Maîtresse Akina

Jeudi 15 novembre 4 15 /11 /Nov 05:05

Capture Ce vendredi 16 novembre, j'accompagne ma Maîtresse, la divine Maîtresse Akina, à une soirée privée au Cav'o.

Club BDSM à Lausanne.

Bientôt un petit résumé et peut-être quelques photos.

Des photos du week-end surement ! 

Le site du club : Le Cav'o

Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Lundi 5 novembre 1 05 /11 /Nov 14:03

Ce n’est pas sans appréhension que je préparais ma première sortie en public avec Maîtresse Akina qui plus est ma première sortie en club SM !

J’étais déjà sortie en public dans des soirées en boîte avec des copines, j’adorais me montrer, mais là c’était avec ma Maîtresse dans un donjon et surtout j’allais être mise sous les feux de la rampe aux pieds de ma Maîtresse.

Je devrai assurer d’être la parfaite petite soumise de Maîtresse Akina, lui obéir, supporter la séance qui aura lieu, être la fierté de sa Maîtresse.

Avec appréhension mais sans stress, j’abordais cette sortie avec envie, depuis que je suis entre les mains de Maîtresse Akina, je me sens tellement à ma place, lui faisant totalement confiance, en me laissant guider.    

Je m’assume donc de plus en plus dans la peau d’une nana. De plus en plus naturelle, je me sens bien comme ça. Maîtresse Akina n’est pas étrangère à cette évolution pour moi.

Elle sait comment me mettre en valeur, et m’aide largement à assumer mon statut. Cela me donne plus d’assurance et suis donc beaucoup plus “zen” à aborder une sortie ou une séance.

Le jour était venu pour une sortie en public, à accompagner ma Maîtresse dans une nouvelle étape de ma vie de Sissy, de soumise à ma Maîtresse que je vénère.

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C’est très excitée au vingt et unième jour d’encagement que je pris le train afin de rejoindre ma Maîtresse à Montpellier. Je profitais du voyage pour dormir un peu et ainsi rattraper un peu le sommeil perdu par une fin de semaine chargée.    

J’arrivais donc en fin de journée sur cette ville de Montpellier habituellement si dynamique. Le début de l’automne pointait le bout de son nez et l’agitation connue cet été était rangée dans les placards.

Je récupérais mon auto à la gare et allais chercher ma Maîtresse chez elle pour nous rendre ensemble au donjon.

Comme j’étais heureuse de la retrouver, trois semaines éloignée d’elle, mais trois semaines géniales, très actives avec une excitation intense.    

Nous avions alors deux heures pour nous préparer, cela semblait beaucoup, mais c’était sans compter sur Daniela, chargée de bagages comme à son habitude, qui déballa tout aux pieds de Maîtresse Akina, il fallait lui choisir une tenue adéquate. Après quelques essais, Maîtresse me choisissait une tenue dans laquelle je me sentirai bien mais finalement très classique pour moi.

Une tenue très sexy donc ! ma petite jupe courte laquée, mon haut résille, mon corset en vinyle et mes bottes noires, le tout sur un tout nouvel ensemble de lingerie violette.

J’’étais parée pour une nouvelle aventure !!!

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Maîtresse se préparait également, tenue plus classique mais non moins belle de ma Maîtresse, leggins noirs surmontés de magnifiques bottes noires très montantes avec un magnifique corset argenté.    

Une fois maquillées et coiffées nous voici prêtes, nous nous restaurons un peu afin de prendre des forces, telles des athlètes coureuses de marathon avant leur épreuve du jour.    

C’est avec un peu de retard que nous prenions la route pour le Donjon de Bessan, où se tenait notre soirée bdsm. Maîtresse connaissait les lieux, et c’est avec cet avantage que je la suivais dans cette escapade..

Je prenais les devants pour sortir du donjon, seule, à faire ces quelques pas jusqu’à l’auto, je croisais quelques personnes. J’aurais pu être stressée mais aux côtés de ma Maîtresse, je me sentais pousser des ailes !    

Durant toutes mes années d’adulte, je n’avais jamais été très à l’aise dans mes sorties nocturnes. Timide, ce n’est jamais avec un grand plaisir que j’allais en boîte le samedi soir. Même au plus fort de ma jeunesse, je n’avais que rarement apprécié de sortir en public la nuit.    

