Histoires

Mercredi 7 mars 3 07 /03 /Mars 03:44

J’ai rencontré ce nouveau maître sur mon site préféré ! C’est lui qui a pris contact la première fois avec moi, intéressé qu’il était pour faire des sorties nocturnes avec moi.

 

Comme le stipulait mon annonce, j’étais à la recherche de personnes pouvant m’accompagner lors de sorties nocturnes sur Annecy, Chambéry, Genève ou Lyon. Je lui demandais quelles genres de sorties il aurait voulu faire avec moi, il alla droit au but, « sexe, lieux d'exhibe, faire la putain, parkings aires autoroute ou autres Club ». Excitant comme plans !

 

Je restais sur mes gardes, nombre de personnes voulant me faire ce genre de plans s’étant avéré des fantasmeurs… Je continuais tout de même la conversation, intéressante qu’elle était car finalement elle correspondait à ce que j’aimais sans jamais l’avoir avoué. Il continua dans le même esprit, « plan à mettre au point, je te veux soumise aussi pour te livrer à mecs vicieux dans un donjon en sous sol d'un immeuble dans 3ème arrondissement ». Je me méfiais encore plus ! ça faisait beaucoup comme propositions, la conversation se poursuivit.

 

Même si je le désirais du fond du cœur, je lui confiais mon inexpérience et ma timidité pour ce genre de plans, il me rassurait, il m’accompagnerai, me dresserai pour cela, il vantait ma féminité, ma crédibilité et qu’il tenait absolument à me rencontrer et avoir un suivi. Je lui envoyais par mail quelques photos de moi, qu’il voulait montrer à des potes dominateurs. Quelques jours plus tard, la conversation reprenait, je regardais toutes ces galeries, beaucoup de travs sont passées entre ses mains, toujours dans des soirées avec beaucoup d’hommes. Il avait donc une grande expérience, cela me rassura quant à sa crédibilité et petit à petit, il me donna vraiment envie de le rencontrer sérieusement.

 

Il me donna plusieurs rendez-vous, rencontre dans son donjon, soirée travestis etc.

Je restais en contact avec lui et confirma ma venue à la soirée travs quinze jours plus tard. Le rencontrer dans une soirée de ce style, histoire de faire connaissance, dans un endroit neutre sera plus facile pour moi… Nous gardions contact, ne pouvant me rencontrer dans l’immédiat, il m’ordonna de contacter quelques amis à lui sur le site pour que je me fasse « baiser comme une chienne ».

 

Je rencontrai finalement dans la semaine un homme, rendez-vous nature, rapidement obtenu, un male chaud bouillant à sucer et à me prendre. Ce fut expéditif, très bon !

 

nc.jpg Maître F. de Lyon me donna rendez-vous à la boite de nuit « Le Kama », à Lyon.

Je devais assurer mon premier rendez-vous avec lui, j’avais vraiment envie de faire quelque chose avec lui, je me préparai, j’étais vêtue comme il le désirait, très pute…

J’arrivais en avance et me gara dans une rue voisine et j’attendais son arrivée. Il me donna rendez-vous à ma voiture. Je le vis arriver, je me présentais, il me mis à l’aise, il était très sympathique. Après ces présentations en dehors de l’auto, il m’inspectait de près. « Pas de doute, tu es vraiment une belle femelle, très excitante ! ». Il me prit par la taille et l’on se dirigea vers la boite. Il récupéra sa soumise travestie C. attitrée qui l’attendait à sa voiture, me la présenta. J’étais super contente, très sympa, elle me mit très à l’aise et nous rentrâmes dans la boite, toutes les deux aux bras de maitre F.

 

Après avoir réglé l’entrée, et posé mon blouson aux vestiaires, nous nous installons au bar. Le maître commanda des boissons alcoolisées, et C. m’entraina sur la piste de danse. Le maître nous observais, il était accompagné de copains à lui et ça discutait… De mon côté, mise à l’aise par mon premier verre, je me déhanchais sur la piste, j’étais bien !

Je ne savais pas ou cela allait me mener, mais j’avais vraiment envie d’être sous la direction de cet homme. Je revins m’asseoir ses côtés, pas pour longtemps…, maitre F. me prit par la taille et m’entraina avec lui. Je n’avais pas l’habitude d’être dirigée lors de ces soirées, cela faisait drôle… mais je n’attendais que ça, je le suivais, collé contre lui, il me touchait les fesses.

 

Je n’en étais pas à ma première sortie en boite, j’avais toujours refusé les avances d’hommes qui voulaient me baiser sur place. Toujours avec regret car j’en avais très envie mais j’avais peur du regard des autres…
Nous descendions l’escalier pour aller au sous-sol, Une pancarte indiquait la direction des toilettes et des cabines. Quelques allers et venues entre le haut et le bas, des hommes principalement, il m’emmena dans les toilettes, je compris que j’allais devoir le satisfaire, je rentrai non sans appréhension. Il referma la porte, il se posa devant moi et dégrafa son pantalon. Je lui caressa immédiatement son caleçon, je sentais son sexe se durcir, il apprécia ma réactivité. Il me caressa le cul et m’embrassa sur la bouche. C’était quelque chose que je n’apprécias pas trop, mais cet homme me désirait, je devais le satisfaire, j’accepta son baiser et sorti ma langue. Je l’aguichais grave, il me roula une pelle mémorable ! J’étais excitée, et je mettais plus d’entrain pour lui caresser son sexe. Je glissais ma main dans son caleçon et je caressais sa bite, bien dure maintenant. Je me mis accroupis pour le sucer, il était excité par ma personne, je continua de longues minutes à le sucer. Je n’attendis pas longtemps pour qu’il me fasse arrêter pour s’enfiler un préservatif. Je me pliais en deux, lui montrant mon cul, je relevai ma jupe, laissant apparaitre mon cul. J’écartai les fesses pour qu’il voit mon trou encombrée qu’il était par un plug. Il me l’enleva délicatement pour vite le remplacer par sa bite. J’écartais un peu les jambes pour qu’il soit à la bonne hauteur pour me limer « Ton trou est un peu serré, dis-moi ! Ça fait longtemps que tu t’es pas fait baiser, on dirait ! Il avait raison… mais je mouillais tellement que sa bite rentra et il me prit de longues minutes.

 

