Samedi 1 mai 6 01 /05 /Mai 05:58

La précédente rencontre que mon Maître m'avait organisé s'était merveilleusement passée. J'avais été comblé par un inconnu choisi par mon Maître. Cet homme m'avait donné du plaisir et je lui avais bien rendu ! Maître A. semblait satisfait de sa pute, je lui avais obéi au doigt et à l'œil et tout s'était déroulé comme il l'avait prévu. Je lui faisais à chaque fois confiance, et il me le rendait bien.

Comme à son habitude, je ne savais rien à l'avance, de la rencontre qu'il me concoctait, je ne devais faire qu'une chose, lui obéir avec comme objectif, satisfaire ses désirs.

En journée, quand mon téléphone sonne lorsque je suis au travail, je pense de suite à lui, je m'empresse toujours de lui répondre, espérant une proposition de rencontre ou plan dont il a le secret.

Ce jour là, mon téléphone sonna, alors que j'étais en réunion, j'avais pris soin de le mettre sur vibreur, je ne pu donc répondre, mais je pensais que c'était lui qui m'appelait, et j'avais hâte de finir cette réunion matinale pour écouter ma messagerie. Maître A. m'avait laissé un message, ouf ! j'avais de ses nouvelles...

« Bonjour c'est A., je veux que tu sois prête pour demain 17 heures. » Le message était court mais suffisamment clair. J'aimais quand il me laissait le temps de m'organiser, de préparer mes affaires et de me préparer mentalement.

Le lendemain était un vendredi, je finissais à 16 heures, cela me laissait le temps de me préparer tranquillement en attendant ses instructions. C'était excitant, j'allais être femme le temps d'une rencontre, et faire peut-être la pute pour mon Maître. Ce n'était pas toujours pour lui, il aimait m'offrir à des personnes inconnues ou pas.

Je choisis un petit parking tranquille pour me préparer. Nous étions au début de printemps, la température était bonne et je pouvais m'habiller léger. Je choisis une robe légère, courte bien sur, assez large, non moulante. J’enfilai des bas couleurs chair et mes escarpins noirs. Pas de culotte, nu sous ma robe, épilée et godée, chaude et excitée de faire un plan. Mon Maître ne m'avais pas encore vu dans cette tenue, je venais de l'acquérir. Perruque, maquillage, sac à main, j'étais fin prête !

Prostitution-maroc-2012-04-05Je marchais le long de l'auto, en attendant son coup de fil, je n'avais pas encore vraiment essayé ses talons hauts, 13 cm, c'est le plus haut que je possédais donc il fallait bien que je m'entraîne un peu ! Un vrai bonheur, ces talons aiguilles, confortables, il m'obligeait vraiment à me déhancher pour garder ma stabilité, il faisait également un joli son au contact du sol, assurément les hommes que je croiserai me décrocherai un regard. J'en avais oublié d'être discrète, une voiture s'était arrêté non loin de moi et les personnes étaient restées à l'intérieur et me regardait avec insistance. Je fus quelque peu gêné, mais cela m'excita de plus belle, le téléphone sonna.

C'était Maître A., « Bonjour ma salope !, tu es prête…, est-ce que tu t'es fais belle ? » Je lui décris dans les moindres détails ma tenue, il m'écouta avec patience « Tu n'as rien oublié, tu es sure ? » « Euh, non je ne crois pas Maître » « Et ton collier de chienne que je t'ai offert ! » Oups... j'avais oublié l'essentiel à ses yeux, mon signe d'appartenance à mon Maître. « Tu mérites une punition Daniela... je vais réfléchir, pour l'instant tu va te rendre sur le parking de l'autoroute et tu verras ce qui t'attend. »

Je montai dans l'auto, mis mon collier de chienne avec la plaquette gravé à mon nom et démarra pour me rendre sur le lieu, il y avait bien trente minutes  de trajet, j'adorai conduire en femme, je dus traverser une partie de la ville, à chaque feu, je sentais des regards sur moi, les hommes au volant aiment bien mater en attendant que le feu passe au vert !

J’arrivai sur les lieux, il y avait assez de voitures et de camions garés pour la nuit, ayant pris leur chambre à l'hôtel de l'autoroute. Je préférai ne pas penser à ce qui m'attendait, et prenait du plaisir à vivre chaque instant dans mon look de femme sexy et quelque peu provocante.

Je me garai ou je trouvai de la place et je sorti rapidement de la voiture. J'eu à peine le temps de me faufiler entre les voitures et de me diriger vers l'allée centrale pour me faire remarquer de mon Maître qui m'attendait ou de quelqu'un d'autre, qui sait... que je me fis accoster par un homme.

 Il me prit par le bras et me força à marcher en direction de l'hôtel. « Tu t'appelles Daniela, n'est-ce pas ? C'est ton Maître qui m'envois, tu vas me suivre ! » Il était directif, je n'eu pas le choix de marcher à son allure, nous nous dirigeons ver l'entrée, nous croisons un couple puis un autre, à chaque fois un petit regard dans ma direction et un sourire du coin des lèvres. La porte de sa chambre était ouverte, il me fit entrer la première, me suivit de près et ferma la porte derrière lui. Cela devait être le plan de mon Maître, offerte à un inconnu, je me préparai à le satisfaire.

Cet homme de 50 ans environ, ne perdit pas de temps, il était hyper directif, chaud comme la braise, il n'avait qu'une envie, me baiser. « A genoux ! » tout en m'exécutant, il dégrafa son pantalon, retira son slip, il me dit « A. avais raison, tu m’as l’air bonne et d'être une belle salope ! ».

Je lui souris, il s'approcha de moi, en tenant sa queue toute excitée, se branla une ou deux fois et me la présenta. Je la saisi à sa base et l'approcha de ma bouche, tout en le regardant dans les yeux, je commençai à effleurer sa bite avec ma langue puis à la lécher de la base jusqu'à son bout. Je fis cela deux ou trois fois, il me prit la tête avec ses deux mains, pour la ramener contre son corps en veillant que j'avais son énorme sexe dans ma bouche. Je l'engloutis jusqu'à ses bourses et il me laissa de longues secondes dans cette position, histoire que je savoure sa bite et aussi pour voir mes capacités à tenir une bite en bouche. Je tenais bon, c'était bon, il me relâcha la tête et je pu faire mes va et vient en le suçant lentement mais goulument. Son sexe grossissait, s'allongeait encore et durcissait de plus en plus, il avait vraiment une belle bite et je me la voyais déjà au fond de mon trou en train de me ramoner.

Il semblait pressé de jouir, il était très excité que je m'occupe de lui, il me lâcha quelques mots crus « C'est bon hein salope » « Allez, suce comme il faut, c'est bien » « Mieux que ça chienne », « Si tu ne fais pas ça bien, je vais le dire à ton Maître et tu vas recevoir ! ». A chacune de ses phrases, je me relançai, m'appliquai de plus belle en pensant à mon Maître.

