Maîtresse Akina

Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 12:00

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Comme vous avez pu vous en apercevoir, pendant quelques semaines j’étais complètement absente de mon blog.

Pour des raisons personnelles, j’ai dû arrêter soudainement, à mon grand regret, toutes mes activités liées à ma vie parallèle et à ma soumission à ma Maîtresse.

Je n’avais pas la tête à vivre ma seconde vie. Mon contact permanent avec ma maîtresse, nos rencontres, nos sorties, ma cage de chasteté, bref tout s’arrêtait là d’un seul coup, comme un mur au milieu de la route. J’étais plantée là, abattue, devoir l’annoncer à maîtresse, et me retrouver toute nue devant mes problèmes personnels.

Je remercie Maîtresse Akina, pour la compréhension de cet évènement qui chamboula ma vie.

Près de quatre semaines à broyer du noir, mais Maîtresse régulièrement gardait tout de même le contact avec moi, me demandant des nouvelles et m’encourageait dans mon épreuve.

Les semaines passèrent, je me relevais petit à petit, quelques nouvelles à ma maîtresse.

Et un jour le petit déclic dans ma tête...

Maîtresse toujours omniprésente dans mes pensées, me donna je pense ce petit déclic qui me réveilla soudainement de ma dépression passagère et me sortit un peu de terre.

Des mots importants aux bons moments, Maîtresse Akina en toute amitié me redonna vie, me redonna le goût de tout. Du quotidien, des choses simples de la vie, elle me remonta mètre par mètre à la surface.

Et c’est en écrivant à maîtresse que mes souvenirs remontèrent à la surface, des pensées coquines traversèrent alors mon esprit. J’allais mieux...

Nous reprenions nos échanges d’écritures, maîtresse me racontait ses activités qu’elle était obligée de faire pendant mon absence. Elle était en train de monter une vidéo d’une séance.

En visionnant son travail, je vis défiler devant moi tous les bons moments passés avec ma Maîtresse.

Nous en avions passé de bons délires, de belles soirées, de belles séances toutes les deux. Tout cela me remonta le moral et me donna ces forces qui me manquaient jusqu’alors pour assurer mon quotidien.

Je décidais aussi de reprendre le sport, et je m’évadais le temps de quelques heures dans ma montagne préférée pour faire une belle randonnée de méditation dans la neige fraîchement tombée.

J’allais beaucoup mieux, c’était évident..., je ne remercierai jamais assez maîtresse pour m’avoir aidé à remonter la pente.

J’étais de nouveau très excitée, et mon désir était de reprendre quelques activités avec maîtresse.

Excitée comme j’étais il était préférable que maîtresse me suive de nouveau de près. Depuis ma soumission à ses pieds il y a quelques mois, je ne vivais que pour elle. Je lui avais confié ma sexualité et je devais de nouveau lui remettre le contrôle de mon corps entre ses mains afin de résister à la tentation.

Elle accepta, à condition que je prenne mon temps et que je reprenne à mon rythme.

Maîtresse désirait que je me montre en webcam avec mes jouets. J’étais excitée par son attention mais quelques semaines de laisser aller, je devais alors m’épiler un peu.

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Après un rendez-vous manqué sur Skype, je devais annoncer mon retour sur mon blog. que je retrouvais comme je l’avais laissé il y a quelques semaines. De nouveaux souvenirs réapparurent et m’excitèrent d’avantage.

Je devais arrêter de penser au passé et vivre le présent et de nouveau voir tout ce qui nous attendait maîtresse et moi pour le futur.

Devant ce rendez-vous manqué, maîtresse reprit les choses en main et m’ordonna de faire un lavement.

Je ne m’attendais vraiment pas à ce que maîtresse s’occupe de moi de cette manière ainsi que de me faire reprendre aussi activement.

Je devais ensuite enfiler mon harnais que maîtresse m’avait fait acheter quelques mois auparavant. Un superbe objet de contrainte de grande qualité. Le cuir que confectionnait cet objet était souple, suffisamment fin pour se cacher sous des vêtements et assez moulant.

Maîtresse m’avait fait acheter également deux plugs qui s’installaient sur ce harnais.

Pas n’importe quels plugs, des plugs en métaux inoxydables très denses. Un petit, déjà bien gros tout de même de 140 millimètres de long, 42 millimètres de diamètre pour un poids de 660 grammes. Oui 660 grammes le plug ! Lors de l’achat cela m’avait terriblement excité de devoir porter une telle contrainte.

Moi qui avais l’habitude d’enfiler des plugs en silicones de quelques grammes !