Tout est désormais diffèrent aujourd’hui, je me sens tellement à l’aise dans cette peau de femme. Ma féminité au grand jour, mise en relief par ma maîtresse, une belle tenue pour mettre mes formes en valeur, un peu de maquillage et je me sentais donc belle et sûre de moi.

Se sentir belle c’était assumer son corps, ses formes, et son comportement.  

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Et là j’étais franchement bien. Certes accompagner une maîtresse comme Maîtresse Akina avait un avantage certain ! La prestance et la beauté de ma Maîtresse se reflétaient sur moi. Et je m’en apercevais dès mon arrivée au Donjon de Bessan. Arrivées en retard pour le buffet, j’avais vraiment l’impression que l’on était attendue comme les vedettes de la soirée. Dès le pas de la porte franchi, je me suis senti très à l’aise malgré le nombre important de personnes présentes.    

Je suivais ma Maîtresse à saluer toutes ces personnes, toutes ravies de nous rencontrer.

À plusieurs reprises, j’entendais çà et là que j’étais une belle Sissy... j’étais trop fière !

Maîtresse me le signalait également, “Tu vois Daniela, il n’y a pas que moi qui dis que tu es une belle nana !”

J’étais assez fière d’avoir marqué des points !    

Sans perdre un instant Maîtresse me fit faire le tour du donjon, et c’est au dernier étage que nous nous arrêtions, sous l’endroit ou il était possible de faire une suspension.

Seuls les premiers instants à préparer le matériel, très vite des hommes et des femmes vinrent autour de nous pour regarder la séance de bondage qui allait suivre.

Je n’avais pas grand-chose à faire si ce n’est obéir à ma Maîtresse. J’étais en train de vivre un des rares instants de ma vie ou je me sentais à l’aise devant une assemblée de personnes. Je me sentais observée, je croisais certains regards furtifs.

 

Tel le peintre sortant sa palette de couleurs, Maîtresse sortit ses cordes, j’étais sa toile...

Tel l’artiste maîtrisant son art, Maîtresse peignait mon corps avec ses cordes...

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Petit à petit, entourant chacun de mes membres de plusieurs tours de cordes veillant au bon serrage adéquat et au bon placement, j’étais petit à petit habillée de cordes. J’étais impressionnée de me sentir au centre de ce spectacle, je respirais lentement afin de rester concentrée sur chaque serrage de corde. Je me devais supporter ce bondage du premier coup.    

Maîtresse commençait à me suspendre petit à petit et je me retrouvais rapidement dans une position assise en tailleur, les mains attachées à mes chevilles. Elle me hissait à un mètre du sol, la position était très confortable, je tournais sur moi-même pouvant voir l’assemblée qui s’était réunie devant le spectacle de Maîtresse Akina.    

Je me sentais observée comme jamais, je regardais chaque personne dans les yeux, tous me regardaient aussi dans les yeux afin de voir et de déceler les sensations que j’éprouvais à cet instant. Quelques maîtres et quelques maîtresses, des soumis et des soumises nous regardaient chacun avec différentes attitudes que je décelais dans leurs yeux.

Certains avec curiosité, d’autres avec envie, mais tous avec une certaine admiration de voir ma Maîtresse maîtriser à ce point les cordes.  

Cette position était trop confortable pour durer ainsi et je devinais la suite du programme.

Maîtresse me la susurra à l’oreille “C’est l’heure de ta punition !”.

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Je fermais les yeux quelques instants afin de me concentrer à recevoir cette punition méritée et promise pour toutes ces erreurs commises depuis quelques semaines.

J’étais prévenue à l’avance, c’est moi-même qui marquais chacune d’entre elles sur mon carnet voué à cet effet, et la liste était longue... Je respirais longuement et lentement pendant que Maîtresse cherchait son matériel de punition.

J’avais déjà enduré une punition de sa part, et j’en avais déjà pleuré..., j’en espérais pas moins de sa part, au contraire.

Même si je savais ce qui m’attendait il m’était plus facile aujourd’hui d’accepter chaque coup et cravache ou de fouet ferme de la main de Maîtresse.

Je devais aussi montrer également à l’assemblée ici présente, que je méritais d’être la soumise de ma Maîtresse, de Maîtresse Akina qui plus est, et que je devais supporter ce qu’elle avait envie de me faire subir.    

