Samedi 24 juin 6 24 /06 /Juin 00:00

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Encore une belle journée avec ma Reine ! Je suis vraiment très zen ce jour là et tellement contente de ce que nous allons faire...

Il fait très chaud et une tenue estivale sera nécessaire aujourd'hui ! C'est avec une robe rose sans manches, un petit boléro blanc et des sandales, que je me rends chez ma reine. Encore un peu de monde à cette heure du déjeuner, deux groupes de jeunes me sifflent et me regardent de près, je me sens à l'aise. J'adore que l'on me regarde marcher avec ma robe qui moule à merveille les formes de mon corps, et avec des talons hauts, cela excite la gente masculine ! Ma reine adore me voir arriver vers elle en marchant. Elle me trouve sexy, mais surtout elle ne pensait pas que j'oserai venir avec une telle tenue. Je dois avoir l'air plus que sexy que d'habitude, et je regrette soudainement à m'être habiller si librement. En même temps je me sens si "moi-même" comme cela. Trop de temps sans se voir, nous discutons un bon moment, je lui offre quelques petits objets qui iront agrémenter son étagère. Ma reine était impatiente de cette journée, deux actes symboliques étaient au programme. J'étais aussi très heureuse du programme avec un peu d'appréhension tout de même, de la souffrance que j'allais devoir supporter. Les bras le long du corps, ma reine m'entoure le buste avec du film plastique noir, je suis en partie immobilisée. Je me positionne debout à plat ventre sur sa table afin qu'elle puisse me marquer ses initiales sur mes fesses, ma reine se met à l'oeuvre. Telle l'artiste, sans modèle, sans dessin préalable, elle me scarifie ma fesse gauche avec une de ses aiguilles très fine. C'est douloureux, je me crispe, j'essaie de supporter du mieux que je peux les coups d'aiguilles de ma reine sur mon cul. Cela ne dure pas si longtemps que ça, mais suffisamment pour souffrir. Ma reine me montre par l'intermédiaire de quelques photos son travail. Elle semble moins satisfaite que lors de sa première oeuvre, je trouve au contraire que ses initiales sont très stylées et son travail me plait beaucoup. Difficile de comparer avec la première marque qu'elle avait faite il y a plus d'un mois, cela avait été un tel coup de maître-sse, elle comme moi, nous nous attendions pas que si rapidement j'aurai sa marque et ses initiales sur mon corps. Pendant plus d'un mois, nous avons suivi l'évolution de cette marque et petit à petit, nous nous sommes rendu compte de la valeur de celle-ci. C'était un acte fort dont nous étions toutes les deux très fières. Il ne reste qu'une ombre de cette marque aujourd'hui, ce n'était qu'un essai. Cette nouvelle marque n'a soudainement pas le même impact émotionnellement. Cela viendra au bout de quelques jours j'en suis persuadée. Surtout que si comme ma reine l'a prévu, elle va tout faire en sorte pour que ses marques ne partent pas de sitôt. Je suis si fière de porter de nouveau la trace ma reine sur mon corps. Son oeuvre terminée, nous regardons ses superbes initiales, quel honneur de les porter. Merci ma reine pour ce geste fort qui montre comment mon corps vous appartient.

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Retournement... je me mets en position assise pour que ma reine poursuive son travail de transformation. Avant de quitter ma position, ma reine m'enfile un plug vibrant et gonflable. A ce moment là, j'ai tellement envie qu'elle me possède au fond de moi. Suis si excitée par plus d'un mois de chasteté que le moindre titillement me fait monter au plafond ! Un peu de stress pour la suite, elle va me percer les tétons. C'est une première pour nous deux, appréhension, douleur mais le désir est si fort. Elle va elle même réaliser l'acte de me lier à elle. Etre percée, les tétons de surcroît, c'est si symbolique à mes yeux. Mon corps transpercé par ce bout de métal par ma maîtresse. Enchaîné à elle, je trouve cela tellement magique. Ma reine est très concentrée, je l'admire beaucoup, elle est si décidée, aidée de la pince procuré à cet effet, elle essaie de percer le téton mais c'est difficile. C'est normal, c'est une première. J'ai totalement confiance et je la laisse opérer comme elle le sent. Mon clito, bien excité jusque là par le plug vibrant, se fait soudainement tout petit. Je ferme les yeux et je prends mon mal en patience et en sourdine. Je ne veux pas ajouter du stress à ma reine en me plaignant. Sa détermination l'a fait avancer, elle y met tout son cœur, on a toutes les deux très chaud, quel sport ! Vraiment quel énergie il faut pour accomplir ce geste. C'est douloureux, quelques petits essais sont nécessaires avant qu'elle n'y arrive enfin, d'un coup. Je m'étais cramponnée sachant qu'elle allait bientôt atteindre son but. Voilà ma reine à réussi à transpercer mon téton avec l'aiguille assez imposante mais vraiment étudiée. On souffle toutes les deux quelques secondes, elle installe ensuite la tige puis la seconde boule. Ouf, terminé ! C'était tellement intense, j'ai eu comme l'impression que le temps s'était arrêté et notre respiration avec ! J'étais persuadé de la réussite de ma reine, elle est toujours très déterminée quand elle entreprend quelque chose. Quelle satisfaction pour ce premier piercing ! Elle enchaîne rapidement avec le second. Je ferme les yeux en attendant que la douleur passe. Ma reine ne s'éternise pas trop, je me sentais partir et tourner de l’œil tellement la douleur était soudainement intense. Je l'avoue aujourd'hui c'est une sacré épreuve à vivre. Mais après cela, je suis si contente de l'avoir surmontée, et encore une fois, je me sens tellement en confiance avec ma reine, c'est un pur bonheur de la suivre sur les chemins pervers du BDSM. C'était très intense. Me voici percée, les deux tétons, par ma reine et pour elle, je suis trop fière ! Je me laisse aller sur la table, bien installée que je suis avec le plug que ma reine n'oublie pas de gonfler régulièrement. Je ferme les yeux, je suis heureuse et remplie de bonheur. Ma reine est contente aussi, mais crevée, elle se repose sur le canapé, le temps file, nous sommes bien. Après cet effort intense, ma reine a besoin de se changer les idées et elle a une soudaine envie de glace ! Le repos est terminé pour moi, me voici attachée sur le tréteau. Pliée en deux à plat ventre dessus, j'ai les quatre membres attachés avec des cordes. Je reste ainsi un long moment seule attachée et enfermée. Ce n'est pas super confortable, je ne peux me lâcher aisément et ma cage posée sur le tréteau me fait un peu mal. Je me laisse cependant bercer par les vibrations du plug toujours bien installé au fond de moi, j'arrive à somnoler quelques instants. J'entends la clé dans la serrure, ma reine revient. Elle prend de mes nouvelles, je vais bien. Elle est requinquée ! Elle s'équipe alors de son gode ceinture, elle prend le noir vibrant. Elle me prend petit à petit, les sensations sont différentes par rapport à un gode classique, une fois le passage fait, les va-et-vient du gode me procure un plaisir régulier et haletant. Les sensations sont toutes autres, il est plus souple, ma reine le gonfle et quand il rentre et sort, il me donne de sacrés sensations. J'ai vraiment l'impression qu'il est gros mais assez souple, il fait si naturel... C'est donc un doux plaisir que je vis alors, indescriptible, il faut dire que ma reine est une spécialiste des plaisirs phalliques. Elle se sert à merveille de l'engin qu'elle a entre ses cuisses.

