Ce n’est pas sans appréhension que je préparais ma première sortie en public avec Maîtresse Akina qui plus est ma première sortie en club SM !
J’étais déjà sortie en public dans des soirées en boîte avec des copines, j’adorais me montrer, mais là c’était avec ma Maîtresse dans un donjon et surtout j’allais être mise sous les feux de la
rampe aux pieds de ma Maîtresse.
Je devrai assurer d’être la parfaite petite soumise de Maîtresse Akina, lui obéir, supporter la séance qui aura lieu, être la fierté de sa Maîtresse.
Avec appréhension mais sans stress, j’abordais cette sortie avec envie, depuis que je suis entre les mains de Maîtresse Akina, je me sens tellement à ma place, lui faisant totalement confiance,
en me laissant guider.
Je m’assume donc de plus en plus dans la peau d’une nana. De plus en plus naturelle, je me sens bien comme ça. Maîtresse Akina n’est pas étrangère à cette évolution pour moi.
Elle sait comment me mettre en valeur, et m’aide largement à assumer mon statut. Cela me donne plus d’assurance et suis donc beaucoup plus “zen” à aborder une sortie ou une séance.
Le jour était venu pour une sortie en public, à accompagner ma Maîtresse dans une nouvelle étape de ma vie de Sissy, de soumise à ma Maîtresse que je vénère.
C’est très excitée au vingt et unième jour
d’encagement que je pris le train afin de rejoindre ma Maîtresse à Montpellier. Je profitais du voyage pour dormir un peu et ainsi rattraper un peu le sommeil perdu par une fin de
semaine chargée.
J’arrivais donc en fin de journée sur cette ville de Montpellier habituellement si dynamique. Le début de l’automne pointait le bout de son nez et l’agitation connue cet été était rangée dans les
placards.
Je récupérais mon auto à la gare et allais chercher ma Maîtresse chez elle pour nous rendre ensemble au donjon.
Comme j’étais heureuse de la retrouver, trois semaines éloignée d’elle, mais trois semaines géniales, très actives avec une excitation intense.
Nous avions alors deux heures pour nous préparer, cela semblait beaucoup, mais c’était sans compter sur Daniela, chargée de bagages comme à son habitude, qui déballa tout aux pieds de Maîtresse
Akina, il fallait lui choisir une tenue adéquate. Après quelques essais, Maîtresse me choisissait une tenue dans laquelle je me sentirai bien mais finalement très classique pour moi.
Une tenue très sexy donc ! ma petite jupe courte laquée, mon haut résille, mon corset en vinyle et mes bottes noires, le tout sur un tout nouvel ensemble de lingerie violette.
J’’étais parée pour une nouvelle aventure !!!
Maîtresse se préparait également, tenue plus classique mais non moins belle de ma Maîtresse, leggins noirs surmontés de magnifiques bottes noires très montantes avec un magnifique corset argenté.
Une fois maquillées et coiffées nous voici prêtes, nous nous restaurons un peu afin de prendre des forces, telles des athlètes coureuses de marathon avant leur épreuve du jour.
C’est avec un peu de retard que nous prenions la route pour le Donjon de Bessan, où
se tenait notre soirée bdsm. Maîtresse connaissait les lieux, et c’est avec cet avantage que je la suivais dans cette escapade..
Je prenais les devants pour sortir du donjon, seule, à faire ces quelques pas jusqu’à l’auto, je croisais quelques personnes. J’aurais pu être stressée mais aux côtés de ma Maîtresse, je me
sentais pousser des ailes !
Durant toutes mes années d’adulte, je n’avais jamais été très à l’aise dans mes sorties nocturnes. Timide, ce n’est jamais avec un grand plaisir que j’allais en boîte le samedi soir. Même au plus
fort de ma jeunesse, je n’avais que rarement apprécié de sortir en public la nuit.