1_173172.jpg Au bout de 15 minutes, pensant qu'il allait enfin me prendre, j'avais trop envie de sentir sa bite dans mon cul, je dus prendre d'autres postures et le sucer de plus belle ! Couché sur l'assise du fauteuil, la tête en bas, il avait ma gorge bien accessible et c'est lui qui donnait la cadence pour que je le suce, il venait en butée contre mes lèvres, je ne pouvais reculer, ma tête bien caler. Je dus néanmoins une ou deux fois tourner la tête pour m'empêcher de vomir et cracher ma salive qui débordait de ma bouche. Il était vraiment chaud quand enfin, il m'ordonna de me mettre à quatre pattes, pour me prendre comme je l'espérais depuis un moment. Il prit soin de mettre un préservatif, le temps pour moi de souffler un peu, qu'il n'empala rapidement et sans vraiment de délicatesse. Mon plug qu'il venait d'enlever lui démontrai comment j'étais chaude et prête à être enfiler. Ce fut un vrai bonheur, je sentais son corps buter contre mes fesses et son sexe aller bien profondément, j'aurai aimé jouir de  suite, et je me branlais quelque peu « Arrêtes de te toucher! » dit-il avec autorité. J’arrêtai immédiatement, il continua de plus belle « Tu aimes ça la pute, hein ? Alors prends-en encore, tiens..., tiens... ». Il raillait de plaisir tout me labourant ma chatte pendant encore dix bonnes minutes et finit tout de même par jouir, j'étais exténué, je n'avais pas joui, mais cet inconnu envoyé par mon Maître était ravi. Je restai sur le sol, le temps de récupérer de mes émotions, que l'homme se rhabilla vite fait, il prit ses clés de voiture, son téléphone portable et composa un numéro.

« Allo A., c'est M., oui... excellente..., je me suis régaler..., oui..., elle a assuré !, C'est une bonne chienne !, Merci encore ! ». Il raccrocha, me salua et sorti de la chambre.

Il me laissa, juché sur le sol, comme une vulgaire chienne ayant reçu ce qu'elle méritait, je récupérais lentement, je me regardais dans le miroir pour vérifier si j'étais sortable et je repartais à mon auto. Je quittais la chambre discrètement, je croisai de nouveau un couple, qui me salua avec un grand sourire.

Je commençai vraiment à souffler et à me remettre de mes émotions, le gout de bite dans la bouche et la chatte toute mouillée, cet homme était vraiment une bête, il m'avait usée...

Sur le chemin menant à la voiture, un homme m'accosta ! « Bonjour Daniela ! », surpris je m’arrêtai brusquement, et le regardait. C'était un jeune homme, la trentaine, sûr de lui, il continua, « A. vous a dit que je devais vous rencontrer ? » « Euh... non pas du tout... » « Ce n’est pas grave, suivez-moi ! ». Je restai planté là encore abasourdie par le plan dans la chambre, en attendant je ne sais quoi... Pas refaire un plan cul c’est sur, j’étais trop fatigué pour cela !

Il vu que j'hésitai, il me prit finalement par le bras, « Viens, suis-moi je te dis » Le ton avait changé, je baissais les yeux, je me laissais guider sans vraiment avoir le choix.

Il me fit rentrer de nouveau dans cette chambre dans laquelle j'étais sortie dix minutes auparavant. Cela me faisait bizarre, de nouveau je bandais ! Les hommes ont raison, je suis une bonne salope ! J’aime le sexe ! 

142801447768697.jpgIl claqua la porte derrière lui, je sursautai. « Alors tu ne voulais pas me suivre ? » « Je ne m’attendais pas c’est tout » « Tu es mignonne, j’aimerai voir ce que tu vaux ! » Cet homme au premier abord sympathique, calme me parait tout à coup autoritaire, sur de lui, je craignais pour ma personne…

« Tu vas d’abord te mettre à genoux et tu vas me sucer » « Vite ! Dépêches-toi ! ». Je sentais son impatience, je devais obéir rapidement, mais j’étais encore un peu dans les vaps…  Je n’ai pas eu le temps de m’agenouiller qu’il avait déjà sorti une cravache de son sac et commençai à m’en donner des coups sur les fesses. Il me saisi par le bras en le serrant si fort que je gémis « Tu ne vas pas te plaindre en plus ! » Il prît un bracelet cuir qu’il me fixa au poignet et accrocha le mousqueton sur le haut du lit à étage face contre mur.

Je ne bougeai point, attendant la suite.

Il m’attacha le deuxième bracelet à l’autre poignet. Il m’écarta les jambes que j’ai la chatte bien écartée, le tout pour être à sa disposition.

Il me remonta ma robe, baissa ma culotte, de manière énergique, et me donna des coups de cravaches sur les fesses « Tu vas comprendre pourquoi tu dois rapidement m’obéir » J’en reçu une bonne dizaine, des coups secs et nets qui me chauffèrent immédiatement le fessier. Je ne bronchai point, lui montrant ainsi que je savais obéir, et que je ferai ce qu’il me demandera. 

Je pensais qu’il allait s’arrêter mais il prit dans son sac un martinet « Tu croyais t’en tirer comme ça ! Ta punition n’est pas terminée ! Je te préviens, je suis un Maître qui dresse les soumises récalcitrantes, ton Maître ne t’a pas prêté pour ton plaisir, mais pour que je te dresse ! ».

Je me rappelais que j’avais une punition en suspend et que mon Maître allait me la donner un de ces quatre mais je ne pensais pas qu’il la ferai faire par quelqu’un d’autre.

Je reçu une bonne vingtaine de coups de martinet, les lianes sifflaient dans l’air et venait me fouetter les fesses, je me tordais de douleurs, je bandais toujours mais je gémissais, j’essayais de me retenir, mais je finis tout de même par crier.

Le Maître ne fut pas content, « Tu vas te taire, j’en ai marre » Il me mit un énorme bâillon pour que je me taise définitivement. Voyant que je bandais toujours il me donna des coups de fouet sur mon sexe en érection, je gémissais dans tous les sens et finis par me redresser de la position que j’avais réussi à garder depuis le début. « Tu vas arrêter de bouger, non ! » Il m’attacha les jambes bien écartées à chaque pied du lit, j’étais complètement immobilisé.

Il recommença ses séries de flagellation, par dizaine et sur chaque fesse, j’hurlais de douleur mais sans bruit, au bout de la troisième série, cela me brulait tellement que je commençai à moins sentir les coups, voyant que je devenais docile, il se calma, reposa ses ustensiles de torture et me laissa récupérer.

Pas pour longtemps…, il prit des gants en latex, il allait me fouiller la chatte. J’écartai mes cuisses pour qu’il ai l’espace le plus libre possible, « Tu deviens coopérante, c’est mieux ». Je mouillais tellement qu’il n’eut pas de mal à se frayer un chemin pour y glisser un doigt d’abord puis plusieurs.