 

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Elle me prend en douceur puis plus violemment, mais régulièrement. Je l'accompagne dans ses mouvements, qu'est-ce que c'est bon. Tellement bon, que j'ai l'impression de jouir à mille reprises ! Je sens la jouissance s'approcher mais contrôlée par ma reine, qui ne me laissera pas jouir aujourd'hui. Elle a décidé de laisser ma nouille encagée. C'est très frustrant j'en conviens, je l'accepte en tant que bonne soumise que je suis. Elle me demande si je vais encore tenir encagée, je n'ai pas le choix de respecter le choix de ma reine. Je sens que mon clito crache quelques gouttes, je vois au sol un peu de semence, il coule un petit filet régulier, ça ne fait que renforcer mon excitation. Cela n'ira pas plus loin, ma reine s'est approchée tellement prêt de ma jouissance, que j'en suis toute retournée. J'ai tellement envie de plus encore, de continuer sur cette voie, de bdsm, d'être bousculée, bâillonnée, que ma reine me martyrise le corps, d'avoir mal, tellement d'envies me traversent la tête ! Ma reine se retire et me détache. C'est aussi cela d'être une bonne soumise, accepter les décisions de sa maîtresse sans discuter. Je nettoie les lieux en faisant le ménage dans la pièce. Ma reine est crevée, je lui fais un massage de pieds. Cela faisait longtemps que je n'avais pas touché ses pieds. J'en avais oublié comment ils étaient beaux ! Magnifiques même et c'est un réel plaisir de les avoir entre ses mains. Les pieds de ma reine sont longs et fins, ses orteils sont longs, très longs également et très bien manucurés. J'ai une forte envie de les lécher et de les mettre en bouche. Je n'ose pas lui demander, je me console et je profite de ces merveilleux instants. Ma reine en veut plus et souhaite un massage. Elle s'allonge sur le ventre, elle est très détendue. Je ne suis pas une spécialiste et j'ai peur de ne pas bien faire. Ma reine me fait confiance et avec de l'huile, je commence par le haut du dos. Encore excitée par la petite séance que nous venons de finir, mon clito est tout émoustillé par le majestueux corps de ma reine que j'ai l'honneur de toucher. Merci ma reine pour ce plaisir et cette confiance. Du cou au bas des reins, des épaules au bout des doigts et des cuisses au bout des orteils, j'ai tellement aimé détendre ma reine ainsi, tellement qu'elle finit par s'endormir. Je la laisse ainsi se reposer quelques minutes. Pendant ce temps, je finis de ranger un peu les affaires, le temps file il se fait tard. Je me rhabille, me remaquille et en attendant que ma reine se réveille je fais quelques selfies de moi devant le miroir. J'aime garder un souvenir visuel de la tenue que je portais ce jour là. Je dois maintenant partir, ma reine me libère alors. Je sors de son immeuble, si fière, le sourire aux lèvres, tellement heureuse d'être la soumise de Reine Julie. Je repars vers ma voiture, d'un pas joyeux et décidé. Je revois un groupe de jeunes, le même que tout à l'heure, pas de détour cette fois-ci, je les croise, un sourire aux lèvres lorsqu’un d'eux me fait une gentille remarque sur mon corps !

Merci beaucoup pour ce si bon moment passé en votre compagnie ma reine. Cela restera un jour important pour notre relation qui me semble renforcée encore un peu plus.

