Histoires

Mardi 22 mars 2 22 /03 /Mars 05:38

J’attendis en vain lundi et mardi des nouvelles de mon maitre ou du couple. J’étais déçu, mon maitre n’avais pas lu mes différents messages, et est-ce que ce couple allait toujours s’intéresser à moi.
Mercredi, je m’habillai pour sortir un peu, j’aurai aimé sucer une bonne bite. Je roda vers la Visitation, sans résultats, il était encore trop tôt. Ereintée par ma journée de travail je rentrais chez moi, frustrée…
Ce n’est que jeudi midi, que je reçu un texto de la femme du couple, comme j’étais contente de la lire !
Elle « Salut, je ne suis vraiment  pas contente de ton comportement, tu as osé me désobéir alors tu vas recevoir, mon homme est ok pour te mettre la même correction. On te tient au courant quand et ou. A bientôt. J’ai hâte… »
Moi « Bonjour Maitresse, même si j’ai l’appréhension de ce que vous allez me mettre, je suis contente d’avoir de vos nouvelles, que vous voulez toujours me voir. Croyez en ma motivation. Daniela. »
J’attendis cette soirée avec impatience, je m’étais préparé jeudi au cas où mais sans résultats. Heureusement quelque part, car j’avais une réunion à vingt heures, il m’aurai été difficile de m’éclipser pour aller faire ce plan. J’attendis le vendredi avec impatience.
Le vendredi, je me préparai pour le grand jour et être offerte à ce couple par mon Maître.
Encore une fois, je n’eu pas d’appel, et la soirée passa, je me promena un peu dans la ville recherchant je ne sais quoi, je rentrai.
Avant d’aller dormir, j’envoya un message à ce couple pour leur donner mon planning pour le lendemain au cas ou ils auraient envie de me voir. En effet le samedi, j’avais une soirée Travesties au Jet Set organisée par une amie, Cloé. Je m’étais promis d’y aller et d’y faire des rencontres. « Bonjour Maîtresse, j’ai attendu hier et aujourd’hui en vain votre message de convocation. Demain soir, je suis à votre disposition vers 18-19h, ensuite vers 22h, je vais à une soirée travestie avec des copines. Je meurs d’envie d’être à votre disposition et vous satisfaire. Daniela ».
Je n’eus pas de réponse le soir même.
Le samedi matin, je reçu la réponse que j’attendais par un appel, étant en rendez-vous, je ne pus répondre. La femme du couple me laissa ce message « Je veux que tu viennes ce soir vers 18h-18h30, je te rappelle vers 13hrs » J’avais raté cet appel mais c’était tout bon, j’allais enfin pouvoir les rencontrer ! La journée passa super vite, à 13h la femme me rappela et me donna rendez-vous pour le soir, elle m’expliqua également leur lieu d’habitation et l’itinéraire pour s’y rendre, c’était pas trop loin de Annecy. J’étais toute excitée pour cette rencontre, depuis le temps que j’attendais ce moment, concrétiser le plan organisé par mon Maître.
Je me nettoyais en profondeur, et me prépara, je décidai d’être on ne peut plus sexy. Je mis des résilles aux jambes arboré d’un porte-jarretelles en dentelles noire, je mis ma jupe extra courte satinée et mes bottes. Pour le haut, je mis un top en dentelles également, les manches suffisamment longues me permettent d’en faire également des mitaines. J’enfilai un blouson de cuir marron sans oublier mon collier de chienne en cuir. En blonde, rouge à lèvres, vernis aux ongles et bijoux, j’étais parée.
Je savais qu’elle aimait la ponctualité, j’arrivais juste sur les lieux dans ses temps impartis. Malheureusement, je pris la mauvaise route…, à 18h30, le téléphone émettait un message «  Tu cherches vraiment la fessée, t’es en retard ». Je répondis aussitôt par un appel, expliquant que je n’étais pas très loin, elle me vit par la fenêtre, je trouvai la maison.
Son mari m’accueilli à la sortie de la voiture. J’étais impressionnée, je devais sortir face à cet inconnu, je n’eus pas le temps de me regarder une dernière fois dans le miroir, je tirai un peu sur ma robe et sorti de l’auto. Je le saluai, sympathique et simple, il sut me mettre franchement à  l’aise. Je lui donnai une bouteille de champagne et je le suivis dans la maison.
Madame m’attendais dans la pièce principale, elle était ravissante, elle s’était préparée très sexy. Tout de noir vêtu, un chemisier long ouvert, laissait voir ses sous-vêtements cuir avec quelques anneaux de métal reliant les lanières. Des bas résilles avec de superbes bottes très montantes avec de beaux talons. Le ton était donné, j’étais dans mon univers ! Sa belle coiffure gonflante faisait la parfaite Maîtresse rêvée, féline,  il ne lui manquait que le fouet entre les mains !
Je complimentais la femme sur sa tenue, nous nous assirent autour d’une table pour boire un verre, Monsieur ouvrit une bouteille de champagne et Madame apporta des feuilletés sortis tout chaud du four.
Quel accueil ! J’en étais gêné que l’on m’accueille de la sorte, que l’on m’accorde autant d’importance, à chaque sortie ou à chaque rencontre, je faisais des efforts pour plaire, être présentable, être sexy, certes mais je ne pensais pas que je plairai comme ceci et être attendu de cette manière. Fidèle à mes principes, je devais donc assurer les attentes de mon Maître de satisfaire ce couple. Ce couple me plaisait trop et ferai tout pour qu’ils soient contents de moi. Ne sachant pas trop de leurs intentions envers moi, j’attendis les ordres, nous discutons de choses banales tout en buvant une coupe de champagne et en mangeant des petits fours.
Madame prit rapidement les devants, elle était chaude, elle écarta son chemisier me regarda et murmura.
« Viens me lécher ! » surpris pas le changement soudain de ton dans la conversation, je dus lui faire répéter,  j’avais bien compris, je lui obéis aussitôt, je me leva et me mis à genoux, elle écarta les cuisses et m’offrit sa chatte rasée. Je tira son string en cuir sur le côté et tout en la caressant la bouffa quelques minutes, c’était délicieux.
23.jpgPendant ce temps Monsieur la caressa aussi, ça l’excita. Sans que je m’en rende compte, Monsieur était déjà déshabillé. « Suces-le ! » me dit-elle. Je me tournai d’un quart de tour et prit sa belle bite rasée en main pour la mettre rapidement à la bouche. Pendant que je prenais beaucoup de plaisir à sucer Monsieur qui bandait déjà bien, Madame se leva et vint derrière moi pour me caresser le cul, elle prit en main mon plug et me laboura ma chatte quelques minutes. Voilà, j’y étais ! Un de mes moments privilégié de ma vie de soumise ! Sucer une belle bite et se faire labourer le cul. Dans cette position, je dus assurer quelques minutes, Madame et Monsieur prenaient chacun du plaisir avec moi et s’excitaient en  se caressant et en s’embrassant, c’était super.
J’avais chaud ! Nous nous arrêtâmes pour boire un coup et en profitions pour monter dans leur chambre à l’étage. Vaste chambre sous pente avec sur le lit quelques godes prêts à servir et une chaise balançoire accrochée à une poutre. Madame m’obligea rapidement à m’assoir dedans. Le cul bien calé, les jambes écartées bien en l’air les bottes bien calées dans les étriers, et à disposition de Madame qui recommença à me labourer la chatte avec un petit plug d’abord et ensuite avec un plus gros. Pendant ce temps, je me tenais tant bien que mal avec mes mains aux sangles pendant que Monsieur me fourrai sa queue au fond de ma gorge. Il la laissait bien au fond pour que j’en ai plein la bouche, humm, Madame, elle me fouaitait le cul en feu… chacun prenais son pied. Cela aurait pu durer des heures…
Nous changeâmes de position, Madame voulait que son homme la prenne, elle se mit à plat ventre sur la balançoire et Monsieur la prit debout à la bonne hauteur. Pendant ce temps là elle me suça avec envie. Elle engouffra mon sexe dans sa bouche, c’était très bon.
Madame m’ordonna de me mettre sur le lit, je me mis à quatre pattes au bord du lit pour être prit par Monsieur. Pendant ce temps Madame s’allongea sur le lit pour que je lui bouffe la chatte, c’était trop bon, elle était toute excitée, elle prit un gode et se le fourra en faisant de longs va e vient, je l’aidai à prendre son pied, en lui mettant un doigt puis deux doigts. Son mari continua à me prendre, je sentais sa bite su fond de moi et je prenais mon pied. Je gémissais de plaisir en faisant de petits cris. J’allais faire jouir madame « Oh putain, elle va me faire jouir, oh oui, oh oui… » son mari l’encouragea et il me pinait de plus belle.
Il s’arrêta pour venir actionner le gode dans la chatte de sa femme, je la caressai de plus belle en lui frottant son clito, elle gémissait de plaisir. Elle était superbe, elle prenait un plaisir fou, raillait de plus en plus, je la caressais, elle suçait son homme, elle allait venir. .. Elle gémit de plus en plus, m’écarta un peu et se frotta le clito quelques secondes avant de gicler. Elle inonda la couette du lit, je voulu lui lécher ce liquide sorti tout chaud de sa chatte mais elle m’écarta. Dommage, j’aurai aimé la nettoyer jusqu’à la dernière goutte. La prochaine fois, j’espère qu’elle me giclera sur mon visage. Elle était exténuée, son mari heureux de voir comment elle prit son pied et moi aux anges d’avoir satisfait Madame.

Nous redescendîmes boire un verre dans le salon, nous discutons de longues minutes de tout de rien, de choses de notre vie prive, les enfants… Monsieur ouvrit même une deuxième bouteille de champagne. Monsieur nous quitta quelques minutes pour aller prendre une douche, pendant ce temps, je restai à table avec Madame à discuter de choses et d’autres. Nous nous racontions nos expériences diverses, discussions super intéressantes, pouvoir parler librement à des personnes ayant la même passion pour le sexe et de pratiques communes, voir des fantasmes communs. Elle me confirma son envie de me dominer lors d’une prochaine rencontre « ça sera la totale, bâillon boule, menottée… et tu ne diras rien ». « Comment voulez-vous que je vous appelle, Maîtresse C. ? » je l’appellerai dorénavant Maîtresse C.  « Vous savez Maîtresse, ce que j’aimerai, c’est d’être exhibée par vous et votre homme sur un lieu public ! » « On te fera ça, t’inquiètes pas ! ».
Monsieur revint, « On r’attaque ! » lui dit-elle. Tout en me regardant elle me fit un geste de la tête et écarta les cuisses. Je me levais avec plaisir pour aller lui lécher sa belle chatte encore toute humide de nos derniers ébats. Monsieur qui avait remis son caleçon, le r’enleva et s’approcha de son épouse pour qu’elle le suce. Rapidement elle se leva pour qu’elle le prenne, je restais accroupis à lui lécher la chatte pendant que Monsieur la prenais par derrière. Elle se tenait accrochée au pilier de bois du salon, penchée en avant, tout en me suçant.  Elle rejouie de plus belle, exténuée elle se rassit…

