaucoup de plaisir et l’homme avait l’air aussi de se régaler, il s’arrêtais de me prendre, tout en me relevant et en me retournant, il me dit "tu vas me pomper jusqu’à la dernière goutte".
Je lui enleva le préservatif pour m’enfiler sa grosse bite bien chaude dans ma bouche, il était prêt à jouir, je voulais qu’il jouisse, qu’il m’inonde, je voulais qu’il le fasse dans ma bouche, je n’ai pas eu à attendre très longtemps, je sentais que ça venait de loin, cela arrivait avec une telle pression que son foutre alla directement au fond de ma gorge, je déglutissais une première fois et m’empressa de le pomper à fond et aspirer jusqu’à la dernière goutte, je me régalais de son foutre.

Son sexe était maintenant propre, il semblait très satisfait du plaisir que je lui avait donné, il se rhabilla, me remercia, "à la prochaine fois salope…"
il sorta rapidement en me saluant.
Je restais quelques minutes, bouche bé, savourant le plaisir donné, j’aurai aimé sortir en même temps que lui, mais jétais exténuée.

Je sortis discrètement pour retourner à mon auto, j’étais fière sur mes talons, en femme et surtout d’avoir fait la pute pour un homme.
Le téléphone sonna, c’était mon Maître, "c’est bien ma salope t’as bien assuré, je suis fière de toi, la prochaine fois, tu assureras pour plusieurs hommes …"
Il raccrocha.

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Samedi 13 mars 6 13 /03 /Mars 05:03

Nous avions rendez-vous chez vous, je devais me garer dans la cour, attendre les instructions.

J'attendais angoissée, ne sachant qui j'allais rencontré et qu'allais-je subir...

Une chose était sure, je suivais à la lettre les consignes de mon Maître, j'avais une totale confiance en lui, je ferai ce qu'il me demandera, je lui appartiens, je suis sa pute.

Je le vis sortir de la maison, il rentre dans la voiture, côté passager, me salue, regarde ma tenue, vérifie si elle correspond à ce qu'il m'a demandé. Il plonge la main le long de mes jambes vêtues de bas, jusqu'à mes chaussures, vérifie la hauteur des talons, ils devaient faire 12 cm minimum et remonte le long de mes bas jusqu'à mon sexe. Il me tâte un peu, je bande déjà, puis il vérifie que je n'ai pas de culotte et que je suis bien épilée de près, il semble ravi. Il repasse sa main par dessus ma jupe en cuir, la redescend quelque peu, ne laissant apparaître que le bord de mes bas pour ensuite ouvrir légèrement ma petite veste en cuir pour apercevoir le corset vinyle qu'il m'avait imposé, cela me donnait une belle taille cambré, mettant bien en valeur mes fesses.
Il me regarda dans les yeux, je sentis son regard satisfait de ma tenue, coiffée de ma perruque brune et maquillée au look pute, je lui plaisais. Il sortit de sa poche une laisse en maillon de chaine métalique qu'il m'accrocha à l'anneau du collier de cuir que je portais pour lui.
Il me dit « très bien, maintenant, je vais te bander les yeux, tu vas sortir de la voiture et je vais te guider voir nos invités ». Il sortit de sa poche un foulard noir et me le posa sur les yeux. Il séra très fort, vérifia que je ne voyais rien, j'attendis, il me demanda d'ouvrir la bouche, et m'engouffra une boule qu'il attacha derrière ma tête. Il sortit de l'auto, je le suivais quand il m'ouvrit la porte. Il prit mes poignets pour les mettre dans mon dos et me posa une paire de menottes.

Je me retrouvais dans la cour, les yeux bandés, baillonée, attachée et tenue en laisse par mon Maître, j'étais sa chienne, toute excitée que j'étais en tenue de salope !

J'entrais dans la maison, aucun bruit hormis le claquement de mes talons sur le parquet, mon Maître me demanda de stopper au milieu de la pièce principale. Avec sa laisse il me fit tourner sur moi-même, je compris qu'il m'exposait à ses convives assis sur le canapé en train de boire l'apéritif.

Je ne voyais toujours rien, j'entendis uniquement des bruits de verre et des murmures de personnes jugeant surement de ma tenue et réfléchissant ce qu'il allait bien pouvoir me demander de faire.

Après de longues minutes debout, tenant une posture bien droite et féminine, très fière devant les invités de mon Maître, il m'ordonna de me mettre à genoux au sol, le buste bien droit et la tête relevée, je m'exécuta rapidement. Mon maître m'enleva le bâillon boule et j'entendis des autres pas se diriger vers moi, des pas d'hommes, d'un air décidé, je sentis qu'il se posta devant moi, j'entendis son ceinturon qu'il était surement en train de décrocher et je sentis que c'était avec on sexe qu'il était en train de me caresser les lèvres. Je ne broncha point, l'excitation grimpait en moi et attendit l'ordre de mon Maître pour enfin ouvrir la bouche et engouffrer son sexe qui commençait à bien durcir.
J'étais aux anges, je le suçais lentement, avec délicatesse dans l'esprit de cette journée tant attendue qui commençait à merveille. Ce n'était pas le sexe mon Maître que je suçais mais celui d'un autre homme, mais je sentais sa présence non loin de moi, me dirigeant me dictant mes faits et gestes que je devais réaliser pour lui.