Mais le plus gros était encore plus imposant ! 150 millimètres de long, un diamètre de 50 mm et surtout un poids dépassant le kilo, exactement 1050 grammes !

J’avais pris ce second plug sans réelle conviction pensant que je n’arriverais jamais à l’enfiler.

Lors de la préparation de l’anniversaire de maîtresse en décembre dernier, j’avais déjà testé ce harnais. Maîtresse m’avait ordonné de l’enfiler pour faire des courses avec elle.

J’avais des habits amples et il m’avait été facile de le porter discrètement le temps de quelques heures de marche. Cela avait déjà été un vrai bonheur de le porter montrant ainsi ma soumission à ma maîtresse, mais de plus en sa compagnie et en public. Elle me rappelait de temps en temps, par quelques mots coquins la présence de mon harnais mais surtout de ce plug bien ancré.

Cela avait été une bonne expérience, malgré le mauvais réglage du harnais. Le plug avait tendance à descendre quelque peu. Le plug tout de même imposant, pouvait à tout moment s’échapper à cause de son poids.

Impossible de régler le harnais lors des courses, maîtresse ayant laissé les clés à la maison !

Cette fois-ci, je pris toute mon attention pour l’installer convenablement.

Sauf petit détail qui a son importance, ce petit détail était que je devais enfiler le plus gros plug. Petit détail qui devenait un gros détail tant il m’impressionnait de l’enfiler.

J’ai été très surprise de voir que je réussissais à l’enfiler. C'était difficile mais j'ai été très fière d'avoir pu l'absorber sans réels problèmes. Petit à petit en pensant très fort à ma maîtresse, je voulais qu’elle soit fière de mon retour auprès d’elle.

Une fois en place et bien positionné, je le supportais très bien, je pourrais même dire qu'il était très confortable !

Tous ces entraînements avec ma Maîtresse ont porté leurs fruits même avec quelques semaines d’inactivité. Il est vrai que cette longue absence m’a rendu extrêmement chaude et excitée pour avoir envie de l'avoir en moi.

J’ajustais donc les sangles convenablement afin que ce plug énorme pour moi reste bien calé et qu’il n’ai pas tendance à sortir. La première expérience m’avait servi de leçon.

Je passais ensuite entièrement mon sexe dans l'anneau et je serrais au maximum les sangles entre les jambes, devant et derrière. Je remontais ensuite la ceinture à ma taille pour la serrer au maximum.

C’était vraiment serré à “bloc”, je sentais les sangles entre mes jambes et autour de ma taille et cette contrainte bien enfouie mais je fus agréablement surprise de voir comment ce harnais devenait confortable, j’arrivais largement à l’oublier. Heureusement d’ailleurs car je devais le garder jusqu’à ce que Maîtresse me dise de l’enlever...

Je le gardais dans la maison, sous mon peignoir, juste les cadenas faisaient un bruit de métal, me rappelant ce que je portais. Je fis rapidement quelques photos avec mon téléphone que j’envoyais à ma maîtresse. Ces photos de piètre qualité eurent du mal d’ailleurs à passer par MMS...

Le soir était là, la préparation du repas se déroulait normalement, habillée d’un survêtement le harnais se comportait à merveille. C’est seulement lors de petites pauses à m’asseoir sur une chaise, que je prenais conscience de cette contrainte. Le plug remontait alors bien plus loin dans mon corps. Je le sentais bien, c’était même agréable de sentir le talon du plug venir buter entre mes fesses. La sangle entre les jambes était un peu inconfortable dans ma position de buste plié.

Je passais la soirée en famille, et vers 22h j’envoyais une autre photo à ma maîtresse. Fatiguée j'allais dormir avec le harnais.

La nuit se passait super bien également, je sentais uniquement les sangles quand je dormais sur le côté, ma position habituelle pour dormir.

Maîtresse le sait bien, chaque nuit passée près d’elle attachée en position sur le dos m’était inconfortable car je ronfle sans arrêt et cela me réveille constamment.

Sauf deux nuits agitées passées en compagnie de ma maîtresse ou il n’était pas question que je dorme ! La première lors d’une séance électrique ou des secousses régulières sur mon sexe vinrent me rappeler ma condition de soumise à ma maîtresse. Et la seconde ou j’étais littéralement emballée dans un film plastique avec l’impossibilité de bouger. Que de bons souvenirs... C’était très excitant de se faire réveiller par cette contrainte imposée par ma Maîtresse. Un vrai bonheur de penser à elle constamment et de la voir veiller sur moi à chaque gémissement de ma part. Cela me manquait vraiment de vivre cela...