Tout est désormais diffèrent aujourd’hui, je me sens tellement à l’aise dans cette peau de femme. Ma féminité au grand jour, mise en relief par ma maîtresse, une belle tenue pour mettre mes
formes en valeur, un peu de maquillage et je me sentais donc belle et sûre de moi.
Se sentir belle c’était assumer son corps, ses formes, et son comportement.
Et là j’étais franchement bien. Certes accompagner une maîtresse comme Maîtresse Akina avait un avantage certain ! La prestance et la beauté de ma Maîtresse se reflétaient sur moi. Et je m’en
apercevais dès mon arrivée au Donjon de Bessan. Arrivées en retard pour le buffet, j’avais vraiment l’impression que l’on était attendue comme les vedettes de la soirée. Dès le pas de la porte
franchi, je me suis senti très à l’aise malgré le nombre important de personnes présentes.
Je suivais ma Maîtresse à saluer toutes ces personnes, toutes ravies de nous rencontrer.
À plusieurs reprises, j’entendais çà et là que j’étais une belle Sissy... j’étais trop fière !
Maîtresse me le signalait également, “Tu vois Daniela, il n’y a pas que moi qui dis que tu es une belle nana !”
J’étais assez fière d’avoir marqué des points !
Sans perdre un instant Maîtresse me fit faire le tour du donjon, et c’est au dernier étage que nous nous arrêtions, sous l’endroit ou il était possible de faire une suspension.
Seuls les premiers instants à préparer le matériel, très vite des hommes et des femmes vinrent autour de nous pour regarder la séance de bondage qui allait suivre.
Je n’avais pas grand-chose à faire si ce n’est obéir à ma Maîtresse. J’étais en train de vivre un des rares instants de ma vie ou je me sentais à l’aise devant une assemblée de personnes. Je me
sentais observée, je croisais certains regards furtifs.
Tel le peintre sortant sa palette de couleurs, Maîtresse sortit ses cordes, j’étais sa toile...
Tel l’artiste maîtrisant son art, Maîtresse peignait mon corps avec ses cordes...
Petit à petit, entourant chacun de mes membres de plusieurs tours de cordes veillant au bon serrage adéquat et au bon placement, j’étais petit à petit habillée de cordes. J’étais impressionnée de
me sentir au centre de ce spectacle, je respirais lentement afin de rester concentrée sur chaque serrage de corde. Je me devais supporter ce bondage du premier coup.
Maîtresse commençait à me suspendre petit à petit et je me retrouvais rapidement dans une position assise en tailleur, les mains attachées à mes chevilles. Elle me hissait à un mètre du sol, la
position était très confortable, je tournais sur moi-même pouvant voir l’assemblée qui s’était réunie devant le spectacle de Maîtresse Akina.
Je me sentais observée comme jamais, je regardais chaque personne dans les yeux, tous me regardaient aussi dans les yeux afin de voir et de déceler les sensations que j’éprouvais à cet instant.
Quelques maîtres et quelques maîtresses, des soumis et des soumises nous regardaient chacun avec différentes attitudes que je décelais dans leurs yeux.
Certains avec curiosité, d’autres avec envie, mais tous avec une certaine admiration de voir ma Maîtresse maîtriser à ce point les cordes.
Cette position était trop confortable pour durer ainsi et je devinais la suite du programme.
Maîtresse me la susurra à l’oreille “C’est l’heure de ta punition !”.
Je fermais les yeux quelques instants afin de me concentrer à recevoir cette punition méritée et promise pour toutes ces erreurs commises depuis quelques semaines.
J’étais prévenue à l’avance, c’est moi-même qui marquais chacune d’entre elles sur mon carnet voué à cet effet, et la liste était longue... Je respirais longuement et lentement pendant que
Maîtresse cherchait son matériel de punition.
J’avais déjà enduré une punition de sa part, et j’en avais déjà pleuré..., j’en espérais pas moins de sa part, au contraire.
Même si je savais ce qui m’attendait il m’était plus facile aujourd’hui d’accepter chaque coup et cravache ou de fouet ferme de la main de Maîtresse.