Nous discutons encore quelques minutes, je devais bientôt partir, « Ce soir, tu vas me remettre ton petit joujou à sa place et à cette soirée je veux que tu te fasses défoncer, tu le feras pour moi, d’accord ? » J’acquiesçais ses ordres « Oui, euh …oui Maîtresse ». Je me sentais pousser des ailes, Maîtresse C. me demandait d’avoir une aventure avec un inconnu et j’étais tout content, tout content de la faire pour elle !
Avant de partir, Madame me propose de me refaire une beauté, je fût d’accord, et je lui demanda si elle avait envie de me maquiller. « Avec plaisir ! » me dit-elle. Je la suivis dans la salle de bain, face au miroir assis sur un tabouret elle me fit belle. J’étais gêné, et en même temps tellement heureuse de vivre ces moments.
Il était 21h30 quand nous nous séparions. Je les saluais en les remerciant. Je monta dans mon auto, et lu un texto que j’avais reçu vers 19heures. La femme qui devait venir en boite avec moi y alla avec une autre copine. J’y allai donc seule.
Je repensai à cette soirée magnifique, ou j’avais pris du plaisir et j’étais heureuse d’en avoir donné. Un regret peut-être, ne pas avoir fait jouir Monsieur dans ma bouche, mais l’espoir de le faire une prochaine fois avec tout plein d’autres choses…
Sur la route, je repensais à tout cela, je savais que je pouvais remercier Maître A. pour cette rencontre, j’espère qu’il sera satisfait de mes actes.
J’arrivai à la boite une heure plus tard, je reçus un sms, c’était Maîtresse C.
« Tu as été très sage, alors ce soir tout est permis. Passe une bonne soirée à bientôt bises ».
J’étais déjà contente de passer une soirée avec ce couple et ça allait continuer avec celle-ci spéciale travesties. Je passai une belle soirée, avec plein de copines, plus ou moins belles, plus ou moins sexy, mais toutes heureuses d’avoir une soirée dédiée à leur trip. Y., la femme avec qui je devais venir arriva, nous discutions un peu, elle aurai voulut faire des trucs avec moi, mais pour elle, la soirée ne s’y prêta point. Y. était une femme dominatrice, qui avait comme spécialité de prendre son pied en attachant de belles petites femelles comme moi et de les fouetter. J’attendais ce moment depuis quelques temps déjà, j’attendrai encore un peu. Un homme aussi me dragua, je pensais à Maîtresse C. qui voulait que j’aie une bite dans le cul à cette soirée mais encore une fois, très peu d’hommes ce soir, la soirée ne se présentait vraiment pas pour faires plans cul. Je rentra vers 3 heures, fatiguée mais heureuse de ma soirée.

La suite pour bientôt…

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : travesti
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Mardi 15 mars 2 15 /03 /Mars 05:16

      Janvier, mois des soldes d’hiver, je me fais une commande de fringues à La Redoute. Cela vaut vraiment le coup, une robe satinée sans manche, un top à dentelle, quelques bas, et deux paires de chaussures. J’ai la chance de pouvoir enfiler du 42, c’est une pointure ou il y a encore des modèles sympas et surtout suffisamment sexy. Je me prends une paire de bottes en stretch noir et une paire de bottines mauves assortis avec un leggins cerise j’aimerai porter une tenue flashy un jour, pour aller en boite peut-être. J’ai vraiment hâte de pouvoir sortir et essayer mes nouveaux habits.

C’est en ce mois de février, ou il commence à faire meilleur, que l’envie de sortir se fait sentir, que mon maitre reprend contact avec moi. Il me laisse un message sur le site. Il veut connaître mon calendrier, jours et horaires pour être à sa dispo. Il voudrait aussi des photos  de moi suçant des hommes et recevant leurs semences. Il a plein de projets pour moi et il aimerai me présenter à des personnes  intéressés. C’est vrai que j’attends avec impatience de rencontrer des hommes et faire des photos. Ce printemps je vais donc multiplier les rencontres afin de m’entrainer et être vraiment au point pour les plans de mon Maître.
Quelques jours plus tard, je lui écris un scénario excitant pour une rencontre en Bourgogne qu’il est en train d'organiser. J’adore écrire des scénarios ou je suis en scène, je peux faire le plan que je veux ! Ce que vous lisez là, par contre c’est du réel, c’est ce que j’ai vécu en ce début d’année 2011.
Le scénario que j’écris plait à mon Maître, j’en suis heureux, vous pouvez d’ailleurs le lire sur mon blog « Prêté à un dominateur ».
Arrive enfin une proposition de sa part, il m’a promise à un couple de la région. Ce couple débute avec un travesti. Ce plan me plait beaucoup  d’avance, je ne remercierai jamais assez mon maitre de me dégoter des plans qui me plaisent. Certes,  je dois payer de mon corps à chaque plan mais c’est que du bonheur. Pas d’autres infos concernant ce plan, en attendant une rencontre avec madame dans un premier temps. Initialement prévu mercredi, puis jeudi, c’est vendredi matin que les choses se précipitent.
Heureusement j’avais pris mes précautions ! En effet, il y a quelques temps, j’ai raté un plan car je n’avais pas affaires avec moi et je ne pouvais pas me les procurer. J’avais été déçu…, merci Maître A. de ne m’en avoir pas trop voulu…
J’avais donc mes affaires avec moi et j’étais prête à toute éventualité. Je ne voulais pas décevoir mon maitre et je voulais être disponible quand les personnes voudront me voir. J’aime honorer la confiance qu’on me porte, on ne me propose pas des plans de cette nature tous les jours, alors je mets toutes les chances de mon côté. Ce vendredi donc, je reçus un appel de mon Maître, Il voulait me voir à 12h30. Je devais être apprêtée, aller le voir et lui obéir. Sans nul doute que la suite de l’aventure avec ce couple se déciderai lors de notre entrevue. J’acquiesçai sans sourciller.
Je m’organisa pour mon boulot et je me rendis sur le lieu de rendez-vous. Il avait lieu sur un parking au bord d’une route nationale. Je n’étais pas tranquille, je devais traverser le parking dans sa longueur à une heure très fréquentée de la journée. Mon avenir avec ce couple et aussi avec mon Maître se jouait peut-être à ce moment là, je devais donc assurer…
J’avais pris soin de bien me préparer, ma tenue, ma perruque…
Plusieurs voitures étaient garées sur le parking, je reconnu celle de mon Maître, je me gara à l’autre bout sans savoir si quelqu’un d’autre m’attendait. Sans doute voulait-il m’observer être sure de ma présentation. Maître A. ne laissait rien au hasard, peut-être que le couple que je devais rencontrer  m’observerait sur ce parking.
Je pouvais sortir, tout en fermant ma voiture, je vérifiai ma tenue et me dirigea dans sa direction. Pendant toute cette traversée de parking, je regardai ma démarche, je savais que mon maitre m’observait, il voulait voir mon comportement…

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Arrivée à sa hauteur, je ne montais pas dans son auto, je me dirigeai vers la fenêtre passager, il ouvrit cette fenêtre. Après quelques salutations, il me félicita sur ma tenue, « tu as progressée depuis que je ne t’avais pas vu, c’est bien, tu vas surement leur plaire ! » Effectivement, notre première rencontre datait de deux ans, et depuis, j’ai travaillé ma démarche, et ma garde robe s’est étoffée.
« Tu vas rencontré ce couple, tu vas leur plaire, je pense. Je veux que tu leur obéisses, tu ne discutera pas ce qu’ils te diront de faire, d’accord ? » « Oui, sans problèmes, vous pouvez compter sur moi »
La conversation ne dura pas aeternam, nous discutons de diverses choses pratiques, je lui demandais si ils étaient sm, il me dit que oui surtout à regarder…, ils habitaient à côté d’Annecy, ce serai facile de se voir… « Une derniere chose, ils n’aiment pas le retard… Je leur donne ton téléphone, il t’appelleront en soirée ». La conversation se termina, « C’est ok, vas à ton auto ! ». Nous nous séparâmes. J’étais content de mon entrevue, j’en savais un peu plus, et j’avais rassuré mon Maître sur ma motivation, ma tenue et mon comportement.
Le soir venu, après une bonne douche, je me prépara pour sortir, échaudée par l’entrevue de l’après-midi, j’avais hâte de retrouver cette femme et son mari. Vers dix-huit heures, je reçu le premier texto de cette femme, s’en suit cette conversation.
Elle : « Dis moi tu fais vraiment tout ce que je te dirai de faire ? Pour nous c’est une première mais ça m’excite de savoir que tu pourrai être ma chose. Par contre mon homme il n’est pas très chaud !
Il réfléchi encore pour ce soir mais moi j’ai envie de te défoncer le cul comme on te l’a jamais défoncé et si t’as le malheur de gueuler je t’en bourre un autre dans  la bouche. Je t‘appelle dès que mon homme est rentré. »
Moi « Oui je vous obéirai et serai votre chose. J’attends vos ordres. Daniela. »
Elle « Je te défoncerai demain, je sais pas à quelle heure mon homme rentre  alors t’as intérêt d’être prête à l’heure ou je t’appelle… Prépare ton petit cul »
Moi « Bien Maîtresse. Avec plaisir pour demain. Dommage pour ce soir. Je vais garder mon gode dans le cul en pensant à vous. »
Elle « Laisses le dans ton cul jusqu’à demain. Je ne veux pas te voir sans, quand tu te pointeras demain. »
Moi « Ou Maitresse. »

Il était environ vingt heures quand la conversation se termina.
Un peu déçu par ce plan reporté, surtout que j’étais bien prête et surtout très chaude !, cette femme m’avait résolument excitée et j’avais trop envie de sexe !
Je pris l’auto et arpenta les rues de la ville en repensant à tout cela. Je montai aussi à la Visitation, j’avais le cul en feu et excitée comme une chienne en chaleur. Je pense que si j’étais tombé sur quelqu’un de bien chaud, cela aurai fait tout de suite ! Personne… la pression retomba et je rentra, un peu frustré tout de même. J’avais hâte d’être le lendemain. 
Ne sachant pas à quelle heure cette maîtresse voulait me voir, vers quatorze heures je n’avais toujours pas de nouvelles d’elle, je pris les devants en lui envoyant un texto.
« Bonjour Maitresse, je ne sais pas a quelle heure vous avez envie et si vous voulez me voir, mais ce soir, je ne suis plus dispo à partir de 17h30. Je pars sur Lyon…
Daniela »
Elle me répondu aussitôt, 
« Bonjour, j’espère que tu as passé une bonne nuit alors mettons les choses au point. Tu es ma chose, à ce soir, je ne suis pas dispo avant 20h, alors si tu ne viens pas tu seras puni la prochaine fois que je t’attrape. »
Je devais partir sur Lyon pour une soirée en famille prévue de longue date et je ne pouvais pas ne pas y aller, je lui répondis enfin 
« Je ne rentre de Lyon que très tard. Je suis conscient que je faute en ne venant pas ce soir, et j’assumerai ma punition la prochaine fois. Je saurai me rattraper pour vous satisfaire. Sincèrement 
Daniela »

Elle ne me répondit pas, je laissai passé dimanche et rendit compte à mon Maître de ce qui s’était passé. Je pensais qu’il me téléphonerai dans la journée de lundi, en espérant qu’il ai des nouvelles à me donner. Pas grave, je n’eu pas beaucoup de temps pour y penser….
Ce mardi, je suis dispo au téléphone. suite cette semaine, j’espère …

Bientôt la suite...