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Par Daniela - Publié dans : Reine Julie - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 26 mai 5 26 /05 /Mai 00:00

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Direction Genève pour voir ma reine ce vendredi matin, les rues sont désertes ce jour de pont de l'Ascension. Tant mieux car je dois l'accompagner en ville faire des papiers. Ma reine est prête et je la récupère devant chez elle avec ma voiture. Nous n'en aurons pas pour longtemps à faire nos petites courses. Beaucoup d'attente devant cette administration, cette fois-ci, je n'aurai pas à descendre de la voiture, merci ma reine ! Retour chez elle une heure plus tard, je la pose devant chez elle. Je me gare au parking habituel, car impossible de se garer dans sa rue ni à proximité de chez elle. De l'autre côté du pont, j'ai quelques 800 m à faire à pied. Pas de parapluie aujourd'hui pour se cacher derrière ! Il fait grand beau. Qu'à cela ne tienne, je ne m'inquiète pas, j'ai confiance en moi. Je suis en leggins donc assez à l'aise pour marcher même si j'ai mes sandales à talons. J'aime beaucoup cette tenue que je trouve simple mais assez élégante et un peu sexy quand même. Le leggins allonge mes jambes et cambre bien mes fesses. J'ai mon petit sac à main que je prend soin de porter bien devant afin de cacher ma cage. J'ai aussi un petit sac de course dans lequel j'ai apporté quelques objets bdsm pour jouer et offrir à ma reine. J'ai mon cuir noir avec une écharpe de couleur, et je me sens bien à l'aise de la sorte. Arrivée chez elle, je lui présente mes nombreux jouets que je m'étais procuré au long de ces dernières années et que je ne me sers pas. Plug, cordes, menottes, bâillon boule, plug électrique et aussi un lot de cent aiguilles de différents diamètres pour l'un des jeux favoris de ma reine actuellement. Elle me semble contente de mes cadeaux. Je me mets un peu plus à l'aise en enfilant un petit déshabillé transparent noir sur des sous-vêtements et des bas noirs. Ensuite, pendant que ma reine se prépare, elle m'enferme dans sa cage pendant près d'une heure. Je ne peux pas dire que cet endroit soit confortable, fait que de métal, il est très froid, et exigu empêchant d'étendre ses jambes. Cette cage est vraiment une contrainte, et on se sent bien à l'étroit à l'intérieur. Cela me fait drôle de me retrouver enfermé à clé, puis seule dans l'appartement lorsque ma reine part un moment faire quelques courses. Je me mets à me poser des questions... Il ne faut pas qu'il arrive quelque chose de grave dans l'appartement ou à ma reine. Je serais alors enfermée avec personne pour me libérer. Je flippe un instant à cette éventualité. Mais j'apprends à gérer les moments de solitudes de la sorte. Ma reine m'a laissé mon téléphone, je lui envoie deux photos puis je préfère m'assoupir quelques instants.
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Ma reine revient toute prête et bien réveillée ! Elle me libère enfin, je peux enfin déplier mes jambes ! Pas pour longtemps, elle m'ordonne de me coucher sur sa table de massage. Chaque poignet attaché à ma cheville avec du film plastique que je je lui ai également apporté.
Bien attachée, elle voulait me refaire ses initiales au bon endroit et à l'endroit sur mes fesses, mais je lui demandé la faveur de le faire une autre fois. J'ai une compétition de sport le lendemain matin et cela risque de me géner. Elle est déçue mais elle accepte. J'ai vraiment une maîtresse formidable, je la remercie vivement de cette faveur. Je n'ai pas l'habitude de demander des choses à ma maîtresse. elle est là pour m'imposer, m'ordonner, et je suis également dans cet optique là de lui obéir selon ses volontés. Je suis sa soumise et je lui dois obéissance. On se parle et on s'écoute et c'est bien de trouver des paroles pour s'entendre, merci ma Reine. Ce jour là, elle va trouver d'autres jeux pour jouer avec moi, je lui fais confiance. Elle me bande rapidement les yeux avec un bandeau vraiment bien opaque derrière lequel je ne peux rien voir. Durant toute la durée de la séance, je ne verrais pas les supplices que ma reine va me faire. C'est très excitant pour la petite soumise craintive que je suis. J'aime cela, mais j'ai toujours l'appréhension. Bien attachée, je dois subir les coquineries de ma reine. Pendant près d'une heure, j'aurai les tétons malaxés et pincés. J'adore vraiment cela, la douleur sur mes bouts de seins m'excite vraiment et j'aime beaucoup la manière que Reine Julie s'y prend. Les douleurs sont vives et intenses et j'aime qu'elle aille loin dans ses gestes pour me faire souffrir. Il y a pas à dire, j'aime souffrir pour elle, j'aime me dépasser pour ma maîtresse. Elle le sait aussi et elle aime m'emmener très loin dans ses tourments pervers. Elle sort ensuite son appareil à électricité et de plusieurs manières, ma reine me fait subir des vibrations électriques, plus ou moins fortes, sur les seins mais aussi sur le sexe avec son gant doux mais où l'électricité se propage partout. De belles sensations, j'aime ces pratiques là. J'ai vraiment hâte qu'elle essaie sur moi le plug et la sonde urétrale électrique. Que de sensations à venir. Elle me doigte ensuite mon cul, qui n'est pas très propre, j'ai droit à une belle claque sur la joue, pardon ma reine. Ces massages prostatiques sont langoureux et excitants, les sensations sur mon sexe sont immédiates. Ma reine me fait respirer du produit. Elle décide me libérer mon clito quelques minutes. Il déborde littéralement de ma cage et je suis si contente que ma reine profite de lui. J'avoue que depuis plus d'une semaine, j'étais très excitée par mon retour à ses pieds et par tous les jeux de ma reine, mon clito était vraiment frustré. À l'air libre, ma reine l'excite de plus en plus, je suis aux anges entre les mains de ma maîtresse. J'ai envie de jouir pour elle, qu'elle me fasse mal, j'ai envie de souffrir pour elle, sensations magiques d'instants incroyables. Ma reine me laisse jouir sans plaisir, je suis exténuée, elle a fait monter la pression en moi et cette libération m'a envoyé au septième ciel ! Merci ma reine, c'est un bonheur d'être entre vos mains. Elle me laisse me libérer, nous rangeons nos affaires et il est déjà bientôt l'heure de se séparer. Je me rhabille, elle referme le cadenas de ma cage sur mon clito encore bien tendu. Que le temps a passé vite, nous avons encore tellement de choses à nous dire. Mais des moments passés ensembles sont si agréables que je quitte ma reine en fin de matinée très sereine.
Merci ma reine, c'est un vrai plaisir d'être redevenu votre. Je vous vénère, je vous adule.
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Par Daniela - Publié dans : Reine Julie - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 19 mai 5 19 /05 /Mai 00:00

Un an et quelques mois après notre séparation, je m'apprête de nouveau à m'incliner face aux désirs de cette jeune et belle maîtresse, la divine Reine Julie.

