Histoires

Samedi 17 avril 6 17 /04 /Avr 05:35

sexy-au-bureau.jpgJ’attendais impatiemment ma commande de fringues…. J’avais pris un plaisir fou à la passer sur un site de mode assez généraliste. Pour plus de discrétion, je m’étais fais livrer au boulot. C’était un mardi, la secrétaire vint me chercher discrètement à mon poste. C’était aussi l’épouse du patron, une belle femme blonde, la cinquantaine, toujours très soignée avec de belles tenues, quelques fois assez sexy, en tout cas toujours à la mode. Elle portait aujourd’hui une jupe grise avec quelques motifs, serrée avec de beaux bas noirs et de petites bottines. Tout en marchant jusqu’à son bureau, elle m’informa que j’avais un colis qui était arrivé, mais qu’il y avait un petit problème… 

Elle avait malencontreusement ouvert le colis par mégarde, pensant que c’était une commande passée par elle-même quelques jours plus tôt au même vendeur ! Je lui dis que ce n’était pas grave, pensant récupérer mon colis vite fait bien fait, mais sur son bureau, je reconnaissais tous les articles que j’avais commandé, il y en avait partout, elle avait tout déballé… Je préférai me dépêcher de rassembler les articles, elle voulu m’aider, tout en rangeant les articles dans leur emballage, la voilà parti dans des commentaires de nanas « Elle est très jolie cette robe ! » ou aussi « Quelles belles bottes, je suis fan de bottes, vous savez Daniel, et celles-ci me plaisent beaucoup, je les essaierai bien ?» je fis un signe affirmatif du visage, ne sachant pas trop quoi dire à ce moment là.

Je pris peur que quelqu’un de l’entreprise entre dans le bureau de la femme du patron, et que l’on nous voit en train de faire des essayages d’habits ! Elle s’assit, elle enleva sa botte, et essaya la bottine que j’avais commandé pour moi. Cela m’excita un peu de voir ma patronne enlever ses chaussures devant moi  sans aucune gêne, je ne la connaissais pas comme ça. Au moment de l’enfiler arriva ce que je craignais un peu, « Oulla !, c’est une grande taille, elles me vont beaucoup trop grand » Effectivement c’était du 43… « Mais dites-moi Daniel, sans indiscrétion, je peux vous demander pour qui sont ses belles bottes ? » J’étais gêné et je cherchai une sortie honorable afin de justifier ce qui se passa devant moi, mais avant que je puisse répondre quelque chose, « Ne me dites pas que c’est pour vous Daniel ?, si ? Et bien, j’aimerai bien voir ça ! » En l’espace de quelques secondes, elle avait réussi à me mettre très mal à l’aise, poser les questions et trouver les réponses, les bonnes réponses… J’eu juste le temps de faire quelques pas sur place et de faire quelques signes de la tête en essayant de trouver des mots, de faire une phrase, d’expliquer quelque chose, qu’elle enchaina « Je comprends Daniel, vous ne pouvez essayer ces bottines ici, mais j’aimerai tellement vous voir avec », c'est-à-dire que… « Voilà, et si vous veniez à la maison essayer tout ça, hein ? » J’avais l’air malin ! J’étais au travail, ma  patronne me faisait une proposition d’aller chez elle faire des essayages de fringues ! Euh, c'est-à-dire que… « Allez Daniel rangez-moi tout ça et vous passez dans l’après-midi chez moi, d’accord ? » Ben, c'est-à-dire que…  « Vous trouverez bien une idée pour vous échapper du travail ». Mais… Laurence, euh, je ne sais pas, euh… « Daniel, vous ne voulez pas que j’appelle quelques uns de vos collègues de travail pour leur montrer votre commande, non ? » « Non Laurence, quand même ! » « Alors chez moi, à 14 heures, vous viendrez chercher votre colis, d’accord Daniel ? » J’acquiesça, super gêné, en train de rassembler les affaires  éparpillées sur le bureau, il y avait vraiment de tout, deux robes, une jupe, des escarpins, des collants, un leggings et les bottines.

Je retournai travailler en pensant à ce qui venait de se passer. Je n’y croyais pas, oui c’était bien ma patronne qui avait découvert mon plaisir caché, je ne l’aurai jamais cru capable d’aborder les choses comme elle venait de le faire. Plusieurs fois, j’avais fantasmé sur elle, avec ses petites tenues très sexy, sa belle allure ses différentes poses, assise sur le bureau face à moi, ou bien en train de se caresser les fesses tout en me parlant… Je la croyais un peu salope mais quelque peu coincé quand même.  C’était peut-être son mari qui la freinait, elle lui était peut-être soumise…

Bref, en tout cas, je devais me rendre à son domicile, récupérer mon colis et lui faire oublier  rapidement ce qui s’était passé, il n’était pas question que j’essaie mes habits avec elle, certes cela m’excitai beaucoup, son mari était en déplacement mais de là, à m’habiller en femme devant elle, il y avait un pas que je n’osais franchir. 

14 heures, je frappai discrètement à sa porte, espérant même qu’elle ne m’entende pas, elle vint ouvrir, en peignoir, « Entrez Daniel, asseyez-vous j’arrive ! » Je pris place dans le canapé et j’attendais patiemment son retour, il y avait là mon carton avec les affaires dedans, je n’avais qu’une envie, le prendre et me sauver. Quelques minutes plus tard elle revint, belle, très belle, sexy, elle avait une robe noire assez courte et très moulante, des bas et des escarpins. « Alors Daniel comme ça, vous vous travestissez ? », Elle allait droit au but !, j’étais tout de même moins gêné que le matin, étant face à face, seule avec elle. « Je fis un oui franc de la tête, tout en commençant mon explication. Que depuis tout petit, j’aimais m’habiller en femme, etc. « Ah oui ! J’adore cela, les travestis… vous allez me montrer Daniel ? D ‘accord ?» je me levai du canapé, pour me diriger vers la table ou le carton était posé, je commençai à le prendre, je resta bloquer quelque secondes « Ecoutez Laurence, je vais y aller !» « Non ». Je la regardai dans les yeux, et compris ce que ce « Non » qu’elle venait de prononcer voulait dire… Elle s’approcha de moi, ses talons frappaient le sol d’un pas franc et décidé « Tu vas te déshabiller et essayer tes nouveaux habits. Ils sont très bien, tu vas être superbe dedans » je m’exécutai, elle s’assit dans le fauteuil devant moi à me regarder avec son beau sourire qui me mit à l’aise, elle enchaina « Tu sais Daniel, je connais des travestis, ils ont beaucoup de gout, et surtout ils aiment le sexe » Elle dit cela sur un ton calme presque en chuchotant, j’en eu les frissons… « Tu es quelqu’un de gentil, n’est-ce pas Daniel ? Tu vas m’obéir, hein ?  Euh… oui, c’est vrai que j’aime bien m’habiller en femme, Laurence, mais… « Pas de mais avec moi, tu vas faire ce que je te dis, d’accord ? » Oui  « Oui qui ? » Euh, oui Laurence. « Oui Maîtresse Laurence, c’est compris ? » Je me repris « Oui Maîtresse Laurence » Aussitôt dit, je bandais fortement. Je me déshabillai rapidement « Le slip aussi, Daniel ». Au vu de ma nudité, elle apprécia que j’étais épilé « Bien Daniel, mais tu bandes ! Elle me saisi le sexe avec sa main et le branla une fois ou deux « Tu aimes ça toi, tu mouilles, hein, t’es une bonne salope toi on dirait, je sens que l’on va bien s’amuser ! » Et elle sourit…