Il prit son pied, moi aussi d’ailleurs et gicla au fond de mon trou. Nous nous rhabillâmes et sorti bras dessus bras dessous, tous les deux satisfaits de ce bon moment. Il se confia « j’ai bien aimé Daniela, t’es une bonne salope ! » je luis souris d’un air complice. « Tu vas m’appartenir toi, tu m’obéiras, n’est-ce pas ? » « Avec plaisir, maitre ! » lui répondis-je avec toute sincérité. « Tu vas sucer et te faire prendre par quelques hommes, ici, d’accord ? » « Euh... Oui maître. » Je répondis avec hésitation, ça allait vite pour moi, je ne m’imaginais pas entrer en action aussi rapidement… pas le temps de cogiter au moins ! Avant que j’eus le temps de me rependre pour lui donner une réponse affirmative plus franche, nous étions dans une cabine public, « En fait ce n’est pas une question Daniela ! Tu vas faire la putain pour moi et tout de suite ! » « Allez ! Viens là ! » « Assis-toi sur le matelas ! » J’obéis sans sourciller, il ne plaisantait pas, il prit une laisse accrochée au mur, me l’attacha à mon collier et avec un mousqueton, il accrocha la laisse aux barreaux du lit. Il prit des bracelets cuir et me les mis aux poignets et les attacha ensemble devant moi. « Ne bouges pas, je reviens ! ». Ce n’était pas la peine de me faire un dessin, sur ce qui alla se passer, il revint quelques minutes plus tard avec quelques hommes. « Rentrez Messieurs, je vous offre Daniela, ma soumise, soulagez-vous, elle aime ça vous verrez ! » Maitre F. me jeta un clin d’œil et un sourire complice, cela me rassura. Je ne mettais pas préparé à ça ici et maintenant, mais ce n’était pas moi qui décidait et puis c’est ce que je voulais, non, me faire baiser par plusieurs mecs. Avec sourire je me tourna vers l’homme le plus près de moi, assise face à lui, il me présenta rapidement sa bite à sucer. J’avais encore la bouche toute humide au gout de la bite de Maitre F., ce fut plus facile pour le sucer, je ne perdis pas de temps pour bien le sucer, je ne devais pas trop durer longtemps, trois autres attendaient derrière… Celui-ci n’eut pas le temps de me prendre, je le finissais à la main, mon maitre intervint « allez ! Vas-y Sale pute, fais-le gicler dans ta bouche ! Allez ! » Je sentis l’homme arriver, j’ouvris ma bouche et je reçu son jus tout chaud. Je le gardai en bouche, espérant le recracher « Non Daniela ! Avale ! ». J’avalai et je montrai le fond de ma gorge à mon maitre en tirant la langue.

 

J’enchainais avec les autres mecs, bien échaudés qu’ils étaient de m’avoir vu m’occuper du premier. D’autres hommes également rentrèrent au fur et à mesure, je pense une bonne dizaine de mecs défilaient dans ma bouche et dans mon cul, je fatiguais un peu, mon maitre m’encourageait de temps en temps, cela me remotivait. Ce n’était pas facile d’assurer un plaisir équitable pour chaque mec, j’y mettais du mien, satisfaire ces hommes et que mon maitre soit fier de moi, telles étaient mes devises et mon plaisir.

 

Après le dernier homme, mon maitre me détacha, je me nettoya un peu et je remontais aux bras de mon maitre, l’air gêné… je passais devant des mecs que j’avais peut-être sucé… Mon maitre, pas gêné lui, au contraire, il était très fier et avait le sourire aux lèvres. Il m’offrit un verre de champagne, ça me change du goût du sperme ! « Pas trop mal pour première, tu as vite fatiguée tout de même ! Bon c’est normal, tu n’as pas d'entraînement ! » Je regardais Maître F. d’un air plus grave, en fronçant les sourcils « Oui Daniela, je vais te dresser, je veux que tu en fasses plus encore pour moi ». « C’est le prix à payer pour être une bonne soumise, je veux que tu en fasses plus ! ».

 

370ce073.jpg Un heure plus tard environ, je dû remettre cela. Il me remmena au sous-sol, dans la même cabine, trois hommes attendaient ma venue. Accroupis, je du les satisfaire, avec ma bouche mais aussi avec mon cul. Une fois effectué, je me mis vite debout, afin d’éviter des nouvelles venues, j’en avais assez !

 

Vers les une heure du matin, mon maitre vit que j’étais fatiguée, il m’emmena dans une cage à barreaux dans un cagibi, il m’enferma dedans pieds et mains liées. « Reposes-toi, chienne, je viendrai te chercher plus tard ».

 

Je m’assoupis rapidement, très peu de temps. Mon maitre revint me voir, à peine sorti de la cage, il me mit face à un homme, « Tiens, je t’offre ma chienne ! ». Ce grand gaillard que je n’avais encore point vu, me prit par ma laisse et m’emmena dans un coin tranquille. Je dus le satisfaire pendant près d’une demi-heure, à le sucer énergiquement jusqu’au fond de ma gorge, sa grosse queue gluante qui failli me faire gerber plus d’une fois. Cet homme m’engueulait à chaque fois « Attention à toi, tu ne vomis pas ! » Je me retenais, il me prit ensuite de longues minutes, il me laboura ma chatte sans arrêt et je sentis largement sa queue de longueur hors norme. Il prit son pied, moi un peu moins, je subissais cet homme très actif, qui me défonça mes deux trous. Il gicla sa bonne dose de foutre sur mon visage et dans ma bouche, avec sa bite il ramena le sperme sur mes joues dans ma bouche, et me força à avaler, tout avalé… Il me laissa, accroupi, je pris mon temps pour me laver un peu, il était trois heures, je remontais à l’étage pour retrouver mon maitre assis au bar avec des amis à lui. Je reconnu quelques hommes qui s’étaient occupés de moi. Mon maitre prit enfin la décision de rentrer, il salua ses connaissances, avec moi, et nous sortîmes à l’extérieur. Je me dirigeais vers mon auto, quand mon maitre me tira sur la laisse « Tu ne rentres pas tout de suite Daniela !, on va faire un petit tour avant ». « Mais… Maitre ! » Je rouspétais quelque peu, car j’avais ma dose et je voulais me rentrer. « Non sale pute, viens ici ! Tu es ma chienne ou pas ? Qui est-ce qui commande, hein ? » Il n’était pas content que je lui répondes, je baissa les yeux et le suivis dans son auto.

 

Trois autres hommes montèrent aussi dans son auto, je me retrouvai au milieu entre deux à l’arrière. Je ne brillais pas, mais je n’osais rien dire. Mon maitre semblait en colère…

Les deux mecs de chaque côté de moi commencèrent à me caresser les jambes, je me laissais faire, celui de droite me prit ma main et la posa sur son sexe. Celui à ma gauche déboutonna son pantalon et sortit son sexe. Je me retrouvais à caresser de nouveau des sexes. C’était très excitant en voiture, mon maitre nous regardait dans le rétroviseur et appréciait mon entrain. « Je préfère ça Daniela ! » « Suces-les ! » Je ne sais pas ou nous allions, affairé à m’occuper de ces mecs, je ne voyais pas ce qui se passait. Chaque chose en son temps, je du faire jouir ces deux hommes dans ma bouche et lécher complètement leur foutre, ils étaient satisfaits. Mon maitre aussi.

« C’est bien ma chienne ! »

« Daniela, il est un peu tard pour t’emmener au donjon là, mais j’avais très envie de te faire dresser ! » « Mais, pour une première, ça ira bien comme ça, tu t’es bien débrouillée ! »

« Merci Maître ! »

« Mais ce n’est pas l’envie qui m’en manque tu sais ! » « Je t’aurai bien enfermé dans le donjon ce matin, harnachée, godée et dressée par un pote dominateur, pendant ce temps je serai allé me reposer ! » « J’ai envie de ne pas te laisser le temps de souffler, que tu vois ce que c’est que d’être ma chienne ! »

« Une fois reposé, je serai venu te chercher et je t’aurai emmené te faire sauter dans un lieu chaud ! » « Faire la pute pour moi, je voudrai que tu te fasses baiser à fond ! » « Ciné porno, chantier ou lieu d’exhibe, ou les trois ! »

« Mais ce matin je vais faire preuve d’indulgence ! Tu vas rentrer chez toi, je te convoquerai bientôt »

Nous fîmes demi-tour et l’on me ramena à mon auto tout près de la boite de nuit. Je pu repartir seule, tranquillement, satisfaite de ma soirée mais exténuée…

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Scénarios SM
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Vendredi 10 février 5 10 /02 /Fév 03:46

Voici enfin le récit de mon plan avec maître domi en juillet dernier.
Pardon Maître pour le retard...

