Voilà un mois jour pour jour que Maîtresse me donna l'ordre de domir en nuisette et de porter chaque jour une culotte.
Voici quelques unes des plus belles photos...
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Voilà un mois jour pour jour que Maîtresse me donna l'ordre de domir en nuisette et de porter chaque jour une culotte.
Voici quelques unes des plus belles photos...
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Il est précisément 10h00 quand je sonne à l’interphone de maîtresse Akina. Elle m’ouvre sa porte, je rentre, je me retourne et je la vois tout étincelante face à moi ! Nous échangeons chacune un large sourire, je pose mes affaires et je lui baise les pieds. C’est un tel bonheur de me retrouver encore une fois à ses pieds comme si c’était la première fois.
Une douche, un peu de crème sur le visage, un peu de fond de teint et je me rends vers maîtresse en sous-vêtements, ma cage et ma poire d’angoisse comme bijoux.
Je présente à maîtresse mes trois tenues achetées au cours de l’année. Nous discutons de choses et d’autres, Maîtresse me maquille avec attention. Un petit tour devant le miroir, quel superbe maquillage !
Je retourne à la salle de bains pour enfiler ma robe de paillettes, avec mes bas, mon corset ainsi que mes escarpins. Je reviens à ses pieds avec mes petits cadeaux et les roses. Maîtresse me serre comme il se doit mon corset jusqu’au bout du réglage. Cette robe brille, super moulante, un peu transparente, laissant quelque peu deviner mes sous-vêtements… je l’adore !
A genoux à ses pieds, je lui tends mes petits cadeaux et mon collier de soumise qu’elle accroche à mon cou. Je pose alors pour quelques photos avec les roses tout d’abord ainsi qu’avec quelques chaînes, objet fétiche de notre rencontre !
Je retourne à la salle de bain me changer et enfiler ma seconde tenue, une combinaison noire en lycra, laquée, effet mouillé.
Une fois de plus, le corset complète ma tenue. Je rechausse mes escarpins, « magnifyque » comme dirait une célèbre animatrice d’émission télévisuelle !
J’adore voir une belle jambe habillée de leggins ou de bas sans pied et terminée par un escarpin,, c’est très excitant et cela ne me va pas si mal !
Quelques photos suggestives sans artifices puis maîtresse me fait alors un bondage avec des chaînes.
La chaîne est un objet très aimé par maîtresse qui ne se doute pas que moi aussi !
Le bruit des chaînes, sentir le métal contre mon corps sont des sensations très agréables et surtout qui me rappellent tellement de souvenirs…
Petite confidence, en effet, j’étais alors très très jeune quand je me suis attachée la première fois, je ne savais d’ailleurs pas que cela s’appelait le bondage. C’était donc avec le même genre de chaîne que j’ai réalisé mes premiers self-bondage, que de nostalgie…
Maîtresse me fait ensuite un superbe bondage de la tête aux pieds, vraiment délicieux ! Elle me laissa quelques minutes à me débattre dans mes contraintes, puis quelques photos comme souvenir.
D’autres se succèdent avec des roses également, me donnant l’air d’une composition florale ! Seul inconvénient des chaînes, il faut plus de temps à défaire les liens qu’avec des cordes !
Pendant ce premier bondage, maîtresse me fait quelques confidences qui se sont passées pendant notre séparation, montrant à quel point elle tenait à moi, j’en suis encore toute retournée…
De nouveau à la salle de bain ! Ce n’est pas pour me gêner ! Je m’habille avec une nouvelle tenue très sexy, des bas laqués sans pieds, une porte jarretelle cuir et pour le haut, un soutien-gorge et bien entendu mon corset.
Ce porte-jarretelles habille à merveille mes fesses, bien serré à la taille, les jarretelles descendent magnifiquement sur les jambes. En l’occurrence, ces bas sont faits de matière synthétique avec un effet laqué brillant. Ils se terminent sans pieds mais très serrés. Encore une fois mes jambes sont gainées au plus près et avec mes escarpins, cela me rend très excitante !
Maîtresse me met plus en valeur encore avec quelques cordes. Debout les bras attachés dans le dos, les chevilles liées, elle m’attache aussi les pieds que je croise, je suis à sa merci…
Voyant mon sexe se tendre et pousser ma cage, maîtresse me l’enlève, effectivement, il était à l’étroit depuis plus de trois semaines sans sortir ! J’étais alors très excitée dans la toile de maîtresse.