« Tu es bien chaude ! » Il me triturait mon trou, c’était excellent, il atteignait des points très sensibles qui me faisait monter au ciel de la jouissance. Il continua le travail avec un gode assez souple et suffisamment gros pour que je le sente comme il faut. « Tu es merveilleusement prête pour accueillir de belles bites dans ton trou », Il avait raison, il lisait dans mes pensées, je fermais les yeux en pensant à une belle bite venait me ramoner mon trou, j’en avais vraiment envie… J’espérais qu’il me prenne aussi bien qu’il m’affait fouillée.

Il me détacha lentement, m’enleva le bâillon, je ne me rendais pas compte de ma fatigue tellement j’étais bien, « A genoux, chienne, maintenant tu vas peut-être me sucer, non ? ». Je n’en avais pas tellement envie, mais je n’avais pas le choix que de le satisfaire. Je me mis à genoux, il s’approcha de moi, bite en main bien bandante « Allez tiens, prends ça ! ». Je lui saisis sa belle bite, je la branlai bien avec mes deux mains, je lui la léchais pour l’humidifier un peu et je lui suçai lentement puis plus rapidement. Plus vite il sentira la jouissance monter en lui, qu’il voudra me prendre. Pensant bien faire, je ne m’appliquai point à ma tache et il le vu rapidement « Mieux que ça salope ! » J’essayai de m’appliquer mais je n’arrivai pas à me concentrer, le fessier en feu et mon trou trempé, je voulais une bite ! « Ça suffit comme ça! Sale pute ! Tu veux encore une punition ? » « Non Maître, pitié » « Et bien suce-moi comme il faut et vite ! » « Maître, j’aimerai que vous me preniez » « Il manquerait plus que ça ! Ce n’est pas toi qui décide, sale chienne ! » « Et si tu le prends comme ça, tu vas voir ! ». Il prit une chaine dans son sac, me l’attacha à mon collier « Lèves-toi sale pute, debout  ». Je me levais rapidement, il m’attacha les mains devant avec une paire de menottes, m’engouffra un  plug dans ma chatte « Tu as intérêt de le garder, ne le fais pas tomber ». Il était suffisamment gros pour qu’il tienne dans ma chatte trempée, mais je ne savais qu’il allait me faire marcher, là c’était autre chose.

« Allez, viens, on va aller faire un tour ! ».

J’étais un peu angoissé quand il ouvrit la porte de la chambre, je n’allais pas sortir comme ça… « Tu ne veux pas m’obéir correctement, tu vas enfin comprendre ». Il me traina, lamentablement.

J’avançai comme sur des œufs, avec mes hauts talons et mon plug bien placé, n’osant regarder à droite et à gauche, préférant regarder l’horizon et penser à autre chose. Je me déhanchais pour ne pas perdre le plug, j’étais morte de trouille…

Nous avions bien fait dix mètres, sur le trottoir de l’hôtel, entre les voitures arrêtées, heureusement pas trop de passage à cette heure là, je le suivais difficilement, il ne disait rien et ne se retournait pas. J’avais l’air maline dans cette situation, j’étais en femme soumise et humiliée, j’espérais que personne ne me vois, mais je savais que cela ne durera pas et que ce n’était pas le but recherché.

Effectivement, dans le parking suivant, quelques voitures garées et quelques personnes autour. Mon dominateur se faufila entre les voitures en se dirigeant vers une personne, il avait choisi sa cible…

« Bonjour Monsieur ! » fit-il sur un ton naturel, d’un commercial cherchant son client. « Ça vous dirai de vous faire sucer par cette salope ? » L’homme ne fut pas plus choqué que cela, que l’on vienne lui proposé de lui faire une gâterie, il regarda mon dominateur et lui fit un signe de la tête « Pourquoi pas ! » « Allez ! Chienne Daniela, à genoux, et suce monsieur ! ».

Pendant que je me mettais à genoux, mon Maître expliqua à l’homme que j’étais en cours de dressage, et que je n’étais pas très obéissante. L’homme pendant ce temps là, baissa son pantalon, je dus marcher à quatre pattes pour m’approcher de lui pour qu’il m’enfile sa bite. Je dus la branler pour qu’elle durcisse avant de commencer de le sucer. « Je te préviens, fais ça bien ! » dis mon Maître dresseur.

Dans quelle situation je m’étais fourré…, je m’étais déjà tapé un mec, un deuxième m’avait suffisamment chauffé et je devais faire une pipe à un troisième.  Cela commençait à faire beaucoup pour moi, l’air extérieur m’avait réveillé quelque peu, mais j’étais assez fatigué. Jamais je n’avais fais un plan de plus de deux heures, mais c’était le prix à payer pour que je sois plus endurante, et que je sois une bonne pute.

J’aimerai que Mon Maître soit fier de moi, il m’avait confié qu’il aimerait que je fasse la pute à la chaine pour lui.

Je suçai donc cet homme avec application, mon dresseur me surveillait avec sa cravache en main, il me donnait des coups sur les fesses à chaque fois que je faisais cela mal. Je pompa cet inconnu sans m’arrêter, bien profondément.

Au moment qu’il eu envie de jouir, mon Maître m’ordonna « Continue ! Ne t’arrête pas ! » Je dus le sucer pendant qu’il jouissait et dus tout avaler. Je lui nettoya sa bite proprement « Je ne veux plus voir une goutte ! » et il se retira.

L’homme remonta son pantalon, satisfait de la bonne pipe que je lui avais administré. « Continuons notre petit chemin ! » fit mon dresseur.

Je me releva, et nous nous faufilons à travers d’autres voitures, je dus faire le même plan à un autre homme quelques dizaines de mètres plus loin. Je dus encore souffrir de mon corps pour satisfaire ce nouvel inconnu, mais je prenais tout de même un certain plaisir.

Pendant que je m’occupais de cet homme, un groupe de trois gars nous mataient tout en s’approchant discrètement de nous. Bien occupé que j’étais, je les apercevais en toile de fond, mon Maître également, à peine terminé de lécher le sperme de cette bite il leur dit « Approchez ! Elle est à vous ! ».

Non, je ne pourrai pas, j’étais exténuée, la tache était ardue, je voulais cesser mais mon dresseur n’y voyait pas de cet œil là, il avait envie que je fasse la pute, la vraie, à la chaine. Je dus m’occuper des  trois bites simultanément, mon Maître m’avait de nouveau offert.

Je continuais donc en m’appliquant à chaque bite en bouche à les sucer et donner un maximum de plaisir. J’avais soif, j’avais envie d’avaler autre chose que le foutre de ces inconnus mais je continuais avec mon plug dans ma chatte toujours aussi trempée. Il giclèrent pratiquement en même temps deux dans ma bouche, le troisième sur mon visage. « Avales tout sale pute ! » Avec leurs bites, ils s’employaient à ramener le foutre de la joue vers ma bouche ouverte, je dus avaler et montrer que je l’avais vraiment fait.