J'attend de vos nouvelles prochainement, vous me manquez, j'ai envie de vous...


Nous avions reporté à maintes reprises notre rendez-vous. Rencontré déjà plusieurs fois, cet homme dominant ne m’avait jamais dominé de la même manière. Notre lieu habituel étant pris, je m’aventurais non loin de là, je sorti de l’auto pour l’attendre. Cet endroit, souvent fréquenté le jour était devenu plus calme ce soir. Malgré l’angoisse qui me prit de sortir et de m’éloigner de la voiture, je me lançais. Chaude comme j’étais je ne voulais pas rater mon rendez-vous de ce soir, et une fois sortie, sur mes hauts talons, tout allait bien, je me sentais a l’aise au fur et à mesure que j’avançais sur ce chemin bétonné le long d’un terrain de foot, éclairé par quelques lampadaires de la rue.

Ce soir là, je devais surprendre mon maitre, l’exciter par ma tenue et le satisfaire. Je m’y étais préparée… J’avais enfilé des bas avec un porte-jarretelles noir et des bottes noires. Pour le haut, un top dentelles et une jupe écossaise. J’avais mis un imper noir que j’adorais, ma perruque blonde et mon collier de chienne. Quelque peu maquillée, j’avais aussi verni mes ongles. J’espèrai lui plaire, j’avais vraiment envie de l’exciter et qu’il me baise, qu’il me domine, qu’il abuse de mon corps.

Je faisais les cent pas en attendant qu’il arrive. Dès que j’entendis son auto, je lui tournai le dos et marcha devant moi tel la pute attendant son client. Il me rattrapa rapidement pour m’accoster. Il me salua, me pris par la taille et nous avancions un peu pour nous éloigner de la route. 

IMGP8933-01Il me dit de m’arrêter, se mit devant moi et m’inspecta. Il ouvrit mon imper, je me laissai faire, il me plotait un peu partout, me caressait, me sentait. Je me laisser aller… Je lui plaisais « Tu es belle ma pute, ce soir ! ». J’étais contente de lui plaire, il m’ordonna de me mettre face au grillage, les bras écartés, mains appuyées contre à plat. Il me plota encore à maintes reprises avant de me remonter mon imper pour laisser apparaitre mon cul. « Cambre toi, écartes bien les jambes » me fait-il d’un ton plus autoritaire. Il avait pris sa cravache en main et me la faisait sentir en la baladant sur mes fesses et mes entre cuisses. Je me rappelais alors de notre discussion quelques jours auparavant, il m’avait promis une belle correction, avec des marques durables. Je lui avais promis d’accepter, là, j’étais à sa merci et j’avais un peu peur… Fidèle à mes promesses et pour satisfaire mon maitre de ce soir, je me préparai à souffrir. La séance de cravache dura pratiquement une demi-heure, il alterna les caresses et les coups secs et violents avec sa cravache tenu bien fermement. Il me rougi tout d’abord l’ensemble de mon fessier par une multitude de coups donnés modérément. Je pouvais dire sans regarder les endroits qu’il ne m’avait pas fait tellement que ça me chauffait. Il m’ordonnait plusieurs fois de me cambrer, je lui offrais mes fesses bien fermes, les jambes écartées, les mains contre le grillage. Les coups devenaient de plus en plus durs, moins fréquents, il me surprenait, ne les voyant pas venir. Il me parlait, il me malaxait les fesses pour atténuer la douleur, il se faisait plaisir, moi aussi d’ailleurs !

« Est-ce que tu t’es fait baiser depuis notre dernière rencontre ? ». Je lui répondais la vérité par l’affirmative. « Tu peux te faire baiser ma pute, je n’ai rien contre, mais tu dois m’en parler avant ! » « Oui maître » lui répondit-je. « Pour cette faute tu vas écoper de dix coups, et tu vas les compter ! ». J’acceptais la sentence et me préparai à recevoir la belle correction promise. Il me fit attendre pour me donner le premier coup de cravache, je l’attendais, mais je ne m’imaginais pas recevoir un tel coup. Je cria de douleur, c’était horrible, je me tordis dans tous les sens. La douleur s’estompa et je commençai à compter « Un maitre ». Le deuxième et le troisième s’enchainait rapidement, de la même force, je ne pu m’empêcher de me toucher les fesses. Le quatrième arriva aussi rapidement, je n’en pouvais plus, je le suppliais d’arrêter.
IMGP8939-01-copie-1Il y eu un long silence, je souffrais le martyr mais j’aimais tout de même ça et j’avais promis… Il attendait, je me détendais un peu, les fesses en feu, j’espérais sa clémence et qu’il s’arrête enfin. Il n’en fut rien, de manière méthodique, il continua. Maso que je suis, ou les coups moins forts, toujours est-il que j’acceptai les derniers coups avec envie et fierté. Le dernier se fit longuement attendre, j’avais envie d’en finir avec cette sentence. Je m’attendais à chaque seconde, à chaque coup de cravache dans le vide recevoir ce dernier coup, que cela se termine, cela ne venais pas. C’est au moment ou je m’y attendais le moins que je reçu le bouquet final, un magistral coup de cravache qui me fit hurler. Je me touchai les fesses pour diminuer la douleur, je grimaçais, mon maitre me félicita « Très bien ma pute, je suis fier de toi… ». J’étais également satisfaite, j’avais tenu les dix coups. J’ai souffert mais tout en y prenant du plaisir. A la vue des photos je ne pensais avoir de telles marques, de belle boursoufflures certaines jusqu’au sang… le lendemain et quelques jours qui suivirent mes fesses étaient marrons de bleus…

IMGP8938-1.JPGIl m’ordonna de me mettre à quatre pattes dans le talus d’herbe. Je m’exécutai, écarta les jambes. Il me souleva mon imper et mis ses gants latex. Il me malaxa le plug que j’avais dans mon cul, il me l’enleva et me travailla mon trou pour bien me le dilater. Il me branla tellement le plug au fond de ma chatte toute chaude et toute mouillée que je failli jouir, c’était excellent. Il me remis mon plug sans oublié de faire une nouvelle photo de mon cul et je me releva.IMGP8941-1

« Face à moi et mets-toi à genoux ! ». Je m’exécuta, il détacha son ceinturon et baissa son pantalon.

« Branles-toi ! ». Je me caressais longuement pendant qu’il sortait sa bite de son slip. Il bandait déjà, « Ouvres ta bouche ! » J’ouvris ma bouche, il approcha son sexe, je lui léchai l’extrémité et il me l’enfila de plus en plus dans ma bouche. Je le rentrai et sorti de ma bouche pour l’humidifier et la savourer. Cela faisait longtemps que je ne l’avais sucé, son odeur et sa dureté m’excita, je le suçai goulument. Il était aussi très excité que je le suce, il se branla, me donna des coups de bite sur les joues, tout en me touchant je le branlais aussi de mon autre main, c’était délicieux…

Mon homme ne voulu pas jouir de suite et me fit un énorme plaisir en me faisant vivre une nouvelle expérience pour moi. Je l’en remercie de m’avoir fait découvrir ce nouveau plaisir que je rêvais de vivre depuis un moment. Je ne pensais pas d’abord y arriver mais surtout que ce soit aussi excitant que cela ! Cela dura de longues minutes, car il a fallu insister et persévérer… Accroupi dos contre le grillage, je m’y cramponnai en écartant les bras, pendant qu’il me pilonnait la gorge. Mon Maître me martelait d’ouvrir grandement la bouche. A chaque fois il enfonçait un peu plus sa bite. Mes yeux coulèrent et de temps à autre je détournais la tête pour déglutir, reprendre mon souffle ou cracher ma salive. Il insistait et par étape, me tenant la tête droite contre le grillage m’empêchant de bouger, il m’enfilait sa queue de plus en plus loin jusqu'au fond de ma gorge. Il s’y arrêtait, il finit par se retirer et je failli vomir… Il recommença à plusieurs reprises, dieu que c’était bon… indescriptible plaisir… à refaire !