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : travesti
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Lundi 28 février 1 28 /02 /Fév 05:37

 

Ce jeudi, mon Maître me laisse un texto : « tel moi ». Lorsque je vois l’expéditeur de ce message, je m’empresse de l’appeler. Cela faisait longtemps que Maître A. me laissait miroiter un plan, j’attendais impatiemment  ce jour.
Je l’appelle, il me demande quelles étaient mes disponibilités, jours et horaires… il a un plan pour moi.
Maître A. a décidé de me prêté à un dominateur,  je serai à sa disposition comme il lui plaira et selon les directives de mon Maître.  Je raccroche et réfléchi à ma meilleure disponibilité pour être à disposition de ce dominateur.
J’ai l’appréhension de savoir à quel genre de dominant va-t-il me prêter, que va-t-il me faire subir, je sais que mon Maître l’aura choisi en fonction de mon profil et de ce que j’aime faire pour lui. Maître A. me réserve toujours des surprises, des bonnes surprises...
Dès le lendemain, je le rappelle pour lui dire que mon meilleur jour serai le mercredi. Je lui demande des détails sur ce dominateur.
Plutôt cérébral, il veut me voir dans une tenue de pute, m’exhiber dans des lieux publics et fréquentés, voir ce que je vaut en tant que soumise et je devrai sucer des bites. Voilà le petit résumé que Maître A. a bien voulu me dire sur ce que j’allais subir. Le reste sera de l’improvisation selon mes dispositions et selon les envies de mon Maître et du dominateur sachant que je devrai obéir, point.

Les jours suivants, mon Maître me donna plus de détails sur ce rendez-vous, important pour mon Maître, pour ce qu’il a envie de me faire subir et pour moi aussi, me faire prêter à un homme… Je rêvais de cela depuis un petit bout de temps déjà. Envie d’être à disposition d’hommes pour les sucer sous le contrôle de mon Maître. Etre obligé de faire ce qu’il me dit…
« Tu devras être apprêtée sur le parking de la sortie Annecy- Sud à 22 heures » « Tu obéiras, tu le conduiras au bord su lac, à la visitation… ».

Le mercredi arriva, je me présenta au parking de l’autoroute comme prévu. J’étais apprêtée, en tenue et maquillée.  Je sortis de l’auto à 22 heures pour me faire remarquer par l’homme qui allait s’occuper de moi toute cette soirée. Le parking était petit, éclairé et je ne savais pas ou me placer pour éviter d’être trop à la vue de tout le monde. Quelques voitures ralentirent à ma vue, je ne bronchais pas et attendait patiemment.  Je n’eus pas à attendre trop longtemps. Une voiture rentra dans le parking, se dirigea directement vers moi et stoppa à ma hauteur. La vitre passager se baissa « Montes Daniela ! ». Non sans inquiétude et avec un peu d’appréhension, j’ouvris la portière et monta à bord de l’auto.

Après avoir fait les présentations, le dominateur me posa des questions sur mes pratiques et sur ce qu’il attendait de moi. Et que je devais obéir sinon ça allait barder… je lui remis ma laisse. Il l’accrocha à mon collier. « Tu es ma chienne, maintenant ! ».  Il sortit de l’auto et me fit sortir, il me promena sur le parking afin de voir ma manière de marcher et de me conduire. Nous traversâmes le parking deux fois, aucune voiture ne vinrent à proximité, j’étais soulagée.  Il détacha ma laisse « marches seule maintenant, que je t’observe ». Je m’exécuta. « Vas plus loin, allez marches ! Montres moi comment tu tapines ! ». Je marchais de la plus naturelle des manières, mais en talons et en tenue de pute, je marcha lentement en faisant bien taper mes talons au sol. Je n’avais jamais fait ça, je ne savais pas ce qu’il attendait vraiment de moi. Je continuais de marcher de long en large autour des autos du parking, sous les yeux de mon dominant. Je revins vers lui l’air aguicheuse. Je me stoppa devant lui en baissant les yeux. Il me remis la laisse « Voilà ! C’est bien Daniela ! C’est pas encore tout à fait ça, mais je vais te dresser, je sens que tu vas y arriver, tu m’as l’air d’être une bonne salope, toi ! A genoux maintenant ! » 20.jpg Pendant que je me mis à genoux, il dégrafa son pantalon,  « Montres-moi comment tu t’occupes d’une bite maintenant ».Je lui attrapa son sexe et la sortit de son caleçon et me mis à la branler. Elle était déjà bien dure,  excitée par mon comportement de pute que je venais de lui montrer. Je la mis rapidement dans ma bouche et m’appliqua à sucer mon dominant. Il était endurant et n’était pas prêt de jouir. J’étais de plus excité et j’avais vraiment envie de le satisfaire et de le faire jouir, il m’arrêta. « Relèves-toi, tu vas m’emmener ou il y a un peu plus de monde ». Il se rhabilla, je me relevais et nous montèrent dans l’auto. « Pareil pour les pipes ma pute ! Tu devras t’appliquer mieux que ça, il faut que les hommes sentent de suite que t’es une bonne salope, tu as l’air d’aimer ça, c’est déjà ça ! » « Et puis, je te préviens, je te veux endurante ! Alors il va falloir t’entrainer, tu devras en sucer des bites » « Ou je veux t’emmener, il y aura un paquet de mecs … ». Cela avait le mérite d’être clair, je savais ce que mon dominant attendait de moi, ce n’était pas pour me déplaire, mais allais-je assurer…

« Emmènes-moi vers le lac, je vais te t’exhiber un peu ! ». Je choisi de l’emmener vers les Marquisats.

Arrivé sur place, il sorti de l’auto et me fit sortir, il devint plus directif et autoritaire, « Là, tu vas être une bonne soumise, je vais t’apprendre à me suivre comme une bonne chienne à son Maître ! » De son sac il sorti un bâillon boule qu’il me posa, bien serré « Déjà ça t’éviteras de parler, tu n’es plus maitre de tes actes, tu vas faire ce que je te demande ! » Ensuite il sorti une paire de menottes métal et m’attacha les poignets dans mon dos. « Et pour que tu te tiennes bien droite je vais t’attacher les avant-bras avec une corde ». Effectivement cela m’obligea à me redresser. Il prit son sac et nous partîmes nous promener. Je n’étais pas très fier, de me faire remarquer par le peu de passants de cette heure là mais tout de même impressionnée. J’étais heureux de ma position et me sentais en sécurité avec mon dominateur. Certes je ne faisais pas la fière, mais j’avais envie de lui obéir. Cela me rendait forte et capable de faire plein de choses…

Nous traversâmes la route nationale pour aller du côté du lac, une auto nous laissa passer, nous observa une ou deux minutes et repartit. A cette heure tardive quelques passants encore se baladaient ou rentraient chez eux. Le bord du lac était un peu éclairé et on me voyait bien, promenée en laisse par mon Maître. Il avait sorti sa cravache et de temps à autre il me tapait les fesses. Il s’arrêta à un lampadaire me détacha et m’attacha face au lampadaire. Il me plota sans retenue, il m’excitai… Il souleva ma robe sur mes hanches, sortit un fouet de son sac et me donna des coups sur les fesses. Je me cambrai droite sur mes talons, je me cramponnai au lampadaire. Je ne pu sortir aucun son de ma bouche entravée qu’elle était du bâillon. Cette petite séance dura un bon quart d’heure. Mon dominant me massa les fesses rougies et rebaissa ma robe. Il me détacha du lampadaire et nous repartîmes.
Nous marchons bien une demi-heure, nous allons jusqu’aux jardins de l’Europe, très peu éclairé, quelques personnes marchent. Mon dominateur accoste un homme, et lui demande « Elle vous plait ma salope, vous voulez quelle vous suce ? » Après deux refus, un troisième homme s’arrêta puis s’approcha de mon Maître « Elle est belle ma pute, non ? Qu’en pensez-vous ? ». L’homme répondit « Oui ! Elle a l’air bonne ! ». « Daniela mets-toi à genoux ! » m’ordonna mon Maître, je m’exécuta, il m’enleva mon bâillon et me détacha de mes liens.
Pendant ce temps là l’inconnu me plota largement les fesses et les jambes. « Tu vas me sucer cet homme et comme il faut, tu entend sale pute ? » Mon Maître avait changé de ton, il montra à l’homme qui j’étais réellement et ce qu’il attendait de moi. Je fis un signe de la tête, acquiesçant ses paroles et j’aida l’homme à sortir sa bite pour m’en occuper. L’inconnu, très excité à l’idée de se faire sucer, ne me ménageait pas, il me prit la tête pour la tirer à lui pour que sa bite aille de suite au fond de ma gorge. Il y resta quelques secondes, sa bite gonfla encore, il se retira et je commençai des allers et venues. Je m’appliqua à le sucer avec mes lèvres, je le pompai, il s’excitait, il n’allait pas tarder à jouir. Je lui suça juste le bout du gland, il vint rapidement, je serra les lèvres et lui aspira son jus qui venait par saccades. Il m’inonda la bouche en quantité de son foutre, j’avala le tout directement et lui nettoya comme il faut son gland. Il était satisfait, il se rhabilla rapidement. Mon maître me félicita « Bien ma chienne, tu as bien sucé monsieur » Et il me remit mon bâillon boule, je n’eus pas le temps de déglutir complètement, j’avais encore plein de jute dans ma bouche, ce n’était pas anodin de sa part. J’eu l’autorisation de me relever, il me remit les menottes à mes poignets attachées devant.
« Bon il n’y a pas trop de monde ici, tu vas m’emmener à la visitation. Ton Maitre a donnez rendez-vous à quelques hommes. Tu vas devoir en sucer quelques uns et t’aura intérêt de le faire bien ! ».