Je devais aussi montrer également à l’assemblée ici présente, que je méritais d’être la soumise de ma Maîtresse, de Maîtresse Akina qui plus est, et que je devais supporter ce qu’elle avait envie
de me faire subir.
Très vite les coups de cravache me chauffaient le haut de mes fesses, bien tendues qu’elles étaient par ma position et bien mises en évidence à portée de main de ma Maîtresse.
Je ne sais combien de temps dura cette punition, mais chaque coup de cravache porté sur mes fesses avait l’effet escompté, celui d’une douleur intense et j’imaginais celui d’une belle marque.
Les coups de fouet et de badine furent aussi très appuyés, je souffrais de recevoir chaque coup, mais je les encaissais avec fierté en pensant à une seule et unique chose, c’était pour ma
Maîtresse que je supportais cela. Cela m’aidait à montrer à l’assemblée que j’étais la bonne soumise que Maîtresse devait avoir.
Les coups s'arrêtèrent enfin, les fesses brûlantes, j’imaginais les marques que je devais avoir. Maîtresse vint près de moi, tout en me consolant je le remerciais, avant qu’elle ne me descende au
sol.
Petit moment de répit, Maîtresse enchaîna avec de nouvelles cordes pour me faire un super bondage autour de mes hanches, comme une culotte de corde en quelque sorte.
Très vite j’étais de nouveau suspendue, à plat ventre par ma culotte de corde. La position était tout aussi confortable que la première, mais Maîtresse n’en avait pas finie. Elle m’attachait les
poignets ensemble pour me les redresser par-dessus la tête. Les cordes servaient aussi de baillon, et j’étais carrément immobilisée. Les jambes pliées et attachées séparément afin de laisser mes
cuisses un peu écartées, je devinais ce que Maîtresse me préparait.
Avant cela, elle se coucha au sol, et me fit tourner dans tous les sens à l’aide de ses pieds.
J’étais malmenée, le sol tournait mais je voyais Maîtresse face à moi, d’une beauté resplendissante avec un grand sourire montrant tout le plaisir qu’elle prenait à m’avoir dans son filet.
Maîtresse montrait vraiment un grand spectacle et j’en étais pas peu fière d’en être l’une des actrices.
Dans cette position, mon clito était tout à sa disposition, elle le maltraita quelque peu par de petites claques dessus, c’était une de mes parties sensibles, je la suppliais...
Malgré la fermeté de ma Maîtresse, je supportais à merveille cette séance de bondage, qui l’eut crû ? Moi la première, toujours avec mes craintes maladives, je me sentais bien à chaque instant.
Maîtresse contrôlait tout de même de temps en temps avec la demande du code de sécurité si tout allait bien.
Toujours devant une assistance importante Maîtresse préparait son gode ceinture et elle me prit devant tout le monde.
Moi Daniela, petite nana chétive, timide, sans défense, mais quelque peu coquine ! Je pris un réel plaisir à me faire prendre par ma Maîtresse et à montrer tout le bonheur que je vivais dans cet
instant présent.
Oui, j’étais heureuse, à ma place, dominée par ma Maîtresse mais tellement fière d’être entre ses mains. Mes pulsions ne m’ont jamais trahi, et c’est vers ce bonheur que j’ai toujours été attiré.
Merci Maîtresse de me faire vivre cela, et de m'entraîner vers ce bonheur.
La séance avec son gode ne dura pas aussi longtemps que je l’aurai espérée, le bondage des bras me comprimait un peu ma respiration nasale. Ma culotte de corde me serra aussi le bassin, et je
supportais mal le bout de son gode au fond de moi.
Maîtresse me libéra un peu. Mais pendant tout ce temps, j’essayais de me voir en train de me faire prendre, me mettre à la place des personnes présentes et ainsi voir leur ressenti. Une femme se
coucha au sol afin de me regarder dans les yeux en train de me faire prendre, je voyais un peu de jalousie dans son regard.