Très vite les coups de cravache me chauffaient le haut de mes fesses, bien tendues qu’elles étaient par ma position et bien mises en évidence à portée de main de ma Maîtresse.

Je ne sais combien de temps dura cette punition, mais chaque coup de cravache porté sur mes fesses avait l’effet escompté, celui d’une douleur intense et j’imaginais celui d’une belle marque.    

Les coups de fouet et de badine furent aussi très appuyés, je souffrais de recevoir chaque coup, mais je les encaissais avec fierté en pensant à une seule et unique chose, c’était pour ma Maîtresse que je supportais cela. Cela m’aidait à montrer à l’assemblée que j’étais la bonne soumise que Maîtresse devait avoir.    

Les coups s'arrêtèrent enfin, les fesses brûlantes, j’imaginais les marques que je devais avoir. Maîtresse vint près de moi, tout en me consolant je le remerciais, avant qu’elle ne me descende au sol.    

Petit moment de répit, Maîtresse enchaîna avec de nouvelles cordes pour me faire un super bondage autour de mes hanches, comme une culotte de corde en quelque sorte.

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Très vite j’étais de nouveau suspendue, à plat ventre par ma culotte de corde. La position était tout aussi confortable que la première, mais Maîtresse n’en avait pas finie. Elle m’attachait les poignets ensemble pour me les redresser par-dessus la tête. Les cordes servaient aussi de baillon, et j’étais carrément immobilisée. Les jambes pliées et attachées séparément afin de laisser mes cuisses un peu écartées, je devinais ce que Maîtresse me préparait.

Avant cela, elle se coucha au sol, et me fit tourner dans tous les sens à l’aide de ses pieds.

J’étais malmenée, le sol tournait mais je voyais Maîtresse face à moi, d’une beauté resplendissante avec un grand sourire montrant tout le plaisir qu’elle prenait à m’avoir dans son filet. Maîtresse montrait vraiment un grand spectacle et j’en étais pas peu fière d’en être l’une des actrices.

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Dans cette position, mon clito était tout à sa disposition, elle le maltraita quelque peu par de petites claques dessus, c’était une de mes parties sensibles, je la suppliais...

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Malgré la fermeté de ma Maîtresse, je supportais à merveille cette séance de bondage, qui l’eut crû ? Moi la première, toujours avec mes craintes maladives, je me sentais bien à chaque instant. Maîtresse contrôlait tout de même de temps en temps avec la demande du code de sécurité si tout allait bien.    

Toujours devant une assistance importante Maîtresse préparait son gode ceinture et elle me prit devant tout le monde.    

Moi Daniela, petite nana chétive, timide, sans défense, mais quelque peu coquine ! Je pris un réel plaisir à me faire prendre par ma Maîtresse et à montrer tout le bonheur que je vivais dans cet instant présent.

Oui, j’étais heureuse, à ma place, dominée par ma Maîtresse mais tellement fière d’être entre ses mains. Mes pulsions ne m’ont jamais trahi, et c’est vers ce bonheur que j’ai toujours été attiré.

Merci Maîtresse de me faire vivre cela, et de m'entraîner vers ce bonheur.    

La séance avec son gode ne dura pas aussi longtemps que je l’aurai espérée, le bondage des bras me comprimait un peu ma respiration nasale. Ma culotte de corde me serra aussi le bassin, et je supportais mal le bout de son gode au fond de moi.

Maîtresse me libéra un peu. Mais pendant tout ce temps, j’essayais de me voir en train de me faire prendre, me mettre à la place des personnes présentes et ainsi voir leur ressenti. Une femme se coucha au sol afin de me regarder dans les yeux en train de me faire prendre, je voyais un peu de jalousie dans son regard.    

Maîtresse me fit redescendre petit à petit au sol, et me libéra en partie de mes liens. Elle me laissa ma belle culotte de cordes ainsi que les poignets attachés. Elle m’emmena à quatre pattes dans la pièce voisine. Pendant ce temps, le public se dispersait pour aller se désaltérer un peu. ça donne soif une séance comme ça, qu’est-ce que je devrai dire !

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À genoux, Maîtresse se positionna derrière moi et me pris dans ses bras, Elle se blottit contre mon corps, instants de consolation, d’une extrême tendresse d’une maîtresse qui chérit sa soumise. Instants merveilleux que nous vivions là immortalisés par quelques photos.

Un de mes meilleurs moments en tant que soumise de Maîtresse Akina, (j’en ai encore les frissons...)    