J'ai toujours eu de l'adoration pour cette maîtresse qui m'a beaucoup aidé dans ma conquête de mon moi intérieur.

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      Je me rends de bonne heure à Genève ou quelques feux ralentissent pas mal la circulation. Je n'avais pas du tout prévu que cela roule mal. J'arrive du coup vers chez ma Reine juste un peu en avance. Il commence à pleuvoir fort ! C'est ce dont j'espérais afin de me cacher sous mon parapluie afin de me rendre dans son donjon assez éloigné du parking prévu et libre à cette heure là. Je suis prête, comme tenue pour me rendre voir ma reine, une tenue discrète. Ma robe fuschia, facile, elle est bien chaude mais bon comme il pleut, ça passe bien. je mets par dessus mon petit corset imitation vinyle. Mes bottes noires en daim. Pas de bijoux, j'ai des manches longues... Pas de vernis aux ongles, juste du fond de teint et un peu de fard à joue. Mais rien aux yeux, avec du rouge à lèvres tout de même. Je mets mes nouvelles lunettes, les rouges et me voilà presque prête ! Mon blouson de cuir noir, mon écharpe léopard et me voilà sortie de la voiture, pas facile de s'organiser avec toutes ces choses dans les bras. Pas facile de savoir si je suis bien présentable, pas de miroir, les mains encombrés, il pleut et je suis en pleine ville, ça ira bien, je n'ai plus le choix d'avancer et de voir bientôt ma reine me motive grave ! Suis contente tout de même car je pense rien avoir oublié et ça se goupille pas trop mal. Des fois on sent que ça va pas le faire, car il y a toujours une ou deux petites choses qui déconnent. Que là, nickel, je me sens bien et si j'ai un petit regret, c'est celui d'avoir mis ces lunettes avec lesquelles je ne vois rien du tout de loin ! Je prends un peu de temps le long de l'Arve à l'abri des regards pour m'habituer de nouveau à marcher le plus féminin qui soit, à positionner mon corps de manière assez naturelle. Je croise un ou deux passants, je m'en fiche pas mal de leurs regards curieux et hagards, je me cache un peu sous mon parapluie tout de même, je ne le remercierai jamais assez ! Cela fait tellement longtemps que je ne suis sortie en fille seule et de surcroît de jour et en pleine ville. Cela fait beaucoup, mais avec la motivation, on arrive à faire tellement de choses. Je flippe un peu avant de me retrouver sur ce pont et de le longer, il y a plein de voitures et de passants. J'avance bien, j'ai hâte d'arriver, mais, je gère bien. Je traverse sur la route d'en face, des voitures s'arrêtent pour me laisser passer, suis gênée. Je me concentre surtout ne pas se péter la gueule avec les talons ! Je sais qu'il faut aller légèrement sur la gauche, dans la rue qui est en diagonale, il y a de petites ruelles à sens uniques. Je m'approche un peu, au pif quand même, et j'arrive assez rapidement dans la rue de ma Reine. Je me rends compte qu'à ce moment là, je suis à deux pas de chez elle et dans à peine deux minutes, je vais de nouveau la revoir, après une très longue période. Nous avons souvent parlé par messages mais cela faisait plus d'un an et quelques mois que nous nous étions vu. Pas beaucoup de passants dans cette rue, je m'abrite sous le porche de la montée de l'immeuble avant que ma reine me donne les numéros de l'étage et du code. Mince pas de miroir dans l'ascenseur. A peine sortie de ce dernier que j'entends ma reine crier. Elle est trop contente de me voir, moi aussi du reste, je mesure l'instant. L'espace de quelques secondes, je me remémore le film de notre relation puis comment elle m'avait manqué. Elle me fait rentrer dans son donjon. Magnifique petit appartement avec une immense terrasse. Elle est super bien installée, et son antre est vraiment conforme avec la vidéo que j'avais vu. Une grande table de massage en plein milieu de la pièce et en plus un canapé clic-clac meuble la pièce principale.

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On discute de tout et de rien, tous les "nouveaux" comme deux copines qui ne s'étaient pas vues depuis bien longtemps ! Je lui raconte les aventures que j'ai pu avoir au cours de cette séparation. Comme je suis contente d'être là. Ni moi ni ma reine sait ce que l'autre attend de cette rencontre, ni de la suite ou pas à donner mais une chose est sûre, les bons moments passés ensemble nous invitent à aller dans une nouvelle relation, c'est évident. Comment ne pas désirer Reine Julie comme sa maîtresse et lui appartenir. Pendant cette séparation, je n'ai cessé de penser à elle, le souvenir de nos escapades, le regret bien sûr de s'être séparés, une complicité certaine et ce lien d'amitié entre nous deux. Un amour sincère sans équivoque vis à vis de cette belle femme et de cette non moins belle maîtresse. Toujours à l'écoute l'une de l'autre, voulant rassurer l'autre, toujours lui faire plaisir, et se plaire.