Maîtresse habille d’un petit corset mes testicules qui a pour effet de les comprimer quelque peu.
Maîtresse continue alors son bondage avec cette folle idée en tête de me prendre avec son gode ! Elle en parle qu’à demi-mot mais je le devine très bien…
Je ne pense aussi qu’à cela depuis des mois, envie de sentir ma maîtresse prendre mes hanches à pleines mains et me laisser aller dans ses va et vient contre son bassin. Envie qu’elle vienne se bloquer contre moi, avec force et détermination, et sentir son gode me pénétrer le sien uniquement.
Je suis pressée qu’elle me fasse tressaillir de bonheur, qu’elle aille au plus profond de son plaisir.
Pendant de longues minutes, maîtresse me prépare à ce plaisir suprême, chaque détail compte, chaque corde est méticuleusement tissée autour de mon corps.
Mais un plaisir pouvant en cacher un autre, c’est avec celui de ma punition promise que maîtresse continue sa domination…
Elle me bâillonne alors avec un bâillon écarteur de bouche.
Ayant oublié mon cahier de punitions, maîtresse m’annonce une punition de 150 coups, une infime partie de ce que je devais recevoir !
Effectivement, mon cahier de punitions ne comporte pas moins de 350 coups depuis notre dernière rencontre. Je m’en tirais bien, mais je sais que ce n’est que partie remise…
Maîtresse sort alors son ami le fouet et commence par une série de 10 coups.
Une grande appréhension m’envahit alors, repensant à cette magistrale punition que j'ai subi la dernière fois, cela me rappelle alors tellement de souvenirs…
Des souvenirs pas très agréables tout d’abord avec des douleurs présentent pendant de longues journées, mais aussi avec le magnifique souvenir d’avoir lavé l’affront de l’avoir momentanément quittée, j’en étais alors fière.
Je compte alors difficilement un à un cette première série en me conditionnant immédiatement sur les 150 autres coups que je devrais avoir aujourd’hui.
Les douleurs que j’ai eu pour les 385 coups de la dernière séance me faisaient penser que cela n’allait pas être facile d’en encaisser même qu’une moitié…
Mais bon, je suis une bonne soumise, et la punition que maîtresse m’inflige, je la respecte tant elle est méritée comme d’habitude. A chaque coup, je me dis que c’est pour mon bien et pour le plaisir de ma maîtresse. Chaque coup est bien appuyé et maîtresse s’applique comme il se doit.
La première série de termine enfin, maîtresse me détache alors et me change de position.
Elle conçoit un superbe bondage qui me fait plier en deux afin d’exposer mes fesses au mieux pour la suite de cette punition.
Quelle excitante position ! Les bras le long du dos, les jambes repliées sur mon ventre, mes fesses en valeur, mon clito bien tendu, et ma poire toujours en place et en exhibition.
Elle me suspend alors pour faire quelques petits jeux et pour quelques belles photos. Ces photos resteront pour moi le souvenir d’une position qui me plaît beaucoup mais malheureusement quelque peu douloureuse pour l’heure…
Ce n’est pas tant cette position imposée par maîtresse qui me donne des douleurs mais plutôt les cordes qui au fil de mes mouvements me compriment de plus en plus ma poitrine.
Je m’en veux de lui dire que j’ai trop mal, car cela casse quelque peu l’ambiance et les montées d’adrénaline soudain retombent.
Je dois manquer d'entraînement à être ligotée très serré, quelques kilos perdus, un manque certain de musculature aussi, chaque serrage sur ma carcasse me fait alors trop mal et je suis alors déçue à chaque fois de devoir s’arrêter en si bon chemin.
Maîtresse doit vraiment penser que je le fais exprès, que je suis un peu « chochotte » ou que je manque d’envie… Pardonnez-moi maîtresse de n’avoir pu vous satisfaire, j’en avais tout comme vous fortement envie…
Maîtresse me détache en partie, pour faire une nouvelle suspension avec les jambes écartées. Une fois bien positionnée, elle enlève ma poire, ouf je suis propre !
Elle essaie alors son tout nouveau jouet, un plug électrique...
Maitresse connait mes penchants pour l’électricité, et me fais ce plaisir de m’insérer ce plug et de le brancher à son appareil générateur de courant.