Maîtresse me donna un peu de sa salive, quelques gouttes comblèrent ma soif. Maîtresse me repris dans ses bras, elle me caressa le sexe. Cela dura de longues minutes. je lui suçai ensuite son gode.

Je dus ensuite sucer le sexe de Loulou, un soumis qui tournait autour de Maîtresse depuis un moment. Elle protégea son sexe, je n’eus pas trop le temps de le sucer, il jouit très rapidement, sans que je le vis venir, je ne put m’arrêter à temps et l’en empêcher. Maîtresse ne m’avait pas donné l’ordre de le faire jouir, pardon Maîtresse.    

Les jeux n’étaient pas terminés et Maîtresse me fit essayer la roue, la belle roue en bois qui tournait sur elle-même.

Attachée sur le dos, les bras et les jambes en croix dans une position confortable, Maîtresse joua alors avec mon sexe pendant de longs moments devant l’assistance qui était revenue de leur entracte.

Elle me fit tourner afin de me montrer à chaque fois sous une angle différent.

Maîtresse jouait en me massant afin de me faire un Tease dont elle seule a le secret. Je me sentais entre les mains de sa machine infernale du donjon qui me faisait monter la jouissance sans jamais l’atteindre. Je l’aurais voulu à chaque instant, je voyais et je sentais le moment venir, j’en avais envie mais au fond de moi, je ne le voulais pas.

J’aimais garder cette excitation. être entre les mains joueuses et baladeuses de ma Maîtresse !    

Un belle maîtresse vint discuter un peu avec Maîtresse Akina, elle prit pendant un moment le relais de me masturber le sexe. Cela me fut bizarre, je me laissais faire devant cette femme qui me regardait, je lui souris. Sensation curieuse de se voir prêtée un instant par sa Maîtresse...    

Je pense que la séance de la roue dura presque une heure et Maîtresse finissait par me laisser jouir sans trop de plaisir, préférant garder cet instant pour plus tard dans l’intimité.    

C’était déjà le petit matin, le temps de se recoiffer, se nettoyer et ranger un peu le matériel, nous saluons les personnes présentes, toutes étaient encore là, j’eus droit à toutes sortes de messages tous plus touchants les uns que les autres. Nous remerciant pour le spectacle offert, espérant nous revoir, et surtout que j’étais belle. Cela marque les esprits de finir une soirée de la sorte, jamais je n’avais eu autant de compliments...

L’assistance était de qualité pour cette soirée privée organisée par Joël, que je remercie au passage pour son accueil. Je me suis senti vraiment à l’aise au cours de cette soirée, vécue à cent à l’heure, cela m’encourage vraiment à réitérer ce genre de sortie avec ma Maîtresse.    

Un grand Merci à Maîtresse Akina, ma belle Maîtresse de m’avoir fait vivre ces moments privilégiés. Vous êtes fantastique et merveilleuse Maîtresse !    

Le jour pointait le bout de son nez lorsque cette soirée se termina, le temps de rentrer, de ranger le donjon, je ramenais Maîtresse chez elle et je quittais cette belle ville de Montpellier anormalement calme.

Je pris le train du retour sans avoir fermé l’oeil de la nuit...

   Quelques traces témoins de ma punition...

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 Marques de ma punition... J + 7 1-DSC 0002

Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Lundi 5 novembre 1 05 /11 /Nov 03:19

Journée de m...

 

Il y a des jours comme ça. Des jours ou tout va bien, vous êtes heureuse, tout se passe pour le mieux dans votre vie de tous les jours, le boulot, la famille, et pourquoi une journée visiblement belle, se termine par une journée de m...

Il y va de la vie, d’être attentive à ce qui nous entoure et de ne jamais se réjouir trop vite de ce qui nous attend.

 

Cela faisait juste une semaine que j’avais accompagné ma Maîtresse lors d’une soirée privée. J’avais passé une superbe soirée, Maîtresse m’avait largement libéré de mes pulsions accumulées pendant plus de trois semaines. Je pouvais alors repartir apaisée à la maison.

 

Malgré cela, le lundi soir je mourais d’envie de lui téléphoner afin de m’expliquer ma fin de séjour quelque peu mouvementée et mes esprits perturbés par la pose d’un harnais de contrainte de la part de ma Maîtresse avant de partir chez moi.