lecon_de_feminisation_7_video_travesti_par_une_mai-copie-1.jpg« Enfiles-moi cette robe que tu viens d’acheter, elle est bien moulante, elle va t’aller à merveille, je pense » C’est vrai que c’était une belle robe assez courte, légère, en polyester légèrement transparente « Ensuite, enfiles-moi tes bottines ». Cela faisait longtemps que je les attendais, je rêvais trop d’en mettre une paire. « Ah oui, tu es magnifique comme ça, attend, je vais te chercher quelque chose. Elle revint avec un carton et tout un attirail dedans. « Ah voilà ! Enfile-moi ces bas et ce porte-jarretelles » je remis mes bottes par-dessus, c’est vrai que ça le faisait, j’étais belle et sexy… Elle sortit aussi une perruque blonde coiffé au carré, elle me l’ajusta. Elle me demanda de tourner sur moi-même, elle me regardait de haut en bas, elle cherchait les détails à améliorer « Vas-y marche pour voir » « Bien, tu as belle allure, tu as l’habitude de marcher avec des talons, non ? »  « De temps en temps oui » Elle me prit par le bras et m’assis devant sa coiffeuse « Je vais te maquiller, tu vas être belle comme tout ! ». Quelques minutes plus tard, j’étais superbement maquillée, un peu chargée peut-être « Voilà, les hommes aiment ça, que tu es un look provoc, tu aimes ça Daniel ? ». Je fis un signe affirmatif de la tête, je me laissais guider par ses décisions qu’elle prit les unes après les autres sans que je puisse me défiler, je n’osais pas mais cela me plaisait de faire ce qu’elle me disait… Elle me rajouta quelques bijoux aux doigts et au bras. « A présent que tu es une belle femme Daniela, j’aimerai voir ce que tu vaux en femme, crois-tu que tu peux me montrer ça ? » « Je ne sais pas Laurence…, de quoi voulez-vous parler ? » « Tu vas m’obéir, tu verras bien, après tout ! ». Je lui souris timidement, lui approuvant ce quelle venait de dire, elle semblait contente de mon comportement. Elle fouilla dans son carton, et y prit un collier de cuir noir avec une boucle et une chaine au bout, qu’elle m’attacha à mon cou « Lèves-toi, penches-toi sur la table du salon ». Je m’approchai contre la table et me pencha à plat ventre. Entre temps, elle avait saisi, une cravache et un fouet et elle remonta le bas de ma robe pour laisser mes fesses bien apparentes et à sa disposition. « Belles fesses Daniel !, hum, bien ferme ! Je vais te les chauffer un peu ! ». Elle m’écarta les jambes pour m’attacher les pieds  avec une corde à ceux de la table. Elle me prit mes mains pour me les attacher ensemble en les étirant au dessus de ma tête. J’étais immobilisé, confortablement, elle avait pris soin de ma position, heureusement car le supplice allait durer de longues minutes. Elle alternait coups de cravaches, coups de fouets et caresses. Je senti mes fesses rougir, j’avais chaud, devant mes cris de douleur, elle me mit un bâillon, toujours sorti du carton, et de temps à autre, elle me branlait le sexe, afin de vérifier le plaisir que je prenais. Elle était contente d’elle, plus je mouillais, plus elle me frappait les fesses « C’est très bien Daniela, continues comme ça ! ». Une fois le cul bien chaud, elle me travaillait ma chatte. Elle mit des gants en latex, prit du lubrifiant et un gode, et tout en délicatesse, elle me travailla le cul « tu es bien dilatée Daniela, on va pouvoir y mettre de belles bites dedans ! ». Elle saisi un plug de plus gros diamètre et me l’enfila en douceur, il était énorme, je gémissais mais c’était bon. Elle me laissa pantois, alla se saisir du téléphone et composa un numéro. En attendant que quelqu’un réponde, elle me fit « Je vais te montrer à un ami, tu devrais lui plaire ! ». Je commençai à être inquiet de la tournure des évènements, elle profitait de mon corps, j’étais aux anges, mais de là qu’une tierce personne vienne participer, cela me faisait un peu peur. « Oui c’est Laurence, tu peux venir elle est prête, elle est super bonne tu verras, je t’attends ! ». Elle raccrocha « Ne t’inquiètes pas Daniela, c’est un ami, tu vas surement aimer car tu m’as l’air d’une belle salope toi ? ». Elle me détacha, et m’ordonna de me planter là au milieu de la pièce, elle me regarda assise dans le canapé en attendant son ami « Si tu es sage, Daniel, j’ai plein d’idées pour toi, mais il faut que tu m’obéisses… ». On frappa à la porte, Laurence alla ouvrir, c’était la personne qu’elle attendait accompagné d’une femme, « Ah ! Nathalie ! Tu voulais voir aussi ma nouvelle recrue ? Rentrez, vous n’allez pas être déçue » Laurence ne fut pas perturbée plus que ça de la personne supplémentaire qui s’invita, tous semblaient être habitué à ce genre de plans. « La voici, regardez comme elle est belle ! ». Nathalie et Edouard vinrent à mon encontre, me saluèrent brièvement, et ils me scrutèrent de part en part, des yeux  et des mains « Bravo Laurence, belle trouvaille ! » fit Nathalie,  Edouard, ne perdit pas de temps pour baisser son pantalon, « A genoux Daniela ! » me fit Laurence d’un ton sec « Suces-le comme il faut ». Edouard me fourra sa belle bite dans ma bouche et je le suça. Je m’aidai de mes mains pour lui caresser les bourses et pour le faire bander bien dur. Je dois reconnaitre, que j’étais bien chaude, Laurence m’avait  bien préparé et j’avais trop envie de continuer dans ce trip. Heureusement d’ailleurs, car j’en avais pas encore fini… Je le suçai de longues minutes dans différentes positions que tous trois me firent prendre, afin d’exposer mon corps à leurs caresses et coups de cravaches. Laurence me posa des pinces sur mes tétons et sur mon sexe qu’elle branlait de temps à autre, Nathalie, s’assit dans un fauteuil et releva sa jupe et se caressa la chatte. C’était excellent ! 

Je suça Edouard de longues minutes, lui affalé sur le canapé, Laurence et Nathalie de chaque côté en train de le caresser et de l’embrasser. Laurence et Nathalie avait enlevé leur robe, les seins et la chatte à l’air, elles étaient belles, elles s’embrassaient également. Laurence se leva et alla prendre un gode ceinture toujours dans le carton, se l’installa. Pendant ce temps, Edouard me fit mettre en position pour me prendre par derrière. Il se mit un préservatif, enleva le gros plug de mon cul, difficilement, car énorme, et aussitôt il m’enfila son sexe bien dur dans ma chatte. Il n’eut aucun mal à me pénétrer, sans prendre de précaution, il me buta le cul avec force, sa queue bien longue alla me titiller le fond de ma chatte, c’était trop bon… Il fit des allers et retours qui n’en finissaient pas, c’était de plus en plus délicieux, et j’avais envie de jouir. Laurence fit sucer son gode à Nathalie et lui engouffra dans sa chatte. Chacun de notre côté nous prenions plaisir, Laurence en belle femme dominatrice avait pris possession de Nathalie qui était aux anges… 
Au bout de quelques minutes on échangeait les partenaires, Edouard prit en levrette Nathalie, et Laurence vint me faire sucer son gode-ceinture tout trempé du liquide bien chaud de Nathalie et me pénétra. Laurence me prit dans différentes positions, elle le faisait bien, c’était excellent… 