Les impulsions donnés à intervalles irréguliers par la machine sont vraiment délicieuses et c’est vraiment un grand plaisir de se sentir envahir par ses impulsions.
Dans cette position, je commence également à avoir quelques douleurs. J’essaie de le dire suffisamment tôt à maîtresse afin qu’elle intervienne avant que je n’ai trop mal, mais en même temps j’ai tellement envie d’être à sa merci pendant de longs moments que j’attends les dernières secondes pour lui en parler.
Maîtresse finit par me détacher et suite à ses longues suspensions, elle décide de m’installer sur sa table. Je suis à plat ventre, ligotée, mon sexe à travers le trou de la table.
La position est très contraignante, je dois me cambrer et lever la tête. Mes jambes sont bien serrées et je ne peux vraiment pas bouger.
Maîtresse veut varier les plaisirs et me mettre une cagoule intégrale fermée.
J’ai souvent fantasmé sur ces magnifiques cagoules de cuir avec ces sangles tout autour de la tête. La tête harnachée de sangles, les yeux bandés, la bouche pluguée, perdre tous ses sens, très excitant ! Sauf, qu’aujourd’hui, pris de panique et de claustrophobie subite, je ne me sentais pas subir cette contrainte.
Heureusement très à l’écoute comme à son habitude, maîtresse sût me faire patienter dans le calme et la sérénité. Je sais qu’un jour j’accepterais sans broncher cette contrainte, aujourd’hui ne fut pas le bon jour.
Maîtresse me remet aussi l’électricité sur mon plug et elle commence alors un magnifique tease.
C’est juste énorme, les sensations procurées conjointement sur mon sexe et sur mon anus. Ajouter à cela, maîtresse joue avec mes tétons, c’est vraiment trop bon, mes trois zones érogènes me font jouir de plaisir.
Indescriptibles sensations, je me débats dans mes liens, j’ai encore une fois très mal à mes membres mais le plaisir est tellement présent que je les oublie. J’aime avoir alors un bondage bien serré qui m’empêche littéralement de bouger.
Pendant ce merveilleux moment, maîtresse prend le temps de me dire que désormais elle seule pourra toucher mon sexe et elle seule aura la liberté de me faire jouir. Je l’écoute attentivement et approuve sa décision. Merci maîtresse de gérer ma sexualité ainsi, ce n’est que du bonheur.
Maîtresse voit que le bonheur est vraiment présent et me fait passer un superbe moment. Je sens la jouissance approchée, maîtresse joue alors comme elle sait si bien le faire jusqu’au bonheur suprême qu’elle m’accorde. Merci maîtresse, quel moment… !!!
Elle me détache, je la remercie en lui baisant les pieds. Je file me déshabiller et me doucher. Je regarde l’heure, je n’y crois pas… Le temps a passé à une vitesse incroyable… Entre ses mains nous sommes ici dans un autre monde…
Très heureuse de ma séance, juste déçue de ne pas avoir eu les honneurs du gode de maîtresse, j’espère que cela ne sera que partie remise, et que toutes ces positions entamées pourront être exécutées un jour. Je rêve vraiment de pouvoir vous offrir mes fesses sans ménagement maîtresse !
MERCI pour tout.
Un an et 19 jours après notre séparation, me voilà de nouveau aux pieds de maîtresse, Maîtresse Akina.
J’étais toute excitée à l’idée de la retrouver. Plus d’un an après notre rupture, je revenais à genoux à ses pieds.
Ce n’était pas sans appréhension que j’abordais notre rencontre. Nos différents messages qui la précédaient avaient été courtois mais sans fioritures. Mais mon désir de me faire pardonner à ses pieds était plus fort que tout. J’appréciais le moment ou j’arrivais dans la propriété privée de Maîtresse Akina, qui me fit resurgir tous ces de souvenirs.
Je retenais mon souffle.
Maîtresse vint m’ouvrir, je me mis à genoux pour lui baiser les pieds. Comme j’étais heureuse...
Passage à la salle de bains, une douche et j’enfilais ma plus belle tenue pour retrouver ma maîtresse. Bottes, bas noir et porte-jarretelles, jupe en cuir, haut résilles, corset, ma perruque blonde.
Je frappe avant de rentrer dans son antre, avec les fleurs, un bouquet de sept roses à la main.