 

Je finissais de me préparer quand je vis la main de ma Maîtresse passée par la porte de la salle de bains, avec cet harnais orné d’un plug.

Sans un mot je le pris, et je l’enfilais avec excitation pensant bien finir notre rencontre par un nouveau jeu. J’enfilais ce harnais avec de plug ma foi assez important. Je ne serrai que très moyennement les sangles de la taille et sortis voir ma Maîtresse.

“Daniela ! tu vas rentré avec ce harnais et tu attendra mes instructions !”

Tout en me disant cette phrase que je comprenais rapidement le sens, ma Maîtresse serra le harnais de quelques trous supplémentaires et installa trois cadenas à chaque boucle. Elle vérifia son installation, je constatais avec elle que rien d’autre que les clés de ce cadenas ne pourront me libérer, me disant combien de temps j’allais devoir garder ce plug.

“Maîtresse... vous ne pensez pas que je vais rentrer chez moi comme ça !” “Tu verras bien, pour l’instant tu n’es encore pas partie Daniela !” “Mais si j’ai une urgence Maîtresse !”. Maîtresse rit sans me donner d’autres explications.

 

J’avais une totale confiance en ma Maîtresse pour savoir qu’elle ne faisait courir aucun risque dans ses pratiques à ses soumises. Je trouvais l’épreuve excitante mais je fus quelque peu angoissée par cette situation. Maîtresse rentra alors chez elle et je resta seule un peu de temps pour me reposer après cette nuit blanche et ranger le donjon.

Je n’arrivais pas à dormir et je décida de prendre le train plus rapidement que prévu. Avant cela il me resta une heure trente pour ranger mes affaires. J’étais obnubilée par une seule chose, Maîtresse allait elle me libérer avant mon départ...

Je lui envoyais un sms lui donnant mon heure de départ, j’attendais alors une réponse de sa part me signalant quel était la suite de mon programme harnachée que j’étais ou alors ou se trouvais la clé du cadenas.

Pas de message de sa part, je tournais en rond et réfléchissais alors ou Maîtresse aurai caché les clés pour que je me libère... Je vida ma valise et je la remplis de mes affaires en inspectant chaque recoin afin d’y découvrir les clés.... Pas de clés en vue, l’angoisse montait de plus en plus, je regardais bien dans mes affaires à laisser au donjon mais rien non plus.

Je faisais confiance en un plan B de la part de ma Maîtresse. Peut-être m’attendra t-elle à la gare avec les clés...

Bref, je partais angoissée mais confiante. Personne à la gare, pas de sms, le voyage du retour se passa bien, je dormis une bonne partie du voyage, fatiguée et excitée par ce plug et ce harnais qui me faisait penser à chaque instant à ma soumission à ma Maîtresse.

Arrivée à la maison, mon activité familiale reprit rapidement les devants de la scène, avec une semaine à préparer et à organiser qui plus est avec mes filles non prévues à la base.

L’organisation mise en place par mon ex-femme et moi subissait quelques fois quelques modifications liées à notre emploi du temps professionnel, difficilement gérable à l’avance.

J’envoyais un sms à Maîtresse pour lui demander la suite des évènements concernant mon harnais. Elle me rassurait rapidement en me donnant l’endroit ou les clés se trouvaient. J’avais vu juste, je les avais emportées avec moi, je fouillais l’endroit comme il faut sans rien trouvé... Je le signalais à ma Maîtresse, mais la panique me pris, et sans attendre sa réponse je décidais de me libérer coûte que coûte.

J’avais rêvé d’une telle contrainte, un des summums de la soumission, avec ce plug cadenassé mais là je ne tenais plus. Je forçais avec difficulté un des cadenas et réussi à me libérer. J’étais soulagé d’être libre mais consciente de ne pas avoir attendu l’ordre de ma Maîtresse pour me libérer. J’allais me coucher complètement exténuée par cette nuit blanche que je venais de passer et ce stress de fin de week-end.

Je me réveillais non pas rassasiée de sommeil mais reposée avant d’attaquer cette première journée de travail de la semaine. Dès mon réveil, je consultais un message de ma Maîtresse la veille assez tard “Alors ???”. Je compris qu’elle me demandait si j’avais bien trouvé les clés. Je lui répondis par un message d’excuses d’avoir désobéie de m’être libérer sans sa permission et que je n’étais pas fière de n’avoir pu trouver la clé.