00.jpgJ’étais exténué, Laurence et Edouard m’avais usé, j’avais la chatte en feu, envie de jouir, mais je devais attendre, ce n’est pas moi qui décidait... Les deux femmes avachies sur le canapé fatigué également regardaient Edouard toujours affairé sur mon cul « Allez Daniela fais moi jouir Edouard, attention, fais ça bien ! ». Edouard, s’arrêta, enleva son préservatif et m’engouffra sa bonne grosse bite bien, bien chaude. Je n’eus pas à faire beaucoup d’efforts pour le faire jouir, mais je m’appliquais, je faisais de longs allers et retours assez lents jusqu’à qu’il finisse par jouir, il me plaqua ma tête contre lui et il jouit au fond de ma gorge, je du avaler directement, je le pompais enfin jusqu’à la dernière goutte. Je m’écroulai sur le sol, vanné des efforts fournis.

Sans un mot les invités de Laurence se rhabillèrent et se dirigèrent vers la porte d’entrée « On se revoit samedi ? » fit Laurence en se rhabillant également à Nathalie « Oui, tout à fait, j’espère que ce sera aussi bien que cet après-midi ! Merci encore » Edouard ajouta « En tout cas, Daniela est bien bonne, tu pourras l’inviter de nouveau ! » « Oui c’est vrai, elle me plait bien celle-là, endurante en plus, on va pouvoir faire des trucs sympas je pense ! » Ils se saluèrent et sortirent de la maison. 

Je me retrouvais de nouveau seul avec Laurence, en train de me dévêtir, et de me remettre de mes émotions « Viens Daniel, je vais te démaquiller ». Je lui raconta mes diverses expériences avec des dominatrices et dominateurs, elle m’écoutait avec attention, et avait envie de me connaître un peu plus « Daniel, tu m’as bien obéis, tu as été parfait, j’ai vu que cela t’a plut aussi ! Je te rappellerai surement une prochaine fois, il faudra que tu m’obéisses comme tu l’as fais ici, mais ce sera peut-être plus dure, hein, mais je pense que tu y arriveras ». J’étais en phase avec elle, je ne la contredisais pas, « Prends tes affaires et files ! ».

 

 

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Vendredi 2 avril 5 02 /04 /Avr 04:55

C’était la fin de l’hiver, les beaux jours commencèrent à pointer le bout de leurs nez. Je pouvais donc me découvrir pour aller voir mon Maître.  Il était 18 heures, j’avais rendez-vous avec lui sur un parking de la ville encore bien fréquentée à cette heure là.

Quel plan m’avait concocté mon cher Maître ? Il était encore trop tôt dans la soirée pour faire une exhibe sur ce parking, allait-il m’emmener dans un lieu bien à lui, qui allais-je rencontrer…  J’aimais cette situation, attendre qu’il se manifeste pour me donner un ordre, j’étais, comme toujours, mort de trouille à ne pas savoir ce qu’il allait se passer pour moi, mais l’excitation était telle de lui appartenir, de lui faire confiance, de faire tout ce qu’il désire dépassait cette peur.
Je devais être prête à toute éventualité, être belle, aguichante, sexy, salope et chienne. Je l’étais au plus profondément de moi, en femme, belle et attirante, avide de sexe pour hommes en rut.
J’étais à l’heure au rendez-vous, je cherchais en vain son auto sur le parking, je me garais et attendais.
Mon portable sonna, c’était lui… « Bonjour ma salope, j’espère que tu es en forme aujourd’hui, tu vas descendre de l’auto, te diriger jusqu’à l’hôtel en bas de la rue, tu demandes la clé de la chambre de Mr A. et tu montes » Il raccrocha…
Je m’exécutai rapidement avec une certaine appréhension, certes il commença à faire nuit, mais dans cette rue marchande il y avait encore du monde et l’hôtel était à 50 mètres d’où j’étais garé. Je sortis de l’auto, referma la porte, tira un peu sur ma jupe courte, on devinait mes bas, et je marchai en direction de l’hôtel. Mes escarpins frappaient  les pavés, quelques hommes se retournaient à mon passage devant eux, cela m’excitait, un couple ralentit à ma vue, me dévisageait et se retournèrent tous les deux en me croisant. J’appréciai marcher ainsi vêtue et me faire mater de la sorte, c’est excitant de se faire remarquer en tant que femme.