 il me traina par la laisse à la voiture. Je l’emmenai  à la Visitation, haut lieu des rencontres libertines…  Mon maître me parlai, je répondais par des signes de la tête, il me redisait ce qu’il attendait de moi, une totale obéissance pour faire de moi sa pute.
L’idée me plaisait, mais jusqu’ou je serai capable d’aller…
Effectivement, à la visitation il y avait toujours quelques voitures garées le long  de la route. Des hommes viennent ici pour des rendez-vous ou à l’improviste, Ils sont tous là pour se soulager ! Nous montons en auto jusqu’en haut puis redescendons en bas de la côte et mon Maître se gara. Il sorti de l’auto. Il vient m’ouvrir la porte et je sorti également.
Il faisait nuit noire,  je le suivi, il monta le long de la route en me tirant quelque peu. Il regarda dans les voitures s’il y avait quelqu’un, personne pour l’instant, nous continuons sans un mot à monter.
Ne voyant personne aux alentours, il decida de me détacher et de m’enlever le baiilon.
« Tu vas aller sous le lampadaire et tu vas attendre que quelqu’un vienne te draguer ok ! » « Oui Maître ».
Je marcha pour rejoindre le lampadaire éclairé, bien en vue, les hommes me verront mieux. Je me mis le dos contre, une jambe pliée talon contre le lampadaire, ma cuisse totalement découverte laissant apparaitre mes bas. J’étais parfaite, la pute attendant son client, j’attendais patiemment. Je n’eus pas à attendre longtemps, un homme s’approcha d’un pas décidé. Il me tourna autour, je ne bronchais pas, il se mit derrière moi, je sentis les frissons en moi, il s’approcha et commença à me toucher la taille et me caressait de haut en bas.il alla jusqu’à mes bas, il me caressa avec attention, il remonta petit à petit sa main pour atteindre mon sexe. Je bandais déjà… il me branla encore, excité de me voir chaude, il m’embrassait, je me détournais quelque peu, il me retourna et me plaqua dos contre le lampadaire. L’homme face à moi, sa tête dans ma poitrine me plotait les fesses avec fermeté. Il déboutonna  son Jean, j’engouffrai ma main dans son pantalon et dans son caleçon pour lui attraper sa bite. Je n’eus pas de mal, elle était déjà bien tendue, je la massa un peu et m’agenouilla. Je mis son sexe dans ma bouche, il était gros et je prenais trop de plaisir à le sucer. J’en avais oublié mon Maître, qui ne tardait pas accompagné de deux hommes.  Je continuai de le sucer pendant que les deux autres sous les yeux de mon dominant sortirent leur sexe de leur pantalon et s’approchèrent de moi. Je laissa tomber le sexe pour attraper un sexe dans chaque main pour les branler en même temps, sans lâcher la bite que j’avais en bouche.
L’homme que je suça, me prit la tête à deux mains pour augmenter la cadence, sa bite allait bien au fond de ma gorge, c’était trop bon, j’avais peur de vomir, je me concentrais sur mes mains  en train de branler deux belles bites dont une assez énorme !
 Les deux autres hommes semblaient impatients que je les suce, j’essayais de me retirer un peu mais l’homme que je suçai insista de plus en plus et ma tête faisait de violents allers et retours d’avant en arrière, je m’appliquais à serrer sa bite entre mes lèvres,  je n’en pouvais plus, j’essayais de m’attarder sur le bout de son gland et de le masser avec mes lèvres pour le faire venir. Il se lâcha enfin, je le laissai aller au fond de ma gorge, il y resta le temps de cracher son jus que je n’avais pas le choix d’avaler. Il se retira violemment, je repris ma respiration, l’homme à ma droite me tourna la tête face à lui et je dû mettre de suite sa bite dans ma bouche.  Pour l’avoir branlé pendant que je suçais l’autre, je m’étais aperçu qu’elle était différente,  j’avais pu mettre la précédente entière dans ma bouche, celle-ci, j’aurai plus de mal… son diamètre légèrement plus gros, c’était la longueur surtout qui était plus importante. Les premiers allers et venues se firent plus lentement, j’avais vraiment du mal, elle prenait ma bouche entière, l’homme alla également doucement.
Mon Maître me surveillait de près, « Allez salle pute prend cette bite, jusqu’au bout ! » Cela m’encouragea, je m’appliquai et accéléra les mouvements.  Quel bonheur de sentir cette grosse bite envahir ma bouche, j’avais envie qu’il me la mette ailleurs. Je provoquais cet homme en arrêtant de le sucer, je me tournais vers le troisième tout en relevant ma jupe et en relevant mes fesses, il comprit rapidement, en se mettant derrière moi. Je suçai ce troisième homme avec une bite plus raisonnable ! Pendant que le deuxième me prenait par la taille et commençait à se branler dans ma raie. Il m’écarta la ficelle de mon string et força sa bite vers mon trou.  Mon Maître lui sorti une capote qu’il enfila rapidement, pour essayer de rentrer son énorme sexe.
Je me concentrais sur la bite que je suçais, histoire de détendre mon orifice, j’en aurai besoin pour faire rentrer l’engin ! Avant cette séance, j’avais pris soin de bien me lubrifier, et j’avais fais de bonnes séances avec mon plug, ça m’aida.
Petit à petit il forçait le passage, il mit quelques minutes à arriver jusqu’au bout, je gémissais de douleur, mais quel plaisir. Il pouvait maintenant faire des vas et viens, très courts mais il venait buter contre mes fesses, c’était l’extase. Une fois qu’il était bien en rythme, je pouvais me re-concentrer sur la bite que j’avais toujours en bouche. Excitée comme j’étais, le plaisir que je prenais, je suçais avec acharnement et avec conviction, je m’aidai d’une main pour lui malaxer ses boules et le branler activement dans ma bouche. Il finit par gicler dans ma bouche, cela excita l’homme qui me prenait qui joui aussi très vite. J’avais trop envie de jouir aussi, mais les hommes se retirèrent de leur trou respectif et la pression retomba.
Ils se rhabillèrent, échangèrent quelques mots avec mon Maître, je restai à quatre pattes pour souffler un peu, exténué que j’étais. Mon Maître me prit par le bras pour me remettre debout, je me relevai. Tout en marchant en direction de l’auto, il me complimentait sur ma prestation, pensant déjà à la prochaine.
« Je téléphonerai à Maître A. pour lui raconter, tu as bien assuré pour les trois hommes à la suite ! » « En même temps, c’est que l’on attend de toi ma pute ! » 
« C’est un bon test, je pense qu’il va pouvoir « taper plus haut » maintenant »
« On va y aller progressivement mais à chaque nouveau plan, il y aura de plus en plus d’hommes à satisfaire, il faudra que tu assures, de gré ou de force ! »
« Je sais que Maître A. travaille sur d’autres plans pour toi, il a tout un groupe d’hommes à te soumettre».
« Tu  aimes la bite, ça se voit, on va t’en donner ok, mais notre but à Maître A. et moi serai de repousser tes limites, tu sais ? »
« Peut-être que tu n’aimeras pas faire telle ou telle chose, que tu en auras marre de sucer des bites, marre que tes trous soient remplis »
« Et bien c’est pas toi qui décidera ! On aimerai te voir enduré, donc  s’il le faut on te contraindra ! »
« Nous connaissons des Maîtres spécialisés SM qui s’occuperont de toi, ils te dresseront s’il le faut !
Mon Maître me raccompagna à mon auto et me laissa.

J’eus un peu peur de cette conversation, peur de ne pas réussir mais au fond de moi, je sais que j’aime cela…

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Soumission et appartenance
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Samedi 9 octobre 6 09 /10 /Oct 04:25

C’était le premier jour de l’automne, la météo était encore très estivale, c’était agréable !

Cela faisait des mois que j’attendais des nouvelles de mon Maître, je connaissais le genre de plan dont il avait envie de me faire subir, j’attendais avec impatience ce jour. En attendant, je lui avais fait preuve de fidélité, je n’étais sorti avec aucun autre homme comme il me l’avait demandé, j’étais son exclusivité, sa pute, sa chienne.
En attendant ce jour, je m’étais consolé en écrivant quelques scénarios que j’avais mis en ligne sur mon blog. Tout d’abord, « Dressage d’une pute en devenir » ou j’étais offert par mon Maître dans un hôtel à un inconnu puis à un autre inconnu qui lui-même était un dresseur de chienne qui m’offrit simultanément sur le parking à des hommes de passage. Et ensuite « Vacances en Bretagne » ou je racontais mes vacances avec une cousine dominatrice et perverse à qui j’étais soumise et qui m’offrait à des hommes.
Pendant ces longs mois d’attente, j’en avais aussi profité pour garnir ma garde robe. Je m’étais commandé des escarpins à très hauts talons, de nouveaux bas, une belle jupe très courte satinée, un top à résilles, une perruque blonde, un collier de chienne avec sa plaque gravée « Daniela », et une laisse. J’avais déjà essayé cette belle tenue et fait des photos pour mon blog http://daniela.erog.fr. Les commentaires laissés par mes visiteurs montraient comment j’étais une bonne salope avec ses nouveaux habits et que je plairais donc surement à mon Maître.
Je consultais donc régulièrement mes mails et enfin ce mardi j’eus enfin un message de Maître A.
« Bonjour, ça se précise, ce sera un soir de semaine ou tu sera livré à des hommes ou tu sera à mon service prépares toi à être une bonne chienne laisse moi un scenario de soumission à ton maitre ».
J’étais ravi ! Enfin j’allais pouvoir entrer en action ! Faire plaisir à mon Maître, avec tout de même une grande appréhension, est-ce que j’allais être à la hauteur de ses espérances ?
Je verrai. .. Je ferai tout pour qu’il soit content de ma prestation et que ses invités se fassent plaisir. C’était la première fois qu’il allait m’offrir à des hommes, c’était une première pour moi également, j’espère qu’il sera donc concilient si je fais des erreurs ou si je n’atteins pas ses objectifs dès la première séance. Le but est que je devienne sa pute régulière, et que c’est au fil des rencontres que je progresserai. J’ai très envie d’avoir ce statut envers mon Maître d’être sa pute et d’être une bonne chienne pour les hommes qu’il aura choisi pour moi.
Je soir même, je lui répondis et commençais ma préparation pour cette rencontre. J’espérais qu’il me convoque plutôt le vendredi soir, j’aurai plus le temps de me préparer et plus de temps également à lui consacrer. Je me rasais de prêt et commençais à me pluguer un peu quelques heures par jour afin d’être bien dilaté le jour J. Je réfléchissais également à la tenue que j’allais pouvoir bien mettre ce jour là.
Dès le lendemain je m’attelais donc à écrire ce que vous lisez en ce moment.

Femme-offerte-mets-3Le vendredi midi, mon portable sonna, j’avais attendu toute la semaine et là je savais que c’était mon Maître. Je m’empressais de répondre. Il fut court et bref. « Je veux que tu sois à 20hrs près de Tournus, une fois sur place je te guiderai ». Je lui dis que j’y serai.
Il me fallait environ deux heures pour me rendre à Tournus, je partirai à 18hrs, très bien, finissant le travail à 16hrs, j’aurai le temps de préparer mes affaires.
Une fois fini mon travail, je pu enfin me consacrer à cette passion qui est en moi depuis de nombreuses années, et enfin actuellement, j’ai la chance d’avoir trouvé le maître que je cherche depuis,  et qui j’espère, me fera vivre de belles choses dans les différents domaines que j’apprécie, le travestissement, me sentir femme et pute, satisfaire des hommes et être soumise en séance sm au service d’une personne dominante. Je me douchais, me fit un lavement et me mis le plug pour la route. Je pris mes affaires dans un sac, je me changerai sur place au lieu de rendez-vous.
Je fis bonne route en pensant tout le long ce qu’allait me faire subir mon Maître et en pensant comment j’allais m’appliquer à le satisfaire.
A 19h30, je laissais un texto à Maître A. lui disant que je m’approchais de Tournus. Il me répondit aussitôt « Prends la sortie Tournus, prépares-toi je serai là à 20hrs ». Je sortis à 19h40, il me restait vingt minutes pour me préparer, c’était parfait.
Je me garais sur le parking de l’échangeur, et commençais ma préparation, je choisis de mettre ma nouvelle tenue achetée cet été, elle faisait bien salope et je pense qu’elle conviendra bien à cette rencontre. Enfin je l’imagine, je pense que cela les excitera que je sois dans cette tenue de pute. Bas résilles noirs avec porte-jarretelles noir, jupe satinée noire et mes escarpins noirs également. Mon top à résilles et mon blouson de cuir marron. Je me fis blonde, maquillée et avec mon collier de chienne. Je préparai mon sac à main, avec quelques capotes, ma laisse et quelques cordes et menottes si des fois on avait envie de m’attacher…