Comme elle le dit si bien, j’ai ma maîtresse dans la peau, elle fait partie de moi, elle est dans mon corps, elle est présente dans mon esprit mais aussi physiquement à travers ces contraintes.

Quelques érections vinrent aussi me réveiller, pas de cage, très tentant de se toucher le sexe !

Pas question de cela, je suis chaste par la force des choses depuis plus de trois semaines, et je tiens bien le rester jusqu’aux retrouvailles avec maîtresse. Il me faudra beaucoup d’attention pour résister, car avec de telles missions aussi excitantes, ce n’est pas évident à gérer.

Je suis fidèle à ma maîtresse et cage ou pas cage je résisterai. Et si d’ici nos retrouvailles l’envie devient vraiment trop pressante, j’en parlerai immédiatement à maîtresse.

Je me réveillais le lendemain et passais quelques heures sur l’ordinateur à écrire à ma maîtresse. Je sentais alors largement le harnais, ses sangles et surtout le plug allant largement au fond de moi. Je fis aussi quelques photos de meilleure qualité avec mon appareil que j'envoyais à maîtresse.

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La matinée avançait, l’envie d’aller aux toilettes se faisait sentir, j’envoyais un SMS à maîtresse pour lui signaler.

Je gardais le harnais et attendais patiemment son accord pour l’enlever.

Toujours pas de réponses, je devais sortir manger à l’extérieur. Je pris les clés avec moi, et je sortis comme cela. Le harnais ne se voyait pas, mais je le sentais bien, pour conduire déjà et ensuite à table. Je fis mine de ne pas avoir trop d’appétit afin de ne pas accroître mon envie d’aller aux toilettes.

Maîtresse me répondit enfin, mais je dus le garder jusqu'à mon retour chez moi.

Il était 17h, je n’en pouvais plus. Je me libérais enfin.

Quelle magnifique expérience de porter un harnais de contrainte avec un tel plug. Certes, j’avais les clés avec moi, donc moins de pression, mais tout de même, le porter pendant près de 24 heures, de nuit comme de jour, sortir avec, bref une aventure terriblement excitante.

Et encore, cela aurait pu l’être encore plus si j’’avais installé ma cage de chasteté par dessus l’anneau, mais ça, se sera pour une nouvelle aventure avec ma Maîtresse !

Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 22 décembre 6 22 /12 /Déc 15:53

Suite à la signature de mon contrat avec Maîtresse Akina, j'ai eu droit à quelques heures de liberté...

Je vous raconterai bientôt tout ça !

De nouveau encagé pour une durée indéterminée.

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Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : cage de chasteté
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Samedi 8 décembre 6 08 /12 /Déc 06:08

C’était le lendemain de notre soirée au Cav’O, nous n’avions pas trop dormi Maîtresse Akina et moi, et il était l’heure pour elle de prendre son train du retour.

Arrivées à la Gare, avec plus d’une heure d’avance, nous nous posons à la terrasse d’un café dans une galerie marchande de la gare de Cornavin à Genève.

Assises à cette terrasse, les bons moments mais aussi les petites galères jaillirent de nos pensées et nous nous repassons le film de la soirée.

Et comment ne pas évoquer notre sortie de l'hôtel toutes les deux superbement vêtues, pour rejoindre l’auto et le Cav’o. Suite à notre soirée, notre retour à l’hôtel était alors moins glorieux... Oublié le code pour rentrer, la gardienne nous le donne par téléphone... Presque 30 minutes pour rentrer dans la chambre, la carte magnétique défaillante... encore la gardienne au téléphone, finalement Maîtresse arrive à ouvrir...

Enfin dans la chambre, encore quelques petits essayages et quelques photos témoins de la soirée.

Quelques marques témoins de la soirée de la veille au Cav'O
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Il était le petit jour, 7 heures et l’heure de se reposer un peu, avant de passer non pas la nuit mais quelques heures ligotée

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Mais pas seulement ligotée, maîtresse veut que j’enfile cette “poire d’angoisse” (faire un lien vers l’image de la poire), qui porte bien son nom, car une fois insérée et ouverte par écartement, il suffit de lui mettre un cadenas pour qu’elle reste dans cette position écartée, et ainsi la rendre inviolable.

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Deux petites heures plus tard, à peine reposées, une fois préparée Maîtresse me fit un petit tease pour bien me réveiller...

Il est tout de même 10h00, je me douche vite fait, me démaquille comme je peux, il faut aller déjeuner...