Je me releva et nous revenons en direction de la chambre. Ouf, je n’en pouvais plus, sur mes hauts talons, toujours ce plug qui nageait au fond de ma chatte, je n’avais plus tellement envie de jouir, mais plutôt de me reposer. 

Arrivé  en chambre, croyant le calvaire terminé, il lança « As-tu bien appris la leçon, je vais voir ça ! ». Je dus le sucer encore mieux que je ne l’avais fait précédemment, il finit également par me prendre, je me donnais de plus belle pour son plaisir et pour le remercier de l’éducation que j’avais eu ce jour présent.

Certes, j’avais sué, j’étais vraiment fatiguée mais contente d’avoir pu réaliser toutes ces pipes enchainées. Je n’aurai pas pensé un jour y arriver, mais ma motivation et la confiance allouée à mon Maître A. m’ont permis de le faire. Je le remercie ce jour d’avoir pu trouvé ce dresseur de femelles qui m’a poussé dans mes limites. Mon éducation n’est pas parfaite, j’en suis consciente mais c’est par des plans de ce genre que je progresserai. 

Mon dominateur de ce jour me quitta sur ces mots  « Bien sale chienne ! T’as fais du bon boulot, je le signalerai à ton Maître ».

Daniela

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Samedi 17 avril 6 17 /04 /Avr 05:35

sexy-au-bureau.jpgJ’attendais impatiemment ma commande de fringues…. J’avais pris un plaisir fou à la passer sur un site de mode assez généraliste. Pour plus de discrétion, je m’étais fais livrer au boulot. C’était un mardi, la secrétaire vint me chercher discrètement à mon poste. C’était aussi l’épouse du patron, une belle femme blonde, la cinquantaine, toujours très soignée avec de belles tenues, quelques fois assez sexy, en tout cas toujours à la mode. Elle portait aujourd’hui une jupe grise avec quelques motifs, serrée avec de beaux bas noirs et de petites bottines. Tout en marchant jusqu’à son bureau, elle m’informa que j’avais un colis qui était arrivé, mais qu’il y avait un petit problème… 

Elle avait malencontreusement ouvert le colis par mégarde, pensant que c’était une commande passée par elle-même quelques jours plus tôt au même vendeur ! Je lui dis que ce n’était pas grave, pensant récupérer mon colis vite fait bien fait, mais sur son bureau, je reconnaissais tous les articles que j’avais commandé, il y en avait partout, elle avait tout déballé… Je préférai me dépêcher de rassembler les articles, elle voulu m’aider, tout en rangeant les articles dans leur emballage, la voilà parti dans des commentaires de nanas « Elle est très jolie cette robe ! » ou aussi « Quelles belles bottes, je suis fan de bottes, vous savez Daniel, et celles-ci me plaisent beaucoup, je les essaierai bien ?» je fis un signe affirmatif du visage, ne sachant pas trop quoi dire à ce moment là.

Je pris peur que quelqu’un de l’entreprise entre dans le bureau de la femme du patron, et que l’on nous voit en train de faire des essayages d’habits ! Elle s’assit, elle enleva sa botte, et essaya la bottine que j’avais commandé pour moi. Cela m’excita un peu de voir ma patronne enlever ses chaussures devant moi  sans aucune gêne, je ne la connaissais pas comme ça. Au moment de l’enfiler arriva ce que je craignais un peu, « Oulla !, c’est une grande taille, elles me vont beaucoup trop grand » Effectivement c’était du 43… « Mais dites-moi Daniel, sans indiscrétion, je peux vous demander pour qui sont ses belles bottes ? » J’étais gêné et je cherchai une sortie honorable afin de justifier ce qui se passa devant moi, mais avant que je puisse répondre quelque chose, « Ne me dites pas que c’est pour vous Daniel ?, si ? Et bien, j’aimerai bien voir ça ! » En l’espace de quelques secondes, elle avait réussi à me mettre très mal à l’aise, poser les questions et trouver les réponses, les bonnes réponses… J’eu juste le temps de faire quelques pas sur place et de faire quelques signes de la tête en essayant de trouver des mots, de faire une phrase, d’expliquer quelque chose, qu’elle enchaina « Je comprends Daniel, vous ne pouvez essayer ces bottines ici, mais j’aimerai tellement vous voir avec », c'est-à-dire que… « Voilà, et si vous veniez à la maison essayer tout ça, hein ? » J’avais l’air malin ! J’étais au travail, ma  patronne me faisait une proposition d’aller chez elle faire des essayages de fringues ! Euh, c'est-à-dire que… « Allez Daniel rangez-moi tout ça et vous passez dans l’après-midi chez moi, d’accord ? » Ben, c'est-à-dire que…  « Vous trouverez bien une idée pour vous échapper du travail ». Mais… Laurence, euh, je ne sais pas, euh… « Daniel, vous ne voulez pas que j’appelle quelques uns de vos collègues de travail pour leur montrer votre commande, non ? » « Non Laurence, quand même ! » « Alors chez moi, à 14 heures, vous viendrez chercher votre colis, d’accord Daniel ? » J’acquiesça, super gêné, en train de rassembler les affaires  éparpillées sur le bureau, il y avait vraiment de tout, deux robes, une jupe, des escarpins, des collants, un leggings et les bottines.

Je retournai travailler en pensant à ce qui venait de se passer. Je n’y croyais pas, oui c’était bien ma patronne qui avait découvert mon plaisir caché, je ne l’aurai jamais cru capable d’aborder les choses comme elle venait de le faire. Plusieurs fois, j’avais fantasmé sur elle, avec ses petites tenues très sexy, sa belle allure ses différentes poses, assise sur le bureau face à moi, ou bien en train de se caresser les fesses tout en me parlant… Je la croyais un peu salope mais quelque peu coincé quand même.  C’était peut-être son mari qui la freinait, elle lui était peut-être soumise…

Bref, en tout cas, je devais me rendre à son domicile, récupérer mon colis et lui faire oublier  rapidement ce qui s’était passé, il n’était pas question que j’essaie mes habits avec elle, certes cela m’excitai beaucoup, son mari était en déplacement mais de là, à m’habiller en femme devant elle, il y avait un pas que je n’osais franchir. 