Je n’attendis point longtemps, Maître A. arriva rapidement, je reconnu son 4x4. Il me fit des appels de phares, je me rendis à son auto et m’assis à ses côtés. On se salua et parlait deux à trois minutes, il me félicita pour ma tenue, « T’es bonne comme tout, tu me plais beaucoup comme ça et tu vas surement leur plaire ! ». « Voilà je t’explique, plusieurs personnes sont prêtes à te rencontrer, ce sont mes invités, tu les honoreras, ok ? » Je fis signe que bien entendu, en lui montrant ma réelle appréhension de rencontrer des inconnus, il ajouta « Ne t’inquiètes pas, tu es à mon service, c’est moi qui te dirigerai, tu feras ce que je te demande et tout ce passera bien ! ». Je lui donnai mon entière confiance, il ajouta encore « Ils sont chauds, ils sont là pour te baiser, à toi d’assurer ! ». Nous nous connaissons un peu, mon Maître et moi et savons que nous pouvons compter l’un sur l’autre, cette relation de confiance est très importante pour ce genre de plan, tout allait donc pour le mieux.
« je veux que tu arrives sur place les yeux bandés, je te tiendrai en laisse, tu l’as j’espère ? ». « Bien sur Maître. ». Je la sortis de mon sac à main, il prit une paire de bas pour me bander les yeux et nous partîmes. Le voyage dura environ un quart d’heure, cela passa super vite, mon Maître me parla de diverses choses à propos du plan de la soirée, histoire de me mettre en confiance mais tout en restant secret sur le nature des personnes. Il voulait que cela reste une rencontre insolite avec les surprises d’une première rencontre. Je retiens qu’ils connaissaient bien ces invités et avait entièrement confiance en eux. « Tu verras, il y en a un qui aime le sm, il te plaira ! Mais attention il est sévère, si t’es pas sage, il s’occupera de toi ».
Mon sexe était en érection et j’étais très excité de cette rencontre. Nous arrivâmes sur les lieux, le 4x4 prit un chemin en gravier et stoppa. « Nous voilà arrivés, je vais t’aider à sortir et tu vas me suivre sans broncher. » « Tu m’obéis au doigt et à l’œil et surtout je ne veux pas entendre un seul mot de toi, ni ronchonner ou quoi que ce soit, ok, sinon je te fais donner une punition par mon ami dominateur ! » « Si tu te sens pas bien ou si cela va trop loin pour toi, tu diras un seul mot et je ferai stopper, tu diras : STOP ». « Mais attention à toi, tu dois assurer et me satisfaire… alors évites… ».
 Je me retrouvai dans la cour, les yeux bandés, tenue en laisse par mon Maître, j'étais sa chienne, j’étais fière et toute excitée dans ma tenue de salope !

J'entrai dans la maison précédé par mon Maître, j’entendis dans une pièce voisine des personnes discuter entres elles, mes talons claquaient sur le parquet, et les discussions baissèrent d’un ton. Nous entrâmes dans cette pièce, mon Maître me demanda de stopper. Avec sa laisse il me fit tourner sur moi-même, je compris qu'il me présentait « Voici Daniela, ma petite salope et chienne à mon service! ». Les hommes me saluèrent presque en même temps. J’avais toujours les yeux bandés et je compris que mon Maître avait convié quatre invités. Chacun félicitèrent Maître A. pour son  gout et son choix en montrant leur impatience de me toucher. Il continua, « Daniela est une petite salope à bites, elle est ici pour vous pour toute la soirée, vous pouvez lui administrer ce que vous avez envie ! Qui voudrai la prendre en premier ? ». Un homme s’empressait. « Moi A . je veux bien ! ». Non Jérémy tu attendras, je préférerai que tu passes le dernier ».
Un autre homme se proposa, mon Maître qui dirigeait les débats « D’accord Laurent, tu auras les honneurs de commencer, les autres, je vous laisse allez à la cuisine attendre votre tour ». Tout alla très vite, en deux minutes que j’étais arrivé, j’étais déjà à genoux en train de sucer le premier homme de la soirée.
Maître A. tira sur ma laisse en direction du sol « A genoux ma pute ! Et suce cette belle bite ! ».
Le premier homme avait déjà fait tomber son pantalon sur ses chevilles et m’avait présenté sa queue. J’avais toujours les yeux bandés, mais je sentais qu’une bite touche chaude n’était pas très loin de mon visage. J’eus à peine le temps d’entrouvrir la bouche, que Laurent s’y engouffra. Il était chaud et très excité, sa bite était déjà bien dure, je la saisis avec mes mains pour l’aider à faire quelques va et vient pas trop profond pour commencer. Sa bite n’était pas trop grosse, mais tellement dure, je me régalais et j’avais largement une érection.
J’étais à genoux, mon Maître m’aida à engloutir la bite de Laurent le plus profond possible en me poussant la nuque « Allez Daniela ! Montres à Laurent comment tu es une bouche à bites ! ».
Je m’efforçais d’être un peu plus énergique, et j’avais maintenant un rythme régulier, Laurent gémissait, cela avait l’air de lui plaire. Cela dura quelques minutes, je me sentais bien.
Mon maître appela un autre homme « Qui veut préparer la chatte de cette belle pute ? » Un autre homme entra dans la pièce « Ah ! Yacine, tu veux bien préparer son trou ! ».  « Avec plaisir A., elle m’a l’air super bonne ta chienne ! Tu vas voir ce que je vais lui mettre ! » « Oui Oui Yacine, je te fais confiance ! Mais d’abord prépares-moi sa chatte, qu’elle soit bien mouillée ! ». Yacine enfila des gants en latex, Maître A. m’enleva le bandeau, je vis la bite de Laurent face à moi, mon Maître me regardais pour voir ma réaction. Je le regardais ma bouche toute souillée mais avec un sourire lui montrant le plaisir que j’avais de l’obéir.
Laurent s’asseyait sur le rebord du fauteuil juste derrière lui, « Avances Daniela » fit mon Maître. Je rampai quelques mètres jusqu’à de nouveau attraper la bite de Laurent que je recommençai à sucer de plus belle. Yacine se rapprocha de moi, je m’enlevai mon plug que je posai par terre. Mon Maître me coupa « Suce-moi ce gode Daniela, nettoie le ! ». Je le ramassai et me le mis dans la bouche encore toute humide du sexe de Laurent.
Yacine commença par me fouiller, je gémissais par appréhension, il fut très doux, et y alla avec délicatesse. Je sentis ses doigts un à un, me rentrer dans ma chatte, c’était trop bon, je mouillais et Yacine le fit remarquer à mon Maître. « Quelle salope ta chienne, regardes moi ça comment elle aime ça ! Elle est inondée, j’ai trop envie de la prendre ! » .
« Allez Laurent prends cette salope ! ». Laurent arrêta ses va et vient, je compris que j’allais avoir son bon sexe dans mon cul, j’en avais très envie. Le temps que Laurent enfile une capote, Yacine s’était assis à sa place, les mains sur les accoudoirs, il attendait. Je compris que je devais m’occuper de lui. Sa bite était longue, elle pendait un peu, je dû la saisir pour la mettre en bouche. Elle était toute lisse et épilée, c’était trop bon, je ne mis trop de temps pour la rendre bien raide, elle glissait toute seule dans ma bouche, je ne pu en mettre la moitié tellement elle était longue, mais ça me donnait trop envie de l’avoir entière.
Laurent s’approcha de moi, je sentis ses deux mains me prendre la taille, il frotta deux ou trois fois son sexe sur mon cul, je gémissais pour me préparer à le recevoir. Je bascula mon cul en arrière lui montrant mon impatience de le sentir au fond de moi.
son-epouse-se-fait-prendre-en-levrette-par-plusieurs-amants.pngMaître A, me tenais toujours en laisse, je le sentais proche de moi, il me tint la tête « Allez salle pute ! Tu vas te faire prendre par Laurent, ta aimes ça, hein ! Salle chienne » « Oui Maître ! » dis-je en prenant le temps de me retirer quelques instants. Yacine m’avait tellement bien fait mouiller et dilater  ma chatte que Laurent n’eu aucun mal à me pénétrer.
Voilà j’étais en position de vraie salope en train de sucer un mec et me faire prendre par un autre. Je me regardais, habillée en pute avec mon Maître qui me dirigeait par la laisse. J’étais vraiment bien, et j’étais fier de lui appartenir. J’espère que lui aussi était satisfait de moi.
Pendant quelques minutes, je suçai langoureusement Yacine et je sentais Laurent venir buter contre mes fesses, il avait accéléré la cadence et je sentais qu’il allait jouir. J’aurai aimé qu’il me jouisse dessus mais il n’eut pas le temps,  je me bloquais bien le bassin au moment de sa jouissance, il se retira en me donnant une tape sur les fesses « T’es trop bonne ma salope ! Attends un peu que je te remette ça ! Mon Maître lui fit « Tout à l’heure ! Laurent sans problème ! ».
Je continuai de sucer Yacine, j’avais l’impression que je pouvais le sucer pendant des heures, il était calme et détendu, appréciant la bonne pipe que je lui administrais.
Mon Maître fit entrer deux autres hommes, c’était les derniers, je les distinguais sur le côté, ils se déshabillaient, l’un était petit mais trapu et l’autre était me semble t-il Jérémy. « Regardes sale pute ! Tu as encore ces deux hommes à contenter, Arnaud et Jérémy ! Alors accroches-toi ! ». Cela ne me faisait pas peur, Laurent m’avais pris, je me régalais de la bite de Yacine, j’avais trop envie de me faire les deux autres.
Les deux se branlaient la  bite tout en me caressant et en attendant leur tour, j’avais trop envie de changer de sexe, Yacine n’était pas pressé, il était très endurant. Mon Maître le coupa dans son élan, « Laisses un peu ta place Yacine, et viens prendre cette petite pute ! Elle va surement aimer ta belle bitte au fond de sa chatte ! ». Il se releva et vient rapidement me prendre par derrière, pendant ce temps, je m’étais tourné vers Arnaud et Jérémy pour les sucer. Je pris la bite d’Arnaud en premier et la mis immédiatement en bouche, de mon autre main, je branlais celle de Jérémy, je les suçais chacun leur tour.
Toutes les bites de la soirée étaient différentes et avaient toutes leur charme, longueur, grosseur, douceur, fermeté, dureté... Les hommes eux, tous charmants prenaient plaisir sous l’œil de mon Maître qui lui prenait un vrai plaisir à m’offrir à ses hommes. Il avait de la patience et attendait son tour, j’étais quand à moi impatient de le satisfaire sexuellement pour lui montrer comment j’étais sa pute et qu’il soit vraiment fier de moi.
Arnaud était impatient de me prendre et pressait Yacine de lui laisser la place. Je sentais qu’il avait envie de jouir mais je savais m’arrêter à temps.
Yacine, imperturbable continuait à me limer au plus profond de moi, à chaque coup de bite, cela me donnait envie de jouir, je me retenais, je ne pouvais jouir sans l’autorisation de mon Maître.
Jérémy, quand à lui, pendant que je suçais Arnaud, en profitait pour me pincer les seins, il sentait que j’aimais cela. De temps en temps, il me donnait des petites claques sur les fesses, il avait saisi une cravache et me donnait des petits coups pour me tester. Je ne bronchais pas, montrant par la même mon approbation.
Yacine laissa la place à Arnaud qui n’en pouvait plus, il me prit rapidement avec une capote et de manière très énergique me secoua d’avant en arrière, je dû stopper de le sucer, je gémissais de plaisir, Arnaud y alla de plus belle. Je lui appartenais, je n’étais qu’à lui, il prenait un plaisir à me prendre par derrière.  Mon Maître l’arrêta « Daniela, couches toi sur le canapé ! Je m’exécutai rapidement et Arnaud repris sa cadence une fois que j’avais bien écarté les jambes en tenant les talons dans mes mains. Cela me fit du bien de changer de position. Yacine m’inclina mon visage sur le côté pour que je le suce de nouveau.
Arnaud était prêt à jouir, il s’arrêta, enleva sa capote et se branla vers mon visage. Mon Maître intervint « Suces le chienne ! » Je n’eus pas le choix de me saisir de sa bite et de lui sucer jusqu’à ce qu’il jouisse. Cela arriva rapidement et son liquide arriva par jet au fond de ma gorge. « Avales ! Sale pute ! Ne laisse rien couler ! » fît mon Maître. Je le laissai finir avant de lui aspirer à fond le liquide qui lui restait.
 J’étais sur le dos et n’avais pas le choix de tout avaler, c’était trop bon et Arnaud gémissait de plaisir. Mon Maître me félicita « C’est bien sale chienne, t’es une bonne salope ! ».
« Maintenant ! Jérémy fais-toi plaisir je te laisse Daniela pendant un moment, libre à toi de lui faire ce que tu veux, on va voir si elle est toujours aussi docile, Yacine, toi, profites de cette pute aussi ! ».