Le temps de refaire nos valises, Maîtresse me remet ma cage, pas question de me laisser libre, Maîtresse tient à me savoir encagée, voilà notre séjour à Lausanne qui se termine... Quels beaux souvenirs il restera...

Il ne fait pas très chaud à cette terrasse, la fatigue aidant, pas facile de retrouver nos esprits. Heureusement que le café nous aide un peu, et nous reprenons nos discussions. Le site internet, ma soumission, mon encagement permanent, ma disposition sans condition etc.

Maîtresse sort alors son agenda, et elle me convoque mardi 20 à 13 h.

Encore quelque peu endormie, je note le rendez-vous sur mon agenda, ciel c’est dans deux jours !

Sans hésitation, je serai au rendez-vous. Maîtresse en a décidé ainsi, je lui dois obéissance.

A beaucoup d’avance, on arrive à être bientôt en retard, nous passons la douane, personne pour nous contrôler, et Maîtresse est à sa place dans le train, direct, elle sera à Montpellier dans 3h30.
J’attends, son départ, une discussion visuelle intervient à travers les vitres du train entre Maîtresse et moi.

Je comprends ce qu’elle me dit, “deux jours et on se revoit”. Elle me donne un indice pour retrouver ma clé de la poire d’angoisse, mais je ne comprends pas tout cette fois-ci... Elle me donnera un autre indice plus tard...

C’est l’heure d’un dernier au revoir, de retour au parking, je repasse la douane, oups... des douaniers qui contrôlent des personnes... Et s’ils me demandaient de passer au rayons X, ma cage tout en silicone passera inaperçue, mais pas la poire, en aluminium et métal... pas de contrôle pour moi, ouf !

Ça me fait peur, garder cette poire d’angoisse sans savoir ou sont les clés. Combien de temps pourrai je tenir ? Encore quelques heures, je pense... pas trop quand même.

Retour la maison, la tête enfarinée, je range mes affaires espérant trouver la clé. Il n’en est rien, je contrôle une seconde fois dans les habits, au fond des chaussures, dans ma trousse de maquillage, rien du tout... Je fouille également la voiture de fond en comble, rien non plus...

L’angoisse monte petit à petit, il est l’heure de laisser la maison à ma fille, elle fête son anniversaire avec ses copains, je pars donc chez des amis pour la nuit. Avant de partir, je contacte Maîtresse pour lui demander un indice, elle me laisse chercher encore...

Je pars chez mes amis, pour la poire je verrai plus tard avec Maîtresse, mais j’aimerai la quitter ce soir.
ll est plus de 20h00, je la re contacte pour qu’elle veuille bien m’aider un peu.
Elle me laisse encore chercher... Je luis expliques alors que je suis à plus d’une heure de route de chez moi, mes sacs à la maison et que je devrai y retourner pour chercher la clé.
Elle me laissera un indice dès que je serai sur la route.

23 heures, avec la fatigue accumulée, j’aurai aimé dormir sur place mais ma priorité est d’enlever cette poire. J’informe Maîtresse que je vais repartir à la maison, et enfin elle me donne l’emplacement.
La clé est dans la voiture, ouf... pas besoin de refaire la route, je la trouve enfin, je remercie Maîtresse, soulagée, je vais pouvoir aller dormir. Elle était bien cachée, jamais je n’aurai penser la trouver là.

Pas évident d’être la soumise de Maîtresse Akina ! Elle a su à merveille contrôler cette contrainte jusqu’à l’heure qu’elle avait décidé. Cette première expérience m’a donné des sueurs froides, j’avais peur d’être prise au dépourvue. Il n’en a rien été...

Le lendemain après une nuit calme, détendue et assez reposée, pas suffisamment tout de même, je pars m’aérer la tête en faisant une randonnée, ça fait du bien... Le soir, je me couche de bonne heure, raide morte...

Finalement, je suis aller aux toilettes que là avant de me coucher, j’aurai pu tenir 24 heures de plus avec cette poire... C’était une première expérience, assez stressante mais aussi très excitante, me sentant prise, Maîtresse contrôlant alors ma libération...

Je vais travailler lundi et déjà mardi, je prends le train à 7 heures pour être à Montpellier vers 11 heures.

Maîtresse m’accueille, et nous passons l’après-midi à faire les boutiques. Il était question que ma féminisation se fasse progressivement et que je m’habitue à me montrer de plus en plus efféminée.

Nous trouvons un pantalon très moulant, un slim effet cuir, avec de petites chaussures basses assorties. deux hauts cintrés, de couleurs pastels.

