Dans mes recherches à vouloir être offerte à des hommes dans des lieux publics, j’avais quelques contacts, cela avançait plus ou moins rapidement suivant les disponibilités des Maîtres qui
avaient envie de m’emmener sur de tels lieux.
Pendant ce temps, je mettais en ligne une histoire dont je venais d’écrire et qui correspondait vraiment à mes envies du moment « Mon maitre m’emmène au sex-shop ». Histoire de maitre et moi
faisant des achats au sex-shop, mon maitre m’obligeant à sucer et à être prise par les clients.
De mon côté, je sélectionnais deux personnes avec suffisamment d’expériences pour me faire vivre une pareil expérience.
La première personne était de Lyon, c’était un maitre qui possédait une soumise travestie sous contrat, et avait déjà réalisé des plans dans lieux chauds comme des jardins publics, des aires
d’autoroute, des cinémas pornos… avec de nombreuses soumises. Il avait envie de me dresser en privée et de me faire dresser par des hommes vicieux dans un donjon privé, pour ensuite être livrée à
des groupes d’hommes, son but que je sois une vraie chienne à bites.
Le deuxième homme, d’Annemasse, offrait sa femme régulièrement dans des soirées privées et dans des saunas et clubs de la région. Celui-ci aimait les soumises de mon genre, et voulait me tester
pour m’offrir directement dans un sauna.
J’avoue que ces deux personnes m’avaient attiré par leurs projets et ce qu’ils voulaient faire de moi. C’était mon envie du moment, j’étais motivé à faire la pute pour un dominant.
Je ne pouvais pas faire ce plan sans un maître très directif avec un minimum d’expérience pour m’offrir à des hommes. Je devais également m'entraîner pour faire ce genre de plan, et être éduquée
pour cela.
En attendant de pouvoir réaliser un tel plan, je continuais à chercher des hommes qui voulaient bien me baiser. Une bonne chienne de mon genre n’a pas trop de difficultés à trouver des hommes qui
ont envie de la sauter. Je décidais également de ne pas les choisir sur leur physique, je devais prendre ce qui venait, et mettre mes trous à leur disposition.
Pendant mes recherches, je retrouvais mon maître d’Annecy, je l’excitais toujours autant et on passait toujours de bons moments ensemble ! Il venait de lire mon histoire sur mon blog et il me
proposa rapidement de m’emmener dans un ciné porno, celui de Genève. On en avait jamais parlé ensemble, mais je vis que mes envies du moment lui plaisaient et qu’il aimerait aussi me livrer sur
des lieux publics. Nous planifions ce plan pour bientôt, le temps de se préparer moralement et physiquement.
Une semaine passa, j’avais rencontré le mercredi, un homme en plan nature, sans fioriture, je l’attendais au bord d’un chemin le long de l’autoroute, adossé à la voiture, il se gara derrière moi,
et il vint près de moi.
Je me mis face à lui, et c’est moi qui pris les devants. Je ne me reconnaissais pas, moi qui avait l’habitude d’attendre les gestes des mecs, souvent directifs, je tendis les mains le long de son
blouson et descendit rapidement pour lui passer ma main sur le haut de son pantalon. Droit dans les yeux, main à plat, je sentais sa bite à travers, et je le caressais, je lui défis le bouton et
descendis la fermeture éclair. Il se laissait faire, le pantalon descendis sur ses chevilles, je pouvais lui caresser sa bite plus facilement.
Il me mit les mains au cul et il gémissait de plaisir. Je ne mis pas longtemps à glisser ma main dans son caleçon et à me saisir à pleine main de sa bite toute raide et toute chaude. Son sexe me
rappelait ce qu’il m’avait attiré chez lui, les dimensions hors normes de son sexe, la longueur et surtout la grosseur. Tout en continuant de le branler, je me mis accroupis et je lui suça le
bout de sa bite. J’ouvris la bouche et il m’engouffra rapidement sa belle queue bien dure j'eus du mal à le sucer, je la lui ressortit et le lécha, histoire de la lubrifier quelque peu. Je pu
ensuite le sucer comme il fallait. J'eus ensuite rapidement la bouche bien humide, ses allers et venues au fond de ma gorge me lubrifia largement ma bouche, sa bite était devenu bien baveuse. Je
le suça longuement m'aidant de mes mains pour le branler.
Il était si chaud qu'il pris rapidement une capote dans sa poche et se l'enfila. Je me redressais et me retournais. Il me plia en deux et releva ma jupe, il écarta mon string et mes fesses et
commença à approcher sa bite de mon trou. J'avais pris soins de bien me lubrifier, heureusement car il ne perdit pas de temps à m'introduire sa grosse queue.