Maître A. donna la laisse à Jérémy, je ne compris pas immédiatement ce que cela voulait dire, mais quand je le vis s’approcher de moi avec une corde, je compris qu’il voulait me dominer.
Il me prit par le bras pour m’aider à me relever en me tirant également par la laisse. Il le fit brusquement me montrant sa force et qu’il fallait que je lui obéisse. Une fois debout, il me pinça les seins avec des pinces, la douleur était brusque, je me tordais de douleur, elle s’atténua, mais mes tétons étaient très comprimés, j’imaginais la douleur insupportable au moment de les enlever.
Il prit une cordelette, me saisit mon sexe avec les bourses, il les attacha et fit quelques tours à la base.
Il me tira jusqu’à une table de salle à manger et me plia en deux pour que plaque ma tête sur cette table. Les pinces de mes seins se plièrent, la douleur revint, il me prit mes deux poignets et me les attacha avec la corde dans le dos. Il avait de la force, il fit quelques tours de mes poignets et au niveau de mes avants bras. Il me bâillonna la bouche avec un bâillon boule. Avec ses pieds il me força à écarter les jambes, il attacha chacune de mes chevilles à un pied de la table, j’avais les fesses à sa portée et je ne pouvais plus bouger. Il prit un gode de sa collection, largement assez gros, avec le lubrifiant, il essaya de me le fourrer. Il était gros et même si ce soir j’étais bien dilatée, il mis un certain temps à me l’engouffrer, il faisait des va et vient pour me labourer la chatte, c’était super agréable, je lui fit signaler par des « oui » langoureux.
Il prit la cordelette qui pendait entre mes cuisses, et me tira les couilles en arrière, elles étaient contre le rebord de la table, il l’attacha au plug de mon cul. Mon sexe était tendu au possible, mon cul bien rempli et je ne pouvais pas bouger. Au moindre mouvement, la douleur m’envahissait au niveau des seins.
Afin de compléter ma position d’immobilisation, Jérémy donna la laisse à son copain de soirée Arnaud « Mets-toi en face et tends moi cette laisse, elle ne pourra plus bouger ma soumise ! ». J’étais complètement immobilisée et à la merci de mon dominateur sous l’œil excité des convives de mon Maître. Maître A. en observateur attentif, admirait la qualité de domination de Jérémy qui se saisit de la cravache et commença par me taper les fesses. Il changea d’instrument, et me fouetta avec un fouet à plusieurs lanières, au bout de quelques minutes et plusieurs coups, ça me cinglait les fesses et je sentais une certaine chaleur envahir mon fessier, je gémissais de douleur.
La séance de fouets dura de longues minutes ou j’ai véritablement souffert, je ne sentais plus mes fesses tellement elles me brulaient. Je me demandais quand il allait s’arrêter, les hommes autour de moi riaient et discutaient entre eux, mon Maître observait la scène et regardait si je supportais les coups. Je le regardais d’un air complice, grimaçant, mais je ne dirai pas le mot pour qu’il arrête, je souffrais en silence mais savais que c’était pour mon Maître.
Jérémy, s’arrêta enfin, il me massa un peu les fesses, cela me fit du bien, j’avais envie qu’il me redresse, mes seins également me brulaient.
« Allez, on va allez se dégourdir les jambes et prendre l’air ».
Jérémy me redressa, les bras toujours attachés, il me détacha les liens de mon godes mais il les attacha aux pinces de seins, mon sexe était tendu, il me tira avec la laisse vers la porte d’entrée. J’étais obligée de faire de petits pas, mes tétons s’étiraient et la douleur augmentait.
Nous sortîmes à l’extérieur de la maison, et même de la propriété, Jérémy me fait marcher le long du trottoir, il faisait nuit mais j’étais bien visible, éclairée par les lampadaires de la rue, chacune des voitures de passage ralentissaient et nous observaient. Je me forçais à me tenir droit sous la direction de mon dominateur qui veillait que je file droit. Il me claquait avec sa cravache sur mes jambes et les fesses à chaque manquement de ma part, c’était un bon dresseur. Au bout d’un quart d’heure, je commençais à être exténuée de ma cette balade, il décida de rentrer à la maison.
Maître A. nous attendait sur le palier « Alors Jérémy, comment s’est comportée cette sale pute ? »
« Elle obéit bien, elle a peu du mal à suivre, mais elle aime ça, et elle progressera vite ! » « Elle est un peu naze pour l’instant, je propose qu’elle se repose un peu, on la reprendra après ! ».
J’étais content que Jérémy propose cela à mon Maître, j’étais fatiguée et j’avais envie d’être détachée et de me prélasser un peu.
Mon Maître lui répondit « Elle est peut-être fatiguée cette salope, mais faut qu’elle assume, elle est pas là pour se reposer, je vais voir si elle est encore capable de s’occupe de moi ! » « T’as intérêt sale chienne, sinon Jérémy va remettre ça ! ».
J’étais exténuée, mais je devais satisfaire mon Maître.
Mon Maître prit la laisse « Jérémy ! Rejoint les autres ! Je reviens dans un moment »
Il me tira brusquement dans la maison puis dans autre une pièce dont il ferma la porte.
« A genoux chienne ! » Je m’exécuta rapidement mais difficilement, car mon cul bien rempli par le gode et les liens de mes bras et de mes seins me donnaient des douleurs.
« Ah ! Tu voulais faire du SM, t’es gâtée là avec Jérémy ! A toi de supporter ! Saches que ton dressage ne fait que commencer ! »
Maître A. m’enleva le bâillon boule « Merci Maître » fis-je d’un ton soulagé. Je n’eut pas le temps de faire ouf, qu’il s’était déjà déshabillé et m’engouffra rapidement son sexe déjà bien durci dans ma bouche. I était tout mouillé, et je m’appliquais à le sucer avec délicatesse lui montrant mon attention envers lui.
J’avais beaucoup de mal à assurer, ma position était inconfortable et je ne pouvais pas prendre son sexe dans mes mains. Cela ne dérangea Maître A. qui se servait de ses mains pour faire des va et vient de son sexe au fond de ma gorge. J’étais maintenant bien chaude, je n’avais pas de mal à avoir un sexe entier en bouche.
J’avais envie de jouir, et le dis à mon Maître « Non tu ne jouira pas maintenant, tu dois garder ton excitation et être encore super chaude pour tout à l’heure, mes invités ont encore envie de profiter de toi » Je repris de le sucer, après de longues minutes de pinage, il jouit dans ma bouche, j’avala complètement, il était content.
« Bien ma salope, humm, t’es bien bonne tu sais ! » Reposes-toi ainsi ! À tout à l’heure ! ».
Il sorti de la pièce, revint me donner une gamelle d’eau et me laissa là sur le sol attachée et godée. Je ne mis pas longtemps à m’assoupir quelques minutes.
Le bruit d’ouverture de la porte me réveilla.
Je me demandai ou j’étais, j’avais mal partout et j’étais fatiguée.
« C’était Jérémy qui vint m’aider à me relever, il m’emmena dans le salon ou Maître A. et les trois autres hommes étaient sur les fauteuils à m’attendre. Il me mit face à eux et m’enleva tous mes liens. J’essayai de bien me tenir, en position de soumise certes mais de bonne soumise, à disposition d’hommes.
Jérémy m’enleva d’abord les pinces à seins, la douleur fut horrible, mes yeux en pleurèrent, il fut plein d’attention en me massant délicatement les seins afin d’atténuer cette douleur. Il me détacha les mains, j’étais toute engourdie, et il finit par le plug, cela me fit un grand vide.
Pas pour longtemps car pendant ce temps Yacine s’étaient déjà déshabillé, son sexe bien durci vint près de moi, il me pencha en avant pour me reboucher mon trou de putain. Sa belle bite s’enfonça très vite et vint toucher des points sensibles qui m’excitèrent aussitôt. Il me lima la chatte longtemps, je m’appuyai contre le rebord de la table posant de temps à autre un pied sur un une chaise.
Les autres hommes se rapprochèrent autour de nous, je pris les sexes de Arnaud et de Laurent et je les branlais, Jérémy m’engouffra son gros sexe dans sa bouche.
J’avais quatre sexes à disposition, à tour de rôle ils me fourrèrent leurs bite dans ma bouche et dans ma chatte, j’aimais faire cela en groupe c’était très excitant.
J’en oubliais mes douleurs, mon Maître me regardait, je m’appliquais pour lui faire plaisir.
Arnaud, Laurent, Jérémy et Yacine jouirent chacun leur tour mais tous dans ma bouche. J’attendis d’avoir le foutre de tous pour avaler sous l’œil de mon Maître attentif.
J’étais vannée, mais heureuse. Mon Maître me donner l’autorisation d’aller dans la salle de bain pour m’arranger un peu. Les quatre invités attendirent mon retour pour me saluer et de me donner rendez-vous pour une prochaine fois.
Mon Maître me ramena à mon auto. Sur le chemin du retour, il me donna ses impressions sur la soirée.
Il fut satisfait de moi, ses invités s’étaient bien lâchés et je leur avais bien donné du plaisir.
Mon rôle de salope et de pute ne s’arrêterai pourtant pas là, il me laissa des pistes de nouvelles idées qu’il aimerai pour de prochaines rencontres. Hormis de m’offrir à des personnes de connaissance, il aimerai que je fasse la pute pour des inconnus, dans  des lieux publics (jardins, parkings…, être à disposition d’un week-end entier de personnes pour leur plaisir sexuel, me prêter pour être dresser, etc.
J’appréhendais déjà ses nouvelles aventures mais cela m’excitai de faire cela pour mon Maître et je lui dit clairement.