Je lui offre mes petits cadeaux, une caméra et un trépied. On installe tout cela, on discute mais rapidement, Julie, ma reine, veut commencer à jouer un peu. Je file aux toilettes me faire propre. Ensuite, je lui offre ma cage de chasteté et un jeu de cadenas avec leurs clés, tout neuf encore dans l'emballage. Un signe fort qui marque mon désir de me confier à elle et lui montrer que je désire être de nouveau à ses pieds. Elle y est favorable, ce dont je me réjouis. Ma maîtresse ne perd pas de temps et m'installe de suite ma cage et la ferme à clé. Ma reine me raconte aussi sa nouvelle vie, elle a tout lâché pour repartir de zéro. C'est ce qu'elle rêvait depuis longtemps déjà. S'étant libérée aujourd'hui de certains freins sentimentaux et matériels, elle peut aujourd'hui repartir sur de nouvelles bases. Elle a réussi à monter son nouveau projet, toute seule, avec volonté et pugnacité, elle a réussi à réaliser son rêve, avoir son donjon ici à Genève. Je la félicite d'avoir pu monter "son entreprise" à 24 ans, bravo ma reine, suis fière de vous. Je n'ai jamais douté de vous, et je vous connais assez pour savoir que vous arrivez toujours à réussir ce que vous entreprenez. C'est une des raisons que j'ai toujours aimé et toujours désiré être aux pieds. J'ai toujours pensé que votre destin était là. La passion pour la domination dépasse le simple hobbies, et on sent très bien que c'est pour vous un véritable art de vivre. Construire sa vie autour de cela, et devenir une grande maîtresse. C'est votre avenir, c'est une évidence.

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      J'ai déjà pas mal roulé ma bosse, ou trimballer mes formes dans ce milieu (lol), à chercher ma voie dans la direction de cette passion commune. J'ai découvert les différentes pratiques et autres subtilités dans le bdsm lors de mes jeunes années et elles ne m'ont jamais quittées. Quelques personnes ont su me guider et mettre sur les rails, notamment une maîtresse qui m'a écouté et m'a guidé. Ne voyant pas mon avenir évolué à ses pieds, et à mon grand désespoir, cela s'est arrêté, c'était mieux ainsi. Reine Julie est la personne qui m'a fait le plus évoluée, avec elle, grace à un certain feeling entre nous, m'a fait passer à la vitesse supérieure et elle m'a fait accéder à un nouveau cap dans ma progression. Elle a réussi à me faire évoluer dans mon entreprise à me sentir le plus féminine possible et à assumer cette vie. C'est exactement ce dont je rêvais et elle m'a aidé à le réaliser. Ce retour à ses pieds me laissent croire que je vais encore progresser dans cette quête du Graal. Je luis fais confiance pour me faire vivre de bons moments dans ce milieu qui nous ai chèr à toutes les deux. Pas le même objectif c'est certain, mais la même passion de nous dépasser et de découvrir chaque jour de nouvelles choses, de nouvelles perversions, de nouveaux plaisirs ! Personnellement, je souhaite évoluer et grandir à ses côtés. Et mon désir est grand de l'écouter, de lui obéir et de la satisfaire. Je veux et j'espère que cette confiance qui nous lie nous fasse avancer. Je sais qu'en dépassant mes limites, je grandirais encore à ses pieds et j'espère aussi lui apporter tout ce qu'elle attend de moi.

Me voilà donc encagée, elle détient désormais les clés de ma prison, me voilà mon clito prisonnier, j'en suis si fière. Elle va pouvoir ainsi contrôler ma sexualité et pouvoir jouer avec. A moi maintenant de gérer les montées d'hormones et mes pics d'excitation sans pouvoir les soulager. Dépendre du bon vouloir de ma reine et de son désir de m'offrir cette jouissance. Jouir pour elle, et uniquement pour elle.