L’effet est saisissant, non provocante mais “décalée” cette tenue accroche le regard et interpelle.
Depuis que je m’habille seule, je m’imaginais bien de porter une tenue pareille sans jamais oser le faire. J’ai toujours pensé qu’une telle tenue était considéré aux yeux de tous comme étant une tenue “sexe”.

Préférant passer inaperçue en société, je préférais m’habiller de manière classique. Mais j’ai toujours aimé qu’une personne me matte les fesses.

Il est temps que cela change ! Aidée par Maîtresse Akina, cela ne me fait plus peur d’envisager de porter ce genre de vêtements et un jour pouvoir faire le grand saut.

Nous achetons quelques sous-vêtements féminins coquins et une belle petite tenue de fin de soirée et un beau kimono noir transparent. C’est tout de même un autre plaisir de faire les boutiques en vrai plutôt “qu’en ligne”, qui plus est accompagnée de sa maîtresse. Quel bel après-midi !

De retour, je fais quelques essayages et je mets des sous-vêtements, mes mules, mon collier de soumise et mon kimono, pour préparer le repas du soir.

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L’heure du dodo a sonné, je vais passé la nuit quelque peu contrainte... Quelques cordes aux poignets et aux chevilles, Maîtresse me filme alors de la tête aux pieds. Les couches successives de film me compacte petit à petit le corps, puis pour finir encore des cordes qui accorde un effet visuel non négligeable et qui augmentent encore le serrage.

L’avantage d’une telle immobilisation est qu’il n’y a pas de point précis de serrage, c’est chaque partie de mon corps qui se retrouve compacté. L’effet négatif, est qu’il fait relativement chaud dessous.

Prête pour la nuit, Maîtresse joue un peu avec moi et fait quelques photos. Quelques petits tiraillements arrivèrent, ma cage dans un premier temps qui me serre, Maîtresse me soulage un peu en la replaçant différemment. C’était plutôt une érection qui me génait ! Le bout des pieds aussi, très serrés l’un contre l’autre me donnaientt quelques douleurs.

Je pouvais alors me calmer et m’endormir paisiblement, ma Maîtresse non loin de moi veillant sur moi.

Couchée sur le dos, sans même pouvoir bouger la tête à droite et à gauche, je me laissais aller dans les bras de Morphée, mais à chaque assoupissement, de petits ronflements m'empêchèrent de m’endormir.

C’est ainsi que je ne ferma pas l’oeil de la nuit. Chaque instant à penser à ma position, à mes liens, à ma cage et à ma maîtresse.

La nuit fut longue et douloureuse mais que c’était bon de se savoir ainsi harnachée, j’avais hâte de voir les photos !

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Daniela, filmée pour la nuit
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Je m’étais assoupie quelques minutes d'affilié, quand survient le matin...

J’ouvris les yeux, Maîtresse était la devant moi, me regardant. Quel bonheur de la voir, et de lui raconter ma solitude de la nuit.

Elle me libère alors mes liens, et petit à petit, mon corps se relâche alors. Le film enlevé, j’ai alors très froid, Maîtresse me laisse mes liens de cordes, me couvre avec une couverture et me laisse me reposer un peu. Je tombe alors dans un sommeil pour presque deux heures très reposantes.

Il est temps de se lever, les membres engourdies, je suis contente de me lever.

Je files prendre une douche, et m’habille pour la journée.

En tenue pour la journée
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Je fais quelques taches ménagères, j’aide Maîtresse à préparer le repas de midi. Elle me coache également sur les futures taches que j’aurai à assumer lors de mes stages comme stipulé sur mon contrat.

Ce contrat tant attendu, est maintenant prêt, il me sera envoyé pour lecture lors de mon retour.

J’ai vraiment hâte de le lire et de vous commenter son contenu !

Nous prenons le repas de midi, maîtresse regarde l’horloge, me regarde et me lance son sourire coquin. Je lui répond par un sourire timide comprenant très bien la suite des évènements.

Elle me demande de me poster devant le miroir, et elle commence à sortir quelques cordes.

Elle tisse alors sa toile sur mon corps pour me suspendre à un crochet de la poutre au dessus de moi. La position est confortable, Maîtresse adopte un serrage précis et exact sur mon corps, et je me sens comme en lévitation, sans douleurs aucune, sur le dos, les jambes tendues et écartées. Maîtresse vérifie alors la bonne hauteur de ma posture et enfile son gode-ceinture.

Encordée par Maîtresse Akina
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Maîtresse pose le bout de son engin au bord de mon fondement, puis, délicatement elle s’appuie contre moi et petit à petit je sens son gode me pénétrer. Puis d’un coup, il rentre jusqu’au bout de lui même, je souffre l’espace d’une seconde et c’est ensuite uniquement que du plaisir.