IMGP8944-02Il finit par se branler entre mes lèvres et je reçu son liquide tout chaud dans ma bouche. Je le gardais un peu, lui montrant, il fit une photo et m’ordonna d’avaler. J’avalais et lui montrais bouche ouverte, comment j’avais fait la salope telle qu’il aime si bien que je sois. Il me donna un Kleenex pour m’essuyer un peu, je me relevai, et me rhabilla un peu. Il me raccompagna vers mon auto.

Nous discutons quelques minutes, de tout, de rien, avant de nous séparer, il me demandait de lui promettre de ne pas tant attendre pour se voir, il ajouta « J’aimerai que tu me reçoives à l’hôtel, je pourrai ainsi profiter de toi une après-midi entière ! ».

Belle proposition, je lui promettais et nous nous séparions.

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Au royaume des salopes
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Mardi 11 octobre 2 11 /10 /Oct 09:52

C’était un des premiers jours de l’automne, j’avais fais preuve d’abstinence pendant près d’un mois. Ce n’était pas volontaire de ma part, mais des soucis de santé ne me permettaient pas d’avoir envie de faire quoi que ce soit…
Une fois rétabli, c’est donc avec énormément d’envie que je reprenais mes occupations de travesti et de soumise. D’avoir mis au repos mes envies, m’ont redonné une pèche incroyable et c’est avec motivation que je reprenais contact avec des personnes avec qui je partageais ma passion.
C’est maître A. qui se montrait le plus intéressé et le plus directif à mon égard, il avait envie de me voir en femme… J’en mourrai d’envie aussi, il ne me dit pas ce qu’il voulait faire avec moi. Je lui faisais confiance.
Je me préparais à cette rencontre, je serai en blonde, collier de chienne, maquillage rouge pétant, vernis aux ongles des mains et des pieds, jupe effet vinyl et corset vinyl, bas et porte-jarretelles dentelle noir et mes nouvelles sandales argentées avec ses 13 cm de talons. Je pense de cette manière plaire à mon Maître.
Il me donna rendez-vous à 19h30 à Annemasse sur un parking. J’étais curieuse de savoir ce qu’il voulait faire à 19h30 en pleine ville… 4372.jpg
Lors de nos discussions, il m’avait fait part de son envie de se promener en ville avec moi, et de m’exhiber dans un parc. J’aimais les voyeurs, ça m’excitait grave et je m’imaginais déjà  en train de marcher au bras de mon maitre, m’arrêtant sur un banc, me mis accroupis et je le suçais langoureusement pendant que des hommes se branlaient derrière des arbres en nous voyant.
Il était à l’heure, il me fit des appels de phares pour que je sorte de l’auto. Il sortit en même temps que moi, me salua, m’accrocha ma laisse et me fit marcher devant lui, il m’inspectait, de haut en bas, relevant ma jupe pour me ploter les fesses. « Humm, tu m’air chaude ma pute ! », je continua à marcher sur le trottoir, il n’était que 20h00, encore pas mal de passants dans les rues déjà sombres d’Annemasse. Les gens nous regardaient, j’étais assez fier d’appartenir à mon Maître. Il me dit enfin ce qu’il voulait faire de la soirée.
« Nous allons au sex-shop Daniela, j’aimerai t’acheter un plug, et je voudrai que tu l’essaie pour qu’il soit à ta taille ». Oups, j’avalais ma salive, je devrai rentre en pleine lumière dans un commerce ! Bon le fait que ce soit un sex-shop me rassura, il n’y a généralement pas grand monde et le peu de personnes, des hommes discrets longeant rapidement les rayons.
Après avoir fait le tour du pâté de maison, nous débouchons sur une rue commerçante mais calme. Je vis de suite l’enseigne du sex-shop allumée, juste devant nous. Je ralentis, montrant à mon maître ma réticence, ma peur « Allez ma pute, avances et tu rentreras dans la boutique à droite. Je lui obéis, non sans crainte de me retrouver face à face avec le vendeur et quelques clients.
A l’extérieur, quelques hommes faisant les cent pas sur le trottoir d’en face devant le sex-shop, attendant le moment propice pour rentrer je pense… Je jeta un coup d’œil à droite et à gauche avant de rentrer dans le magasin. Il était évident qu’un bon nombre de personnes nous virent rentrer dans le sex-shop, je poussai le rideau de tissus et mon maître et moi nous retrouvons dans la boutique.  Boutique pas très éclairée, assez vaste avec quelques allées et plusieurs rayons , un homme en train de choisir des dvd et un autre homme faisant des aller-et retours dans le rayon vêtements jetèrent un œil dans notre direction, le vendeur à sa caisse nous salua, « Bonsoir ! » je répondis par un bonsoir timide mais avec le sourire, mon maître le salua également et l’interpella. « Dites-moi, je cherche un bon plug pour ma femelle, qu’avez-vous à me proposer, s’il vous plait ? » Le vendeur se leva et nous guida vers le rayon accessoires. Une multitude de godes et autres plugs étaient accrochés. « Vous pouvez les essayer, vous mettrez simplement un préservatif et vous me rendrez ceux que vous aurez utilisés, je les remballerais ». Le vendeur était très commerçant, mon maître allait pouvoir m’acheter ce qu’il désirait vraiment. Il remercia le vendeur et nous commencions a visiter le rayon. Cela m’excitait de voir tous ces accessoires, maitre A. le vit et me chuchota à l’oreille, « Je vais te prendre un plug à ta taille et un autre beaucoup plus gros, ton objectif sera de réussir à te l’enfiler d’ici une semaine ».  J’étais excité par ce chalenge, il me tripota mon sexe pour vérifier mon excitation, il me souri. Avant d’arriver devant les godes et autres plugs, quelques accessoires retinrent mon attention et celle de mon maître. Des pinces à seins, des bandeaux, des cravaches et  autres fouets et bâillon boule de cuir noir pour me tenir la bouche pleine… un vaste choix de présentait.
Nous arrivâmes devant les plugs, Maitre A., choisit de suite celui qui le tentait le plus, je fis de drôles d’yeux. Mon maitre me regarda et me dit « Oui Daniela, c’est ton objectif ! ». Il était énorme, je ne me voyais pas du tout m’enfiler cet objet d’au moins 7 cms de diamètre dans mon orifice, certes à la base il devait faire 5 cms mais avant d’en arriver là, ça sera difficile. Il le mit de côté et me trouva un autre plus raisonnable, de 5 cms soit le plus gros plug que je n’ai jamais porté. Il prit un préservatif, l’enfila sur le plug, mis du lubrifiant. Pour me l’enfiler maître A. m’appuya sur la nuque afin que je me penche en avant. Je m’exécuta, je me tenant au rayon, il me releva ma jupe, et m’enleva mon plug-pocket qu’il m’ordonnait de mettre lors de chacune de nos rencontres. Il commença par m’enfiler un doigt puis deux afin de me dilater mon cul de chienne. Je gémissais devant les yeux ébahis des deux clients et du vendeur. Il essaya à plusieurs reprises de me l’enfiler, dix minutes plus tard, le plug était rentré dans mon cul, c’était très bon… Un des deux s’approcha de mon Maître et lui marmonna quelque chose. Je compris rapidement ce qu’avait demandé le client à mon Maître. L’homme se positionna devant moi et dégrafa son pantalon. Il passa sa main dans son caleçon et sorti son sexe. Je compris qu’il m’était adressé, je jeta un œil à mon maître « Suces-le ! » je le pris dans la main pour le branler un peu. Il s’approcha encore plus près de moi et il m’enfila son sexe dans ma bouche.