1806843868_B973646128Z.1_20140925104059_000_GEI36AJE6.1-0.jpgJ’arrivais à l’hôtel, attendais avec appréhension une personne pour me donner la clé. Une belle femme arriva de la salle arrière, me salua « Bonsoir Mademoiselle, vous désirez ? » Je pris mon air féminin et lui demanda la clé, ce qu’elle fit, je la remerciais.
Je montais les escaliers de l’hôtel pour aller à la chambre, enjamber chacune des marches de l’escalier avec une jupe et des talons, un vrai bonheur ! Je cherchai à l’étage le numéro désiré, ouvra la porte avec la clé et rentra dans la chambre. C’était une belle chambre confortable avec un grand lit, un bureau, une télévision et une table de nuit ou était posé un petit courrier. Je me jeta dessus, pensant avec certitude qu’il m’était adressé.
« Ma petite pute,  j’espère que tu t’ais bien préparé à me satisfaire ? Tout d’abord, tu vas ouvrir les rideaux de la chambre, les vis-à-vis pourront te mater. Ensuite, tu vas prendre dans le tiroir de la table de nuit, les quelques ustensiles que tu vas te servir en attendant que quelqu’un vienne te rejoindre. Prend la laisse et accroche la au mousqueton de ton collier de chienne, mets-toi le baillon-boule en serrant bien fort pour qu’aucun son ne puisse sortir de ta bouche, mets les bracelets en cuir à tes chevilles, attaches-les ensemble, mets-toi à genoux, bandes-toi les yeux avec la paire de collants, attention ! Prends garde à toi,  tu ne dois rien voir, j’arriverai à le savoir ! Accroches-toi la paire de menottes à tes poignets prends la cravache et tiens-là dans tes mains. Tu devras avoir une posture de soumise. » Je relis cette lettre avec attention afin de ne rater aucun passage, mon Maître aimais le respect des consignes, je m’exécuta, ça me plaisait bien… Les bracelets cuirs étaient reliés entre eux par une chaine quarante centimètres environ,  seulement au moment de me mettre la deuxième paire de menottes, je m’aperçus qu’il n’y avait pas de clés pour me libérer. J’ai un peu flippé, de plus n’importe qui pouvait me voir par la fenêtre ou rentré par la porte, j’étais à la merci de n’importe qui,  sans pouvoir faire quoi que ce soit, les yeux bandés, attaché, mais j’avais confiance en mon Maître. Cela m’excitait de savoir qu’il me faisait faire cela, j’étais impatient, mais allait-il venir seul, ou avec plusieurs personnes ? J’attendais patiemment sans bouger, j’entendis quelques va-et vient, des talons sur le sol, des rires, je pensais à ce couple croisé dans la rue, je les aurais bien vu, rentré dans ma chambre, me découvrant soumise à leur pieds.
Cela devait bien faire une demi-heure que j’attendais sans bouger, attendant avec appréhension que quelqu’un ouvre cette porte et entre dans la chambre d’un coup.
Quelques pas d’homme, d’une allure lente, mais ferme et décidé se firent de plus en plus pressant de ma chambre. Les pas s’arrêtèrent, la porte s’ouvrit, la personne rentra et referma derrière elle. J’étais morte de trouille, je n’osais bouger et attendais en chienne soumise que la personne me dise quelque chose. Elle ne semblait pas surpris de me voir dans cette posture,  elle ne parlait pas, je ne pouvais rien dire. Elle me prit la cravache des mains, me fit remonter le menton, je me redressais aussitôt, montrant mon obéissance et elle me tourna autour pour me regarder tout en me donnant des petits coups de cravaches sur les fesses et sur les seins. C’est une belle sensation de se sentir appartenir à la personne qui  se trouve devant vous, prisonnier de mes liens que j’étais.
Je ne voyais toujours pas qui était cette personne mais son comportement me faisait croire qu’il s’agissait bien de mon Maître. Cela me rassura et m’excitai de plus belle. Il s’arrêta, prit la laisse et m’aida à me relever, cela me faisait du bien d’avoir une nouvelle posture. Il me demanda d’écarter un maximum mes pieds, je reconnu la voix de mon Maître, j’écartai au maximum mes pieds, il commençait à me tâter les fesses et me donna quelques coups de cravaches. Cela me chauffait toutes les fesses, je devais avoir le fessier entièrement rougi. Il commença l’inspection de ma chatte, histoire de me dilater un peu «  Je veux que tu sois bien chaude ma salope, je veux que tu assures ». Il m’engouffra un plug assez important « Tu vas garder ça au chaud un moment ». Il me détacha un bras, pour me le rattacher de suite avec l’autre dans le dos. Il continua son inspection, me regarda, me toucha, m’excita. Il me félicita pour ma tenue, mon gout pour la couleur de mes bas qui m’allait à ravir sur mes jambes, mes talons qui me donnait de la grandeur et confirmait mon statut de salope. Il me tâtait les couilles, me branlait pour me faire grossir mon sexe déjà bien important, il prit le tout à la base en allongeant le tout vers le haut, une fois le tout bien en main et bien étiré, il fit le tour avec une corde de nylon, serra un peu et fit en nœud à la base, il me passa cette corde entre les cuisses, puis dans la fente de mes fesses pour me le l’attacher à mes poignets. J’étais contraint de bander, la corde m’enfonçait de plus belle mon plug, mon Maître me fouettai les fesses, j’étais en feu, excitée comme jamais, immobilisé…  J’aurai aimé supplier mon Maître d’arrêter, je n’en pouvais plus, il se calma un peu, j’avais trop envie de jouir… Il me laissa souffler un peu, je respirais, il me fit remettre à genoux et m’enleva le bâillon boule, j’eu à peine le temps de détendre ma mâchoire, qu’il m’engouffra son sexe bien dur dans ma bouche, ce fut un vrai plaisir de sucer son sexe bien dur, un soulagement qui me fit oublier mes fesses rougies par les coups de fouets, je le pompai jusqu’au bout avec délicatesse, le remerciant par là de cette offrande, je sentit la jouissance monter et mon Maître me gicla son jus au fond de ma gorge, je ne m’arrêta point de le pomper, je le sentit aux anges.
J’étais heureux de penser que mon Maître ait pris son pied, je restai planté  là, sur ma faim, avec une sacré envie de jouir également. Il n’en était rien, mon Maître se rhabilla et sans perdre du temps, me remis le bâillon boule, m’aida à me relever et me conduis vers la porte de la chambre.
Que se passait-il ? À peine le temps de me remettre de mes émotions que je me pose de nouveau cette question, que va-t-il faire de moi, à présent… ? Il préparait quelque chose, mais quoi…, c’était la grande inconnue, seule dans un hôtel, avec mon Maître…
Je marchais difficilement, tiré par la laisse de mon Maître, les yeux bandés, la bouche bâillonnée, les mains attachés dans le dos et le sexe en érection attaché aussi, qui se tendait à chacun de mes pas.
Il ouvrit la porte de la chambre, je marchais dans les couloirs de l’étage, il me fit monter les escaliers. La chaine m’empêchait de faire de grands pas et j’arrivai tant bien que mal à monter les escaliers avec cet énorme plug dans mon cul. Je montai comme cela deux étages pour me retrouver, j’imagine, au grenier de l’hôtel, il ouvrit une porte, me fit rentrer dans une pièce fermée à clé par une chaine, il me semblait être une sorte de cave mais dans un grenier. Il n’y avait pas beaucoup de lumière, avec mon bandeau, il faisait vraiment noir. Il me positionna comme il le souhaita en m’écartant les jambes pour me les attacher, une chaine à chaque pied qu’il prit au sol. J’entendis le clic d’un cadenas puis d’un autre… il me détacha mes mains pour me les attacher cette fois-ci à deux chaines qui pendaient d’une poutre. J’étais en position de croix, les membres tendus, totalement immobilisée, il prit soin de me rattacher aussi les couilles en tirant cette fois-ci vers le haut, je ne pouvais que me déhancher afin de m’exciter un peu la chatte. Mon Maître m’aida en jouant un peu avec le plug, « Tu vas rester bien sagement ici en attendant que je revienne te chercher ».Je gémissais, il sortit en fermant la chaine de la porte à clé, j’aimais être immobilisé de la sorte, c’était très excitant, mais j’avoue que cette fois-ci, je ne faisais pas le fier…
Je resta ici bien trente minutes qui me parurent interminables, je m’efforçais de garder mon érection en me déhanchant, j’écoutais le moindre bruit, espérant que mon Maître vienne me libérer. Quand il revenu, j’étais soulagé, j’avais envie qu’il me libère, envie de me détendre, de le voir et de le remercier, il n’en fut rien, sans un mot, il me détacha de mes liens en prenant bien soin à chaque fois de me rattacher de suite, me contraignant immédiatement, je devais rester prisonnier, son prisonnier.
Je dus redescendre les escaliers difficilement, un peu fatigué par  le temps déjà passé debout. L’excitation revint rapidement quand je sentis de nouveau mon plug et mes liens me tirant les membres. La fatigue aidant, j’en avais oublié mon statut de femme chienne et salope de mon Maître. Je devais le satisfaire de nouveau à tout prix et je savais qu’il me testait, voulait voir si je tiendrai le coup. Je me redressais fièrement et le suivit comme je le pouvais.
Il me fit de nouveau rentré dans la chambre, il n’y avait personne, je stoppai au milieu de la pièce en attendant ses directives.  Après m’avoir observer quelque peu sous tous les angles, il vint vers moi, et me baissa le torse afin que je me plie en deux, je butta la tête sur une table, je posa ma joue, les bras attaché dans le dos, je du écarter les jambes, j’imaginai le sort qui m’était réservé. Il m’enleva le plug, j’étais fortement dilaté,  cela plut à mon Maître « Tu mouilles ma salope, j’aime ça, t’es bonne là ». Il ne perdu pas de temps pour m’enfiler son sexe dans ma chatte, d’un coup, il vint buter contre mes fesses. C’était trop bon, je gémissais de plaisir, mes couilles venaient taper contre le bord de la table à chacun de ses coup de butoir qu’il me donnait. Il se donnait vraiment, il allait profondément en me tirant sur la laisse, m’obligeant à relever la tête, je gémissais de douleur et de plaisir.