Bien positionnée par rapport à son gode, je sens chaque centimètre du gode de ma maîtresse m’envahir, elle fait quelques va et vient, je réagis par des gémissements.

Cela m’avait trop manqué, depuis le temps..., les sensations sont énormes, j’aime trop comment Maîtresse me prend. Déjà de la sentir en moi, celle de me posséder, celle de me dominer par son gode, sentir ses va et vient, ou elle se cale en venant buter contre moi.

Merci maîtresse, pour ce bonheur, j’ai l’impression qu’à chaque rencontre, vous allez plus loin, (rire), mais aussi, plus loin en qualité et en plaisir, et ce jour là je vous jure que jamais depuis que je m'adonne à ces plaisirs anals, je n’ai eu autant de plaisir.

Suspendue confortablement
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C’est vrai que nous nous connaissons de plus en plus Maîtresse et moi,, de mieux en mieux même, et nous savons aussi bien l’une de l’autre ce qui nous fait plaisir, et comment donner ce plaisir à l’autre.

Les jambes écartées, je peux alors les bouger pour sentir différemment son gode me pénétrer, je peux même replier mes jambes contre ses fesses et l’aider dans ses va et vient.

Je gémis à chacun de ses coups de rein, de logues minutes, de longues saccades interminables mais tellement intense.

Daniela, prête pour le gode de sa Maîtresse
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Je n’ai pas le temps de souffler, Maîtresse regarde l’horloge, le timing est respecté, effectivement, il va falloir faire vite mais j’aurai mon train à temps.

Je pense avoir beaucoup progressé au niveau de la gestion de mon stress. Le timing était limite, et sachant qu’avec Maîtresse on sait quand on commence mais jamais quand on termine, je pensais que l’on dépasserait le temps et que je louperais mon train.

Mais à aucun moment pendant cette séance, je n’ai pensé aux minutes qui défilaient., me concentrant sur le plaisir, uniquement le plaisir et cela est passé et j’ai pu avoir mon train !

Certes je montais dans le train avec deux minutes d’avance, le rangement de mes affaires, la douche, et les trajets se furent dans la vitesse et la précipitation.

Je quittais Montpellier et ma maîtresse, comblée de bonheur.

Depuis ce séjour, je vis mieux ma soumission.

Ayant vécu l’espace de deux journées aux pieds de ma Maîtresse, j’ai pu voir comment elle passait ses journées et cela m’aide à surmonter mes moments de solitude à des kilomètres d’elle.

Merci Maîtresse

Daniela, votre soumise avouée et dévouée.

Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Dimanche 25 novembre 7 25 /11 /Nov 19:02

Soirée BDSM du 16 novembre 2012
Cav'O - Lausanne (Suisse) - site web 

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Suite à ma première soirée au donjon de Bessan, je devais organiser pour ma maîtresse et moi une soirée dans un lieu sm.

En cherchant un peu, je trouvais une soirée au Cav’O club privé non loin de chez moi.

Après confirmation de la date auprès de l’organisateur et de ma Maîtresse, je m’empressais d’organiser ce week-end. Cette soirée se déroulera le 16 novembre 2012.

Maîtresse Akina arrivait par le train à Genève le jour même, je la récupérais pour nous rendre en voiture à Lausanne environ 1 heure de route ou j’avais réservé une chambre pour la nuit.

Il était la fin de l’après-midi quand nous arrivions à l'hôtel, une fois installés, je montrais à Maîtresse mes derniers achats.

Quelques essayages plus tard, il était temps de se faire belle ! ce fut une formalité pour Maîtresse, belle naturellement, qui après me conseilla et m’aida encore pour mon maquillage. Elle me choisit également ma tenue et décida de me retirer ma cage de chasteté en place depuis 19 jours.

Maîtresse décidait alors que je me rendrai en belle femme sexy et attirante au donjon du Cav’o.

Je partirais de l'hôtel ainsi vêtue, une magnifique robe rouge moulante, avec un petit boléro noir en dentelle offert par ma Maîtresse et mon corset-serre taille sous la robe. La lingerie assortie avec des sandales à brides d‘une toute beauté, achetées récemment et désirées par maîtresse.

Une autre tenue dans la valise, pour le milieu de la soirée, pour Maîtresse et moi.

il est 20h00 quand nous quittons l’hôtel pour le Cav’o situé à une vingtaine de kms avec deux valises pleines de matériels et d’affaires.

Nous arrivons les premiers avec un petit peu d’avance.