Je le suça délicatement, son sexe durcit rapidement et l’homme prit la direction des choses. Il fit des aller- et retours dans ma bouche, je ne pouvais reculer, mon maitre me tenait par les fesses, il  faisait des va et vient avec le plug, cela m’excitait. Le client me tenait la tête afin qu’il puisse vraiment donner son rythme que je devais le sucer. Je faillis m’étouffer plusieurs fois mais je tenais bon. Je levais de temps à autre les yeux en l’air, le vendeur et le deuxième client regardait ça avec envie.
Ce dernier s’approcha aussi de moi et baissa rapidement son pantalon. Je pris sa bite dans ma main et le branlait. Il attendit que le premier veuille bien lui laisser la place. J’attendais aussi car il me pilonnait tellement la bouche que j’avais envie de souffler un peu. J’eus à peine le temps de me retirer que le deuxième m’engouffrai aussi son sexe dans ma bouche bien échaudée et très humide.
Au moment ou je changeais de sexe je vis que le vendeur y alla aussi de sa contribution, voyant que mon maitre me branlait la chatte avec le plug, il lui donna un gode d’environ 3-4 cms avec un préservatif dessus. Ma chatte tellement humide n’eut pas de mal à recevoir ce gode, enfin les premiers centimètres, car il me l’enfila plus profond, je le sentis passer et je me trémoussais du cul pour l’aider à l’enfoncer. Chacun y alla de son commentaire, « Quelle belle salope votre chienne ! » dit le vendeur, un des deux hommes dit « Préparez la bien, j’aimerai la prendre après ! » mon maitre « Vous inquiétez pas vous allez en profiter ! » En effet tout en suçant le second homme, mon maitre m’avait enfilé le gode et s’amusait à me branler la chatte vigoureusement. Je gémissais de plaisir, c’était trop bon.  « Tiens, viens la prendre cette salope ! » le premier homme que j’avais sucé, avait continué de se branler, il enfila un préservatif sur son sexe plus gros que le gode, et me prit violemment. Je sentis son bas ventre venir buter contre mes fesses, mais aussi son sexe qui n’eut pas trop de mal à rentrer. Je reconnu le même pilonnage qu’il m’avait fait dans la bouche. Il me tenait les fesses et il allait d’avant en arrière. J’essayais de gémir mais le sexe dans ma bouche étouffait les sons que je voulais sortir. J’étais prise des deux côtés, c’était trop bon mais très dur à encaisser, j’avais envie de leur demander pitié mais impossible, incapable d’esquisser le moindre geste de recul, je devais assumer. Je voyais mon maitre tout sourire me voyant en véritable chienne.
Entre temps, sans avoir prêté attention, d’autres personnes étaient rentrés dans la boutique et tous me regardaient de loin m’offrir à ces deux hommes, il y avait aussi un couple, j’étais quelque peu gêné, moi  tellement timide, face à tous ces gens… Je  n’avais pas le choix et c’est vrai que c’était assez jouissif d’être exhibée et en pleine action face à toutes ces personnes.
D’autres hommes se rapprochèrent de moi devant et derrière, tous se branlèrent et tenait leur bite à la main, prêt à me l’enfiler dès qu’une place se libérait. Mon maître gérait ce beau monde, Je n’avais pas le temps de souffler, il m’avait installé face au dos d’un canapé que je puisse appuyer ma poitrine. Je ne gérai rien du tout, je me laissais faire, tout en assurant du mieux que je pouvais, j’étais maintenant chaude et je mouillais tellement de la chatte que je n’avais plus l’appréhension de recevoir  une grosse bite dans mon cul. Maitre A. faisait reculer ceux qui avaient déjà bien pris leur pied, et ordonnait à tel ou tel homme de m’enfiler sa bite devant ou derrière. Je ne sais plus combien j’ai sucé de sexe et combien me prirent ce soir là, je sais que cela durait depuis un sacré bout de temps, j’avais la chatte en feu, certains s’étaient fini sur mon cul, je sentais que cela coulait le long de mes fesses. Le dernier homme à me prendre se retira et mon maitre  me tenait toujours en laisse, il me tirait au centre de la pièce et me fit rassoir à genoux. J’avais à peine repris ma respiration, qu’une bite s’était de nouveau introduite dans ma bouche. Pendant qu’une bite me labourai la gorge d’autres homes se branlèrent et me giclèrent sur le visage, d’autres dans ma bouche, certains se bloquaient au fond dans ma gorge et jouirent. Ils me forcèrent à avaler. 3870.jpg
J’avais du foutre de partout. C’était l’humiliation totale, je me retrouvais au milieu de la pièce, véritable chienne à bites, exténuée, enduit de sperme, mon Maître ne traina pas pour me relever, et m’entraina dans une pièce voisine. « Allez, nettoie toi sale pute ! Bon… c’est bien, t’as assuré ma salope, tu en as bouffé de la bite là, hein ! » Je le regardais et lui souris « T’as aimé en tout cas, tu t’es pas plaint ! » « Non maître, j’ai aimé ! ». Je me rhabillais quelque peu et nous sortîmes de la pièce. Tout le monde s’était éclipsé, comme si de rien ne s’était passé, le vendeur nous sourit, mon Maître récupéra le gros plug et me le montra. Je compris ce qu’il voulait en faire. Je releva ma jupe et me pencha en avant, mon maître avait déjà enfiler un préservatif et m’enfila ce plug de 7 cm de diamètre. J’étais super dilaté, il n’eut pas trop de mal à me l’enfiler, je le sentis tout de même passé… Une fois calé dans mon cul, je me redressais, mon maître paya ce plug « Merci, nous reviendrons ! » fit mon maître au vendeur et nous sortons du sex-shop. Ce plug imposant me fit marcher de travers, mais quelques pas suffirent pour que je m’habitue.
Mon maître me raccompagna jusqu’à son auto « C’est bien ma pute, t’as bien fait la salope ! » « Tu es prête à recevoir encore plus de bites, montes ! Je vais t’emmener quelque part… »

A suivre…

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Soumission et appartenance
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Jeudi 7 avril 4 07 /04 /Avr 03:51

Suite de mes histoires vécues… « Promise à un couple 1&2 » et « Devoirs pour ma maitresse ».