Je pris le chemin du retour avec plein de pensées pour tout ce que mon Maître m’a fait vivre durant cette soirée. Je l’en remercie.

Soumise Daniela

 

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Samedi 1 mai 6 01 /05 /Mai 05:58

La précédente rencontre que mon Maître m'avait organisé s'était merveilleusement passée. J'avais été comblé par un inconnu choisi par mon Maître. Cet homme m'avait donné du plaisir et je lui avais bien rendu ! Maître A. semblait satisfait de sa pute, je lui avais obéi au doigt et à l'œil et tout s'était déroulé comme il l'avait prévu. Je lui faisais à chaque fois confiance, et il me le rendait bien.

Comme à son habitude, je ne savais rien à l'avance, de la rencontre qu'il me concoctait, je ne devais faire qu'une chose, lui obéir avec comme objectif, satisfaire ses désirs.

En journée, quand mon téléphone sonne lorsque je suis au travail, je pense de suite à lui, je m'empresse toujours de lui répondre, espérant une proposition de rencontre ou plan dont il a le secret.

Ce jour là, mon téléphone sonna, alors que j'étais en réunion, j'avais pris soin de le mettre sur vibreur, je ne pu donc répondre, mais je pensais que c'était lui qui m'appelait, et j'avais hâte de finir cette réunion matinale pour écouter ma messagerie. Maître A. m'avait laissé un message, ouf ! j'avais de ses nouvelles...

« Bonjour c'est A., je veux que tu sois prête pour demain 17 heures. » Le message était court mais suffisamment clair. J'aimais quand il me laissait le temps de m'organiser, de préparer mes affaires et de me préparer mentalement.

Le lendemain était un vendredi, je finissais à 16 heures, cela me laissait le temps de me préparer tranquillement en attendant ses instructions. C'était excitant, j'allais être femme le temps d'une rencontre, et faire peut-être la pute pour mon Maître. Ce n'était pas toujours pour lui, il aimait m'offrir à des personnes inconnues ou pas.

Je choisis un petit parking tranquille pour me préparer. Nous étions au début de printemps, la température était bonne et je pouvais m'habiller léger. Je choisis une robe légère, courte bien sur, assez large, non moulante. J’enfilai des bas couleurs chair et mes escarpins noirs. Pas de culotte, nu sous ma robe, épilée et godée, chaude et excitée de faire un plan. Mon Maître ne m'avais pas encore vu dans cette tenue, je venais de l'acquérir. Perruque, maquillage, sac à main, j'étais fin prête !

Prostitution-maroc-2012-04-05Je marchais le long de l'auto, en attendant son coup de fil, je n'avais pas encore vraiment essayé ses talons hauts, 13 cm, c'est le plus haut que je possédais donc il fallait bien que je m'entraîne un peu ! Un vrai bonheur, ces talons aiguilles, confortables, il m'obligeait vraiment à me déhancher pour garder ma stabilité, il faisait également un joli son au contact du sol, assurément les hommes que je croiserai me décrocherai un regard. J'en avais oublié d'être discrète, une voiture s'était arrêté non loin de moi et les personnes étaient restées à l'intérieur et me regardait avec insistance. Je fus quelque peu gêné, mais cela m'excita de plus belle, le téléphone sonna.

C'était Maître A., « Bonjour ma salope !, tu es prête…, est-ce que tu t'es fais belle ? » Je lui décris dans les moindres détails ma tenue, il m'écouta avec patience « Tu n'as rien oublié, tu es sure ? » « Euh, non je ne crois pas Maître » « Et ton collier de chienne que je t'ai offert ! » Oups... j'avais oublié l'essentiel à ses yeux, mon signe d'appartenance à mon Maître. « Tu mérites une punition Daniela... je vais réfléchir, pour l'instant tu va te rendre sur le parking de l'autoroute et tu verras ce qui t'attend. »

Je montai dans l'auto, mis mon collier de chienne avec la plaquette gravé à mon nom et démarra pour me rendre sur le lieu, il y avait bien trente minutes  de trajet, j'adorai conduire en femme, je dus traverser une partie de la ville, à chaque feu, je sentais des regards sur moi, les hommes au volant aiment bien mater en attendant que le feu passe au vert !

J’arrivai sur les lieux, il y avait assez de voitures et de camions garés pour la nuit, ayant pris leur chambre à l'hôtel de l'autoroute. Je préférai ne pas penser à ce qui m'attendait, et prenait du plaisir à vivre chaque instant dans mon look de femme sexy et quelque peu provocante.

Je me garai ou je trouvai de la place et je sorti rapidement de la voiture. J'eu à peine le temps de me faufiler entre les voitures et de me diriger vers l'allée centrale pour me faire remarquer de mon Maître qui m'attendait ou de quelqu'un d'autre, qui sait... que je me fis accoster par un homme.

 Il me prit par le bras et me força à marcher en direction de l'hôtel. « Tu t'appelles Daniela, n'est-ce pas ? C'est ton Maître qui m'envois, tu vas me suivre ! » Il était directif, je n'eu pas le choix de marcher à son allure, nous nous dirigeons ver l'entrée, nous croisons un couple puis un autre, à chaque fois un petit regard dans ma direction et un sourire du coin des lèvres. La porte de sa chambre était ouverte, il me fit entrer la première, me suivit de près et ferma la porte derrière lui. Cela devait être le plan de mon Maître, offerte à un inconnu, je me préparai à le satisfaire.

Cet homme de 50 ans environ, ne perdit pas de temps, il était hyper directif, chaud comme la braise, il n'avait qu'une envie, me baiser. « A genoux ! » tout en m'exécutant, il dégrafa son pantalon, retira son slip, il me dit « A. avais raison, tu m’as l’air bonne et d'être une belle salope ! ».

Je lui souris, il s'approcha de moi, en tenant sa queue toute excitée, se branla une ou deux fois et me la présenta. Je la saisi à sa base et l'approcha de ma bouche, tout en le regardant dans les yeux, je commençai à effleurer sa bite avec ma langue puis à la lécher de la base jusqu'à son bout. Je fis cela deux ou trois fois, il me prit la tête avec ses deux mains, pour la ramener contre son corps en veillant que j'avais son énorme sexe dans ma bouche. Je l'engloutis jusqu'à ses bourses et il me laissa de longues secondes dans cette position, histoire que je savoure sa bite et aussi pour voir mes capacités à tenir une bite en bouche. Je tenais bon, c'était bon, il me relâcha la tête et je pu faire mes va et vient en le suçant lentement mais goulument. Son sexe grossissait, s'allongeait encore et durcissait de plus en plus, il avait vraiment une belle bite et je me la voyais déjà au fond de mon trou en train de me ramoner.

Il semblait pressé de jouir, il était très excité que je m'occupe de lui, il me lâcha quelques mots crus « C'est bon hein salope » « Allez, suce comme il faut, c'est bien » « Mieux que ça chienne », « Si tu ne fais pas ça bien, je vais le dire à ton Maître et tu vas recevoir ! ». A chacune de ses phrases, je me relançai, m'appliquai de plus belle en pensant à mon Maître.

1_173172.jpg Au bout de 15 minutes, pensant qu'il allait enfin me prendre, j'avais trop envie de sentir sa bite dans mon cul, je dus prendre d'autres postures et le sucer de plus belle ! Couché sur l'assise du fauteuil, la tête en bas, il avait ma gorge bien accessible et c'est lui qui donnait la cadence pour que je le suce, il venait en butée contre mes lèvres, je ne pouvais reculer, ma tête bien caler. Je dus néanmoins une ou deux fois tourner la tête pour m'empêcher de vomir et cracher ma salive qui débordait de ma bouche. Il était vraiment chaud quand enfin, il m'ordonna de me mettre à quatre pattes, pour me prendre comme je l'espérais depuis un moment. Il prit soin de mettre un préservatif, le temps pour moi de souffler un peu, qu'il n'empala rapidement et sans vraiment de délicatesse. Mon plug qu'il venait d'enlever lui démontrai comment j'étais chaude et prête à être enfiler. Ce fut un vrai bonheur, je sentais son corps buter contre mes fesses et son sexe aller bien profondément, j'aurai aimé jouir de  suite, et je me branlais quelque peu « Arrêtes de te toucher! » dit-il avec autorité. J’arrêtai immédiatement, il continua de plus belle « Tu aimes ça la pute, hein ? Alors prends-en encore, tiens..., tiens... ». Il raillait de plaisir tout me labourant ma chatte pendant encore dix bonnes minutes et finit tout de même par jouir, j'étais exténué, je n'avais pas joui, mais cet inconnu envoyé par mon Maître était ravi. Je restai sur le sol, le temps de récupérer de mes émotions, que l'homme se rhabilla vite fait, il prit ses clés de voiture, son téléphone portable et composa un numéro.

« Allo A., c'est M., oui... excellente..., je me suis régaler..., oui..., elle a assuré !, C'est une bonne chienne !, Merci encore ! ». Il raccrocha, me salua et sorti de la chambre.

Il me laissa, juché sur le sol, comme une vulgaire chienne ayant reçu ce qu'elle méritait, je récupérais lentement, je me regardais dans le miroir pour vérifier si j'étais sortable et je repartais à mon auto. Je quittais la chambre discrètement, je croisai de nouveau un couple, qui me salua avec un grand sourire.

Je commençai vraiment à souffler et à me remettre de mes émotions, le gout de bite dans la bouche et la chatte toute mouillée, cet homme était vraiment une bête, il m'avait usée...

Sur le chemin menant à la voiture, un homme m'accosta ! « Bonjour Daniela ! », surpris je m’arrêtai brusquement, et le regardait. C'était un jeune homme, la trentaine, sûr de lui, il continua, « A. vous a dit que je devais vous rencontrer ? » « Euh... non pas du tout... » « Ce n’est pas grave, suivez-moi ! ». Je restai planté là encore abasourdie par le plan dans la chambre, en attendant je ne sais quoi... Pas refaire un plan cul c’est sur, j’étais trop fatigué pour cela !

Il vu que j'hésitai, il me prit finalement par le bras, « Viens, suis-moi je te dis » Le ton avait changé, je baissais les yeux, je me laissais guider sans vraiment avoir le choix.

Il me fit rentrer de nouveau dans cette chambre dans laquelle j'étais sortie dix minutes auparavant. Cela me faisait bizarre, de nouveau je bandais ! Les hommes ont raison, je suis une bonne salope ! J’aime le sexe ! 