C’est à genoux que je m’approche à ses pieds. Je lui offre tout d’abord le bouquet, puis mon collier de soumise qu’elle accroche à mon cou. Je lui remets également les clés de ma cage, dont elle m’avait ordonné d’avoir sur moi tout comme mon harnais et mon plug.
Je lui baise les pieds en lui demandant pardon pour le mal que je lui ai fait.
Maîtresse me maquille avec le plus grand soin, je ne reconnais pas Daniela, cela fait tellement longtemps...
Elle remarque que je ne suis pas rasée de près, effectivement, m’étant rasée la veille, ce n’était pas suffisant. Ce n’est pas une excuse, je m’en veux, j’ai honte de me présenter dans cet état-là devant ma maîtresse.
Cela se passe bien, maîtresse semble contente de me voir.
Quelques photos pour le souvenir, maîtresse me demande ensuite de me mettre debout. Face au grand miroir, pas de cordes pour l’instant, je vais être ornée de cuir !
Elle me met tout d’abord le collier de soumission très haut m’obligeant à garder la tête bien droite, elle m’enfile les manchons bouchés en cuir, un à chaque bras et me les lie dans le dos, et enfin un bâillon boule que je garderais le temps de la séance.
Elle m’attache les pieds avec une barre d’écartement avec des sangles de cuir.
Commence alors une petite séance de dressage avec de petits exercices pas faciles à réaliser les bras et les pieds attachés, je fais de mon mieux.
Je me retrouve très rapidement le corps plié en deux afin que mes fesses soient à disposition de Maîtresse.
Je connais son amour pour mes fesses, je lui offre avec plaisir, elle les découvre avec délicatesse en ouvrant la fermeture éclair de ma jupe.
Je frisonne de plaisir...
Pendant quelques minutes, maîtresse me “chauffe” un peu les fesses, à mains nues, puis avec un grand fouet à larges lanières, histoire également de les “rosir” un peu.
Durant les différentes séances que j’ai pu avoir avec maîtresse, elle ne se servait que de la cravache, le paddle ou le martinet. Cette fois-ci, c’est la badine que j’aperçois dans ses mains. Je sais à quel point les coups de badine peuvent faire mal et surtout les belles marques qu’elles peuvent laisser..
Elle m’en donna quelques coups sur le côté des fesses. Les coups sont appuyés et j’en ressens rapidement la douleur.
La badine est l’instrument sm que je craignais le plus jusqu’à ce moment précis de la séance, mais je n’étais pas au bout de mes surprises...
Débute enfin la punition, je dis enfin, car je savais que j’allais payer l’affront d’avoir quitté ma maîtresse de la plus vilaine des manières et qu’il y aurait alors une punition à la clé.
Je dois me mettre à genoux sur une chaise et maîtresse m’attache afin que je ne bouge pas.
Elle me dégage bien le sexe d’entre mes jambes, m’enlève la cage et m’attache le sexe avec une corde aux chevilles afin que chaque mouvement de ma part soit un étirement douloureux de mes couilles.
Maîtresse m’annonce que je vais avoir dans un premier temps ma punition correspondant à un coup par jour depuis notre séparation, un an et vingt jours soit 385 coups. Histoire que je me souvienne bien de chaque jour éloigné d’elle. C’était beaucoup, c’était tout le temps que j’ai mis pour faire mes excuses.
C’est donc par une série de vingt coups de badine que débuta cette séance, maîtresse manie avec dextérité cet instrument. Je me demandais bien comment j’allais supporter chaque série à venir, cela me faisait peur d’avance.
Maîtresse sortit ensuite un fouet, instrument que je ne connaissais pas dans ses mains.
Pour avoir déjà assisté à des séances de fouet, je sais comment il est difficile de manier un tel instrument, mais j’ai surtout vu les traces que peuvent laisser sur un corps.
Le souffle de la longue lanière dans l’air et le claquement de l’extrémité sont assez impressionnants.
La douleur immédiate qui suit est tout aussi impressionnante, sans commune mesure à tout autre instrument de “torture” que l’on peut trouver dans un donjon.
Les séries de vingt coups de fouet qui suivirent furent terribles. Chaque coup porté sur mes fesses me torturait peu à peu les fesses, la douleur était longue à partir.
Mon envie de crier à chaque coup était vite réprimandée par maîtresse qui m’ordonnait de me taire et que je devais souffrir en silence.