Le soir, elle me rassurait qu’elle avait bien retrouvé la clé du cadenas du harnais, je serai donc épargné d’une punition. Je me sentais tout de même trop mal dans ma peau et je lui demandais alors de lui téléphoner afin que je m’explique sur ma fin de week-end quelque peu mouvementé et mes esprits perturbés par la pose de ce harnais de contrainte.

Elle accepta gentiment et j’étais rassuré par ce long téléphone ou nous parlions de nos futurs projets communs à réaliser. Je me coucha apaisée.

 

Le mardi, je me réveilla sans réelles motivations... Quelques photos, quelques essais de logos à envoyer à ma Maîtresse, le contrecoup de ce week-end, et une fatigue bien présente se faisaient sentir. La journée au boulot ne se passait pas très bien, et je constatais un réel coup de blues... Je pensais ma Maîtresse, avec une envie folle de la sentir auprès de moi, je me sentais littéralement seule.

Le soir je décidais de m’aérer la tête en allant courir dans la montagne et de chasser mes idées noires. Je mis un certain temps à apprécier de courir. Cette séance de sport me fit du bien, je m’étais vidée la tête ! j’allais pouvoir repartir sur de bons pieds !

 

J’avais pour habitude de ne jamais me laisser envahir par des moments tristes et je rebondissais le plus souvent assez bien pour relancer la machine !

 

Je pouvais attaqué cette journée de mercredi sous de meilleurs hospices, avec une réelle motivation.

 

Maîtresse me fit installer Skype sur mon téléphone, voyant par là rapidement un contact de sa part, peut-être un ordre... J’avais alors envie de me retrouver sous ses contraintes. J’aimais sentir sa domination, sentir que Maîtresse était bien là pour s'occuper de sa soumise ou simplement le fait qu’elle pense à moi.

 

J’avoue qu’en ce début de semaine j’en avais bien besoin, même si cette journée se passait mieux, j’avais hâte d’avoir des nouvelles de ma Maîtresse. Mon sentiment de solitude revenu bien vite et mon blues s’installa de nouveau dans mes esprits.

Incapable de faire quelque chose de suivi, sans aucune motivation pour entreprendre une tache et d’aller au bout de celle-ci, mon oeil rivé sur mon téléphone à espérer un message de Maîtresse.

Je me posais toutes les questions inimaginables..., pourquoi ne me répondait-elle pas, pourquoi je n’étais pas bien surtout. Je n’avais aucune raison de souffrir de ma relation avec ma Maîtresse. Elle me comblait de bonheur, je faisais mon possible pour la satisfaire, tout devait alors aller très bien !

 

Depuis le début de notre relation, soit depuis le mois de juin, c’était la première fois que j’étais dans cet état. Un état de manque, un état de solitude, est-ce mon appartenance qui me mettais dans tous ses états ? Jamais je n’avais connu ça, et je n’aurai jamais pensé qu’une appartenance à une maîtresse me mette dans des états pareils.

J’ai eu quelques malheurs dans ma vie, et il n’était pas toujours facile de trouver les motivations pour avancer. Même quand j’ai perdu mon amie alors que quelques mois plus tard nous devions nous unir, j’avoue que je n’en menais pas bien large...

 

Le contexte est différent là, mais cette dépression passagère n’est pas facile à gérer. Je sais que Maîtresse me soutient et elle est largement présente pour me réconforter, mais cela n’enlève rien à cet état de solitude.

La journée de jeudi et celle de vendredi n’ont fait que amplifier mon état de solitude et de mal-être. Maîtresse ayant largement décelé mon état, j’attendais de jour comme de nuit son appel, un message de sa part, qu’elle pensait bien à moi, cela devait me rassurer, de plus elle me confirma que le harnais commandé était bien arrivé et qu’il m’attendait, ce dernier message me rassura, un instant seulement...

La semaine se terminait enfin, libérée des soucis professionnels, je pensais que cela allait enfin se décanter un peu pour moi et que j’allais un peu retrouver le sourire et l’envie.

 

La journée de samedi était une journée pas tout à fait comme les autres. Je pus vraiment le constater jusqu’à sa dernière heure...

Tout devait visiblement bien se passer pour cette journée d’anniversaire. Mon neveu fêtait ses vingt ans et nous avait invité moi, mes filles, la maman de mes filles mais aussi une cinquantaine de personnes, de la famille mais aussi es amis.