Escort-girl.jpgIl s’en donnait à cœur joie, et cela dura de longues minutes, j’étais exténué. Il se retira au moment de jouir, détacha rapidement mon bâillon boule, je pris son sexe en bouche, il me serra la tête contre son sexe, il était au fond ma gorge, et il se décharga, je dus déglutir et avaler immédiatement sa semence. Je sentis mon Maître prendre encore une fois beaucoup de plaisir à me baiser, j’étais heureux pour lui, frustrée de ne pas jouir…
Après quelques minutes de silence, son téléphone sonna, il répondit « Oui vous pouvez monter, elle est bien chaude ! », j’allais repasser à la casserole… En raccrochant, il s’adressa à moi, « Daniela, tu vas me faire le plaisir d’honorer ces personnes qui vont monter, tu vas leur donner du plaisir salle pute, n’est-ce pas ? » Exténué, j’acquiesçai d’un signe de la tête, je savais qu’il fallait que j’assure encore une fois, je ne devais pas décevoir ces personnes, mon Maître ne le supporterait pas, et je saurai puni. Je sais que cela ne serai pas facile, après plus de deux heures de soumission totale, complètement contrainte, j’étais fatigué, la chatte en feu, toujours l’envie de jouir en moi, je me disais que si je jouissais je pourrai enfin me reposer, mais ce n’était pas du tout mon rôle, j’étais une pute et je devais satisfaire les désirs de ces hommes.
Des pas dans le couloir, la porte s’ouvrit et quelques personnes rentraient. Mon Maître les accueila, « Cette chienne est à vous, profitez-en, elle devrait vous plaire ! N’est-ce pas sale pute ? Si ces Messieurs ne sont pas satisfaits, tu le paieras ! ».
J’entendis les hommes se dévêtirent, un par un, ils devaient être trois, je pense…  Mon Maître me tira par la laisse pour m’agenouiller. Le premier de suite me mit son sexe déjà bien excité dans ma bouche qui était encore toute baveuse du sperme de mon Maître. Cela m’aida pour le sucer aisément, je sentais des mains me tâter les fesses, d’autres mains me trifouillant la chatte bien chaude et dilatée, Ils semblaient être contents de moi, j’étais chaude, préparée à point par mon Maître, ils allaient se faire plaisirs les coquins. Je dus les sucer un par un, tout en prenant par derrière, j’étais leurs chienne, cela m’usait, mais j’y mettais de la volonté, mon Maître m’observait, et me mettait quelques coups de cravaches quand mon intensité baissait. Cela dura un temps interminable, avant que qu’ils jouissent chacun leur tour sur mon visage et dans ma bouche.
J’étais cuite ! Extenuée, je posa ma tête sur le sol, les fesses en l’air toujours, j’eu l’impression de tomber dans le coma, j’étais ailleurs, dans un autre monde, je n’entendais plus rien, j’étais vidée…
J’entendis vaguement la porte s’ouvrir et se refermer, les personnes repartirent en prenant soin de féliciter mon Maître pour ce bon moment passé. Mon Maître me détacha les poignets tout en me disant « Tu progresses sale chienne ! ». Il prit la porte et me laissa seule… Je me laissai aller sur le sol, souillée, mal partout, mais heureuse d’avoir passé ce moment sous les ordres de mon Maître.

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Samedi 20 mars 6 20 /03 /Mars 03:25

Je me préparai, mon Maître voulait me sortir… Venant de sa bouche, le mot sortir avait différentes significations,  il aimait me donner rendez-vous dans un lieu discret, on se baladait un peu, il me regardait  et il profitait de moi, je le suçais et il me prenait. Il jouissait, j’étais heureuse de le satisfaire.

Ce soir là nous avions rendez-vous sur le parking habituel et discret. Comme à mon habitude, j’avais pris soin de me faire belle. Petite robe de soie courte bien entendue, bas sur guêpière et talons hauts.
J’arrivais sur le parking à 19 heures, la nuit était tombée déjà, je vis son auto me faire des appels de phares, je  le rejoignais et nous partons pour un lieu inconnu pour moi.  Nous avons roulé environ dix minutes en direction de la montagne. Il y avait une église toute éclairée, nous faisons demi-tour devant pour redescendre plus bas vers un parking assez sombre. Il y avait des voitures garées un peu partout mais isolées les unes des autres. L’endroit était calme mais trompeur !
Mon Maître se gara, descendis, et me fit descendre. Il se posta devant moi, m’observa de haut en bas pour vérifier ma tenue, j’avais l’air de lui plaire…  Il me toucha les fesses, me mis la main au minou, j’étais déjà très excitée ! Il accrocha sa laisse à mon collier en me chuchotant à l’oreille «  ce soir je vais t’offrir, j’espère que tu assureras ? » j’acquiesçais d’un timide « oui Maître » car j’étais très surprise, je ne m’attendais pas à cela. Je savais que mon Maître avait follement envie de m’offrir mais je ne pensais pas que cela viendrait si tôt. Je ne m’étais pas préparée à cela, mais j’aime quand mon Maître nous trouve des nouvelles idées de rencontres, et je sais qu’elles sont toujours excellentes ! Il devait me sentir prête, je lui faisais confiance.
Il m’ordonnais de le suivre, nous marchions quelques mètres et il me fis signe de m’arrêter,  je stoppais sur l’emplacement de parking entre deux voitures, mon  Maître m’ordonna de me mettre à genoux, mains au sol, il souleva ma jupe, et me caressa les fesses. Il sorti sa cravache et me donna quelques coups « je veux que tu sois excitée, chaude, très chaude ». Mes fesses commencèrent à rougir, Mon Maître me masturba pour voir mon état, je sentais la douleur de mes fesses, aussi je mouillais terriblement. Au bout de cinq minutes j’entendais des pas s’approcher de nous. Il y avait plusieurs personnes, deux ou trois, il faisait sombre, je ne voyais pas grand-chose à genoux que j’étais encore.
Mon Maître me releva en tirant sur la laisse, « voilà chienne, tu vois ces hommes, tu vas les vider, ok ? ». Je fis signe oui de la tête, impressionnée que j’étais de voir ces trois personnes postés devant moi. Ils s’approchèrent ensemble vers moi, m’entourant, me tournant autour, à m’observer à la lueur de quelques phares de voitures allumés au loin. Ils commencèrent à me toucher, j’en eus les frissons, j’avais peur, trois inconnus d’un coup comme ça… Ils me pelotèrent le corps entier, me caressant, les jambes, me massant les fesses bien fermes et rougies par mon Maître, l’un d’eux s’arrêta sur ma chatte, me masturba. Il vut que j’étais chaude, cela l’excita et commença par défaire son pantalon. Machinalement, je jetais un œil en direction de mon Maître,  il me fit un signe de la tête, je compris son autorisation d’être entreprenante et j’aidais le premier homme  à se dévêtir. Il sorta son sexe de son slip, et me prit par le cou pour me pencher en avant « suce salope, à fond ». Je mis son sexe déjà bien dur dans ma bouche, humm c’était top bon. Pendant ce temps là les deux autres hommes me soulevèrent ma robe pour observer mes fesses « Votre chienne à un beau cul, belle trouvaille ! ».
Ils me tâtaient les fesses, me masturbaient, c’était très agréable, j’étais dans une position inconfortable, je me mis donc accroupi et ensuite à genoux. Je continuais à sucer vivement le premier homme, les deux autres commencèrent à se dévêtir aussi. Ils s’approchèrent de moi, un à ma gauche l’autre à ma droite en me présentant leur belle queue, qu’ils avaient sorti en commençant à se masturber. Je les aidais, j'en pris une dans chaque main, tout en suçant mon premier homme.