Accueillies par le maître des lieux, Jeff, qui nous fit entrer dans son antre...

Deux marches plus bas, nous y étions. Le donjon était à l’identique des photos montrées sur le site. Une magnifique pièce voûtée en pierres et garnie de tout le mobilier plus que nécessaires. Des meubles classiques, des cages, un sling, mais aussi d’autres plus originaux tel que la chaise à pointes, la grande roue toute en cuir. Belle décoration également avec beaucoup d’objets décrivant notre univers de la soirée.

L’éclairage était doux, discret et mettait bien en valeur chaque atelier.

Jack qui s’occupera du service du bar pour la soirée nous offre un verre et nous discutions afin de faire connaissance et en attendant les invités suivants.

Coïncidence incroyable, Jeff est aussi un des propriétaire d’un site de vente en ligne de cage de chasteté et d’autres articles de pratiques sm ou je venais de faire un achat...

Très rapidement, Maîtresse pris possession des lieux. A peine les premiers invités arrivés, elle me positionnais en vue d’une suspension.

Maîtresse commença à me faire un superbe haut en corde, s'apercevant qu’il ne serai pas pratique de faire le bondage avec cette robe, elle me la quitta et j’étais donc en lingerie avec mon corset.

Au bout de quelques minutes je me retrouvais suspendu dans les airs dans une position très confortable que je tenais pendant de longues minutes.

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A plat ventre, les mains dans le dos et les pieds relevés, harnaché du tout dernier baillon de maîtresse Akina d’une extrême contrainte, je ne sentais aucune gène, je me sentais suspendue comme posée sur une table. La suspension était équilibrée et aucune douleur ne se faisait sentir. J’étais aux anges.

Maîtresse avait mis en valeur mes formes, le sexe en extension, j'étais à portée de Maîtresse comme mes fesses du reste qui reçues une partie de mes punitions acquises lors de ces quatre dernières semaines ou j’avais été particulièrement désobligeante avec ma Maîtresse.

Quelques sauts d'humeurs et quelques désobéissances m’avaient allongé ma liste de punitions. Ces punitions montraient que soumise en apprentissage que j’étais, je n’en étais pas au bout de mes peines pour devenir la soumise qu’espérait ma maîtresse.

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Il est vrai que j’avais passé de mauvais moments éloignés de ma Maîtresse, et Maîtresse avait bien réagi en étant ferme avec moi mais à mon écoute.

C’est avec le paddle que Maîtresse me corrigea comme je le méritais. Je ne sais plus combien de coups je reçu à ce moment là et dans cette position, mais je pû vous dire que je souffrais le martyre. Cette punition étant juste et méritée, je ne bronchais pas et j’acceptais chaque coup que ma Maîtresse m’infligea.

La soif se faisait sentir, j’en parlais à Maîtresse, qui décidais au même moment de me défaire de cette position. Hormis cette soif et quelques petits fourmillements dans les mains, à aucun moment je n’avais envie de quitter cette position. Plusieurs fois Maîtresse était à mon écoute et flairait un comportement défaillant de ma part, il n’en était rien, j’étais bien. J’étais sa chose, elle me dominait comme elle l’avait décidé et je subissais ce que Maîtresse avait envie de me faire subir, j’acceptais avec plaisir et honneur d’être à sa disposition.

Elle me libéra de ma position et je pu boire un peu de Coka, très rafraîchissant. La pause ne dura que quelques minutes avant que je me retrouve de nouveau suspendu, je me tatais un peu les fesses en constatant, leurs chaleurs mais également les hématomes...

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En tailleur cette fois-ci, avec toujours mes fesses en position idéale pour la seconde partie de ma punition. Maîtresse s’amusait bien, à coups de paddle et de cravache, mes fesses me brûlaient. Je devais alors compter les coups que Maîtresse m’infligeait. Chaque coup énuméré était suivi de “... maitresse”, je gémissais à chaque coup, plus prononcé qu’ils étaient les uns que les autres.

Très vite je me retrouvais avec un bâillon pour assourdir mes gémissements. Maîtresse se fit également assister de deux ou trois autres maîtresses présentes pour m’affliger chacune une belle série de coup. C’était horrible de recevoir à une cadence infernale des coups sur chacune de mes fesses et des coups largement appuyés par des maîtresses très complices.

J’étais dans mon monde n’entendant que très peu les autres participants à leurs ateliers. Quelques violents gémissements de ma part donnèrent un silence impressionnant dans cette salle.