J’étais seulement perturbée par une semaine de solitude sans beaucoup de nouvelles de ma Maîtresse.

Je travaillais tout de même toujours pour elle avec envie. Véritable “junkie” comme s’est si bien le dire ma maîtresse, j’avoue avoir une motivation sans faille à la satisfaire voulant être une bonne soumise et qu’elle soit fière de moi. Cette optique là m'amenait à travailler entre 3 et 5 heures par jour ou par nuit plutôt ! sur son blog et son site.

Ce samedi matin, j’étais assez satisfaite d’avoir montée une vidéo des photos de l’anniversaire d’escargot baveux à mettre en ligne dès ce début de semaine, plus la création d’une présentation de ma nouvelle cage de chasteté sur mesure.

J’avais travaillé sur cette cage en demandant au fabricant des dimensions bien particulières adaptées à ma morphologie et en proposant quelques options que ma Maîtresse aurai aimé pour cette cage de chasteté inviolable et avec des contraintes.

Comme tout ce que j'entreprends, je l'envoi à ma Maîtresse afin quelle valide ou pas les photos, les textes, les commandes. Depuis le début de cette semaine, c’est vrai que je n’ai eu que très peu de réponses à mes nombreuses questions et l’inondant de mails, certaines questions finissent à passer “à la trappe”.

Je n’en veux pas à ma Maîtresse, doutant de moi, doutant de mes propositions, doutant de mes décisions, jusqu’à douter de ma capacité à satisfaire ma Maîtresse.

C’est ce sentiment qui m’anime ce samedi matin, quand Maîtresse prenant gentiment de mes nouvelles, me demandant pourquoi je n’avais pas fait de sms ce matin. Je lui expliquais alors que je ne voulais pas montrer mon insistance mais que ce n’est pas l’envie qui me manquait.

Il était aux alentours de midi, quand je lui envoya quelques sms que je regretterai amèrement pendant longtemps je pense. Ces messages montraient ma déception, mon impatience et mon agacement de la situation.

Je froissais ma Maîtresse par ces qualificatifs indignes d’une soumise, me remettant en place et à ma place. je regrettais de suite mon comportement, la suite ne fut qu’un “ratage” de ma part et une succession de malchance jusqu’à tard de cette nuit de samedi à dimanche.

Je ratais plusieurs appels de sa part, plusieurs le matin et un le soir à 22h. A chaque fois, pas d’excuses de ma part, mais des réels “concours de circonstances” montrant en plus mon état de fébrilité actuel.

 

Je fus réellement alors désemparée, je fis une nuit blanche à écrire entre autre ce récit mais aussi à “psycoter” sur ces évènements d’une semaine pas comme les autres.

J’espère en tirer toutes les meilleurs conclusions imaginables, de cette succession d’erreurs de ma part, tant au niveau de mon comportement, vis à vis de ma Maîtresse mais aussi de ma condition de soumise.

Mon désir réel d’être une véritable soumise, ne se fera pas en claquant des doigts en me comportant de la sorte mais la confiance installée par Maîtresse Akina, m’ont fait poussé des ailes. Je dois progresser, être dressée afin de ne pas avoir de tels comportements.

 

Penser à une seule chose : Faire confiance à Ma Maîtresse pour mon éducation.

Pardon Maîtresse pour ces “évènements”, j’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur enfin trop longtemps, sachez qu’en outre mes sincères regrets, je suis et je reste motivée à vous obéir et à vous suivre.

Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Mercredi 24 octobre 3 24 /10 /Oct 04:46

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Instant privilègié et magique que d'être blottie dans les bras de sa Maîtresse après une séance.

"Un moment à jamais gravé en images et dans nos mémoires."
Maîtresse Akina

Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Dimanche 7 octobre 7 07 /10 /Oct 07:05

Suite...

 

Le petit jour pointait le bout de son nez, je me réveillais quelque peu ensuquée par cette nuit, Maîtresse s’affairait à droite et à gauche, je la salua en pensant à mon imminente libération.

Il n’en était encore pas question, elle enleva les électrodes mais les remplaça par une pompe qui me fit gonfler mon sexe, aidée par l’érection matinale !

 

Un vibro sur le sexe et c’était reparti pour de longues minutes de plaisir. Ainsi bien excitée, Maîtresse vint s’occuper de moi, elle m’enleva le plug et la pompe, me lubrifia ma chatte et me branla le sexe.