Il la rentra rapidement de moitié, et me lima ainsi quelques coups avant de me l'enfiler ensuite tout au fond d'un coup sec. Je gémis quelque peu de douleur, il m'avait prise et je le sentais
bien profond, la douleur laissa la place au plaisir, c'était trop bon. Mon petit cul serré le fit malheureusement jouir assez vite, mais il m’avait bien baisé ! J'étais satisfaite.
La semaine suivante, mon maître d'Annecy, maitre Domi me contactait le mercredi via le site de tchat. Il était chaud comme la braise ! Il voulait absolument me voir et me baiser. Je n’avais pas
de dispo avant le vendredi soir. Cela lui convenait « Réserves ta soirée ma pute, je t’emmène te faire baiser ! ».
Ces phrases m'excitaient et j'attendais avec impatience son plan “secret”. Il ne voulait rien me dire préférant me faire la surprise. Au fond de moi j'espérais que cela se passerai au sauna ou au
ciné. J'avais la plus grande confiance avec ce maitre, organisé et juste, il pensait à tout. Je me préparais donc en fonction de ce plan.
Tenue plus que sexy, du genre pute ! jupe très courte, bas résilles, talons treize centimètres, perruque blonde et maquillée bien colorée.
Nous avions rendez-vous sur un parking près de la frontière franco-suisse, je monta dans son auto. J’étais un peu angoissé, je n’avais pas l’habitude que l’on m’emmène en tenue, je me sentais
prisonnière, impossible de faire demi-tour et obligée d’assurer ma tenue.
Nous passons la frontière, personne pour nous contrôler. Ouf ! je balisais, j’avais peur de me faire arrêter, que l’on me questionne, la trouille quoi...
Et en même temps, j’étais avec mon maitre, je me sentais en sécurité, je savais qu’il me protégerai, je me détendais un peu.
Sur la route, je commença par caresser mon maitre, très vite, il banda. Je lui sorti son sexe de son pantalon et je le suça. J’étais absorber par son sexe, envie de le faire jouir. Il finit par
s'arrêter, il inclina son siège et je le suça de plus belle. Il finit par jouir. Je ne voulais qu’il se salisse, je gardais donc son sexe dans ma bouche, et avalais son jus jusqu’à la dernière
goutte.
Je me releva, nous étions sur un parking public en pleine ville. Pas grand monde en cette heure tardive de la nuit, très peu de lumière également.
“Voilà ! nous y sommes !” Sur ces mots, maitre domi se rhabilla et se prépara à sortir de l’auto. Je
m'arrangeais rapidement et je le suivais. Je ne voyais rien aux alentours, rein d’ouvert pour rentrer au chaud. Il me pris par la taille et me mettait la main aux fesses. J’étais assez heureuse
de marcher en ville avec un homme.
Au bout de la rue, nous traversons et tournons sur la droite. Au bout de la place, une lumière attira mon attention.
J’attendais de s’approcher un peu pour lire l’enseigne, de loin, on ne savait pas trop de quoi il s'agissait, sexe-shop, bar, boite de nuit ou ciné -sexe... je saurai maintenant rapidement ou mon
maitre m’emmenait ce soir.
“C’est là !” me dit il. “Nous allons au cinéma !” ça te plaît ?” “Euh oui...” lui répondis-je peu surprise mais surtout quelque peu stressée, j’avalais ma salive.
Hormis en boite de nuit, je ne m’étais jamais déplacé dans un endroit aussi chaud. Je savais qu’il y aurai du monde. Deux hommes discutaient non loin de l’enseigne de là, ils nous observaient en
train de rentrer dans le cinéma. Je me colla un peu plus vers mon maitre, cela lui plut et il me sourit.
Je laissa rentrer mon maitre en premier dans le sas d’entrée, ou il prit deux billets pour le seul film en cours. Je déglutis ma salive encore pleine de sperme de mon maitre, quand nous rentrons
dans cette salle sombre éclairée par le film projetée sur le mur.
Une femme se faisait baiser en levrette par un homme et elle en suçait un autre.
Les images de ce film étaient de qualité médiocre et le son un peu fort.
Dans la salle deux couples assis presque au fond de cette petite salle et trois quatre hommes seuls vite intéressés plus que perturbés par notre entrée au premier rang dans le bas de la salle.
Je m’assis rapidement espérant être la plus discrète possible. Je mis une main sur le genou de mon maitre assis à coté de moi, lui montrant par la mon inquiétude à être ici. Il me rassura par un
sourire et sorti de sa poche ma laisse, il me l'accrocha à mon collier de chienne.