Maîtresse C. est très exigeante avec moi, un plan cul la semaine dernière avec un mec, cette fois-ci c’est avec deux hommes qu’elle veut que je me fasse prendre, et surtout une main dans le cul et attachée…

Je n’avais jamais fait de plan avec deux mecs, cela me faisait peur, mais en tant que bonne soumise, je devais réaliser ce plan, satisfaire ma maîtresse. Je m’imaginais déjà, me voyant sucer une belle bite et sentir une deuxième s’enfiler entre mes fesses… tout un programme !
J’avais aussi un peu peur de me faire attacher par deux inconnus mais j’en rêvais depuis longtemps alors ce n’était pas le moment de me plaindre. Surtout que derrière tout cela je pouvais seulement remercier Maître A. qui mettait tout en œuvre pour la réalisation de plans pour moi. Je veux être fière de lui appartenir, et j’ai envie d’aller loin à ses côtés.
Je devais passer donc par cette étape, me taper deux mecs aujourd’hui, la prochaine fois ce sera trois et plus encore, très excitant tout ça…

Je mettais tout en œuvre pour me trouver deux mecs, pas évident du tout, l’homme préférant souvent être seul pour se taper une pute de mon genre.
Comme la semaine précédente, j’avais trois quatre personnes susceptibles d’être intéressé par un plan avec moi, il suffisait de les convaincre de faire cela à trois. Je devais les exciter pour leur montrer que j’étais une bonne salope et que je serai très coopératrice à leurs ordres. Les mecs devaient aussi être dominants, pour qu’ils aient envie de m’attacher et me dominer. Je devais prendre en compte également le lieu, ce n’était pas un vulgaire plan, un homme était prêt à faire ça chez lui, je devais lui faire accepter un autre homme d’être à ses côtés…
L’homme rencontré la semaine dernière se proposa d’emblée pour me recevoir et me dominer, je lui avais plu et il voulait aller plus loin avec moi. Il accepta de nous recevoir avec un autre homme. Plus classique, le deuxième, se disait endurant et désirai de se finir au fond de ma gorge. J’étais l’intermédiaire de ces personnes, échanges de photos, chacun avait envie de savoir à qui il avait à faire.
Tout était réuni et prêt pour que cela se passe bien, à moi maintenant d’assurer mon statut, ne pas décevoir les hommes et que mes maitres soient satisfaits. J’étais quelque peu angoissé à l’idée de me proposer à plusieurs personnes dans un lieu inconnu à mes yeux, mais tout de même très excitée à ce premier plan hard pour moi.
Ce vendredi soir, je me préparai avec les mêmes soins habituels pour une rencontre. Tenue de pute exigée, je devais être en forme.
J’étais habituée à faire des plans nature, donc très discret, ce soir, je devais me rendre chez un homme, en ville, sonner à son appartement, être sur que ce soit bien chez lui… plein de paramètres nouveaux pour moi.
J’étais super angoissée à ce début de plan, me faire prendre par deux mecs me semblait plus facile !
Ma motivation à satisfaire les personnes pour qui je faisais cela me donnèrent du baume au cœur et c’est sans sourcilleux que je me dirigeai chez mon hôte.  Il habita dans un quartier d’immeubles, j’avais pris soin de repérer sur le net comment y aller et ou me garer, je n’avais pas envie de trop me montrer.
J’arrivai dans la rue Il était 21 heures, il faisait nuit déjà mais la ville était bien éclairée par les lampadaires, pas de place en face de la montée…, je me gara une dizaines de mètres plus loin, je laissais un passant s’éloigner pour sortir de l’auto et me diriger vers la montée. J’essayai de garder une allure normale, la montée était allumée, pendant deux secondes je crus entendre des pas, je montai un peu plus rapidement jusqu’à l’étage.
Il est très excitant de rencontrer quelqu’un dans les escaliers mais pas ce soir, préférant vite me retrouver à l’abri des regards. Je sonnai, j’entendis des pas, serait-ce l’homme qui m’attendait, la porte s’entrouvrit.
« Rentres ! » fit une voix. Je ne vis personne mais je compris que ces paroles m’était  adressé, je rentrais, fermais la porte derrière moi et me retrouvais face à mon dominant. C’était bien le même, il me salua, me dévisageait de la tête au pied, content de me voir, il me fit entrer dans le salon. Il m’offrit un verre, s’assit en face de moi, j’étais le premier arrivé, nous discutons de choses et d’autres en attendant le troisième convive. J’étais impressionné non par l’homme que je connaissais déjà un peu, mais plus par le fait d’être chez lui, d’être dans un endroit inconnu, avec l’impression de ne pas maitriser les choses. Il habitait apparemment seul dans cet appartement, depuis quelques temps déjà, car bien aménagé. J’étais là, seule avec lui, je devais gérer et assurer.
Une demi-heure passa, assez rapidement, bien mis à l’aise par mon hôte, musique et biscuits apéro, mais toujours pas de second homme, mon dominant n’en pouvait plus, il était excité et chaud… Il vint s’asseoir à mes côtés, et commença à me caresser les cuisses. Je compris qu’il voulait que je décroise mes jambes, je le fis avec plaisir, et le laissais entreprenant. C’est comme cela que j’aimais les hommes, quand ’ils savent ce qu’ils veulent… Sa main se baladait sur mes bas, il me caressait mes bottes, il glissa sa main sous ma jupe serrée. J’écartai légèrement les jambes, montrant mon envie qu’il continue. Il s’arrêta, appuya son dos sur le canapé les bras le long du corps, il attendait. Je posa mon verre, et fis ce qu’il attendait de moi, lui défaire son pantalon. Son ceinturon d’abord, ensuite bouton par bouton je défis son pantalon. Il m’aida à le faire glissé un peu. Je lui caressai son caleçon, devinant son sexe déjà bien consistant, qu’il sortit avec empressement. « Suces-le ma belle ! » me fit-il directif. J’étais excitée et je ne me fus pas prier deux fois pour le sortir et le mettre en bouche rapidement. Je le malaxai à sa base en l’étirant afin qu’il s’allonge encore.
Je le suçais langoureusement, il appréciait, il s’alluma une cigarette, « Continues, t’arrêtes pas ! ». Tout en tirant sur sa clope, il me parla, je l’écoutai tout en me concentrant sur sa bite. « Il n’est toujours pas là ton autre homme ! ». « Je crois bien qu’il nous a posé un lapin ! ». Effectivement cela devait faire bientôt quarante cinq minutes qu’il aurai du être là, mon dominant avait raison, cela ressemblait à un lapin. « T’inquiètes pas tu auras sa part, je m’en charge ! » Je m’étais mis à l’aise, à genoux devant lui, je pouvais le sucer comme il le fallait et pensais déjà à la suite des événements. Pas longtemps, il me pria de m’arrêter, il se rhabilla avant de se lever, « Tu ne devais pas avoir ta laisse ma chienne ? » Je pris mon sac à main, l’ouvrit et en sortit ma laisse et lui tendit dans sa main. Il attacha le mousqueton à mon collier, il en profita également pour sortir de derrière un coussin une paire de menottes qu’il me mit aux chevilles et une aux poignets.
« Allez, viens ma salope » Je le suivis, à quatre pattes dans une des chambres de son appartement, pendant qu’il me laissa filer devant, il me souleva ma jupe et me tâtait les fesses « humm, quel beau cul, à quatre pattes comme il rend bien ! ».
Le plan se fera apparemment sans le second mec, pas grave, celui-ci devrai assurer les directives, me dominer, m’attacher et me faire mettre.
Je rentrais dans la pièce, visiblement pas sa chambre à coucher. Un éclairage tamisé, un petit matelas par terre, une croix de Saint-André au mur, une table au centre de la pièce et une console contre le mur avec de multitudes d’accessoires de sexe. Je devinais des godes, plein de godes, e différentes grosseurs, de différentes longueurs, je sentais de suite la personne expérimentée.
Cela me fit un peu peur, mais il etait trop tard maintenant pour se poser des questions, il fallait obéir ma belle !
Il ferma la porte derrière lui et m’ordonna de me lever. Je me leva difficilement attachée que j’étais, il m’aida à m’approcher face à la table et me pencha en avant. Poitrine sur la table il me détacha les poignets pour me les rattacher dans le dos, idem pour les chevilles pour les attacher aux pieds de la table.
J’étais à sa disposition, impossible de bouger, il releva ma jupe et me caressa les fesses. Il me les frappa l’une après l’autre avec la paume de la main, cela eu l’effet de me chauffer la peau. Il savait ce qu’il faisait, il n’en était pas à son coup d’essai…  Il prit ensuite un fouet assez court à lanières et me fouettait les fesses déjà échaudées par les claques. Il m’enleva mon plug soigneusement graissé par mes soins. Il n’eut pas de mal à l’enlever, il choisi un gode sur son étagère, plus gros et me l’enfila. Je le senti passer, il fit des allers et retours bien au fond de ma chatte, je gémissais de plaisir et pensais à ma maitresse qui aimerai me voir dans cette position. Il me laissa le gode bien au fond, et vint vers mon visage et sorti sa bite pour que je le suce.
Ce n’était pas très confortable mais je pu le sucer comme il fallait d’autant plus qu’il bandait bien dure. Il m’engouffra son engin bien au fond de ma gorge, je cru vomir… Tout en restant bien au fond, il me trifouilla le gode dans ma chatte. Hum, ça m’excitait grave, il avait trouvé le point sensible, je gémissais de plaisir…
Il était super excité et avait envie de me prendre,  il vint derrière moi et s’enfila un préservatif pour me prendre violemment. J’adorai sentir son corps venir buter contre mes fesses, je criais à chaque coup de buttoir, il allait bientôt jouir. Je lui demandais de se retirer, il vint vers mon visage et se fini à la main. Quand il s’est senti venir j’ai ouvert la bouche et il est venu s’y engouffrer son sexe qui a giclé au fond de ma gorge. J’ai avalé son foutre, je lui pompais le reste et il se retira. 21.jpg
Il était comblé, moi aussi du reste, dans ma position inconfortable j’avais envie de bouger un peu. Ce ne fut pas bien long mais très intense. Il a respecté ce dont on avait parlé avant, il ne m’a pas enfilé sa main dans mon cul mais le gode qu’il m’engouffra était déjà bien gros.
J’espère que Maîtresse C. Sera satisfaite de moi, ainsi que Maître A.
Il me détacha, « On va y aller doucement, et petit à petit ! » « La prochaine fois, on essaiera la main, et te ferai crier de plaisir ! ».  J’étais d’accord avec lui, fit un signe affirmatif de la tête, espérant aussi que cela dure un peu plus longtemps. J’aime les séances ou je sens le plaisir monter en moi.
Nous nous séparâmes en nous disant à bientôt.
Je rentrais, fier d’avoir réalisé ce plan, et déjà prête à faire autre chose pour mes Maîtres…