142801447768697.jpgIl claqua la porte derrière lui, je sursautai. « Alors tu ne voulais pas me suivre ? » « Je ne m’attendais pas c’est tout » « Tu es mignonne, j’aimerai voir ce que tu vaux ! » Cet homme au premier abord sympathique, calme me parait tout à coup autoritaire, sur de lui, je craignais pour ma personne…

« Tu vas d’abord te mettre à genoux et tu vas me sucer » « Vite ! Dépêches-toi ! ». Je sentais son impatience, je devais obéir rapidement, mais j’étais encore un peu dans les vaps…  Je n’ai pas eu le temps de m’agenouiller qu’il avait déjà sorti une cravache de son sac et commençai à m’en donner des coups sur les fesses. Il me saisi par le bras en le serrant si fort que je gémis « Tu ne vas pas te plaindre en plus ! » Il prît un bracelet cuir qu’il me fixa au poignet et accrocha le mousqueton sur le haut du lit à étage face contre mur.

Je ne bougeai point, attendant la suite.

Il m’attacha le deuxième bracelet à l’autre poignet. Il m’écarta les jambes que j’ai la chatte bien écartée, le tout pour être à sa disposition.

Il me remonta ma robe, baissa ma culotte, de manière énergique, et me donna des coups de cravaches sur les fesses « Tu vas comprendre pourquoi tu dois rapidement m’obéir » J’en reçu une bonne dizaine, des coups secs et nets qui me chauffèrent immédiatement le fessier. Je ne bronchai point, lui montrant ainsi que je savais obéir, et que je ferai ce qu’il me demandera. 

Je pensais qu’il allait s’arrêter mais il prit dans son sac un martinet « Tu croyais t’en tirer comme ça ! Ta punition n’est pas terminée ! Je te préviens, je suis un Maître qui dresse les soumises récalcitrantes, ton Maître ne t’a pas prêté pour ton plaisir, mais pour que je te dresse ! ».

Je me rappelais que j’avais une punition en suspend et que mon Maître allait me la donner un de ces quatre mais je ne pensais pas qu’il la ferai faire par quelqu’un d’autre.

Je reçu une bonne vingtaine de coups de martinet, les lianes sifflaient dans l’air et venait me fouetter les fesses, je me tordais de douleurs, je bandais toujours mais je gémissais, j’essayais de me retenir, mais je finis tout de même par crier.

Le Maître ne fut pas content, « Tu vas te taire, j’en ai marre » Il me mit un énorme bâillon pour que je me taise définitivement. Voyant que je bandais toujours il me donna des coups de fouet sur mon sexe en érection, je gémissais dans tous les sens et finis par me redresser de la position que j’avais réussi à garder depuis le début. « Tu vas arrêter de bouger, non ! » Il m’attacha les jambes bien écartées à chaque pied du lit, j’étais complètement immobilisé.

Il recommença ses séries de flagellation, par dizaine et sur chaque fesse, j’hurlais de douleur mais sans bruit, au bout de la troisième série, cela me brulait tellement que je commençai à moins sentir les coups, voyant que je devenais docile, il se calma, reposa ses ustensiles de torture et me laissa récupérer.

Pas pour longtemps…, il prit des gants en latex, il allait me fouiller la chatte. J’écartai mes cuisses pour qu’il ai l’espace le plus libre possible, « Tu deviens coopérante, c’est mieux ». Je mouillais tellement qu’il n’eut pas de mal à se frayer un chemin pour y glisser un doigt d’abord puis plusieurs.

« Tu es bien chaude ! » Il me triturait mon trou, c’était excellent, il atteignait des points très sensibles qui me faisait monter au ciel de la jouissance. Il continua le travail avec un gode assez souple et suffisamment gros pour que je le sente comme il faut. « Tu es merveilleusement prête pour accueillir de belles bites dans ton trou », Il avait raison, il lisait dans mes pensées, je fermais les yeux en pensant à une belle bite venait me ramoner mon trou, j’en avais vraiment envie… J’espérais qu’il me prenne aussi bien qu’il m’affait fouillée.

Il me détacha lentement, m’enleva le bâillon, je ne me rendais pas compte de ma fatigue tellement j’étais bien, « A genoux, chienne, maintenant tu vas peut-être me sucer, non ? ». Je n’en avais pas tellement envie, mais je n’avais pas le choix que de le satisfaire. Je me mis à genoux, il s’approcha de moi, bite en main bien bandante « Allez tiens, prends ça ! ». Je lui saisis sa belle bite, je la branlai bien avec mes deux mains, je lui la léchais pour l’humidifier un peu et je lui suçai lentement puis plus rapidement. Plus vite il sentira la jouissance monter en lui, qu’il voudra me prendre. Pensant bien faire, je ne m’appliquai point à ma tache et il le vu rapidement « Mieux que ça salope ! » J’essayai de m’appliquer mais je n’arrivai pas à me concentrer, le fessier en feu et mon trou trempé, je voulais une bite ! « Ça suffit comme ça! Sale pute ! Tu veux encore une punition ? » « Non Maître, pitié » « Et bien suce-moi comme il faut et vite ! » « Maître, j’aimerai que vous me preniez » « Il manquerait plus que ça ! Ce n’est pas toi qui décide, sale chienne ! » « Et si tu le prends comme ça, tu vas voir ! ». Il prit une chaine dans son sac, me l’attacha à mon collier « Lèves-toi sale pute, debout  ». Je me levais rapidement, il m’attacha les mains devant avec une paire de menottes, m’engouffra un  plug dans ma chatte « Tu as intérêt de le garder, ne le fais pas tomber ». Il était suffisamment gros pour qu’il tienne dans ma chatte trempée, mais je ne savais qu’il allait me faire marcher, là c’était autre chose.

« Allez, viens, on va aller faire un tour ! ».

J’étais un peu angoissé quand il ouvrit la porte de la chambre, je n’allais pas sortir comme ça… « Tu ne veux pas m’obéir correctement, tu vas enfin comprendre ». Il me traina, lamentablement.

J’avançai comme sur des œufs, avec mes hauts talons et mon plug bien placé, n’osant regarder à droite et à gauche, préférant regarder l’horizon et penser à autre chose. Je me déhanchais pour ne pas perdre le plug, j’étais morte de trouille…

Nous avions bien fait dix mètres, sur le trottoir de l’hôtel, entre les voitures arrêtées, heureusement pas trop de passage à cette heure là, je le suivais difficilement, il ne disait rien et ne se retournait pas. J’avais l’air maline dans cette situation, j’étais en femme soumise et humiliée, j’espérais que personne ne me vois, mais je savais que cela ne durera pas et que ce n’était pas le but recherché.

Effectivement, dans le parking suivant, quelques voitures garées et quelques personnes autour. Mon dominateur se faufila entre les voitures en se dirigeant vers une personne, il avait choisi sa cible…

« Bonjour Monsieur ! » fit-il sur un ton naturel, d’un commercial cherchant son client. « Ça vous dirai de vous faire sucer par cette salope ? » L’homme ne fut pas plus choqué que cela, que l’on vienne lui proposé de lui faire une gâterie, il regarda mon dominateur et lui fit un signe de la tête « Pourquoi pas ! » « Allez ! Chienne Daniela, à genoux, et suce monsieur ! ».

Pendant que je me mettais à genoux, mon Maître expliqua à l’homme que j’étais en cours de dressage, et que je n’étais pas très obéissante. L’homme pendant ce temps là, baissa son pantalon, je dus marcher à quatre pattes pour m’approcher de lui pour qu’il m’enfile sa bite. Je dus la branler pour qu’elle durcisse avant de commencer de le sucer. « Je te préviens, fais ça bien ! » dis mon Maître dresseur.

Dans quelle situation je m’étais fourré…, je m’étais déjà tapé un mec, un deuxième m’avait suffisamment chauffé et je devais faire une pipe à un troisième.  Cela commençait à faire beaucoup pour moi, l’air extérieur m’avait réveillé quelque peu, mais j’étais assez fatigué. Jamais je n’avais fais un plan de plus de deux heures, mais c’était le prix à payer pour que je sois plus endurante, et que je sois une bonne pute.

J’aimerai que Mon Maître soit fier de moi, il m’avait confié qu’il aimerait que je fasse la pute à la chaine pour lui.

Je suçai donc cet homme avec application, mon dresseur me surveillait avec sa cravache en main, il me donnait des coups sur les fesses à chaque fois que je faisais cela mal. Je pompa cet inconnu sans m’arrêter, bien profondément.

Au moment qu’il eu envie de jouir, mon Maître m’ordonna « Continue ! Ne t’arrête pas ! » Je dus le sucer pendant qu’il jouissait et dus tout avaler. Je lui nettoya sa bite proprement « Je ne veux plus voir une goutte ! » et il se retira.

L’homme remonta son pantalon, satisfait de la bonne pipe que je lui avais administré. « Continuons notre petit chemin ! » fit mon dresseur.

Je me releva, et nous nous faufilons à travers d’autres voitures, je dus faire le même plan à un autre homme quelques dizaines de mètres plus loin. Je dus encore souffrir de mon corps pour satisfaire ce nouvel inconnu, mais je prenais tout de même un certain plaisir.

Pendant que je m’occupais de cet homme, un groupe de trois gars nous mataient tout en s’approchant discrètement de nous. Bien occupé que j’étais, je les apercevais en toile de fond, mon Maître également, à peine terminé de lécher le sperme de cette bite il leur dit « Approchez ! Elle est à vous ! ».

Non, je ne pourrai pas, j’étais exténuée, la tache était ardue, je voulais cesser mais mon dresseur n’y voyait pas de cet œil là, il avait envie que je fasse la pute, la vraie, à la chaine. Je dus m’occuper des  trois bites simultanément, mon Maître m’avait de nouveau offert.

Je continuais donc en m’appliquant à chaque bite en bouche à les sucer et donner un maximum de plaisir. J’avais soif, j’avais envie d’avaler autre chose que le foutre de ces inconnus mais je continuais avec mon plug dans ma chatte toujours aussi trempée. Il giclèrent pratiquement en même temps deux dans ma bouche, le troisième sur mon visage. « Avales tout sale pute ! » Avec leurs bites, ils s’employaient à ramener le foutre de la joue vers ma bouche ouverte, je dus avaler et montrer que je l’avais vraiment fait.

Je me releva et nous revenons en direction de la chambre. Ouf, je n’en pouvais plus, sur mes hauts talons, toujours ce plug qui nageait au fond de ma chatte, je n’avais plus tellement envie de jouir, mais plutôt de me reposer. 

Arrivé  en chambre, croyant le calvaire terminé, il lança « As-tu bien appris la leçon, je vais voir ça ! ». Je dus le sucer encore mieux que je ne l’avais fait précédemment, il finit également par me prendre, je me donnais de plus belle pour son plaisir et pour le remercier de l’éducation que j’avais eu ce jour présent.

Certes, j’avais sué, j’étais vraiment fatiguée mais contente d’avoir pu réaliser toutes ces pipes enchainées. Je n’aurai pas pensé un jour y arriver, mais ma motivation et la confiance allouée à mon Maître A. m’ont permis de le faire. Je le remercie ce jour d’avoir pu trouvé ce dresseur de femelles qui m’a poussé dans mes limites. Mon éducation n’est pas parfaite, j’en suis consciente mais c’est par des plans de ce genre que je progresserai. 

Mon dominateur de ce jour me quitta sur ces mots  « Bien sale chienne ! T’as fais du bon boulot, je le signalerai à ton Maître ».

Daniela

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume

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