Maîtresse me libéra enfin de mes liens. J’étais exténuée par cette punition, toute essoufflée, je l’accompagnais au bar afin de me désaltérer. J’avais toujours mon bustier fait de cordes, comme une seconde peau pour moi. Que c’était bon de sentir ces cordes entrelacées autour de mon corps et entre mes membres !

Un verre très rapidement englouti, je me retrouvais à quatre pattes en direction de la chaise à supplices. Les fesses durcies mais extrêmement sensibles par ma punition je dû m’asseoir sur cette chaise à l’assise faite de vis pointes en l’air. Je devais m’asseoir dessus.

Aux yeux des personnes présentes autour de nous, je sentais qu’il me serai difficile de m’asseoir sur cette chaise, et c’est avec difficulté que je m’assis sans me laisser aller. Je sentais les vis sur toutes parties de mes fesses, c’est juste très très dur à supporter...

Bonne soumise que j’étais, je m’assis convenablement. Maîtresse me sangla les poignets et chevilles à cette chaise ainsi qu’à la taille. J’étais obligé de me laisser aller et supporter ces pics qui me rentraient petit à petit dans la peau. J’essayais de me débattre le moins possible, et le plus dur finalement n’était pas de rester mais plutôt de me lever quelques minutes plus tard. Lorsque je m’étais habitué à la douleur. le fait de se lever accentuait largement la douleur, et je sentais chaque pic sur mes fesses. C’est exactement la même sensation lorsque l’on vous mets des pinces sur les tétons, cela fait mal au moment ou l’on pose les pinces, puis la douleur s’estompe, mais le pire est au moment de les enlever, la douleur s’est accumulée pour se libérer à ce moment précis, c’est juste horrible...

Il était l’heure de passer à d’autres ateliers et c’est sur la table que maîtresse m’installa. Les sangles de cuir idéalement placées m'empêchèrent de bouger la tête, le buste et les membres. j’étais vraiment à disposition de ma maîtresse qui en profita pour s’occuper de mon sexe et enfourcha également son gode ceinture. J’étais particulièrement excitée et maîtresse me donna à sucer son gode que j'appréciais naturellement avec honneur.

Maîtresse me disposa ensuite sur un mobilier que je ne connaissais point, le sling. Position très confortable s’il en ai, je me voyais dans le miroir situé au plafond. J’appréciais de me voir harnaché, certes, quelque peu décoiffée par les divers bondages et par une certaine fatigue accumulée... Ma tête me faisait peur, mais j’assumais, je ne devais pas défaillir devant ma Maîtresse, et je lui faisais honneur qui s’occupait royalement de moi.

J’avais énormément progressé dans mes capacités à supporter les douleurs que m’infligeait Maîtresse Akina.

Mais ce qui m’aidais le plus à supporter chaque coup de paddle, de cravache ou de martinet, mais aussi à accepter chaque membre serrés dans les cordes de maîtresse, à accepter chaque position pas toutes confortables, à accepter les baillons de contraintes, à accepter les testicules harnachées et étirées, c’était la confiance que j’avais en ma maîtresse. Les yeux fermés, je me laissais aller dans son monde qu’elle maîtrisait à merveille, et même si je souffrais, je savais qu’elle était là, à mon écoute, j’étais en osmose avec elle.

Jamais je n’aurai pensé supporter la rudesse d’une telle main de fer, mais venant de Maîtresse, je le supportait difficilement certes, avec souvent les larmes aux yeux, mais quelle fierté d’être dans le prolongement de sa main. Merci Maîtresse pour ces moments de bonheur inoubliable que vous me faites vivre.

Maîtresse attendit quelques minutes pour me faire profiter de la magnifique roue à sa disposition. C’était vraiment un bel engin, la grosseur des sangles rendaient à cette roue un confort non négligeable, laissant la place à la créativité de ma Maîtresse afin de me faire subir les supllices quelle avait envie et dans la position quelle avait choisit. Elle ne voulu pas me mettre a tête en bas, fatiguée que j’étais par ces longues heures de suspension et de punition. Mais elle en profita suffisamment pour que je passe vraiment de merveilleux instants, quelques photos en témoignent.

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Il était temps de me défaire de mes liens, il se faisait tard, le temps de ranger les affaires, un moment au bar avec le maître des lieux et l’heure de nous quitter arriva.

Nous avons vraiment passé une excellente soirée....

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Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Lundi 19 novembre 1 19 /11 /Nov 05:12

Un petit aperçu de notre soirée de vendredi au Cav'O

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Par Daniela - Publié dans : Maîtresse Akina - Communauté : plaisirs SM
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Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume

Photos Aléatoires

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