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 25 mars 5 25 /03 /Mars 05:14

Le lendemain de ma première rencontre magnifique avec ce couple et cette soirée travestie, j’avais décidé de m’aérer un peu, je partis donc courir dans ma montagne favorite, histoire de repenser un peu à tout ça, l’après-midi,  était donc consacrée à une sieste obligatoire !

J’avais un peu récupéré, il était 17h45, quand Maîtresse C. me laisse ce texto :
« Tu sais que je ne suis pas patiente,  j’attend toujours que tu me racontes qui t’as défoncé hier soir »
Je pensais bien lui raconté,  je lui répondis de suite :
« Bonjour Maîtresse, belle soirée de travs entre elles, très peu de mecs, pas été défoncé, mais j’ai bien été servi par votre homme et vous-même ! J’ai adoré…bisous. Daniela ».
« La prochaine fois je serai sans scrupules car je trouve que je suis trop gentille avec une grosse salope comme toi et c’est pas sur la couette mais sur ta belle petite gueule que je giclerai. Je vais t’arroser, par contre mon homme sera plus généreux c’est dans ta bouche qu’il éjaculera. De toute façon, tu aimes ça t’en prendre plein la gueule. Avant la fin de la semaine, je veux voir une grosse bite dans ton cul, je te laisse libre de la personne, n’oublie pas, je veux des preuves. »
Je n’eue pas beaucoup de répit, à peine mon aventure de samedi soir passée, je devais déjà m’organiser pour la semaine qui s’annonce. L’excitation était revenue au grand galop aussi, ce n’est pas tant d’avoir une nouvelle aventure qui m’excitais mais plus de sentir ma maitresse excitée. De plus, le fait que ça puisse la satisfaire m’excite encore plus et me motive beaucoup. Je ferai n’importe quoi pour une personne qui me domine…
« Bonjour Maîtresse, pour vous, je me ferai défoncer le cul d’ici la fin de semaine. J’attends avec impatience de prendre  ce qu’il vous plaira sur les parties du corps qu’il vous plaira. Daniela ».
J’attaquai la semaine plein pot au niveau boulot, mais ce lundi je n’avais en mémoire que les bons moments du week-end, du pur bonheur, à refaire….
Je m’organisais aussi pour trouver un plan ou je serais sur de satisfaire quelqu’un. J’envoyais donc plusieurs mails à mes contacts et laissait une annonce sur le net.
Le mardi 15h48, Maitresse C. me laisse un message :
« Coucou, alors t’as trouvé ta grosse bite ? ça m’excite de savoir que tu vas en prendre plein le cul. Dis-moi tout ce que tu as fais, je veux  tout savoir dans les moindres détails. Je salive de plaisir à l’avance.
« Bonjour Maîtresse, je devrai avoir rendez-vous demain soir avec un mec qui veut me voir depuis longtemps déjà. Je ne l’ai jamais rencontré par peur mais là le faire pour vous m’excite et me motive. Moi aussi ça me plait énormément, j’espère aussi aller loin dans notre plaisir. Bisous »
« Fais toi attacher quand il te baisera et photographier. Super ton blog, j’adore ! »
Le mardi soir, j’avais déjà trois quatre contacts pour mon plan du lendemain, j’enverrai des textos dès demain matin, c’est le seul moyen d’être sur qu’ils soient dispos. Je n’ai pas envie que l’on me pose un lapin, mais dans tous les cas, même si je ne trouve pas de rendez-vous, j’irai tapiner pour ma Maîtresse.
Le mercredi matin, j’envoyais quatre messages à quatre hommes, deux jeunes dominants et deux hommes amoureux de travestis. Ces deux derniers, ne me répondirent pas, des fantasmeurs peut-être ?
Le premier jeune homme dominant n’étant pas dispo ce soir, il me restait celui d’Annemasse. Ce n’est pas forcement vers lui que je serai allé spontanément car très SM et apparemment très hard, mais il fallait que j’aie une aventure, que je bouffe de la bite et que l’on m’en mette dans le cul, tout ça pour ma maitresse adorée. Ce jeune maitre voulait faire de moi, sa chienne, sa salope, très SM, il m’avait proposé de venir chez lui, je préférai avoir une première aventure en extérieur, du moins dans un endroit neutre pour nous deux. Je lui décrivis le plan que je désirai, il acquiesça et nous nous donnons rendez-vous sur Annecy.
L’après-midi j’envoyai également un message à Maîtresse C.
« Bonjour Maîtresse, merci de me donner votre adresse mail pour que je vous envois le compte-rendu et les photos du plan de ce soir. »
Le soir arriva bien vite, je finis le travail, me doucha au boulot, me goda sans oublié un petit lavement, j’avais 1h30 pour me préparer.
Entre temps Maitresse C. m’envoya son adresse mail pour que je lui envoie un petit compte-rendu et également des photos que j’aurai fait.
Une fois préparée, je lui envoyai ce petit message « Ça y est, je suis toute belle pour mon rendez-vous. C’est pour vous que je fais cela. » Elle me répondit par des encouragements .
« Je sais et j’adore ça. Donnes lui du plaisir et j’aimerai être là pour voir ta grosse chatte mouiller humm !  J’ai adoré y mettre la main d’ailleurs. T’es tellement chaude que le bras passera large. Prépares-toi la prochaine fois mais comme je suis généreuse je laisse Mr s’en occupé ce soir avant moi. Tu vas gueuler de plaisir et n’oublie pas belle et sexy mais j’en doute pas t’es sex ! ».
J’avais mis des bas voiles noirs avec ma robe sans manche noire satinée, avec un haut voile également et mes dernières bottes. Uniquement du rouge à lèvres et en blonde, j’allai sur mon lieu de rendez-vous. L’homme m’annonça qu’il arrivait, j’étais sortie de l’auto en faisant les cent pas autour.