Mon Maître observait la scène face à moi, je levais de temps à autre les yeux en sa direction, il semblait satisfait de mes actes et m’encourageait d’un signe de la tête. Je me concentrais à ce que je faisais, en prenant beaucoup de plaisir, c’était très bon de satisfaire plusieurs hommes devant mon Maître.
scenar3.jpgJe continuais donc de sucer mon premier homme quand il se retira pour laisser sa place à l’homme de ma droite, j’eus juste le temps de tourner la tête, j’avais les trois bites à quelques centimètres de mon visage, il était facile pour moi de changer d’un homme à un autre. Je n’avais pas le temps de reprendre mon souffle, les trois hommes m’en empêchaient en me prenant par la tête. Ils étaient très chauds, et avaient trop envie de jouir rapidement. C’était pas pour me déplaire car sucer trois bites à la suite sans s’endormir dessus car mon Maître me regardait d’une part et les hommes, eux n’avaient que faire de mon exténuation, ils voulaient se vider les couilles avec une belle femme comme moi !
Mon Maître intervint « allez chienne Daniela, tu vas me vider leurs couilles, sans en perdre une goutte ». Je redoublais d’efforts pour que le premier homme arrive à jouir, je sentais qu’il venait, l’autre me pris la tête pour que je le suce, à chaque moment ou je pensais que l’homme allait jouir, l’autre me coupait dans son élan. Je décidais de garder bien en bouche cette queue en m’aidant de la main pour le masturber, je sentis alors quelques gémissements arriver et il jouit dans ma bouche, c’était trop bon, je me délectais de son jus, mais cela eu pour effet d’exciter encore plus les deux autres qui me sollicitaient de plus belle. Je dus avaler leurs foutres dans un court laps de temps à la chaîne, revenant sur le premier qui se branlait encore, je nettoyais chaque homme de leurs dernières gouttes, ils semblaient satisfaits, se rhabillèrent, saluèrent mon Maître « Merci, votre chienne a assuré, vous la féliciterez ».

Je restais planté là quelques minutes, en m’essuyant le tour de ma bouche et en attendant les ordres de mon Maître « C’est bien ma salope, tu apprends vite, je veux que tu fasses encore mieux la prochaine fois ».  J’étais contente, heureuse que mon Maître soit satisfait,  qu’il ai pris du plaisir en me voyant offerte de la sorte. Cela m’a plu aussi, j’ai déjà l’appréhension d’une prochaine rencontre. Je devrai faire encore mieux…

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Jeudi 18 mars 4 18 /03 /Mars 03:19

Je venais de recevoir quelques nouveaux habits.
J’étais très excitée à l’idée d’enfiler tout ça.
Mon Maître m’avait demandé de me procurer une nouvelle jupe, il la voulait courte, très courte. Afin de le satisfaire, j’avais passé une commande et j’avais trouvé une jupe en cuir très courte, du même coup une superbe paire de bottines à talons hauts et une paire de bas.

J’ai de suite signalé à mon Maître l’arrivage de mon colis, très excitée de les enfiler rapidement pour lui. Il m’ordonna de me tenir prête à sortir avec. J’attendais avec impatience ses ordres et sursauta à chaque sonnerie de mon portable espérant son message.

C’était mercredi, le téléphone sonna à midi, c’était lui, je devrais être au parking de l’aire d’autoroute à 19 heures, il m’avait communiqué le lieu quelques jours auparavant, mon sac était prêt, je rentrais à la maison à 18 heures le récupérer pour aller illico sur la zone dite. J’étais nerveuse, excitée de sortir en femme, mais anxieuse de la rencontre que j’allais avoir.

Comme à son habitude, mon Maître ne me donna aucune information quant à la nature de la rencontre, je connaissais le lieu certes, mais pas du tout qui j’allais rencontrer, le nombre de personnes et le type de rencontre.

Je me garais sur le parking précédent de notre lieu de rendez-vous, je m’habillais de ma jupe, de bas et de mes bottines. Je mis un haut en satin et enfila mon blouson court. Je n’oublia pas de mettre ma perruque et mon collier de chienne que mon Maître m’avait offert. Il m’avait fait graver "Daniela, chienne de Maître A", sur la plaque pour me le confier, je devais l’avoir pour chacune de nos rencontres, lui avait la laisse.
Je reprenais la route sans avoir oublié de bien vérifier ma tenue. Mon Maître tenait à ce que j’assure, que je fasse femme, être crédible.

Je me gara sur le lieu convenu, la nuit commença à tomber, il y avait quelques voitures et quelques aller et venue sur le parking. Je restais planté là quelques longues minutes, en attendant un signe de la part de mon Maître.
Il avait l’habitude de se garer assez loin de moi, de me faire des appels de phares, c’était le signal pour que je me déplace jusqu’à sa voiture. Je cherchais désespérément son auto, mais ne la vit point quant mon portable sonna, c’était lui, je répondis hâtivement, il m’ordonna de sortir de l’auto, de marcher le long du trottoir et d’attendre que quelqu’un m’accoste.

J’étais surprise, je ne m’attendais pas à ça, il n’était pas là ; je devais quand même sortir vêtue en look très pute et attendre que quelqu’un vienne me voir.
Est-ce que se sera lui ou une autre personne, je ne le savais pas.
Moi qui était déjà nerveuse sans ça, ça me déstabilisait, j’avais peur…
Mais après avoir raccroché je me dis que connaissant mon Maître, il aurrai tout prévu et je peux lui faire confiance… J’avais aussi très envie de lui obéir et qu’il soit content et fier de mes actes. Je sortis de l’auto non sans attendre quelques instants et que l’activité du parking soit le plus calme possible, je sais que cela ne durera pas et que très vite d’autres voitures arriveront et que des personnes me verront, m’observeront…

Je fermais l’auto à clé et commençais à marcher le long des autos, ça allait, plus je marchais et plus je me sentais bien.
Je savais que je je ne pourrai pas retourner dans la voiture rapidement, elle était maintenant trop loin, je devais donc assurer mes actes, être habillée en femme provocante, paraitre le plus crédible possible afin d’être remarqué le moins possible.
Je savais que ce n’étais pas facile pour moi, je devais penser à mon allure, ma posture, ma façon de marcher, la manière de porter mes habits et me déplacer en attendant que quelque chose se passe. Je pensais donc à tout ça en même temps et cela m’aide beaucoup à me sentir à l’aise, car au fond de moi, c’est ce que j’aime, surtout quand j’entendis quelques voitures passer non loin de moi, elles ralentissaient, je sentais le regard de personnes, c'était très excitant, mon Maître était-il en train de m’observer, je l’espérais, ça m’excitait !


pute7.jpg

Je dûs attendre un quart d’heure quand une auto s’arrêta à ma hauteur, je m’arrêtais quand je vus que la fenêtre s’ouvrit.
J’étais impressionnée, qu’allait-il se passer ?
C’était un homme assez âgé qui me dit "vous devez avoir froid vêtue de la sorte, vous devriez venir vous réchauffez dans mon auto".
Je ne sus quoi dire, je restais sans voix, il me regardait, souriant, attendait une parole de ma part, je n’en eu point, il ouvrit la portière et me fit signe de monter.
J’hésita, en pensant quelques instants à mon Maître, il aimerait que je monte avec un inconnu, je saisis la poignée ouvrit la porte et me faufila dans l’auto. Je refermais la porte et l’homme redémarra.