Ma robe remontée au dessus de mes fesses, me voilà rapidement devant ma reine, une corde à la main, elle m'ordonne alors de me positionner face à la croix de Saint André. Avec ce calme que je ne lui connaissais pas et avec une grande assurance, elle me ligote chaque poignet au coin supérieur de la croix. Les bras en l'air, me voici à sa merci. Mes fesses assurément vont prendre ! Elle les aime, elle aime voir des des marques dessus pour mieux les prendre plus tard et me pénétrer. On discute de nos différentes aventures que l'on a eu pendant cette absence. Ma reine est assez curieuse de savoir ce que j'ai pu faire pendant tout ce temps. Je lui raconte sans lui mentir. C'est vrai que d'autres personnes ont depuis touchées mes fesses. D'autres m'ont pénétré, je suis navrée de voir sa déception, ça me désole aussi. Même si j'ai pu prendre du plaisir, j'ai toujours gardé en mémoire et pensé comment ma reine s'occupait de mes fesses et cela n'avait rien de comparable. Ce tatouage aussi la désole, comme je la comprends... Toujours ce souvenir devant ses yeux, ça doit lui faire mal. Peut-être qu'un jour, nous pourrons le faire disparaître ou on l'acceptera. Une nouvelle marque sur mes fesses aiderait à faire oublier ce tatouage que j'ai sur la fesse droite, c'est sur. Un marquage de type fer à chaud peut-être, à voir ce que ma reine désire. Toujours est-il que pour l'instant, cela ne l'empêche pas de me fouetter les fesses. Elle utilise plusieurs instruments, et me trouve chochotte à me plaindre des petits coups qu'elle m'inflige. C'est vrai que j'ai un peu perdu l'habitude de recevoir des douleurs. Cela reviendra avec le temps, j'en suis certaine, il le faudra bien car je ne veux pas décevoir ma reine. Elle arrive tout de même à me faire de belles marques sur mon ventre. Elle venait de remonter ma robe afin de me mettre des pinces à seins. Les bras attachés, je gémissais et je sentais la douleur dans mes tétons. Mon clito gonflait dans sa cage l'excitation me gagnait. Je m'étais récemment touchée mais j'avoue que subir une belle séance de bdsm me faisait monter l'excitation. Ma reine maitrisait de mains de maître-sse sa séance. Je subissais ce dont elle avait envie, avec justesse, mais aussi avec une maîtrise complète et une certaine aisance, elle agissait avec assurance et détermination. Elle me détacha ensuite pour me prendre sur son tréteau. Cambré à plat ventre dessus, j'étais en position pour qu'elle s'occupe de mon cul. Elle me prépare petit à petit et elle me prend avec son gode ceinture. Pas le tout gros comme elle avait l'habitude de me prendre mais un gode "normal" ! C'est bon de se sentir de nouveau posseder par sa reine. Elle me prend par les hanches et progressivement elle me pénètre avec douceur comme pour mesurer l'intensité du moment présent. C'est très très bon, en mon cul apprécie de retrouver ma belle maîtresse. Je ne suis toujours pas très propre, et cela coule un peu par terre. Je retourne aux toilettes et au retour, je me couche sur le dos sur sa table de massage. Les fesses au bord de la table, ma reine est pile à la bonne hauteur pour me prendre. Avant cela, elle me pénètre avec ses doigts. C'est tellement magique de sentir ses petits doigts rentrer un à un dans mon corps, elle rentre, elle sort, elle trifouille dedans. Elle est proche de ma prostate, elle l'excite, elle est sensible, et j'ai une forte envie de jouir. Je gémis, je suis aux anges. Elle aimerait m'enfiler sa main mais c'est encore trop tôt, ma petite chatte, s'est bien refermée depuis tout ce temps. J'ai tellement envie qu'elle m'enfile sa main entière, quel plaisir de la retrouver. Ma reine veut me dilater un peu plus, elle va me pluguer. Je suis si excitée à cette idée. Le bout du plug est pas facile à enfiler, mais petit à petit, avec beaucoup de patience, ma reine progresse, je sens et j'imagine la grosseur du plug. J'essaie de me détendre et de respirer profondément, il semble énorme et cela m'impressionne. Il avance, il avance et au moment de rentrer entièrement, cela me procure un plaisir fou ! Absolument génial ! Merci ma reine. J'ai toujours les jambes écartées, les talons de mes bottes dans mes mains afin de ne pas abimer le dessus de la table, je prends plaisir à sentir mon cul rempli de cette manière. Maîtresse m'enlève ensuite les pinces des seins, je gémis lorsque les pinces se desserrent, c'est trop douloureux. Elle me fait ensuite une séance d'électricité. J'adore aussi cette pratique ! Même si j'aime tout (lol), les douleurs procurées pas l'électricité sont absolument géniales. Les vibrations et petits pincements m'apportent un plaisir immense. J'ai déjà eu quelques séances de ce style mais celles de l'appareil de ma reine sont magiques. Bien disposées, les douleurs sont profondes et sont bien répartis sur les seins. Elle me fait découvrir toutes les différentes fonctions de l'appareil. De beaux moments à profiter avec un tel appareil. J'explique à ma reine, comment j'ai déjà profiter d'une belle et longue séance d'électricité. Ma reine me pose aussi les pinces sur mes couilles, comme c'est douloureux. Je bande dans ma cage et mes bourses sont bien grosses. Je lui confie que j'aime aussi que l'on s'occupe ainsi de mon clito. Même si c'est si douloureux, j'aime tellement avoir mes parties maltraitées, pas avec violence, mais avec douleurs, qu'elles soient serrées, emprisonnées, pincées et étirées, c'est trop bon, surtout si je suis immobilisée, contrainte et les sens occultés, bouche yeux et oreilles prises. Ma reine me fait la totale ! Elle me montre ce qu'elle vient de prendre dans sa main, une aiguille ! Cela me fait envie c'est certain, et cela me rappelle la belle séance ou elle m'avait enfiler deux aiguilles dans chaque sein ! Cela avait été incroyable comme séance... Suis apparemment un peu douillette aujourd'hui pour une telle séance ! Ma reine se rapatrie sur mes fesses pour jouer avec son aiguille. Elle me pique tout d'abord les couilles puis elle tente d'écrire avec sur ma fesse. Ma reine se laisse prendre au jeu et elle écrit non sans douleur ses initiales, qu'elle entoure ensuite d'un très joli coeur. Une petite photo pour que je vois, c'est vraiment très beau, du grand art. Suis très fière d'avoir ma fesse marquée aux initiales de ma reine. Cela montre vraiment qu'elle est en train de prendre possession de mon corps. La séance se termine, elle m'enlève le plug que j'avais bien englouti et oublié. Je suis stressée par la sortie brutale du plug, elle a du mal à le retirer, ça y est, elle le tient et elle le sort avec douceur. Elle me le montre aussitôt, il est énorme ! C'était génial !

Ma reine regarde si je suis mieux dilatée et elle me doigte de nouveau ma chatte, c'est trop bon. Voilà, c'est vraiment la fin, je peux me relever et me rhabiller un peu. Je l'aide à se préparer pour son rendez-vous. Nous discutons encore un peu mais l'heure file. Ces deux heures ont passé à une vitesse incroyable. Je récupère mes affaires, on se quitte et on se dit à bientôt ! De retour à ma voiture, je me sens sur mon petit nuage, sereine et heureuse !

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J'ai passé un moment magique, merci maîtresse pour tout. Vous êtes tellement bien dans votre tête, vous êtes calme et sereine. Vous avez tellement progressé dans la maîtrise de vous même et de vos pratiques, suis impressionnée. Je suis très contente de vous voir ainsi. Félicitations à vous.
Par Daniela - Publié dans : Reine Julie - Communauté : plaisirs SM
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Lundi 1 mai 1 01 /05 /Mai 00:00

00.jpgQuelques mois sans maîtresse et sans séances, il me manquait de me retrouver aux pieds d'une belle dominatrice. Maîtresse Anaïs m'a offert la possibilité de la suivre à Lyon pour un après-midi dans le club mythique, j'ai nommé Le Mistik !