J’adore marcher en femme, me regarder marcher, me sentir femme, je me laissais aller à fantasmer de me promener en ville, en plein jour, au bras de ma maitresse et faire les boutiques de fringues. C’est vrai que se serai cool !, faire des essais d’habits, plus ou moins sexy, les essayer pour ma maitresse, j’aimerai qu’elle choisisse ma garde robe. En tant que femme, elle est évidemment la seule à pouvoir me conseiller. Je rêvai de mettre des habits moulants, des sous-vêtements sexy, des chaussures à talons…, d’avoir une tenue super chic, tenue de soirée, très sexy et également, tenue assez flashy, leggins coloré, jupe en jean de couleur, mitaines résilles, escarpins… Ce qui m’excite dans ce genre de fantasme, c’est d’être en tenue super sexy, super provocante, histoire d’exciter mon entourage, et de détourner les regards sur moi. Un comble pour moi de nature si timide…
Une voiture arriva et me stoppa dans mes fantasmes, c’était l’homme que j’attendais. Il se gara l’autre côté de mon auto. Je me cala le dos contre l’auto, une jambe pliée, la parfaite putain attendant la passe. Il faisait nuit mais un lampadaire nous éclairait suffisamment. Il me salua, il était mignon, cheveux courts, pas très grand et surtout beaucoup plus timide que par les messages qu’il m’envoyait. Son attitude dominatrice reprenait vite le dessus, il s’approcha rapidement de moi et me pelota les fesses.
« Tu me plais toi, ma salope ! » «T’es belle ! T’es bonne, t’es franchement baisable ». Je lui souris timidement. Toujours impressionnée par une nouvelle rencontre, peur du premier regard, peur de ne pas plaire… je pris ses premières paroles comme des encouragements.
« Mets les mains sur le capot et montres-moi ton cul ». Il était d’un coup très directif, je m’exécuta rapidement, en me cambrant un maximum pour qu’ils admirent mon cul. Il avait l’air de lui plaire, il souleva ma robe, et me caressa de haut en bas, de la poitrine jusqu’à mes jambes. Humm, c’a me faisait frétillé et je bandais.
« Tu m’as l’air d’être une bonne salope, toi, tu dois y aimé, je me trompe ? ».
Il rebaissa ma robe et il me donna l’ordre de me retourner. « Tu veux faire quoi ? » « Je ne sais pas, ce que vous avez envie, je suis à vous ». Tout en disant ces quelques paroles, je pris les devants pour aller en direction des toilettes publics du lieu ou nous étions. Toujours éclairé par des lampadaires lointains, il y avait cinquante mètres qui nous séparaient de l’endroit abrité et à l’abri des regards. Je viens ici généralement avec un homme dominant qui m’attache les mains et les chevilles aux toilettes pendant qu’il me laboure ma chatte. L’homme me serre contre lui en me tenant les fesses, il me laisse filer pour voir ma démarche, j’adore être regardé de la sorte. Arrivé aux toilettes, il ne perdit pas de temps en défaisant son ceinturon. « En me présentant sa bite qui commençait à se durcir dans son caleçon il me dit « lèches, allez salope, lèches ». Je me mis à genoux et j’exécutais ses ordres. Sa bite vint rapidement bien dure pour que je puisse l’enfiler dans ma bouche. Il baissa son caleçon et je pus le sucer. « Laisses tes mains dans le dos et suces-moi » il ne voulait pas que je le touche, je m’appliquais à le sucer, il me manquait un peu de salive, je lui léchais également les couilles. Je le suçais maintenant comme il fallait, sa belle bite dans ma bouche, je pensais à ma maitresse, j’aurai tant aimé qu’elle soit à mes côtés en me voyant m’appliquer à sucer ce mec.
devoir1.JPGAu bout de quelques minutes, il m’arrêta « ça va ? » Je lui répondis que oui, et en profitais pour lui demander s’il pouvait faire quelques photos. Je voulais avoir des photos pour montrer à ma Maitresse. « Je sortis l’appareil pendant qu’il sortit un préservatif. « tournes-toi ! Tiens toi au pilier et montres-moi ton beau cul, salope ! » Je m’exécutai, en relevant ma robe pour laisser apparaitre mes fesses. Il me les plota, « Tu te godes, ma salope ! Hein ? C’est bien ça, tu dois être bien ouverte ». Il se recula et fit une photo. De nouveau je le suçai avec entrain, pour qu’il rebande bien dure. Il me donna des coups de queue sur ma langue, la bouche bien ouverte en le fixant dans les yeux. Il fit de nouveau quelques photos. Il m’ordonna de me retourner, et pendant qu’il me tapa les fesses, il me posa quelques questions qui l’intéressaient. Si j’avais déjà fait ça avec plein de mecs, à quel point j’aimais le sm, jusqu’ou… Il avait déjà des autres plans derrière la tête… Je lui répondis franchement que j’étais partante pour plein de plans sexe et sm mais de manière progressive. Il se mit une capote, enleva mon plug et m’empala franchement. Je gémis de plaisir, je prenais mon pied, j’adorais être prise comme ça, tenue par les hanches, je l’accompagnais dans ses mouvements de va et vient au fond de ma chatte, c’était trop bon, je mouillais de plaisir. J’aurai aimé une plus grosse bite encore… Au bout de quelques minutes il joui, j’étais heureuse lui aussi, il avait pris son pied. J’aurai aimé qu’il gicle dans ma bouche mais il a été plus rapide, trop rapide…
Il se retira et je me rhabillai, je pris mes affaires et nous repartons vers les voitures. Il me répéta que j’étais trop bonne, que je lui plaisais et qu’il aimerait me revoir mais cette fois-ci chez lui…
 Nous nous quittâmes aussi rapidement que nous nous étions vu. Je repartis en auto, contente d’avoir réussi ma mission, enfin j’espère que ma maitresse sera contente de moi…

Par Daniela - Publié dans : Histoires - Communauté : Soumission et appartenance
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Soumise Daniela

  • Sissy Danyela
  • Sissy Danyela
  • Femme
  • 01/04/1964
  • Salope Sexy BDSM Soumise Gourmande
  • Sissy, soumise, propriété de Maîtresse Aume

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  • 20140816
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