Après de longues aller et venue au fond de ma bouche, le rythme s'accéléra, l'homme me pris ma tête à deux mains et donna des coups en saccades d'avant en arrière. Je entis sa bite buter au fond de ma gorge et sentis qu'il allait bientôt jouir. Au moment de sa jouissance, il garda ma tête plaqué contre son corps et gicla dans ma bouche.
J'étais contrainte d'avaler son sperme, il me relâchait lentement, j'aspirais le reste de sperme qu'il pouvait rester dans sa belle queue, j'avalais et déglutit, il se retira et restais là planté au milieu de la pièce.
Je sentis que la vie normale reprenait son cours, l'homme retourna s'assoir aux côtés des autres convives, les commentaires allaient bon train, je distinguais les voix de 3 ou 4 personnes dont une ou deux femmes. Ils semblaient être excités...

soumiseJ'étais toujours à genoux, les mains liées, les yeux bandés, je me calmais un peu, l'excitation baissait d'un ton, et je savourais ces moments de plaisir que me faisait vivre mon Maître. Les talons d'une femme se firent entendre sur le sol, s'approcher de moi, je sentis sur mes lèvres d'autres lèvres, la femme de l'homme venait me féliciter pour avoir formidablement sucer son mari, elle me fourra sa langue dans ma bouche et me roula une superbe pelle. Elle se releva, fit le tour, saisit ma laisse et m'aida à me mettre debout, j'avais les jambes engourdies. Elle m'emmena dans une autre pièce de la maison, plus petite. Je sentis la pression baisser encore d'un ton, moins de regards sur moi, seule avec cette femme. Elle m'ordonna de stopper, me remis mon bâillon boule et enleva mon bandeau. Elle était la devant moi, à me fixer dans les yeux, prête à me manger toute crue. Très excitée dans sa tenue de cuir noir, je sentis une attitude de Maîtresse dans ses faits et gestes.

Elle me plaqua face contre le mur de la croix de Saint-André, m'écarta les jambes et m'attacha les chevilles avec des lanières de cuir contre la croix. Elle m'ôta les menottes pour de suite m'attacher les mains au sommet de cette croix. Cette femme avait la main ferme, comme je les aime, elle savait ce qu'elle faisait...
Elle me félicita pour mon beau cul, releva ma jupe pour tenter un toucher rectal, constatant mon niveau de dilatation, elle choisit un gode qu'elle m'enfila avec délicatesse. Elle prit un fouet accroché au mur et me fouetta quelque peu le dos et les fesses. Je murmura des mots de douleurs tant les coups étaient forts, elles m'en donna deux ou trois séries, elle semblait ravie, moi aussi et me laissa attachée là en me donnant rendez-vous plus tard...

Je resta dans cette position bien une demi-heure, laissant le soin à mon Maître et ses invités de passer à table. Au cours du repas pendant quelques heures durant chaque invité passa me voir, me caressa les fesses, me donner quelques coups de fouets, je les excitais, cela me plaisait et sembla ravir mon Maître de m'avoir offert à ses invités. J'eus droit à toutes sortes de traitements, plus ou moins durs les uns que les autres. Détachée de ma croix, jamais libre de mes mouvements, pinces sur les seins, cire sur le sexe etc... Toujours dans des positions humiliantes, dégradantes, toujours contrainte, je subissais les assauts des personnes présentes, j'étais leur pute et salope à leur disposition.

Emmenée au toilettes j'ai du lécher chaque sexe après qu'il se soit soulagé, ramasser proprement chaque goutte d'urine.

J'eus droit à une inspection en règle des invités de mon Maître avec attouchement et pelotage de toutes les parties de mon corps, afin de me préparer à la suite des réjouissances.

La suite de l'après-midi se tenait dans le salon tout dàbord, sur la table, couchée sur le dos, les jambes écartées et les bras attachés j'eus droit à être baisée par tous les trous, j'ai sucé toutes les bites présentes goulument, celle de mon Maître bien entendu. J'ai été littéralement défoncé par leurs bites bien dures, les femmes arnachées qu'elles étaient de leur gode ceinture ont eu raison de ma personne, à quatre pattes prise en levrette, j'ai du subir les assauts de mes dominantes, j'étais vidée, essoufflée, ivre de sperme avalé mais heureuse des instants que je vivais.
Être à disposition de diverses personnes, les satisfaire sous l'œil de mon Maître.

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Lundi 1 mars 1 01 /03 /Mars 05:30
Fevrier-2010 3470
Par Daniela - Publié dans : Photo du Jour - Communauté : plaisirs SM
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Mercredi 24 février 3 24 /02 /Fév 05:29

Fevrier-2010 3510

Par Daniela - Publié dans : Photo du Jour - Communauté : Soumis & Soumises
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Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume
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