J'étais quelque peu angoissée, voir stressée à l'idée de rencontrer cette maîtresse. Je la connais pour suivre son parcours, depuis des années déjà. Nous n'avions jamais eu l'occasion de nous rencontrer alors que nous sommes distantes d'une dizaine de kilomètres...

Le rendez-vous pris, je me préparais donc à essayer de lui plaire et de ne pas la décevoir.

Toilette, épilation, il y avait du travail ! Malgré l'entretien régulier pour mes sorties en club, ma rencontre avec maîtresse allait se faire de jour. Je devais aller à sa rencontre au pied de sa résidence, mais je devais monter à l'étage chercher sa valise.

J'enfilais donc une tenue soft mais féminine. Certes, mes bas résilles et mes sandales rouges montraient que je n'étais pas là pour aller cueillir du muguet en cette veille de 1er mai !

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Maîtresse m'ouvre et me fait rentrer dans son appartement. Je m'agenouille directement afin de lui baiser les pieds. Suis très contente de cet instant qui marque peut-être le début de quelque chose... Des rencontres, une histoire, un suivi, à l'heure ou j'écris ces lignes, il est encore trop tôt pour le dire, mais j'avoue ne pas être insensible à cette belle maîtresse et sa grande expérience des travestis mais aussi du BDSM, jeux dans lesquels elle excelle. Elle me reçoit très simplement et très sympathiquement, je suis conquise. Maîtresse finit de se préparer et nous partons. Je prends sa valise remplie de matériel, et nous montons dans mon auto ou je la conduirais à une heure trente minutes d'ici. Le soleil bien présent, il fait chaud en ce début d'après-midi. Avec le stress de bien vouloir faire les choses, je mets un peu de temps à faire baisser ma température corporelle. Maîtresse m'y aide agréablement, car c'est avant tout une femme très gentille et très avenante. Nous discutons d'un peu de tout afin de nous connaître mutuellement.

La route se passe bien, et nous arrivons bien rapidement dans la rue ou se situe le club. Le long de la Saône, quelques passants profitent de ce beau dimanche, il nous faut quelques minutes pour trouver une place à proximité et sur le même trottoir que l'entrée du club. La panique s'empare de moi, lorsque je dois préparer les affaires que je dois prendre et sortir de la voiture. Merci maîtresse d'avoir garder votre calme lors de ces instants... Maîtresse passe devant et nous entrons dans ce club. Le gérant de l'établissement nous prend nos vestes et nous laisse rentrer dans une grande salle très bien éclairée. La lumière tamisée met bien en valeur les nombreux accessoires qui rappellent que nous ne sommes pas que dans un club traditionnel de nuit !

Gouter-du-Mistik-5904.jpgMaîtresse Anaïs est ici chez elle, elle connait toutes les personnes présentent ce jour. C'est rassurant pour ma part et j'arrive à me détendre. Je là suis aux toilettes ou j'en profite pour me changer afin d'avoir une tenue un peu plus bdsm... J'enfile donc ma nouvelle jupe en latex noire et mes escarpins. Je rejoins le bar, ou j'ai l'impression d'être déshabillée du regard, cela ne me dérange pas, au contraire. Je reste dans mon coin jamais très loin de maîtresse, elle accroche la laisse à mon collier je m'agenouille près d'elle. Quel bonheur d'être à ses pieds, à ma place, aux côté d'une maîtresse d'une grande classe. Nous prenons des forces, je mange une part de tarte aux pommes. Je me sens à l'aise aux pieds de maîtresse, la serveuse me met à l'aise également avec quelques sourires. Je bois mon coka pendant que maîtresse se boit une coupe de Champagne. Un soumis tout en résilles et en position d'attente, collier au cou, attendant sa maîtresse. Un autre homme, soumis également doit se mettre nu près de moi. Suite à cela, maîtresse ne perd pas son temps pour me faire mettre les fesses à l'air et les bras contre la croix de Saint André. Elle commence à me mettre dans l'ambiance en me chauffant les fesses avec son fouet à lanières multiples. Un peu de douceur liée à des coups plus appuyés, maîtresse fait connaissance avec mes fesses. Elle plaisante au sujet de mon tatouage qui correspond aussi à ses initiales ! Je m'étais fait la remarque quelques jours auparavant en pensant à notre prochaine rencontre. Elle s'occupe également du soumis qui venait d'être mis à nu. Il prend aussi quelques coups de fouet à quatre pattes au sol. Pendant que je subis quelques coups, maîtresse Nadia, l'amie de maîtresse Anaïs, arrive à son tour au club. On se salue de loin à travers le miroir, elle ne perd pas son temps pour prendre aussi son fouet afin de jouer avec maîtresse Anaïs. Elles me semblent très complices, cela promet quelques bons moments à suivre ! Je suis alors mis dans la grande cage pendant quelques minutes, pendant ce temps maîtresse s'occupe un peu plus ardemment du soumis. Quelques beaux coups de fouet lui sont administrés sur son dos. Une fois sortie de la cage je dois me mettre face à la grande cage et me tenir aux barreaux aux côtés de l'autre soumis. Le miroir en face de moi me permet de voir ces deux maîtresses se préparer à nous fouetter le dos et les fesses. Quelques coups fouets bien placés me font quelque peu crier, mais dans l'ensemble j'encaisse bien les coups de fouet bien appuyés sur mes fesses et sur mes cuisses.