Il n’était pas très discret, je pense que toute la salle nous regardait. Je bandais un peu, excitée par les images du film mais j’avais aussi très chaud, je quitta mon manteau.
A peine cinq minutes que nous
étions assis, un homme vient s’asseoir à côté de mon maitre. Mon maitre n’hésita pas, il tira sur la laisse. Je compris le message, mais je ne me levais pas encore. Je suis timide et j’avais du
mal à approcher un inconnu, bien qu’il faisait sombre. Mon maitre insista et je dû me lever pour ne pas tomber du siège. Je me mis vite fait à quatre pattes devant mon maitre, il me tira encore
sur la laisse afin que je m’approche de son voisin. Je rampais tel une chienne.
L’homme était en train de déboutonner son pantalon et de le descendre sur ses chevilles. Le message était explicite, je m'approchais de lui et je me glissais entre ses jambes afin d’atteindre son
sexe. Il ne bandait pas encore, je le pris dans les mains et le branlais. Je faisais cela machinalement sans appréhension, ma timidité disparaissait. Je jeta un oeil en direction de mon maitre,
il me fit un sourire d’encouragement.
Tout en fixant mon maitre dans les yeux je mis le sexe de cet inconnu dans ma bouche et je le suçais. Je faisais la parfaite salope, mon maitre se branlait à son tour. Je suçais l’homme avec
envie, je me plaisais à faire cela.
Très vite, je sentis la présence d’un autre homme s’approchant de moi, il me caressait les fesses. Il remontait ma jupe et me branlais mon plug. Je gémissais de plaisir et remontait mon cul telle
une véritable chienne en chaleur avec l’envie de me faire mettre.
Je branlais ce nouveau sexe dans mon dos. Il était bien dur aussi et surtout plus gros. Je ne pû m’empêcher de me retourner et de prendre cette nouvelle bite dans ma bouche. Quel beau sexe, très
agréable à sucer.
Pendant ce temps le premier que j’avais sucé, s’enfila une capote et me prit d’un seul coup en me tenant les hanches. J’avais la chatte bien humide et bien chaude. Son sexe de petite taille me
fit du bien. Je gémissais de plaisir et j’alternais les saccades d’avant en arrière afin de satisfaire ces deux hommes en même temps.
Mon maitre m’observait et je sentais que cela lui faisait plaisir que je me fasse prendre par deux mecs.
Bientôt le premier finit par jouir dans sa capote.
Je voulais que ce second sexe, plus gros, me prenne dans la chatte. je me retourna donc de nouveau. A peine retournée, un autre homme s’était approché et me présentait aussi son sexe.
Je ne sais plus combien de fois je fis cette manoeuvre mais je n’avais pas le temps de souffler. J’avais le cul bien chaud par toutes ces bites passées dans mon cul et la bouche bien humide.
Quelques hommes n’eurent pas le temps de me prendre, ils me giclaient leur foutre sur mon visage et dans ma bouche.
Je commençais à fatiguer, quand mon maitre se leva, quelques voyeurs partirent s’asseoir plus loin et un autre se rhabiller.
Je remercia mon maitre pour toutes ces queues, je rassemblais mes affaires et il m'emmena aux toilettes afin de me rafraîchir le visage. J'en avais teminé et je commençais à souffler un peu.
Arrivés aux toilettes, nous croisons un homme en train de se laver les mains.
Mon maitre m’ordonna de me mettre à quatre pattes.
“Suces moi cet homme, chienne !”
L’homme se retourna face à moi et il défit rapidement son pantalon. Je le suçais dans ces toilettes pas très propres, ça ne me faisait pas trop envie, mais je devais satisfaire mon maitre et cet
homme.
Je suçais un énième homme, j’étais là pour ça. Cela semblait satisfaire mon maitre. J’étais sa propriété, il me menait à la laisse comme une vraie chienne à ses pieds.
Encore une fois, un homme joui dans ma bouche et je dus avaler sa semence. Quelle pute je faisais...
Nous sortons enfin, mon maitre regarda son portable, “Voilà deux heures que nous sommes là ! Le temps a passé super vite... “Tu as sucé sept mecs, ma salope !” C’était la première fois que je me
faisais autant de mecs. Je n’aurai jamais cru y arriver !
“Je suis fier de toi !” me lança mon maitre. J’étais content de l’avoir satisfait, mais j’avais bien pris mon pied aussi !
Cela m’a semblé assez facile, j’ai eu la chance d’avoir été surveillé par mon maitre qui veillait à ce que chaque mec ne soit pas violent avec moi et qu’ils mettent bien tous une capote.
J’espère un jour y venir seule et assumer...