14 heures, je frappai discrètement à sa porte, espérant même qu’elle ne m’entende pas, elle vint ouvrir, en peignoir, « Entrez Daniel, asseyez-vous j’arrive ! » Je pris place dans le canapé et j’attendais patiemment son retour, il y avait là mon carton avec les affaires dedans, je n’avais qu’une envie, le prendre et me sauver. Quelques minutes plus tard elle revint, belle, très belle, sexy, elle avait une robe noire assez courte et très moulante, des bas et des escarpins. « Alors Daniel comme ça, vous vous travestissez ? », Elle allait droit au but !, j’étais tout de même moins gêné que le matin, étant face à face, seule avec elle. « Je fis un oui franc de la tête, tout en commençant mon explication. Que depuis tout petit, j’aimais m’habiller en femme, etc. « Ah oui ! J’adore cela, les travestis… vous allez me montrer Daniel ? D ‘accord ?» je me levai du canapé, pour me diriger vers la table ou le carton était posé, je commençai à le prendre, je resta bloquer quelque secondes « Ecoutez Laurence, je vais y aller !» « Non ». Je la regardai dans les yeux, et compris ce que ce « Non » qu’elle venait de prononcer voulait dire… Elle s’approcha de moi, ses talons frappaient le sol d’un pas franc et décidé « Tu vas te déshabiller et essayer tes nouveaux habits. Ils sont très bien, tu vas être superbe dedans » je m’exécutai, elle s’assit dans le fauteuil devant moi à me regarder avec son beau sourire qui me mit à l’aise, elle enchaina « Tu sais Daniel, je connais des travestis, ils ont beaucoup de gout, et surtout ils aiment le sexe » Elle dit cela sur un ton calme presque en chuchotant, j’en eu les frissons… « Tu es quelqu’un de gentil, n’est-ce pas Daniel ? Tu vas m’obéir, hein ?  Euh… oui, c’est vrai que j’aime bien m’habiller en femme, Laurence, mais… « Pas de mais avec moi, tu vas faire ce que je te dis, d’accord ? » Oui  « Oui qui ? » Euh, oui Laurence. « Oui Maîtresse Laurence, c’est compris ? » Je me repris « Oui Maîtresse Laurence » Aussitôt dit, je bandais fortement. Je me déshabillai rapidement « Le slip aussi, Daniel ». Au vu de ma nudité, elle apprécia que j’étais épilé « Bien Daniel, mais tu bandes ! Elle me saisi le sexe avec sa main et le branla une fois ou deux « Tu aimes ça toi, tu mouilles, hein, t’es une bonne salope toi on dirait, je sens que l’on va bien s’amuser ! » Et elle sourit…

lecon_de_feminisation_7_video_travesti_par_une_mai-copie-1.jpg« Enfiles-moi cette robe que tu viens d’acheter, elle est bien moulante, elle va t’aller à merveille, je pense » C’est vrai que c’était une belle robe assez courte, légère, en polyester légèrement transparente « Ensuite, enfiles-moi tes bottines ». Cela faisait longtemps que je les attendais, je rêvais trop d’en mettre une paire. « Ah oui, tu es magnifique comme ça, attend, je vais te chercher quelque chose. Elle revint avec un carton et tout un attirail dedans. « Ah voilà ! Enfile-moi ces bas et ce porte-jarretelles » je remis mes bottes par-dessus, c’est vrai que ça le faisait, j’étais belle et sexy… Elle sortit aussi une perruque blonde coiffé au carré, elle me l’ajusta. Elle me demanda de tourner sur moi-même, elle me regardait de haut en bas, elle cherchait les détails à améliorer « Vas-y marche pour voir » « Bien, tu as belle allure, tu as l’habitude de marcher avec des talons, non ? »  « De temps en temps oui » Elle me prit par le bras et m’assis devant sa coiffeuse « Je vais te maquiller, tu vas être belle comme tout ! ». Quelques minutes plus tard, j’étais superbement maquillée, un peu chargée peut-être « Voilà, les hommes aiment ça, que tu es un look provoc, tu aimes ça Daniel ? ». Je fis un signe affirmatif de la tête, je me laissais guider par ses décisions qu’elle prit les unes après les autres sans que je puisse me défiler, je n’osais pas mais cela me plaisait de faire ce qu’elle me disait… Elle me rajouta quelques bijoux aux doigts et au bras. « A présent que tu es une belle femme Daniela, j’aimerai voir ce que tu vaux en femme, crois-tu que tu peux me montrer ça ? » « Je ne sais pas Laurence…, de quoi voulez-vous parler ? » « Tu vas m’obéir, tu verras bien, après tout ! ». Je lui souris timidement, lui approuvant ce quelle venait de dire, elle semblait contente de mon comportement. Elle fouilla dans son carton, et y prit un collier de cuir noir avec une boucle et une chaine au bout, qu’elle m’attacha à mon cou « Lèves-toi, penches-toi sur la table du salon ». Je m’approchai contre la table et me pencha à plat ventre. Entre temps, elle avait saisi, une cravache et un fouet et elle remonta le bas de ma robe pour laisser mes fesses bien apparentes et à sa disposition. « Belles fesses Daniel !, hum, bien ferme ! Je vais te les chauffer un peu ! ». Elle m’écarta les jambes pour m’attacher les pieds  avec une corde à ceux de la table. Elle me prit mes mains pour me les attacher ensemble en les étirant au dessus de ma tête. J’étais immobilisé, confortablement, elle avait pris soin de ma position, heureusement car le supplice allait durer de longues minutes. Elle alternait coups de cravaches, coups de fouets et caresses. Je senti mes fesses rougir, j’avais chaud, devant mes cris de douleur, elle me mit un bâillon, toujours sorti du carton, et de temps à autre, elle me branlait le sexe, afin de vérifier le plaisir que je prenais. Elle était contente d’elle, plus je mouillais, plus elle me frappait les fesses « C’est très bien Daniela, continues comme ça ! ». Une fois le cul bien chaud, elle me travaillait ma chatte. Elle mit des gants en latex, prit du lubrifiant et un gode, et tout en délicatesse, elle me travailla le cul « tu es bien dilatée Daniela, on va pouvoir y mettre de belles bites dedans ! ». Elle saisi un plug de plus gros diamètre et me l’enfila en douceur, il était énorme, je gémissais mais c’était bon. Elle me laissa pantois, alla se saisir du téléphone et composa un numéro. En attendant que quelqu’un réponde, elle me fit « Je vais te montrer à un ami, tu devrais lui plaire ! ». Je commençai à être inquiet de la tournure des évènements, elle profitait de mon corps, j’étais aux anges, mais de là qu’une tierce personne vienne participer, cela me faisait un peu peur. « Oui c’est Laurence, tu peux venir elle est prête, elle est super bonne tu verras, je t’attends ! ». Elle raccrocha « Ne t’inquiètes pas Daniela, c’est un ami, tu vas surement aimer car tu m’as l’air d’une belle salope toi ? ». Elle me détacha, et m’ordonna de me planter là au milieu de la pièce, elle me regarda assise dans le canapé en attendant son ami « Si tu es sage, Daniel, j’ai plein d’idées pour toi, mais il faut que tu m’obéisses… ». On frappa à la porte, Laurence alla ouvrir, c’était la personne qu’elle attendait accompagné d’une femme, « Ah ! Nathalie ! Tu voulais voir aussi ma nouvelle recrue ? Rentrez, vous n’allez pas être déçue » Laurence ne fut pas perturbée plus que ça de la personne supplémentaire qui s’invita, tous semblaient être habitué à ce genre de plans. « La voici, regardez comme elle est belle ! ». Nathalie et Edouard vinrent à mon encontre, me saluèrent brièvement, et ils me scrutèrent de part en part, des yeux  et des mains « Bravo Laurence, belle trouvaille ! » fit Nathalie,  Edouard, ne perdit pas de temps pour baisser son pantalon, « A genoux Daniela ! » me fit Laurence d’un ton sec « Suces-le comme il faut ». Edouard me fourra sa belle bite dans ma bouche et je le suça. Je m’aidai de mes mains pour lui caresser les bourses et pour le faire bander bien dur. Je dois reconnaitre, que j’étais bien chaude, Laurence m’avait  bien préparé et j’avais trop envie de continuer dans ce trip. Heureusement d’ailleurs, car j’en avais pas encore fini… Je le suçai de longues minutes dans différentes positions que tous trois me firent prendre, afin d’exposer mon corps à leurs caresses et coups de cravaches. Laurence me posa des pinces sur mes tétons et sur mon sexe qu’elle branlait de temps à autre, Nathalie, s’assit dans un fauteuil et releva sa jupe et se caressa la chatte. C’était excellent ! 