 

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Petit à petit, elle enfila ses doigts puis sa main et me fit un fist magistral.

Encore une première pour moi, et sans appréhension, j’acceptais que Maîtresse me pénètre avec ses mains.

Elle insista longuement en me massant la prostate tout en me branlant le sexe.

A plusieurs reprises je failli jouir mais elle sût s’arrêter à temps. Maîtresse Akina me fit découvrir encore un nouveau plaisir.

Merci Maîtresse.

 

Nous commençons maintenant à bien nous connaître Maîtresse Akina et moi, elle connaît mes attentes, elle sait ce que j’aime, et moi de plus en plus détendue entre ses mains, je me laisse guider par ses gestes et par ses paroles, je me laisse emmener sur de nouveaux chemins.

Telle la bonne soumise obéissante que je suis certes, mais aussi, irrésistiblement attirée par ma Maîtresse, je la laisse me diriger, comme elle le souhaite, et c’est un devoir pour moi de lui obéir, une envie, un besoin même.

 

Sentiment étrange de dépendre à ce point d’une personne, sentiment inconnu encore pour moi, mais c’est cette quête dont je suis à la recherche depuis plus de vingt ans.

Que ma vie dépende de Ma Maîtresse, qu’elle décide de mon plaisir, de ma souffrance... tel est mon choix. Elle seule dépend de mon plaisir.

 

J’aime cette situation et je veux la vivre désormais.

 

Suite à ce magnifique “break-fist” Maîtresse me laissa un peu de temps pour reprendre mes esprits et me libéra de mes liens et de la table. Plus de huit heures harnachée sur cette table, quel beau supplice !

Je préparais le petit-déjeuner et nous passons encore un excellent moment Maîtresse et moi.

 

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Malheureusement le temps filait à toute allure, je devais commencer à ranger mes affaires. Je les triais afin d’en laisser une partie chez ma Maîtresse. Il me restait peu de temps à passer avec elle, et je pensais discuter avec elle avant de se quitter et de repartir tranquillement prendre mon train.

C’était sans compter sur Maîtresse Akina qui voulait encore profiter de mon corps.

D’habitude si stressée, je ne voulais pas raté mon retour, car attendue pour un retour à une vie plus “normale”! Je restais calme et me laissais dominer encore un moment par ma Maîtresse.

 

Je n’avais pas essayer une dernière robe et un déshabillé rouge en dentelle. J’avais déjà rangé une bonne partie de mes affaires, je ne pû mettre des sous-vêtements, Maîtresse me maquillait quelque peu, et me fit un magnifique bondage de buste.

 

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Les mains attachées sur ma poitrine, elle me fit également un magnifique string en corde. Cela faisait office d’une belle tenue ! Un bâillon sur ma bouche, parée de rouge à lèvres, et un collier de maintien super large complétait ma tenue.

(photo)

Je ne savais pas si j’allais recevoir la suite de ma correction ou tout autre chose, je me laissais guider...

De nouveau couchée sur la table le haut du corps bien attaché à cette dernière, les jambes écartées, j’étais toute ouverte pour ma Maîtresse.

Elle m’enleva ma cage de chasteté, commença par me branler tranquillement mon sexe devenu raide, je compris alors que j’allais avoir le plaisir de jouir.

 

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Elle me fista proprement tout en m’emmena jusqu’au plaisir ultime et sublime, j’étais libérée, j’hurlais de plaisir.

 

Ce moment inoubliable faisait partie de tous les autres plaisirs de ce week-end, mais là ça sentait la fin du séjour, je me dépêchais de finir les derniers préparatifs de mon départ.

Maîtresse nous fît chauffer le repas, et c’est avec tristesse que je quittais ma Maîtresse, en la remerciant chaleureusement et nous nous promettions de nous revoir rapidement.

 

Le temps m’était compté pour rendre l’auto et prendre mon train. Ouf ! j’étais dans le train...

Je me relâchais, je pouvais m’endormir quelques heures pour récupérer de ce week-end chargé d’émotions et de cette dernière nuit blanche.

Avant cela, je regardais mes mails et je découvris le message écris par ma Maîtresse lorsque je finissais mes valises.

Son message me mit les larmes aux yeux, j’avais déjà la nostalgie de ma Maîtresse...

Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume

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