Il avait environ 50 ans, belle allure, il avait l’air entreprenant. Il se gara une dizaine de mètres plus loin, je ne disais toujours rien, j’étais impressionnée, j’étais dans une voiture en femme, en tenue super court avec un homme inconnu.

Il commençait à faire sombre, uniquement un lampadaire sur ma gauche éclairait mes genoux, cela faisait briller mes bas, je distinguais un peu la dentelle du haut de mes bas, je voulus tirer un peu sur ma jupe pour cacher cela, mais l’homme mis sa main sur mes cuisses et commençait à me caresser. J’étais excitée, je bandais, je mouillais déjà.
Je le laissa faire quelque instants, ça me plaisait, je décidais à mon tour d’approcher ma main de son pantalon, Je sentis son sexe à l’étroit dans son slip, il avait l’air gros, il était très dur. Je commençais à me sentir vraiment à l’aise, pensant déjà à défaire son pantalon et à engouffrer sa bite dans ma bouche, j’en avais fortement envie.

Je fus surpris quand il prit ma main pour m’empêcher d’aller plus loin dans mes actes, "stop ! Arrêtes, on va faire ça ailleurs". il descendis de l’auto et vins m’ouvrir la porte. Je descendis, je lui obéis et le suivis, il me tenait par la taille, je marchais avec un homme l'un contre l'autre, j’étais très fière de cette situation et excitée de ce qu’il allait me faire.

On se dirigea vers les toilettes de l’aire d’autoroute, elles étaient en extérieur, il y avait de la place, il me fit entrer dans les toilettes handicapés sans dire un mot. Il rentra et referma la porte derrière lui à clé, j’étais face au mur, n’osant pas me retourner.
Il prit les choses en main, me pelotant en inspectant tout mon corps de haut en bas, il passa sa main sous ma jupe "tu n’as pas de culotte, t’es une vraie salope toi, hein ?" s’arrêtant vers mon sexe qu’il étira et le branla un peu "tu mouilles ma salope hein ?".
Je ne pus qu’acquiescer d’un signe de la tête, il m’appuya sur la tête pour me faire pencher en avant, je m’exécutais.
Il me pelota les fesses en les malaxant "t’as un beau cul de salope, tu vas voir ce qu’il va prendre".
La pression montait en moi, j’étais très excitée, lui aussi d’ailleurs, il me releva, me tourna vers lui "à genoux, chienne dépêches-toi" je m’exécutai face à lui "dégrafes mon pantalon, sors ma bite et suce là".

Il était directif, cela m’allait bien, j’aimais ça.
Je sortis sans mal son sexe de son caleçon tellement il commençait à être gros et à être à l’étroit, "dépêches-toi sale catain, mets ça en bouche et applique-toi" je me l’engouffra directement dans la bouche afin de mesurer sa taille.
Je le ressortis délicatement, suça le bout de son gland et savoura son premier jus, il mouillait grave ! c’était super bon, je saisis ses boules dans ma main et son sexe dans l’autre pour le branler quelque peu tout en le suçant langoureusement, c’était excitant, je bandais aussi, mais je me concentrais sur l’homme que je suçais pour le satisfaire du mieux que je pouvais.

Sa queue devenait énorme et super dure, je faisais des allers et venues lents et rapides au fond de ma gorge, j’avais envie qu’il jouisse et je faisais tout pour. Je le suça bien une bonne dizaine de minutes, je sentais qu’il ne jouirai pas de suite, il se retira et me retourna. Il me pencha vers l’avant, releva ma jupe, je sentis soudain son énorme sexe se frôler à mon anus.
J’avais peur de sa gosse bite, allait-il me faire mal, il prit un préservatif de sa poche, se l’enfila et m’enfila tout dans le cul. Il me prit avec délicatesse, rentrant dans mon cul lentement mais surement, en deux ou trois fois, il était rentré dans mon corps des deux tiers de sa bite, c’était bon, elle était grosse, mais bonne.
Je m'accrocha au lavabo, les bras écartés comme les cuisses.

Il commença à faire quelques allers et venues de courtes distances afin de bien faire le passage, il rentrait son sexe de plus en plus loin, cela me faisait trop du bien même si j’avais conscience de l’énormité de la chose.
Il me tenait les hanches et me donnais des coups de butoirs pour aller le plus loin possible, je sentais maintenant ses bourses cognés contre mes fesses, il avait atteind son rythme de croisière, il me pilonnait le cul, il prenait du plaisir et par la même m’en donnait également « tu aimes ça, hein salope ? », je gémissais de plaisir.

Je me regardais en femme, véritable putain, en train de me donner à un homme, inconnu de surcroit, qui me prenait par derrière dans les toilettes publiques d’une aire d’autoroute.
J’éprouvais beaucoup de plaisir et l’homme avait l’air aussi de se régaler, il s’arrêtais de me prendre, tout en me relevant et en me retournant, il me dit "tu vas me pomper jusqu’à la dernière goutte".
Je lui enleva le préservatif pour m’enfiler sa grosse bite bien chaude dans ma bouche, il était prêt à jouir, je voulais qu’il jouisse, qu’il m’inonde, je voulais qu’il le fasse dans ma bouche, je n’ai pas eu à attendre très longtemps, je sentais que ça venait de loin, cela arrivait avec une telle pression que son foutre alla directement au fond de ma gorge, je déglutissais une première fois et m’empressa de le pomper à fond et aspirer jusqu’à la dernière goutte, je me régalais de son foutre.

Son sexe était maintenant propre, il semblait très satisfait du plaisir que je lui avait donné, il se rhabilla, me remercia, "à la prochaine fois salope…"
il sorta rapidement en me saluant.
Je restais quelques minutes, bouche bé, savourant le plaisir donné, j’aurai aimé sortir en même temps que lui, mais jétais exténuée.

Je sortis discrètement pour retourner à mon auto, j’étais fière sur mes talons, en femme et surtout d’avoir fait la pute pour un homme.
Le téléphone sonna, c’était mon Maître, "c’est bien ma salope t’as bien assuré, je suis fière de toi, la prochaine fois, tu assureras pour plusieurs hommes …"
Il raccrocha.

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Samedi 13 mars 6 13 /03 /Mars 05:03

Nous avions rendez-vous chez vous, je devais me garer dans la cour, attendre les instructions.

J'attendais angoissée, ne sachant qui j'allais rencontré et qu'allais-je subir...

Une chose était sure, je suivais à la lettre les consignes de mon Maître, j'avais une totale confiance en lui, je ferai ce qu'il me demandera, je lui appartiens, je suis sa pute.