Je suça Edouard de longues minutes, lui affalé sur le canapé, Laurence et Nathalie de chaque côté en train de le caresser et de l’embrasser. Laurence et Nathalie avait enlevé leur robe, les seins et la chatte à l’air, elles étaient belles, elles s’embrassaient également. Laurence se leva et alla prendre un gode ceinture toujours dans le carton, se l’installa. Pendant ce temps, Edouard me fit mettre en position pour me prendre par derrière. Il se mit un préservatif, enleva le gros plug de mon cul, difficilement, car énorme, et aussitôt il m’enfila son sexe bien dur dans ma chatte. Il n’eut aucun mal à me pénétrer, sans prendre de précaution, il me buta le cul avec force, sa queue bien longue alla me titiller le fond de ma chatte, c’était trop bon… Il fit des allers et retours qui n’en finissaient pas, c’était de plus en plus délicieux, et j’avais envie de jouir. Laurence fit sucer son gode à Nathalie et lui engouffra dans sa chatte. Chacun de notre côté nous prenions plaisir, Laurence en belle femme dominatrice avait pris possession de Nathalie qui était aux anges… 
Au bout de quelques minutes on échangeait les partenaires, Edouard prit en levrette Nathalie, et Laurence vint me faire sucer son gode-ceinture tout trempé du liquide bien chaud de Nathalie et me pénétra. Laurence me prit dans différentes positions, elle le faisait bien, c’était excellent… 

00.jpgJ’étais exténué, Laurence et Edouard m’avais usé, j’avais la chatte en feu, envie de jouir, mais je devais attendre, ce n’est pas moi qui décidait... Les deux femmes avachies sur le canapé fatigué également regardaient Edouard toujours affairé sur mon cul « Allez Daniela fais moi jouir Edouard, attention, fais ça bien ! ». Edouard, s’arrêta, enleva son préservatif et m’engouffra sa bonne grosse bite bien, bien chaude. Je n’eus pas à faire beaucoup d’efforts pour le faire jouir, mais je m’appliquais, je faisais de longs allers et retours assez lents jusqu’à qu’il finisse par jouir, il me plaqua ma tête contre lui et il jouit au fond de ma gorge, je du avaler directement, je le pompais enfin jusqu’à la dernière goutte. Je m’écroulai sur le sol, vanné des efforts fournis.

Sans un mot les invités de Laurence se rhabillèrent et se dirigèrent vers la porte d’entrée « On se revoit samedi ? » fit Laurence en se rhabillant également à Nathalie « Oui, tout à fait, j’espère que ce sera aussi bien que cet après-midi ! Merci encore » Edouard ajouta « En tout cas, Daniela est bien bonne, tu pourras l’inviter de nouveau ! » « Oui c’est vrai, elle me plait bien celle-là, endurante en plus, on va pouvoir faire des trucs sympas je pense ! » Ils se saluèrent et sortirent de la maison. 

Je me retrouvais de nouveau seul avec Laurence, en train de me dévêtir, et de me remettre de mes émotions « Viens Daniel, je vais te démaquiller ». Je lui raconta mes diverses expériences avec des dominatrices et dominateurs, elle m’écoutait avec attention, et avait envie de me connaître un peu plus « Daniel, tu m’as bien obéis, tu as été parfait, j’ai vu que cela t’a plut aussi ! Je te rappellerai surement une prochaine fois, il faudra que tu m’obéisses comme tu l’as fais ici, mais ce sera peut-être plus dure, hein, mais je pense que tu y arriveras ». J’étais en phase avec elle, je ne la contredisais pas, « Prends tes affaires et files ! ».

 

 

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Dimanche 4 avril 7 04 /04 /Avr 06:27


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Par Daniela - Publié dans : Photo du Jour - Communauté : Soumis & Soumises
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Samedi 3 avril 6 03 /04 /Avr 18:51

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Par Daniela - Publié dans : Photo du Jour
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Vendredi 2 avril 5 02 /04 /Avr 04:55

C’était la fin de l’hiver, les beaux jours commencèrent à pointer le bout de leurs nez. Je pouvais donc me découvrir pour aller voir mon Maître.  Il était 18 heures, j’avais rendez-vous avec lui sur un parking de la ville encore bien fréquentée à cette heure là.

Quel plan m’avait concocté mon cher Maître ? Il était encore trop tôt dans la soirée pour faire une exhibe sur ce parking, allait-il m’emmener dans un lieu bien à lui, qui allais-je rencontrer…  J’aimais cette situation, attendre qu’il se manifeste pour me donner un ordre, j’étais, comme toujours, mort de trouille à ne pas savoir ce qu’il allait se passer pour moi, mais l’excitation était telle de lui appartenir, de lui faire confiance, de faire tout ce qu’il désire dépassait cette peur.
Je devais être prête à toute éventualité, être belle, aguichante, sexy, salope et chienne. Je l’étais au plus profondément de moi, en femme, belle et attirante, avide de sexe pour hommes en rut.
J’étais à l’heure au rendez-vous, je cherchais en vain son auto sur le parking, je me garais et attendais.
Mon portable sonna, c’était lui… « Bonjour ma salope, j’espère que tu es en forme aujourd’hui, tu vas descendre de l’auto, te diriger jusqu’à l’hôtel en bas de la rue, tu demandes la clé de la chambre de Mr A. et tu montes » Il raccrocha…
Je m’exécutai rapidement avec une certaine appréhension, certes il commença à faire nuit, mais dans cette rue marchande il y avait encore du monde et l’hôtel était à 50 mètres d’où j’étais garé. Je sortis de l’auto, referma la porte, tira un peu sur ma jupe courte, on devinait mes bas, et je marchai en direction de l’hôtel. Mes escarpins frappaient  les pavés, quelques hommes se retournaient à mon passage devant eux, cela m’excitait, un couple ralentit à ma vue, me dévisageait et se retournèrent tous les deux en me croisant. J’appréciai marcher ainsi vêtue et me faire mater de la sorte, c’est excitant de se faire remarquer en tant que femme.