Maîtresse me fit redescendre petit à petit au sol, et me libéra en partie de mes liens. Elle me laissa ma belle culotte de cordes ainsi que les poignets attachés. Elle m’emmena à quatre pattes
dans la pièce voisine. Pendant ce temps, le public se dispersait pour aller se désaltérer un peu. ça donne soif une séance comme ça, qu’est-ce que je devrai dire !
À genoux, Maîtresse se positionna derrière moi et me pris dans ses bras, Elle se blottit contre mon corps, instants de consolation, d’une extrême tendresse d’une maîtresse qui chérit sa soumise.
Instants merveilleux que nous vivions là immortalisés par quelques photos.
Un de mes meilleurs moments en tant que soumise de Maîtresse Akina, (j’en ai encore les frissons...)
Maîtresse me donna un peu de sa salive, quelques gouttes comblèrent ma soif. Maîtresse me repris dans ses bras, elle me caressa le sexe. Cela dura de longues minutes. je lui suçai ensuite son
gode.
Je dus ensuite sucer le sexe de Loulou, un soumis qui tournait autour de Maîtresse depuis un moment. Elle protégea son sexe, je n’eus pas trop le temps de le sucer, il jouit très rapidement, sans
que je le vis venir, je ne put m’arrêter à temps et l’en empêcher. Maîtresse ne m’avait pas donné l’ordre de le faire jouir, pardon Maîtresse.
Les jeux n’étaient pas terminés et Maîtresse me fit essayer la roue, la belle roue en bois qui tournait sur elle-même.
Attachée sur le dos, les bras et les jambes en croix dans une position confortable, Maîtresse joua alors avec mon sexe pendant de longs moments devant l’assistance qui était revenue de leur
entracte.
Elle me fit tourner afin de me montrer à chaque fois sous une angle différent.
Maîtresse jouait en me massant afin de me faire un Tease dont elle seule a le secret. Je me sentais entre les mains de sa machine infernale du donjon qui me faisait monter la jouissance sans
jamais l’atteindre. Je l’aurais voulu à chaque instant, je voyais et je sentais le moment venir, j’en avais envie mais au fond de moi, je ne le voulais pas.
J’aimais garder cette excitation. être entre les mains joueuses et baladeuses de ma Maîtresse !
Un belle maîtresse vint discuter un peu avec Maîtresse Akina, elle prit pendant un moment le relais de me masturber le sexe. Cela me fut bizarre, je me laissais faire devant cette femme qui me
regardait, je lui souris. Sensation curieuse de se voir prêtée un instant par sa Maîtresse...
Je pense que la séance de la roue dura presque une heure et Maîtresse finissait par me laisser jouir sans trop de plaisir, préférant garder cet instant pour plus tard dans l’intimité.
C’était déjà le petit matin, le temps de se recoiffer, se nettoyer et ranger un peu le matériel, nous saluons les personnes présentes, toutes étaient encore là, j’eus droit à toutes sortes de
messages tous plus touchants les uns que les autres. Nous remerciant pour le spectacle offert, espérant nous revoir, et surtout que j’étais belle. Cela marque les esprits de finir une soirée de
la sorte, jamais je n’avais eu autant de compliments...
L’assistance était de qualité pour cette soirée privée organisée par Joël, que je remercie au passage pour son accueil. Je me suis senti vraiment à l’aise au cours de cette soirée, vécue à cent à
l’heure, cela m’encourage vraiment à réitérer ce genre de sortie avec ma Maîtresse.
Un grand Merci à Maîtresse Akina, ma belle Maîtresse de m’avoir fait vivre ces moments privilégiés. Vous êtes fantastique et merveilleuse Maîtresse !
Le jour pointait le bout de son nez lorsque cette soirée se termina, le temps de rentrer, de ranger le donjon, je ramenais Maîtresse chez elle et je quittais cette belle ville de Montpellier
anormalement calme.
Je pris le train du retour sans avoir fermé l’oeil de la nuit...
Quelques traces témoins de ma punition...
Marques de ma punition... J + 7