Gouter-du-Mistik-5905.jpgCes deux belles maîtresses bien parties dans leurs jeux décident d'aller jouer dans un endroit plus au calme et plus discret. Je prend la valise de maîtresse Anaïs, le soumis en fait de même avec celle de maîtresse Nadia, et nous les suivons dans la pénombre dans une des pièce à l'arrière du bar. On se retrouve très vite à quatre pattes sur le bord du lit, à subir de nouveau quelques coups de fouet de la part des maîtresses. Elles se préparent ensuite pour de nouveaux jeux dont j'apprécie pleinement. Elles s'équipent chacune de leur gode-ceinture. Maîtresse m'enlève mon rosebud d'un coup sec, puis me prend délicatement avec son gode. Humm, quel délice... Cela faisait un bout de temps que je n'avais été prise par le gode d'une maîtresse. Pendant quelques minutes, maîtresse Anaïs me prend bien profondément, quel bonheur de se sentir possédée ainsi. C'est vraiment un sentiment d'appartenance fort, j'adore ces instants. Elle finit par une belle série ou je couine et suis prête à jouir ainsi. Mon clito mouille et je suis aux anges. Maîtresse se retire et m'introduit quelques doigts. Elle a envie de me fister, c'était il y a un an pour la dernière fois, c'est difficile. Effectivement, je pense qu'elle est tout prêt de le faire mais ce sera pour une prochaine. Je sens ses doigts s'introduire un à un puis une partie de sa main et de son poing. Elle rentre, elle sort, elle trifouille avec sa main, je me sens petit à petit possédée. J'avais fortement envie d'être prise par la main de maîtresse, et me sentir complètement à elle. J'espère que j'en aurai l'occasion un jour. Je peux souffler un peu, maîtresse me remet mon rosebud, maîtresse Nadia quand à elle, récupère le gode ceinture de son amie car plus gros pour prendre son soumis du jour. Elle a envie de le prendre sur la table de gynéco. Après quelques réglages, maîtresse Nadia se prépare, maîtresse Anaïs quant à elle enfile un préservatif sur le sexe du soumis, et après quelques attouchements il jouit très rapidement dans sa capote. Maîtresse Nadia n'a même pas eu le temps de s'introduire. Elles sont déçues toutes les deux car elles avaient de bonnes intentions de la situation qui se présentait à elles...

Gouter-du-Mistik-5907Nous rangeons le matériel et revenons vers le bar. A genoux, et en position d'attente, ces deux belles maîtresses reprennent rapidement leurs jeux. Le patron de l'établissement étale alors une couverture au sol et j'en devine rapidement la raison. Avant de me faire mettre à quatre pattes sur ce tapis, maîtresse me fait enlever mon haut mais aussi mon corset. Une fois en position, sur le tapis, maîtresse Anaïs et Nadia prennent chacune une grosse bougie qui brûlait dans un coin de la pièce et commencent à nous faire couler des gouttes sur le dos. C'est rapidement un flot de liquide brûlant qui s'étale sur mon dos, mes épaules puis mes mains. Je n'avais rarement eu autant de cire sur mon corps mais ce n'était que le début de ce jeu. Maîtresse m'ordonne de me mettre sur le dos, et les deux maîtresses m'arrosent littéralement de cire chaude, voir bouillante, surtout sur le ventre qui m'est quelque peu sensible. Je me crispe aux pieds de maîtresse. Je dois vite remettre mes mains sur ma poitrine pendant que maîtresse Nadia me décore mon ventre en dessinant quelque chose avec la bougie. C'est très jouissif de sentir la cire bouillante toucher son corps, je n'ose plus bouger, maîtresse Nadia continue son oeuvre, elle finit par mettre au centre de mon ventre sur un joli cercle de cire une petite bougie qu'elle laissera se consumer jusqu'à la fin. Je ne bouge pas, je suis bien, au centre des préoccupations de ces deux belles maîtresses, je vis un bonheur sans nom. Maîtresse Nadia surveille la bougie qui se consume petit à petit et quelques minutes plus tard, maîtresse Anaïs, d'un coup de fouet sec éteint la bougie qui commençait à me brûler le ventre. Quel beau moment, je me relève, me rhabille et nettoie le lieu avec le soumis.

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Je passe le reste de l'après-midi aux pieds des maîtresses à leurs masser les pieds et les jambes. Avant de partir, maîtresse Anaïs a encore envie de jouer un peu, je dois remonter ma jupe et les mains accrochées à un anneau d'une potence, je subis quelques coups de fouet mais aussi de badine dont maîtresse s'exerce. J'ai très peur de cet instrument de torture. Bien utilisé, il laisse de sacrés traces mais surtout il procure des douleurs très vives et intenses.

Ce bel après-midi se termine, le temps a passé si vite, nous saluons l'assemblée. Retour à Annecy ou le voyage a passé encore super vite. Je dépose Maîtresse Anaïs chez elle en lui remontant sa valise. Elle n'oublie pas de faire une petite dernière photo de mes fesses dont il me semble qu'elle a bien aimé. Tant mieux, je lui confierai bien. Je m'agenouille pour lui baiser les pieds, et je salue ma belle maîtresse que j'espère revoir bientôt. Ce sera bien vite là car elle me veut comme soubrette lors d'une soirée le 24 juin. Je vais me trouver une tenue adéquate afin de faire belle figure pour les convives de maîtresse.

Merci beaucoup maîtresse de m'avoir permis de vous suivre à ce goûter. Je me sentais vraiment dans mon élément, à vos pieds et au bout de vos mains expertes. Vivement d'autres aventures avec vous, en espérant encore aller plus loin dans certaines pratiques qui nous tiennent à coeur toutes les deux. Avec l'essentiel pour moi et comme toujours satisfaire ma maîtresse.

 

Par Daniela - Communauté : plaisirs SM
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Dimanche 12 février 7 12 /02 /Fév 13:10

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Par Daniela - Publié dans : Photo du Jour - Communauté : plaisirs SM
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Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume
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