1806843868_B973646128Z.1_20140925104059_000_GEI36AJE6.1-0.jpgJ’arrivais à l’hôtel, attendais avec appréhension une personne pour me donner la clé. Une belle femme arriva de la salle arrière, me salua « Bonsoir Mademoiselle, vous désirez ? » Je pris mon air féminin et lui demanda la clé, ce qu’elle fit, je la remerciais.
Je montais les escaliers de l’hôtel pour aller à la chambre, enjamber chacune des marches de l’escalier avec une jupe et des talons, un vrai bonheur ! Je cherchai à l’étage le numéro désiré, ouvra la porte avec la clé et rentra dans la chambre. C’était une belle chambre confortable avec un grand lit, un bureau, une télévision et une table de nuit ou était posé un petit courrier. Je me jeta dessus, pensant avec certitude qu’il m’était adressé.
« Ma petite pute,  j’espère que tu t’ais bien préparé à me satisfaire ? Tout d’abord, tu vas ouvrir les rideaux de la chambre, les vis-à-vis pourront te mater. Ensuite, tu vas prendre dans le tiroir de la table de nuit, les quelques ustensiles que tu vas te servir en attendant que quelqu’un vienne te rejoindre. Prend la laisse et accroche la au mousqueton de ton collier de chienne, mets-toi le baillon-boule en serrant bien fort pour qu’aucun son ne puisse sortir de ta bouche, mets les bracelets en cuir à tes chevilles, attaches-les ensemble, mets-toi à genoux, bandes-toi les yeux avec la paire de collants, attention ! Prends garde à toi,  tu ne dois rien voir, j’arriverai à le savoir ! Accroches-toi la paire de menottes à tes poignets prends la cravache et tiens-là dans tes mains. Tu devras avoir une posture de soumise. » Je relis cette lettre avec attention afin de ne rater aucun passage, mon Maître aimais le respect des consignes, je m’exécuta, ça me plaisait bien… Les bracelets cuirs étaient reliés entre eux par une chaine quarante centimètres environ,  seulement au moment de me mettre la deuxième paire de menottes, je m’aperçus qu’il n’y avait pas de clés pour me libérer. J’ai un peu flippé, de plus n’importe qui pouvait me voir par la fenêtre ou rentré par la porte, j’étais à la merci de n’importe qui,  sans pouvoir faire quoi que ce soit, les yeux bandés, attaché, mais j’avais confiance en mon Maître. Cela m’excitait de savoir qu’il me faisait faire cela, j’étais impatient, mais allait-il venir seul, ou avec plusieurs personnes ? J’attendais patiemment sans bouger, j’entendis quelques va-et vient, des talons sur le sol, des rires, je pensais à ce couple croisé dans la rue, je les aurais bien vu, rentré dans ma chambre, me découvrant soumise à leur pieds.
Cela devait bien faire une demi-heure que j’attendais sans bouger, attendant avec appréhension que quelqu’un ouvre cette porte et entre dans la chambre d’un coup.
Quelques pas d’homme, d’une allure lente, mais ferme et décidé se firent de plus en plus pressant de ma chambre. Les pas s’arrêtèrent, la porte s’ouvrit, la personne rentra et referma derrière elle. J’étais morte de trouille, je n’osais bouger et attendais en chienne soumise que la personne me dise quelque chose. Elle ne semblait pas surpris de me voir dans cette posture,  elle ne parlait pas, je ne pouvais rien dire. Elle me prit la cravache des mains, me fit remonter le menton, je me redressais aussitôt, montrant mon obéissance et elle me tourna autour pour me regarder tout en me donnant des petits coups de cravaches sur les fesses et sur les seins. C’est une belle sensation de se sentir appartenir à la personne qui  se trouve devant vous, prisonnier de mes liens que j’étais.
Je ne voyais toujours pas qui était cette personne mais son comportement me faisait croire qu’il s’agissait bien de mon Maître. Cela me rassura et m’excitai de plus belle. Il s’arrêta, prit la laisse et m’aida à me relever, cela me faisait du bien d’avoir une nouvelle posture. Il me demanda d’écarter un maximum mes pieds, je reconnu la voix de mon Maître, j’écartai au maximum mes pieds, il commençait à me tâter les fesses et me donna quelques coups de cravaches. Cela me chauffait toutes les fesses, je devais avoir le fessier entièrement rougi. Il commença l’inspection de ma chatte, histoire de me dilater un peu «  Je veux que tu sois bien chaude ma salope, je veux que tu assures ». Il m’engouffra un plug assez important « Tu vas garder ça au chaud un moment ». Il me détacha un bras, pour me le rattacher de suite avec l’autre dans le dos. Il continua son inspection, me regarda, me toucha, m’excita. Il me félicita pour ma tenue, mon gout pour la couleur de mes bas qui m’allait à ravir sur mes jambes, mes talons qui me donnait de la grandeur et confirmait mon statut de salope. Il me tâtait les couilles, me branlait pour me faire grossir mon sexe déjà bien important, il prit le tout à la base en allongeant le tout vers le haut, une fois le tout bien en main et bien étiré, il fit le tour avec une corde de nylon, serra un peu et fit en nœud à la base, il me passa cette corde entre les cuisses, puis dans la fente de mes fesses pour me le l’attacher à mes poignets. J’étais contraint de bander, la corde m’enfonçait de plus belle mon plug, mon Maître me fouettai les fesses, j’étais en feu, excitée comme jamais, immobilisé…  J’aurai aimé supplier mon Maître d’arrêter, je n’en pouvais plus, il se calma un peu, j’avais trop envie de jouir… Il me laissa souffler un peu, je respirais, il me fit remettre à genoux et m’enleva le bâillon boule, j’eu à peine le temps de détendre ma mâchoire, qu’il m’engouffra son sexe bien dur dans ma bouche, ce fut un vrai plaisir de sucer son sexe bien dur, un soulagement qui me fit oublier mes fesses rougies par les coups de fouets, je le pompai jusqu’au bout avec délicatesse, le remerciant par là de cette offrande, je sentit la jouissance monter et mon Maître me gicla son jus au fond de ma gorge, je ne m’arrêta point de le pomper, je le sentit aux anges.
J’étais heureux de penser que mon Maître ait pris son pied, je restai planté  là, sur ma faim, avec une sacré envie de jouir également. Il n’en était rien, mon Maître se rhabilla et sans perdre du temps, me remis le bâillon boule, m’aida à me relever et me conduis vers la porte de la chambre.
Que se passait-il ? À peine le temps de me remettre de mes émotions que je me pose de nouveau cette question, que va-t-il faire de moi, à présent… ? Il préparait quelque chose, mais quoi…, c’était la grande inconnue, seule dans un hôtel, avec mon Maître…
Je marchais difficilement, tiré par la laisse de mon Maître, les yeux bandés, la bouche bâillonnée, les mains attachés dans le dos et le sexe en érection attaché aussi, qui se tendait à chacun de mes pas.
Il ouvrit la porte de la chambre, je marchais dans les couloirs de l’étage, il me fit monter les escaliers. La chaine m’empêchait de faire de grands pas et j’arrivai tant bien que mal à monter les escaliers avec cet énorme plug dans mon cul. Je montai comme cela deux étages pour me retrouver, j’imagine, au grenier de l’hôtel, il ouvrit une porte, me fit rentrer dans une pièce fermée à clé par une chaine, il me semblait être une sorte de cave mais dans un grenier. Il n’y avait pas beaucoup de lumière, avec mon bandeau, il faisait vraiment noir. Il me positionna comme il le souhaita en m’écartant les jambes pour me les attacher, une chaine à chaque pied qu’il prit au sol. J’entendis le clic d’un cadenas puis d’un autre… il me détacha mes mains pour me les attacher cette fois-ci à deux chaines qui pendaient d’une poutre. J’étais en position de croix, les membres tendus, totalement immobilisée, il prit soin de me rattacher aussi les couilles en tirant cette fois-ci vers le haut, je ne pouvais que me déhancher afin de m’exciter un peu la chatte. Mon Maître m’aida en jouant un peu avec le plug, « Tu vas rester bien sagement ici en attendant que je revienne te chercher ».Je gémissais, il sortit en fermant la chaine de la porte à clé, j’aimais être immobilisé de la sorte, c’était très excitant, mais j’avoue que cette fois-ci, je ne faisais pas le fier…
Je resta ici bien trente minutes qui me parurent interminables, je m’efforçais de garder mon érection en me déhanchant, j’écoutais le moindre bruit, espérant que mon Maître vienne me libérer. Quand il revenu, j’étais soulagé, j’avais envie qu’il me libère, envie de me détendre, de le voir et de le remercier, il n’en fut rien, sans un mot, il me détacha de mes liens en prenant bien soin à chaque fois de me rattacher de suite, me contraignant immédiatement, je devais rester prisonnier, son prisonnier.
Je dus redescendre les escaliers difficilement, un peu fatigué par  le temps déjà passé debout. L’excitation revint rapidement quand je sentis de nouveau mon plug et mes liens me tirant les membres. La fatigue aidant, j’en avais oublié mon statut de femme chienne et salope de mon Maître. Je devais le satisfaire de nouveau à tout prix et je savais qu’il me testait, voulait voir si je tiendrai le coup. Je me redressais fièrement et le suivit comme je le pouvais.
Il me fit de nouveau rentré dans la chambre, il n’y avait personne, je stoppai au milieu de la pièce en attendant ses directives.  Après m’avoir observer quelque peu sous tous les angles, il vint vers moi, et me baissa le torse afin que je me plie en deux, je butta la tête sur une table, je posa ma joue, les bras attaché dans le dos, je du écarter les jambes, j’imaginai le sort qui m’était réservé. Il m’enleva le plug, j’étais fortement dilaté,  cela plut à mon Maître « Tu mouilles ma salope, j’aime ça, t’es bonne là ». Il ne perdu pas de temps pour m’enfiler son sexe dans ma chatte, d’un coup, il vint buter contre mes fesses. C’était trop bon, je gémissais de plaisir, mes couilles venaient taper contre le bord de la table à chacun de ses coup de butoir qu’il me donnait. Il se donnait vraiment, il allait profondément en me tirant sur la laisse, m’obligeant à relever la tête, je gémissais de douleur et de plaisir.