Je le vis sortir de la maison, il rentre dans la voiture, côté passager, me salue, regarde ma tenue, vérifie si elle correspond à ce qu'il m'a demandé. Il plonge la main le long de mes jambes vêtues de bas, jusqu'à mes chaussures, vérifie la hauteur des talons, ils devaient faire 12 cm minimum et remonte le long de mes bas jusqu'à mon sexe. Il me tâte un peu, je bande déjà, puis il vérifie que je n'ai pas de culotte et que je suis bien épilée de près, il semble ravi. Il repasse sa main par dessus ma jupe en cuir, la redescend quelque peu, ne laissant apparaître que le bord de mes bas pour ensuite ouvrir légèrement ma petite veste en cuir pour apercevoir le corset vinyle qu'il m'avait imposé, cela me donnait une belle taille cambré, mettant bien en valeur mes fesses.
Il me regarda dans les yeux, je sentis son regard satisfait de ma tenue, coiffée de ma perruque brune et maquillée au look pute, je lui plaisais. Il sortit de sa poche une laisse en maillon de chaine métalique qu'il m'accrocha à l'anneau du collier de cuir que je portais pour lui.
Il me dit « très bien, maintenant, je vais te bander les yeux, tu vas sortir de la voiture et je vais te guider voir nos invités ». Il sortit de sa poche un foulard noir et me le posa sur les yeux. Il séra très fort, vérifia que je ne voyais rien, j'attendis, il me demanda d'ouvrir la bouche, et m'engouffra une boule qu'il attacha derrière ma tête. Il sortit de l'auto, je le suivais quand il m'ouvrit la porte. Il prit mes poignets pour les mettre dans mon dos et me posa une paire de menottes.

Je me retrouvais dans la cour, les yeux bandés, baillonée, attachée et tenue en laisse par mon Maître, j'étais sa chienne, toute excitée que j'étais en tenue de salope !

J'entrais dans la maison, aucun bruit hormis le claquement de mes talons sur le parquet, mon Maître me demanda de stopper au milieu de la pièce principale. Avec sa laisse il me fit tourner sur moi-même, je compris qu'il m'exposait à ses convives assis sur le canapé en train de boire l'apéritif.

Je ne voyais toujours rien, j'entendis uniquement des bruits de verre et des murmures de personnes jugeant surement de ma tenue et réfléchissant ce qu'il allait bien pouvoir me demander de faire.

Après de longues minutes debout, tenant une posture bien droite et féminine, très fière devant les invités de mon Maître, il m'ordonna de me mettre à genoux au sol, le buste bien droit et la tête relevée, je m'exécuta rapidement. Mon maître m'enleva le bâillon boule et j'entendis des autres pas se diriger vers moi, des pas d'hommes, d'un air décidé, je sentis qu'il se posta devant moi, j'entendis son ceinturon qu'il était surement en train de décrocher et je sentis que c'était avec on sexe qu'il était en train de me caresser les lèvres. Je ne broncha point, l'excitation grimpait en moi et attendit l'ordre de mon Maître pour enfin ouvrir la bouche et engouffrer son sexe qui commençait à bien durcir.
J'étais aux anges, je le suçais lentement, avec délicatesse dans l'esprit de cette journée tant attendue qui commençait à merveille. Ce n'était pas le sexe mon Maître que je suçais mais celui d'un autre homme, mais je sentais sa présence non loin de moi, me dirigeant me dictant mes faits et gestes que je devais réaliser pour lui.

Après de longues aller et venue au fond de ma bouche, le rythme s'accéléra, l'homme me pris ma tête à deux mains et donna des coups en saccades d'avant en arrière. Je entis sa bite buter au fond de ma gorge et sentis qu'il allait bientôt jouir. Au moment de sa jouissance, il garda ma tête plaqué contre son corps et gicla dans ma bouche.
J'étais contrainte d'avaler son sperme, il me relâchait lentement, j'aspirais le reste de sperme qu'il pouvait rester dans sa belle queue, j'avalais et déglutit, il se retira et restais là planté au milieu de la pièce.
Je sentis que la vie normale reprenait son cours, l'homme retourna s'assoir aux côtés des autres convives, les commentaires allaient bon train, je distinguais les voix de 3 ou 4 personnes dont une ou deux femmes. Ils semblaient être excités...

soumiseJ'étais toujours à genoux, les mains liées, les yeux bandés, je me calmais un peu, l'excitation baissait d'un ton, et je savourais ces moments de plaisir que me faisait vivre mon Maître. Les talons d'une femme se firent entendre sur le sol, s'approcher de moi, je sentis sur mes lèvres d'autres lèvres, la femme de l'homme venait me féliciter pour avoir formidablement sucer son mari, elle me fourra sa langue dans ma bouche et me roula une superbe pelle. Elle se releva, fit le tour, saisit ma laisse et m'aida à me mettre debout, j'avais les jambes engourdies. Elle m'emmena dans une autre pièce de la maison, plus petite. Je sentis la pression baisser encore d'un ton, moins de regards sur moi, seule avec cette femme. Elle m'ordonna de stopper, me remis mon bâillon boule et enleva mon bandeau. Elle était la devant moi, à me fixer dans les yeux, prête à me manger toute crue. Très excitée dans sa tenue de cuir noir, je sentis une attitude de Maîtresse dans ses faits et gestes.

Elle me plaqua face contre le mur de la croix de Saint-André, m'écarta les jambes et m'attacha les chevilles avec des lanières de cuir contre la croix. Elle m'ôta les menottes pour de suite m'attacher les mains au sommet de cette croix. Cette femme avait la main ferme, comme je les aime, elle savait ce qu'elle faisait...
Elle me félicita pour mon beau cul, releva ma jupe pour tenter un toucher rectal, constatant mon niveau de dilatation, elle choisit un gode qu'elle m'enfila avec délicatesse. Elle prit un fouet accroché au mur et me fouetta quelque peu le dos et les fesses. Je murmura des mots de douleurs tant les coups étaient forts, elles m'en donna deux ou trois séries, elle semblait ravie, moi aussi et me laissa attachée là en me donnant rendez-vous plus tard...

Je resta dans cette position bien une demi-heure, laissant le soin à mon Maître et ses invités de passer à table. Au cours du repas pendant quelques heures durant chaque invité passa me voir, me caressa les fesses, me donner quelques coups de fouets, je les excitais, cela me plaisait et sembla ravir mon Maître de m'avoir offert à ses invités. J'eus droit à toutes sortes de traitements, plus ou moins durs les uns que les autres. Détachée de ma croix, jamais libre de mes mouvements, pinces sur les seins, cire sur le sexe etc... Toujours dans des positions humiliantes, dégradantes, toujours contrainte, je subissais les assauts des personnes présentes, j'étais leur pute et salope à leur disposition.

Emmenée au toilettes j'ai du lécher chaque sexe après qu'il se soit soulagé, ramasser proprement chaque goutte d'urine.

J'eus droit à une inspection en règle des invités de mon Maître avec attouchement et pelotage de toutes les parties de mon corps, afin de me préparer à la suite des réjouissances.

La suite de l'après-midi se tenait dans le salon tout dàbord, sur la table, couchée sur le dos, les jambes écartées et les bras attachés j'eus droit à être baisée par tous les trous, j'ai sucé toutes les bites présentes goulument, celle de mon Maître bien entendu. J'ai été littéralement défoncé par leurs bites bien dures, les femmes arnachées qu'elles étaient de leur gode ceinture ont eu raison de ma personne, à quatre pattes prise en levrette, j'ai du subir les assauts de mes dominantes, j'étais vidée, essoufflée, ivre de sperme avalé mais heureuse des instants que je vivais.
Être à disposition de diverses personnes, les satisfaire sous l'œil de mon Maître.

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume

Photos Aléatoires

  • Jour 4 (10)
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