Il n’était pas facile de se concentrer sur chacun des coups portés par maîtresse, mais fidèle à son habitude, elle m’a aidé à surmonter cette punition, entre chaque série, elle me caressa le sexe, me faisant oublier quelques instants mes fesses brûlantes.
Je n’en étais pas au bout de ma souffrance. Maîtresse m’avait gardé au frais, des orties fraîchement ramassées. Elle en prit un gros bouquet et me caressa les fesses avec.
Je me demandais bien comment on pouvait supporter de tels châtiments. J’ai toujours craint les piqûres d’orties, mais en plus sur une peau sensible comme les fesses et le sexe... c’était assez horrible..., pour décrire les sensations, c’est comme un appareil électrique branché en permanence à l’endroit des piqûres. Ajouté à cela la peau brûlée par les coups de badine et de fouet, le corps meurtri par les coups, je souffrais le martyre comme jamais...
La moitié de la punition arrivait, je pouvais souffler un peu, je savais qu’il me restait encore la moitié à endurer, mais chaque pause était bonne à prendre.
Maîtresse me détacha de ma chaise, je pouvais me remettre debout.
Maîtresse m'aida à supporter cette séance, elle me cajolait et me parlait pour que cela plus facile à supporter. Nous étions ailleurs, dans notre monde que seule l’histoire avait décidé de nous faire vivre. Sacrée histoire, magnifique histoire...
Il fallait passer par cette punition afin, de laver mes égarements, maîtresse tout comme moi le savait très bien.
Je n’en étais pas là, je me concentrais sur chaque coup de fouet ou de badine, afin que la douleur soit le mieux absorbé possible.
Quelques secondes debout afin de souffler un peu, toujours contrainte, maîtresse m’installe sur sa table “à fesser”. Elle me change de bâillon boule afin de me contraindre également les mouvements de la tête.
Couchée sur la poitrine, je dois me mettre à genoux, les jambes écartées et les fesses quelque peu cambrées. Je ne peux pas dire que j’étais mal installée au contraire ! J’étais sanglée de partout, cette position était vraiment faite pour recevoir une punition.
Dès le premier coup de badine, je m'aperçus que je ne pouvais pas bouger d’un poil, impossible de me redresser ou de rentrer mes fesses, je serrais les dents.
De plus, mes fesses autrement bien mieux exposées pour maîtresse, elle pouvait à loisir me flanquer les coups qu’elle voulait.
De nouveau, chaque série de vingt était un calvaire, je hurlais tant bien que mal avec mon bâillon, maîtresse me reprenait aussitôt afin que j’accepte chaque coup en silence et avec dignité. Je l’écoutais alors, cela m’aida à me concentrer pour accepter chaque coup.
La seconde partie de la punition pouvait commencer.
Elle fut tout aussi difficile à supporter, mais je devais aller jusqu’au bout. Je retenais mon souffle, me crispais et je comptais chaque coup de fouet bien porté sur mon postérieur.
Entre deux séries de fouets et de badine, maîtresse préparait déjà la suite de ma punition, elle m’enleva mon gros plug métallique, s’aperçut alors que je n’étais pas très propre et me fit alors un lavement.
En larmes, je comptais tant bien que mal, les derniers coups de la dernière série. Au dernier coup, je relâchais complètement les membres et mon corps en entier, je découvrais alors, que je ne me sentais pas très bien, comprimée dans mes liens, j’avais mal partout et j’avais un peu de mal à respirer, maîtresse me détacha alors.
Je m’étais tellement concentrée sur chacun des coups, que j’en avais oublié le reste de mon corps. La séance s’arrêtait là sur un sentiment d’inachevé... Je me douchais.
Nous nous séparons rapidement, maîtresse, tout comme moi, était frustrée de ne pas être allée au bout de cette séance.
J’étais frustrée, mais pas déçue, par ces moments certes difficiles, mais indescriptible quant aux émotions vécues au cours de cette après-midi.
Les heures et les jours suivant la séance furent assez difficiles à vivre, les douleurs ont été largement présentes, les marques aussi, mais largement compensées par ma joie d’être retournée aux pieds de Maîtresse Akina.
J’ai bien peur d’être retombée sous l’emprise de Maîtresse Akina, mais l’ai-je vraiment quittée une seule seconde...
Merci Maîtresse de m’avoir permis de revenir à vos pieds.
06 avril 2013 :
Ma divine Maîtresse :