Escort-girl.jpgIl s’en donnait à cœur joie, et cela dura de longues minutes, j’étais exténué. Il se retira au moment de jouir, détacha rapidement mon bâillon boule, je pris son sexe en bouche, il me serra la tête contre son sexe, il était au fond ma gorge, et il se décharga, je dus déglutir et avaler immédiatement sa semence. Je sentis mon Maître prendre encore une fois beaucoup de plaisir à me baiser, j’étais heureux pour lui, frustrée de ne pas jouir…
Après quelques minutes de silence, son téléphone sonna, il répondit « Oui vous pouvez monter, elle est bien chaude ! », j’allais repasser à la casserole… En raccrochant, il s’adressa à moi, « Daniela, tu vas me faire le plaisir d’honorer ces personnes qui vont monter, tu vas leur donner du plaisir salle pute, n’est-ce pas ? » Exténué, j’acquiesçai d’un signe de la tête, je savais qu’il fallait que j’assure encore une fois, je ne devais pas décevoir ces personnes, mon Maître ne le supporterait pas, et je saurai puni. Je sais que cela ne serai pas facile, après plus de deux heures de soumission totale, complètement contrainte, j’étais fatigué, la chatte en feu, toujours l’envie de jouir en moi, je me disais que si je jouissais je pourrai enfin me reposer, mais ce n’était pas du tout mon rôle, j’étais une pute et je devais satisfaire les désirs de ces hommes.
Des pas dans le couloir, la porte s’ouvrit et quelques personnes rentraient. Mon Maître les accueila, « Cette chienne est à vous, profitez-en, elle devrait vous plaire ! N’est-ce pas sale pute ? Si ces Messieurs ne sont pas satisfaits, tu le paieras ! ».
J’entendis les hommes se dévêtirent, un par un, ils devaient être trois, je pense…  Mon Maître me tira par la laisse pour m’agenouiller. Le premier de suite me mit son sexe déjà bien excité dans ma bouche qui était encore toute baveuse du sperme de mon Maître. Cela m’aida pour le sucer aisément, je sentais des mains me tâter les fesses, d’autres mains me trifouillant la chatte bien chaude et dilatée, Ils semblaient être contents de moi, j’étais chaude, préparée à point par mon Maître, ils allaient se faire plaisirs les coquins. Je dus les sucer un par un, tout en prenant par derrière, j’étais leurs chienne, cela m’usait, mais j’y mettais de la volonté, mon Maître m’observait, et me mettait quelques coups de cravaches quand mon intensité baissait. Cela dura un temps interminable, avant que qu’ils jouissent chacun leur tour sur mon visage et dans ma bouche.
J’étais cuite ! Extenuée, je posa ma tête sur le sol, les fesses en l’air toujours, j’eu l’impression de tomber dans le coma, j’étais ailleurs, dans un autre monde, je n’entendais plus rien, j’étais vidée…
J’entendis vaguement la porte s’ouvrir et se refermer, les personnes repartirent en prenant soin de féliciter mon Maître pour ce bon moment passé. Mon Maître me détacha les poignets tout en me disant « Tu progresses sale chienne ! ». Il prit la porte et me laissa seule… Je me laissai aller sur le sol, souillée, mal partout, mais heureuse d’avoir passé ce moment sous les ordres de mon Maître.

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Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume
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